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Baise en prison

– Quel est votre nom ? Me demande un garde sur un ton las.
– Malik Suarez, monsieur, répondis-je en m’interrogeant sur ce qu’il peut bien me vouloir.
– Bien Suarez, suivez-moi, je vais vous montrer votre affectation, m’informe le gardien avant de se retourner et de sortir des dortoirs, suivie de peu par moi.
Je le suis le sourire aux lèvres, voilà bientôt un mois que je suis ici, et que j’attends qu’on me file un poste.
Il me conduit dans le fond de la prison, pas loin des douches communes des détenus.
Si je me trompe, c’est l’endroit où est lavé la lessive, non pas ça s’il vous plaît..
Malheureusement, le garde tourne et entre dans une grande pièce mal éclairée, de grandes tables sont rassemblées au centre tandis qu’une vingtaine de machines, côte à côte, font le tour de la pièce.
– Bon, je sais qu’il y a mieux comme poste, mais actuellement, je te propose ça, si tu ne le veux pas, pas de souci, une autre personne sera contente d’avoir un job. Me prévient-il alors qu’il attend une réponse de ma part.
– Je ne vais pas faire le gamin, si je peux me faire un peu d’argent, je ne vais pas rechigner, avoué-je au gardien, mais aussi à moi-même.
– Bien, ce n’est pas compliqué, tu prends le linge sale, tu les fais laver, ensuite tu les fais sécher avant de les repasser au mieux et de les ranger en pile dans les étagères, m’explique le gardien.
– Je serais seul à faire ça ? Demande-je en remarquant qu’il n’y a pas d’autres détenus dans la pièce.
– Pour le moment oui, mais cela, ne va durer que quelques jours, les anciens détenteurs du poste ont été mutés ailleurs, ajoute-t-il avant de partir.
Je commence donc à faire mon job, plaçant les vêtements sales dans les machines, avant de les faire tourner.
Ensuite, je vérifie s’il les différents séchoirs à linge, ne contienne pas de vêtement propre.
Mais hélas non, je me retrouve donc la, à attendre que le cycle des machines se termine pour pouvoir continué à bosser.
Je ne peux même pas quitter la pièce, puisque je dois attendre que le garde vienne me chercher d’ici 2 h pour aller déjeuner.
Et comme je suis seul, le temps semble beaucoup plus long qu’en général.
Déjà qu’on trouve le temps long en prison de base…
– Pourquoi tu restes, la, avachit sur la table, tu n’es pas censé travailler ? Le demande un garde que je ne connais pas.
Il est assez grand, des yeux verts et des cheveux blonds, il semble être particulièrement athlétique si j’en crois ses formes que laisse paraître sa chemise.
– Les machines sont en cours et il n’y a rien de propre à repasser, du coup. Je n’ai rien à faire monsieur, dis-je en le regardant droit dans les yeux.
– Tu pourrais au moins faire semblant dans ce cas, dit-il en me regardant de haut en bas.
Je rêve où il me reluque la, non, mais sérieux, il me mate sans gêne.
Je sais que je suis un beau métis au cheveu noir, mais merde, il pourrait être discret.
– Pourquoi me regardes-tu avec un regard aussi noir ? Me demande le blond.
– Je ne vois pas de quoi vous parlez, monsieur, répondis-je en mentant.
– Dis-moi la vérité où je te mets un rapport, dit-il d’un air mauvais.
– Vous m’avez maté comme un morceau de viande fraîche, lui dis-je le regard noir.
– Et c’est pour ça que tu sembles énervé, sache qu’ici, tu n’as pas ton mot à dire, dit-il en se rapprochant de moi, et si je veux te reluquer ou même te toucher, je me fais.
Il dit ça en venant placer sa main sur ma joue, il la caresse et je recule soudainement.
– Je ne suis pas une pute ou un vide trou, dis-je sur la défensive.
– Écoute, je ne cherche pas à tiré mon coup avec toi, je ne faisais que de te reluquer, car tu es vachement bien foutu.
Ah bon bah ça, je le savais, mais quand même, il pourrait être discret et ne pas forcement me le dire.
Maintenant, j’oserais plus être dos à lui.
– Bien une chose sur laquelle on est d’accord, dis-je pour répondre à ce qu’il a dit.
Son regard change et un rictus apparaît sur son visage.
– Ah oui, tu me trouves bien foutu, merci du compliment, dit-il alors que je me rends compte de la méprise.
– Je ne te trouve en aucun cas… Je voulais parler du fait que je ne tiens pas non plus à coucher avec toi.
Une sonnerie retentit dans la pièce, annonçant la fin du cycle d’une machine.
Je vais donc faire mon job et mets le tout à sécher avant d’en lancer une autre.
Alors que je configure les paramètres de la machine, je sens la main du gardien se poser sur ma fesse gauche, il la malaxe fortement et je lâche un juron avant de me retourner et de lui foutre mon poing au visage.
Il tombe et se cogne la tête sur le coin de la table.
Il ne bouge plus, la panique me prend, il est mort ? Non non non, pas ça.
Je viens me mettre à genoux pour voir s’il est vivant et je sens son pouls, il est régulier.
Je lâche un soupir de soulagement, sa tête ne saigne pas, il a juste une bosse assez conséquente au-dessus de son œil droit.
– Monsieur, réveillez-vous s’il vous plaît, allez, dis-je en le suppliant la peur au ventre de me faire prendre dans une telle situation.
J’en viens à lui foutre une claque et il reprend ses esprits, il me regarde puis porte sa main sur son front, exprimant une grimace de douleur.
– Tu m’as frappé la, sérieux, dit-il sur un ton qui n’est pas autoritaire, mais plutôt celui d’une personne surprise.
– Hmm. Vous m’avez quand même touché le cul, dis je pour me défendre.
Il me regarde puis baisse la tête.
– Tu as raison, excuse-moi, je n’aurais pas dû, dit-il.
Mais à quoi il joue la, sérieux, un coup il joue au caïd, puis il semble désolé.
Est-ce une façon de me piéger, après tout il n’est pas si horrible que ça physiquement, mais je n’aime pas être traité comme de la viande ?
– Tu sais, tu aurais plus de chance si tu étais moins brut dans ta façon d’agir, affirmé-je de façon mesquine.
– Je vois, bon, je dois y retourner sinon le chef va se demander ce que je fais, mais je reviendrais, dit-il en me regardant de haut en bas tout en se mordant la lèvre.
Je retourne à mon travail qui est vraiment long et chiant, mais c’est toujours mieux que rien.
Je pourrais être allongé dans ma cellule à regarder les briques du plafond, avant de commencer à parler à moi-même.
La journée est passée et nous sommes autorisés à rejoindre les douches pour nous laver.
C’est comme ça que ça fonctionne ici, ceux qui travaille se lavent en même temps, comme nous sommes qu’une minorité cela ne pose aucun problème pour nous surveiller.
Ensuite, on est autorisé à rejoindre la cafétéria qui est en général entièrement vide.
Une fois qu’on a fini, on nous ramène dans notre bloc où l’on peut soit se promener ou rejoindre notre lit.
La journée passe vite dans un sens qu’avec le schéma habituel.
– Suarez suit-moi, ordonne le garde de ce matin.
Je me lève de mon lit et le suis, il se dirige vers mon poste de travail et je commence à me demander si je n’ai pas fait une gaffe.
Il rentre dans la pièce où j’étais plutôt dans la journée et referme derrière moi.
– Pourquoi sommes-nous là ? Osé-je demander.
– Je ne sais pas trop, déjà excuse-moi de mon comportement de ce matin…
– Bon arrêté de revenir là-dessus, puis je ne vous comprends pas, vous jouez les brutes, puis vous semblez plus doux, vous me voulez quoi à la fin, m’énerver-je.
– T’avoir pour moi, voilà ce que veux.
– Et j’y gagne quoi ? demandé-je avec une idée en tête.
– Bah pour commencer tu auras droit a ça, dit-il en sortant sa queue de son pantalon, elle doit faire 17 cm peut-être plus.
– Mouais, tu oublies que ce n’est pas ça qu’il manque ici, que puis-je gagner que les autres n’ont pas ? lui expliqué-je plus clairement.
– Je vois, as-tu une idée en tête, propose-moi quelque chose, répond-il en se caressant devant moi
– Je veux prendre m douche sans les autres détenus, mais je veux aussi que tu apportes de la pizza, ça fait un moment que j’en ai envie, dis-je en venant m’agenouiller devant lui.
– Ce n’est pas un problème.
J’attrape son sexe de ma main gauche et commence à le branler, il se lèche les lèvres et me regarde droit dans les yeux.
Je viens ensuite passer ma langue sur le bout de sa queue, je reproduis le geste plusieurs fois, il bande déjà bien, sa queue est raide.
Je le prends finalement en bouche, faisant de longs va-et-vient, il gémit et pose sa main sur ma tête pour me donner la cadence, il pousse sa queue au fond de ma gorge plusieurs fois avant de la sortir de ma cavité buccale.
Son sexe, recouvert de salive, vient claquer quelques fois sur ma joue.
– Met toi a poil beau gosse, me demande-t-il en faisant comme moi.
Je retire mes vêtements et m’appuie contre la table en écartant les jambes.
– Putain ce cul, il est bandant, rond et ferme, dit-il en me malaxant le cul.
Il tient mes fesses dans chacune de ses mains, je sens sa langue se frayer un chemin jusqu’à mon intimité, sa langue passe dessus créant en moi quelques frissons.
Je sens ensuite un de ses doigts entrés, la sensation est un peu étrange, mais on s’y habitue vite, il rentre un deuxième doigt et fait des mouvements circulaires pour me dilater.
Je lâche un gémissement quand il rentre un troisième doigt qui, je le sens, m’élargit bien.
– Tu peux y aller maintenant, je pourrais te recevoir, lui dis-je alors qu’il se redresse et vient se coller à moi.
Il frotte son sexe contre mes fesses avant de l’appuyer contre mon trou, doucement il entre en moi et je serre les poings fortement pour contenir la douleur.
Je sens ses couilles contre mes fesses, signe qu’il est entré entièrement, il ne bouge pas trop me laissant le temps de m’y faire.
Après quelques minutes, je bouge mon cul contre lui, il comprend qu’il peut y aller et s’en donne à cœur joie.
Il entame de long va et vient en moi, enfonçant son sexe au fond de moi pour le ressortir entièrement et de recommencer.
Je sens la chaleur montée en moi, ainsi que le plaisir, je lâche quelques gémissements sonores à chaque assaut de son sexe.
– T’aimes ma bite hein, allez, dit le que tu l’aimes, me dit-il en claquant mon cul avec sa main.
– mm plus que tout, oui… Vas-y. Va au fond, awwnnn, gémis-je  la tête jetée en arrière.
Il m’incite à me retourner et il me soulève sur la table avant d’attraper mes jambes et de les écarter.
Il entre son sexe à nouveau en moi et y va à fond, je sens ses coups entrer en moi et m’élargir de plus en plus, mes gémissements reprennent de plus belle, je ne les contrôle pas.
Il vient m’embrasser doucement dans un baiser fiévreux, je lui réponds entre deux soupirs, sa langue rejoint vite la mienne et une valse se met en marche.
Ses coups se font plus lents, mais toujours aussi profonds, sa peau claque contre la mienne tandis que nos corps sont en sueur.
Je viens prendre mon sexe en main et commence à me branler, ma tête jetée en arrière avec les yeux clos, je tente de ressentir chacune des sensations que je ressens.
Sa main posée sur ma peau et qui maintient mes jambes écartées, sa queue qui me baise le cul, toutes ses sensations me rendent dingue.
Sans oublier son regard qui scrute mon corps, je le sens, et ce, sans le voir.
Sa queue continue de rentrer en moi et sortir aussi facilement, faut dire que je suis bien ouvert à présent, et il s’en amuse.
– Aaaahh oui encore la, gémis-je quand il percuta ma prostate créant en moi une vague de plaisirs, suivie rapidement par d’autres toutes aussi puissantes.
Mes gémissements se firent plus rapides, je sentais la fin approchée, je me branlais vite excité et comblé.
– MMmm, je finis par jouir sur mon torse en plusieurs jets puissants, j’avais même réussi à m’en envoyer sur le visage, je viens le récupérer avec mes doigts avant de le goûter sous le regard perçant de mon partenaire.
– Oh ou tu me donnes encore plus envie, la, dit-il en continuant ses coups, mais de façon plus rapide.
Il finit par jouir en moi en venant m’embrasser, je sentais sa queue répandre son jus en moi, il se retira et je sentis son jus coulé par mon orifice entre mes fesses.
– On recommence, demandé-je avec un air coquin.

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Autres histoires de l'auteur : Baise en prison | Travail d'intérêt généralUn prof peu banal

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