Le zentai est une combinaison intégrale, qui va des pieds à la tête, qui vous couvre et vous moule chaque partie du corps. Rien n’est laissé apparent : mains, pieds, épaules, fesses, jambes, et même la tête, tout disparaît une fois que vous revêtez un zentai, qui devient ainsi une sorte de seconde peau. Ces vêtements sont destinés à ne plus faire de vous un individu reconnaissable, mais à vous cacher derrière cette seconde peau, qui peut servir aussi bien pour se déguiser que pour profiter des sensations uniques données par ce vêtement.
J’ai très longtemps fantasmé sur internet, regardant notamment les costumes de super-héros, qui moulent formidablement les corps athlétiques des acteurs, laissant apparaître tout de leur physionomie.
Au lycée, avec quelques économies réalisées, j’ai enfin pu m’en acheter un, prétextant un déguisement pour halloween. Je le commande entièrement noir, n’ayant pas envie qu’il soit trop associé à halloween, et ainsi pouvoir le remettre à d’autres occasions… Acheté sur internet, le colis devait être livré chez moi en 3 jours, une durée qui me semblait interminable…
A la date prévue, le colis arrive. Je l’ouvre et vois enfin ce vêtement qui a forme humaine. Je le touche, le respire, l’envie de le mettre et de m’enfermer dedans devient pressante. Profitant de l’absence de mes parents, je m’enferme dans ma chambre, me met nu, puis commence à enfiler mon costume. Commençant par les jambes, le zentai remonte très vite jusqu’à mon bassin. J’enfile le bras gauche, ajuste les mains, puis le bras droit. Il a fallu un peu de souplesse et comprendre comment fermer la fermeture zip qui se trouvait à l’arrière. Enfin, après 5 minutes à me tordre dans tous les sens, je réussis à fermer la zip entièrement.
Me voici pour la première fois entièrement habillé, des pieds à la tête pas un centimètre de peau ne dépasse ! Je me touche, me caresse… doucement, je passe sur chaque coin de ma seconde peau. J’entrecroise mes mains entre elle, me caresse le nez, la bouche, les yeux… chaque sensation semble décuplée. Je me caresse les épaules, le ventre, les fesses, me rapproche de mon anus et de mon service trois pièces. Les caresses au travers du lycra ne sont que trop bonnes ! Impossible d’aller trop vite ni d’appuyer trop fort. Je sens la chaleur monter en moi celle-ci semble comme bloquée dans le zentai. Je me regarde dans le miroir pour ne voir que cette forme noire qui se touche et se dandine.
L’envie d’éjaculer arrive doucement, mais elle est compromise par la nature même du zentai : il est impossible de saisir sa bite en main et de se masturber pleinement. Par simple frottement, je commence à avoir de plus en plus chaud, à être de plus en plus sur le point de tout lâcher… et pourtant il ne sert à rien d’accélérer.
N’y tenant plus, je décide d’enlever la partie haute du zentai, quelle sensation d’avoir à nouveau de l’air frais sur sa peau ! J’enlève hâtivement les bras du costume et saisi enfin pleinement mon pénis, avant de le branler et de terminer en grande pompe sur le miroir !
Il est temps pour moi de tout nettoyer et de ranger ma seconde peau, mais intérieurement, je n’attends qu’une chose : de pouvoir la remettre.
Alex