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HISTOIRE

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Leçon de biologie

Cette histoire est ce que tu voudras qu’elle soit. Probablement réelle, sûrement fantasmée.

Premièrement j’aurai ma terminale. Et ça, c’est un gros plus à 18 ans. J’ai redoublé l’année dernière, car mon père est décédé subitement au moment des examens. Je n’ai pas eu mon bac et impossible d’étudier pour les rattrapages.
Ma deuxième terminale commença assez mal, probablement un vent de rébellion, mais je faisais tout pour ne pas étudier. Et en terminale S ça ne pardonne pas. Au bout de deux mois de cours ma mère avait décidé que tout seul je n’y arriverais pas et que j’avais besoin d’aide. Elle s’était donc inscrite sur un site de cours particuliers.
Et apparemment j’avais décroché le gros lot.
Nathan viendrait le lendemain pour le premier cours. Un samedi ! Comme si je n’avais que ça à faire. Il avait 23 ans et une flopée de masters en poche si j’ai bien compris.
J’avais donc décidé que premièrement je n’avais pas besoin de lui et que secundo j’allais tout faire pour qu’il parte.
La première phase de mon plan consistait à ramener la plus belle fille chez moi la veille. Je décidais donc de sortir avec des potes dans le centre. Je n’ai jamais eu de mal à ramener. J’avais un petit côté bas boy, je courrais et faisait de l’athlétisme de haut niveau. Ce qui me valait quelques muscles secs. Je n’étais pas petit, pas grand non plus. 1m75. Cheveux bruns, mi-longs et des yeux verts.
Ce soir-là je n’eus aucun mal à ramener une jolie blonde. Je la pris dans toutes les positions une bonne partie de la nuit et remplis deux capotes que je balançais à travers la pièce. Je m’endormis comme un loir.
Au réveil j’étais seul dans mon lit. 9 h 50. Merde… L’autre arrivait dans 10 minutes. Je fonçais sous la douche. J’en sortais au moment où il sonnait. J’attrapais le premier short que j’avais sous la main, tant pis pour le caleçon. Un tee-shirt et j’étais devant la porte.
J’ouvris. Un grand mec se tenait devant la porte. Il souriait. J’avais envie de lui faire passer son sourire. Par contre il était grand, très grand. A vue d’œil j’aurais dit 1m95 environ. Blond, une coupe à la mode. Mais un air de geek gentil.
Je bloquais une seconde sur lui, il réveillait quelque chose en moi, une sorte de pulsion que je ne savais pas identifier.
– Salut… euh, je lui dis.
À vrai dire je ne me souvenais plus de son nom. Et ça m’était égal.
– Nathan, je suis ton prof particulier si je ne me trompe pas.
Il avait une voix grave, lente comme s’il avait tout son temps.
– Oui bien sûr. Entre.
J’ai cru pendant une seconde qu’il ne passerait pas la porte d’entrée. Mais il entra sans soucis. Je l’emmenais dans ma chambre au premier. Je n’entendais personne, ma mère avait sûrement dû partir.
En entrant dans ma chambre, on était direct frappé par l’odeur de sexe. On ne pouvait pas s’y tromper. Je pense qu’il était gêné et ça me faisait un peu kiffer je l’avoue.
– Je vais aérer, tu peux t’asseoir au bureau.
J’ouvris la fenêtre et profitais deux secondes de l’air frais qui s’en échappa. Je me retournais pour venir près de lui et vit qu’il était rouge jusqu’aux oreilles.
– Tu veux faire cours debout ? le raillais-je.
– Euh… non ce n’est pas ça.
Il avait le regard fixé sur la chaise. Je ne comprenais pas ce qui pouvait le mettre dans un état pareil. Je m’approchais dans son dos et je compris. Une des capotes de la veille avait atterri sur la chaise. Oups… Je les avais complètement oubliées. Je lui tapais sur l’épaule et attrapais la capote en la faisant passer près de son visage.
– Oh oui, c’était une très bonne soirée hier, lui dis-je en arborant un grand sourire. Fais attention il y en a une autre qui traîne quelque part, ça serait dommage qui tu tombes sur elles aussi…
Je jetais ma capote, attrapais mes cours et m’assis au bureau. Il lui fallut quelques secondes avant d’arriver à se mettre en mouvement. Je voyais qu’il était troublé. Je fantasmerais surement si je vous disais que je devinais une bosse à son entrejambe, mais il me semblait que ça avait pris un peu de volume.
– On peut commencer par des maths, je lui proposais. Ou alors de la biologie comme tu préfères.
Le rouge lui revint en pleine face.
- Euh on va commencer par les maths. Je pensais commencer par revoir les bases des dérivées et attaquer les irréels.
On procéda en conséquence et le cours commença. Plus il avançait dans ses explications plus je me rendais compte à quel point c’était limpide. Et envoûtant. Oui, il m’envoûtait avec sa belle voix. Je discernais quelques muscles sous son tee-shirt. Et d’un coup l’envie de tout lui arracher me traversa l’esprit.
Mais bon, je voulais rester sur mon objectif premier qui était de le faire partir. Qu’est-ce qui aurait pu le mettre mal à l’aise au point de ne pas vouloir revenir ? J’échafaudais un petit plan en tête pendant qu’il m’expliquait pourquoi je n’avais pas trouvé la variable exacte.
– Bon ça fait une heure qu’on bosse. Il nous reste encore quasi 2 h au total. Tu n’as pas envie qu’on se fasse une petite pause ? Viens, on va se prendre un coca.
– Mais on n’a pas fini l’exercice et…
– Oh aller il sera toujours là quand on reviendra hein !
Je ne lui laissais pas le choix et attrape son bras pour l’emmener en bas. Je remplis deux verres de coca et lui en tendis un. Je me dirigeais ensuite vers le salon quand, faisant mine d’oublier quelque chose dans la cuisine, je me retournais d’un coup, mon verre bien en avant. Il me suivait de près et le verre se renversa sur mon tee-shirt et sur son pantalon.
– Merde je suis désolé, me dit-il.
– Oh mec, t’es trempé. Et moi aussi d’ailleurs, lui dis-je en retirant mon tee-shirt. Enlève ton pantalon je vais aller le mettre en machine de suite. Je te filerai un jogging en attendant. Je vais chercher une serpillère pour essuyer par terre.
Il retira son pantalon et rougis de nouveau pour la troisième fois. Je le laissais planter là et allais vite chercher une serpillère. Je me penchai pour essuyer en lui exposant mon cul. Après ce que j’avais vu, un grand dadet comme lui ne pouvait qu’y être sensible. J’en profitais pour me dandiner un peu. Je sentais son regard brûlant sur moi. Ça y était, il était tombé dans mon piège, je n’avais plus qu’à me retourner et lui crier dessus pour voyeurisme ! Et qu’il ne devait plus revenir.
Mais en me retournant, je tombais nez à nez avec son caleçon qui était vraiment bien rempli de ce que je pouvais voir. Une belle barre coupait son caleçon en deux, et lui il était rouge de honte. Et pourtant je le trouvais beau, magnifique là devant moi. Je ne sais pas pourquoi, mais j’avançais la main et la posa sur sa bite. C’était chaud, ça palpitait. Magnifique.
La première bite que je touchais. Autre que la mienne bien sûr. Et d’une certaine manière ça me plaisait.
– Et quoi là, on est excité mon Nathan ?
– Euh oui… C’est que de ces temps-ci ça va vite…
– Ah oui ? Pourquoi ça ? Faut te trouver quelqu’un pour te vider dans ce cas !
Je lui disais ça en attrapant ses couilles. Il bascula la tête en arrière en poussant un petit grognement avant de répondre.
– Ben y’a personne qui s’intéresse à moi, puis les puceaux tout le monde s’en fout.
– Ben Nathan, t’as jamais trempé ton biscuit ?
– Non…
On sentait la frustration mêlée à de la honte dans cette réponse. Il était triste. Et d’une certaine manière je commençais à être traité pour lui aussi.
– On va arranger ça, viens avec moi.
Je l’attrapais par la main et l’emmenais vers le canapé. Je le fis s’asseoir et m’assis à sa gauche.
Je lui retirais son tee-shirt puis son caleçon et je me désapais à sa suite. Il avait une belle bite, qu’il entretenait vu la touffe bien rasée, blonde comme ses cheveux. Son gland était recouvert d’un beau prépuce d’où s’écoulait une belle goutte de liquide séminal. Sa bite était à la hauteur du personnage, grande.
Je la pris doucement en main et commençais un lent va-et-vient. Son gland se découvrait doucement à chaque coup de poignet.
Du coin de l’œil je vis qu’il matait ma bite. Il avait l’air d’avoir envie le grand dadet.
– Tu sais, je suis tout à toi aussi, faut pas avoir peur avec moi, tu peux tout faire.
– Ah… oui… merci
Toujours aussi timide. Je rigolais un peu intérieurement, mais il m’envoûtait tellement.
Sa main glissa timidement vers ma bite. D’abord il me décalotta tout doucement puis entrepris des mouvements plus rapides. Il me branlait carrément. Je penchais la tête sur le côté et je vis qu’il me regardait dans les yeux. Une lueur étincelante, bouillante, excitante. D’un coup il m’embrassa d’un baiser langoureux, digne des meilleurs pornos. C’était l’extase. Je pensais arriver au point de non-retour quand il arrêta sa branle et se recula un peu, mettant fin au baiser.
– Non pas tout de suite, j’en n’ai pas fini avec toi.
Il avait dit ça avec un air un peu dominateur, un air que je ne lui connaissais pas.
Il se releva et vint se placer entre mes jambes. Il renifla ma bite, et d’un coup, il la prit en entier dans sa bouche. Je croyais que j’allais éjaculer sur le coup, mais le plaisir prit le dessus et j’arrivai à me contrôler. Il suçait bien, il jouait avec sa langue sur le frein, sur le gland. C’était moite, c’était chaud, c’était une explosion de sensations. Jamais une fille ne m’avait sucé comme ça. Je lui aurais directement donné son master en fellation, pour ajouter à tous les autres qu’il possédait déjà.
Puis ce fut là que les premiers questionnements arrivèrent. Je sentis quelque chose, de fin et dur, progressant lentement dans mon sillon interfessier vers ma rondelle. Un doigt. Un doigt que me massait le cul. Je n’avais pas réfléchi à ce qui se passerait en fait. Et maintenant c’était trop tard pour faire marche arrière. Puis le doigt s’insinua doucement en moi, comme s’il avait toujours été là. Il toucha un point sensible qui me fit monter au plafond. Ma bite toujours au fond de sa gorge, je suis sur que quelques gouttes de spermes s’en étaient échappées.
Il se recula, toujours son doigt bien au fond de moi, se lécha les babines. Et il me dit avec un sourire carnassier :
– Deuxième heure de cours, leçon de biologie. Partie 1 les organes reproducteurs masculins et ses annexes. La prostate, dit-il en appuyant sur ma prostate qui me fit sauter au plafond une seconde fois.
Il mit mes jambes sur ses épaules, me releva les fesses. Et il posa sa langue sur ma rondelle. Ça aussi c’était magique. Le genre de chose qui nous a manqué toute notre vie sans qu’on ne le sache jamais. Sa langue se frayait un chemin en moi tout doucement, progressant, se repliant, m’humidifiant le fondement. C’était terrible, et tout doucement je m’ouvrais à ses assauts répétés. Plus sa langue rentrait, plus j’étais en extase.
Après dix minutes de ce traitement, il me sortit sa langue de ma rondelle. Il se releva, et vint m’embrasser, mes jambes toujours sur ses épaules. Je sentis sa barre d’acier venir se loger contre ma rondelle. Il attrapa mes bras et les mit au-dessus de ma tête, tout en continuant à m’embrasser. Il fit glisser son gourdin dans mon sillon plusieurs fois. Moi je n’avais qu’une envie qu’il l’utilise pour remplacer sa langue. Qu’il vienne en moi. Qu’il devienne un adulte, qu’il ne soit plus puceau. Même si pour le moment j’avais l’impression que les rôles s’inversaient.
Il joua des hanches, et d’un coup, je sentis son gland sur ma rondelle. Il devait mouiller beaucoup, car il était trempé. Doucement il se balança d’avant en arrière et son gland commença à coloniser mon intérieur.
Il progressa rapidement, sans douleur, comme si c’était sa place depuis toujours, comme s’il comblait un manque. Et soudain deux couilles tapèrent sur mon cul. Il était en moi, en entier, sans capote. Purement et simplement. Et pourtant tellement plus qu’un mec à la conquête d’un cul.
Et là il commença les va et viens. Je n’imaginais pas sa bite aussi longue, mais là j’en prenais toute la mesure. Il allait et venait en moi, m’embrassant en même temps et me tenant les bras. C’était tellement bon, rien à voir avec mon coup miteux de la veille. Du pur bonheur.
Il allait vite, entrait et ressortait. À un moment il se releva pour voir sa bite coulisser en moi. Je crois que s’il avait pu faire une photo il l’aurait fait. Il râlait de plus en plus, il grognait en tapant le fond de mon cul. Et moi je grognais à chaque fois qu’il touchait ma prostate. Sa bite était parfaite, et j’imaginais son prépuce couvrant et découvrant son gland au rythme des va et viens contre ma prostate.
Soudain il s’affala sur moi et m’embrassa, sa langue venant tourbillonner en moi de plus en plus rapidement. Ses coups de bite se firent également plus puissants, plus précis. Plus rapides. L’extase était trop forte, et sans même me toucher, j’explosais sur mon torse, lui me tambourinant toujours le cul.
Et dans un dernier coup de boutoir, il s’enfonça le plus profondément en moi et largua tout son jus. Je sentais sa bite palpiter en moi et larguer sa semence bien chaude.
Dans un dernier soubresaut, il se retira de moi. Il recula un peu et me dit :
– Fais-le ressortir, c’est la partie que je préfère dans les pornos. J’ai toujours voulu le voir en vrai.
Et pour lui faire plaisir, je me concentrais pour expulser son sperme. Je crois que ça l’excita un peu, car il s’abaissa pour le lécher alors qu’il sortait doucement de mon cul. Moi j’en profitais pour passer une main dans ses cheveux.
Puis il me releva, m’embrassa pour me faire partager son sperme. Et aussi vite que le moment était apparu, il disparut.
– Aller file t’habiller, on a des exercices de maths qui nous attendent.
Je ne sais toujours pas si c’est moi qui aie joué de lui ou si c’est lui qui s’est joué de moi. Mais j’ai aimé, et j’espère sincèrement qu’il reviendra une prochaine fois finalement. Je sens qu’on n’a pas fini de jouer ensemble.

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