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7 | En silence ou presque
Mon histoire avec Paul s’est terminée à mon retour en France. Ce retour signifiait la fin de notre histoire de quelques moins. C’était intense, mais ça resterait là-bas.
Après un retour en France un peu compliqué, et des entretiens ratés dans différentes écoles, j’ai dû me retrancher sur des écoles moins réputées. J’ai passé un an à me refaire financièrement chez mes parents.
Cette année-là j’ai eu des aventures plus ou moins régulières ou sérieuses. Je me suis beaucoup amusé avec un garçon. Arthur. Premier garçon plus jeune que moi que je trouvais alors à mon goût. Il était très très bien taillé. Le V en bas du ventre, un sourire ravageur, de grands yeux bleus. Croyez que ma voiture est devenue un vrai baisodrome. À l’époque on roulait beaucoup. On trouvait un coin calme et nous jouions longtemps.
Un soir qu’il avait bu, je n’ai pas eu le courage de refaire la route pour le redéployer chez ses parents. Les miens habitant plus près. Nous nous sommes arrêtés chez moi. Alors que j’avais l’interdiction formelle de ma famille de ramener un garçon chez moi… il a dormi dans mes bras. Et cette nuit-là… Il s’est passé un certain nombre de choses très agréables.
Alors que nous nous étions endormis, il s’est mis derrière moi. Je n’avais pas l’habitude que ce soit lui derrière. Et dans son sommeil, il se collait à moi. Sa tête dans mon cou, ses mains agrippant mon torse. J’ai senti son sexe durcir. Je l’ai senti s’appuyer sur mon dos d’abord. Puis chercher dans son sommeil un endroit plus propice pour se faire plaisir. Alors qu’il me tenait fermement, j’ai donc cambré un peu mon dos. Pour qu’il se retrouve pile à la bonne hauteur. J’ai posé mon bras gauche sur son bassin et aie appuyé un peu pour qu’il rentre.
L’avantage avec sa bite c’est qu’elle mouille beaucoup. Et avec lui pas besoin de lubrifiant. Le mouvement de pénétration l’a un peu réveillé. Il a senti le plaisir. Mais je l’ai laissé se rendormir. Ce soir-là je voulais qu’il se fasse plaisir en moi. Sans même en avoir conscience. Il a reposé sa tête doucement dans mon cou. J’ai attendu que sa respiration redevienne aussi forte. Il dormait de nouveau.
J’ai commencé à faire des vas et viens léger. Comme ça pas de bruit. Il était en moi. Et je voulais qu’il jouisse. Ce genre de branlette nocturne a souvent l’avantage d’être assez rapide… Sauf que ce soir-là je me trompais. Il allait faire durer le plaisir. À chaque fois qu’il allait jouir, je sentais ses mains resserrer leur étreinte sur mon torse. Alors je ralentissais. Pour que ça dure encore.
Au bout d’une heure de pénétration lente et savourée, j’ai accéléré le rythme pour qu’il se réveille. Et j’ai trouvé le moyen parfait de le réveiller complètement. Il avait une pratique favorite. Sa bite avait un gland assez gros comparé au corps de sa bite. Alors quand elle rentrait ou sortait il avait un intense moment de plaisir. Comme j’étais bien dilaté, j’ai donc fait sortir sa bite. Pour ne rentrer que le gland. Il a gémi. Je l’ai refait plusieurs fois. Jusqu’à sentir ses baisers dans mon cou.
J’ai continué encore un peu. Il aimait ça. Il ne dormait plus. Alors j’ai senti qu’il reprenait des forces. Sa bite, dure comme jamais me remplissait complètement. J’avais si envie qu’il se termine en moi. Qui n’a jamais eu envie de s’offrir à ce point ? Personne ne pourra me blâmer pour ça.
Il m’a glissé à l’oreille : « Ça fait un moment que je sens que tu joues comme ça… Tu es sûr de vouloir que ça dégénère ? Je ne suis pas supposé être là. On ne peut pas faire de bruit. Tu choisis hein… Mais là… Tu vas prendre. »
Alors j’ai simplement répondu « ferme là et prends-moi »…
Il s’est redressé d’un coup dans le lit. Il m’a fait rouler pour que je sois sur le dos. Il a remonté mes jambes sur ses épaules. À placer sa bite devant mon trou. Et a recommencé son activité favorite. Regarder son gland entrer en moi. Regarder dans mes yeux le plaisir que son membre me procure sur le moment.
Il m’embrasse. Et ajoute « On commence tout juste, on est encore en première ».
Je réponds « Passe autant de vitesse que tu veux. J’ai envie que tu me défonces. Alors, fais-le. »
Il m’embrasse et accélère. Il fait ce truc que j’adore que de se regarder lui. Il s’aime. Me baiser comme ça lui donne confiance en lui. Son torse se gonfle, sa bite aussi.
Il retire complètement sa bite, crache dessus. Et la remet en moi. Il refait ça plusieurs fois. Sa salive permet à sa bite de vraiment glisser en moi.
Il se penche et me glisse à l’oreille. « Tu promets de ne pas crier ? »
« On verra… »
Et il me défonce. Littéralement. Il s’accroche avec la main gauche mon cou. Et la main droite tient mon flanc gauche. Il plonge ses yeux dans les miens.
Je commence à gémir. Il sourit.
Il accélère encore. Sa petite sieste plus tôt lui a permis de récupérer beaucoup d’énergie. Son bassin, puissant me frappe de plus en plus fort. Et dans ces bruits de claquements, s’ajoute un autre que j’aime par-dessus tout. Celui de ses couilles qui viennent frapper mon cul.
Il sait que je lutte pour ne pas faire de bruit et ne réveiller personne. Il s’amuse à en faire. Mais il sait que je ne lui demanderais pas d’arrêter. Dans le fond l’idée d’être entendu m’excite. Qu’on entende que ses grosses couilles frappent mon cul m’excite terriblement.
Je gémis de plus en plus fort. Il s’en amuse. La main qui tenait mon cou vient se plaquer sur ma bouche. Et je gémis plus fort encore. Le bruit que j’aime est étouffé par sa main.
Pour lui faire retirer, je lui lèche la paume de la main. Et ça a l’effet inverse, ça l’excite que je le lèche comme ça. Sa main ne cherche plus à m’étouffer. Mais il me la fait bouffer. Il me l’enfonce dans la bouche. Il joue avec ma langue.
Et ça lui donne des idées. Il termine ses mouvements de bassins en trois grands coups. Puis il se retire d’un coup. Il se redresse. Passe aux dessus de mes jambes, et viens à califourchon sur mon torse.
Je comprends de suite ce qu’il veut. Sa bite va tout décharger dans ma bouche. Il attrape ma tête de sorte que je ne puisse plus du tout la bouger. Et il m’enfonce son énorme bite dans la gorge. C’est la première fois que je vis réellement une vraie gorge profonde. Je sens son membre dans ma gorge. C’est chaud. Parfois compliqué de respirer. Mais je prends son rythme, je respire quand il se retire un peu pour laisser passer de l’air.
Il ne lâchera pas ma tête. Il crache sur mon visage. J’adore ça. Il m’humilie pour son plaisir.
Après quelques minutes de gorges profondes, il redresse ma tête, et vient mettre quelques coups de bite sur mon visage. Il m’embrasse. Se remet en position. Se branlent quelques secondes…
Cinq gros jets de sperme viennent s’écraser sur mon visage. Il sourit.
Moi aussi. Il vient m’embrasser. Il se retrouve avec son propre sperme sur le visage. Il y goute. Il a l’air d’apprécier.
Je lui dis « Tu ne vas pas me laisser comme ça par contre. Hors de question que je réveille tout le monde en allant prendre une douche à cette heure là. »
« Je m’en occupe »
Il remarque que je bande encore. Je n’ai pas encore joui. Et consciencieux qu’il est il vient en se reposant, s’assoir sur ma bite de manière à ce qu’elle soit droite et dressée le long de son cul. Pas dedans. Juste poser le long. C’est aussi agréable.
Ses mains viennent se poser sur mon torse. Il commence à jouer avec mes tétons. Le gauche très sensible à l’époque, parce que tout récemment percés, est un point stratégique pour lui. Pendant qu’il joue avec mes tétons, il vient lécher mon visage. À tour de rôle il pousse son sperme dans ma bouche puis en avale lui-même un peu. Jusqu’à tant qu’il ait nettoyé toutes ses bêtises…
Il bouge doucement son cul pour me branler avec. Et ça marche. Ce qu’il fait avec mes tétons me fait jouir si fort que j’inonde son dos. J’en fous littéralement partout.
« Et tu comptes me laisse comme ça ?! » il s’amuse.
« Non »
J’appuie dans son dos. Pour le plaquer contre moi. Puis je glisse en dessous de lui. Je lui indique de rester à plat ventre. Je repasse sur lui. Et ma langue vient lécher son cul. Il gémit de plaisir. Je fais comme lui. J’en avale une fois. L’autre fois je lui mets dans la bouche pour qu’il n’en perde pas une goutte non plus.
Je le nettoie complètement puis continue de lui lécher le trou un moment. Je le fais gémir doucement. Pendant ce temps mes mains caressent son dos. De plus en plus doucement. Pour qu’il se détende et profite juste de ce moment agréable. Notre partie de baise devient un massage tendre.
Alors que son bassin bouge de moins en moins. Ses gémissements m’indiquent qu’il a enfin reçu sa décharge d’endorphine. Le contrecoup de cette baise le frappe d’un coup. Je sais que je vais bientôt avoir très sommeil aussi.
Alors j’arrête. Mes mains remontent doucement sur son corps. Et je viens me poser contre lui. Un peu sur sa droite. Ma jambe gauche toujours sur lui. Et ma tête dans son cou.
Je suis toujours en contact avec lui. Il aura lu cette histoire quand vous la lirez. Et je sais qu’il garde de cette nuit comme moi un souvenir à la fois amusé et excitant.
Le lendemain matin, nous avons lui et moi retrouvé un mot sur la table. Le petit déjeuner était sorti. Le mot disait « Mangez au moins un morceau avant de partir ». Ils ont dû nous entendre. Mais quoi ? Nous ne saurons jamais…
Zack
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