Tout a commencé cette première année de formation par alternance.
C’était ma première année d’internat et je me demandais comment allait se passer cette cohabitation avec d’autres mecs.
Nous étions 5 dans la chambre.
Une part de moi était grave excité à l’idée de pouvoir apercevoir d’aussi près des mecs en boxer et tous les soirs en plus. Mais je n’aurai jamais pensé que cela tournerait comme cela.
Après quelques semaines de coloc dans cette chambre d’internat, tout le monde s’entendait bien et plaisantait sur tout et rien. Mais au bout d’un moment, des paris et des gages ont commencé à apparaitre. Ce n’était rien de bien méchants justes des incitations à se dénuder juste pour quelques secondes.
Mais cela me laissait juste le temps d’apercevoir assez de choses pour me les remémorer dans mon lit plus tard.
Il y en avait 2 avec qui je m’entendais plus et qui me plaisaient carrément plus que les 2 autres je le reconnais.
Je leur donnerais le nom de Stéphane et Lucas.
Peu de temps après, je ne saurais pas dire comment ni pourquoi, mais un jeu de rôle s’est installé dans la chambre. Le but était de simuler des rapports sexuels sur l’un d’entre nous sans qu’on s’y attende.
Par exemple si l’un d’entre nous était allongé sur le ventre, l’un de nous pouvait d’un seul coup se jeter sur lui et simuler un acte sexuel.
Puis ça s’est amplifié quand Lucas a choisi de lui-même de se mettre à 4 pattes pour simuler qu’il était partant pour se faire sodomiser.
Dieux merci, à ce moment-là, c’était moi dernière lui, car j’aurais eu du mal à dissimuler que je bandai comme un fou dans mon boxer. Je préférais donc rester dans mes draps et admirer le spectacle.
Ce second plan de jeux a duré plusieurs semaines, je vais donc en abréger les passages, mais ils sont tous plus ou moins similaires.
Le seul truc que j’avais remarqué, c’est que c’est Lucas qui aimait jouer le plus.
Puis un jour, les simulations ont cessés pour laisser place un autre mode. « La tendresse ».
C est à dire que Lucas ne se mettait plus à 4 pattes, mais avait plus tendance à balader ses mains sur différentes parties de nos corps. Des caresses par-ci, par-là, des mains sur la cuisse, des petites mains au cul, mais évidemment tout en simulant un jeu. Mais je pense que cette partie a probablement freiné nos 2 autres colocs de chambre. Stéphane lui se laissait faire ouvertement quand à moi cela ne me gênait pas, mais pour donner le change je ne réagissais comme lui que quand nous étions seuls.
Je pense que c’est d’ailleurs pour ça que Lucas a fini par se rabattre en particulier sur moi ce qui ne me gênait pas bien au contraire, mais ne voulant pas me faire griller je reproduisais juste ce qu’il m’avait fait avant.
Un soir Lucas eut l’idée étrange de vouloir dormir avec l’un d’entre nous.
Il s’est alors glissé dans le lit de Stéphane, mais n’est pas resté. Prétendant une excuse bidon pour aller dans le lit d’un autre.
Installé dans un nouveau lit il est resté un bon quart d’heure à reproduire nos jeux habituels.
Je bandais comme un fou dans mon lit. Je les imaginais sous la couette.
Leurs culs en boxer surtout celui de Lucas qui le moulait à la perfection. Ses mains baladeuses qui se permettaient de toucher ce que moi jamais je n’aurais osé toucher. J’imaginais aussi son sexe frottant contre les…
Mais soudain sur un ton de plaisanterie évidemment notre compagnon de chambre dit à Lucas d’arrêter et de ne pas le toucher et de retourner dans son lit. Bien sûr aucun mal aise, c’était toujours sous la plaisanterie.
Et une chose me traversait l’esprit. Pourquoi est-ce que j’ai pris le lit du dessus ? Sans le vouloir et sans le savoir, je me suis privé de ce genre de moment, car si j’avais été en bas, c’est dans mon lit qu’il serait venu, et croyez-moi, je ne lui aurais pas dit de s’en aller.
Je me réconfortais en me disant que si c’était moi qu’il avait choisi il aurait senti ma queue durcir et ça l’aurait peut-être repoussé, car au final pour lui cela était peut-être juste un jeu.
Au bout de quelques jours, quelque passages dans le lit des gars du bas et plusieurs refus de la part de notre compagnon de chambre je me suis dis que si ce pas moi qui le rejoins jamais je ne pourrais avoir ça. J’ai donc cherché une occasion, un moyen de le rejoindre en bas, mais timide comme je suis je n’osais pas m’imposer dans son lit comme il le faisait. Et d’un seul coup après s’être fait virer d’un lit il demande pour plaisanter.
« Vous êtes tous naze ! personne ne veut dormir avec moi ?? !!! »
C’était mon occasion qui se présenterait sur un plateau.
Ni une ni deux, je lui répondis : Si, moi je veux bien lol !
Il me répondit OK, mais toi tu es dans le lit du haut, donc, viens, c’est toi qui descends !!!
Il n’a pas eu besoin de se faire prier.
Arrivé en bas, on s’installe donc tous les 2 dans son lit. (je rappelle qu’évidemment ce sont des lits une place bien sûr)
J’étais excité comme un fou, mais je n’osais pas bouger et croisais les doigts pour pas qu’il sente mon sexe durcir dans mon boxer. S’il avait l’idée de simuler un rapport, je n’aurais pu rien faire pour cacher mon érection.
Mais au lieu de ça, peut-être parce qu’il était tard, il n’a pas choisi de simuler d’acte de sodomie ou autre acte cru comme il aimait jouer.
Une main est venue se poser en douceur juste en dessous de mes fesses. Des frissons me sont venus d’un coup.
On était l’un en face de l’autre, ventre contre ventre, tout en gardant de mon côté un peu espace pour pas le toucher avec ma bite qui était droite comme un i.
Je lui caressais le bas du dos délicatement simulant des papouilles. Puis je sentis sa main remonter au niveau de mes fesses, les pose dessus, mais il ne bougea plus. Il n’osa peut-être pas me caresser à cet endroit de peur de me faire fuir. Je fis pareil.
J’ai donc descendu ma main au niveau de ses fesses bien rebondies, mais je ne le caressai pas.
Je sentais la chaleur de son cul à travers son boxer.
J’adorais cette matière de tissus en plus. En synthétique si doux qu’on a l’impression de touchera peau directement.
Bon je sais ce que vous allez penser, certains culs ne sont très loin d’être aussi doux que du tissu mdr.
Après plusieurs longues minutes, je sentais qu’il s’endormait et je commençais également à somnoler. Que faire ?? Rester et profiter encore ou aller dans mon lit ??
J’avais dans mes bras un mec qui me plaisait, il avait sa main sur mon cul et j’avais ma main sur le sien. Sans personne pour voir ce qu’on faisait ou pour nous poser des questions. Bref le kif quoi.
Mais la raison m’a rattrapé, j’ai rejoint mon lit, car je ne pouvais pas prendre le risque que l’on nous réveille comme ça le lendemain.
C’est donc à contrecœur que je me suis dégagé, abandonnant ce magnifique cul pour rejoindre mon lit.
Mais j’étais déterminé à poursuivre quelque chose. Je voulais absolument savoir s’il recommencerait, et c’est là que je me suis également dit : il faut absolument que l’on soit vraiment seul et le seul moyen c’est de l’inviter à passer un weekend à la maison.
Cette histoire n’est pas finie.
Elle a une suite. Si vous êtes OK, je serais content de vous écrire la suite très prochainement.
Désolé si c’est un peu long lol, j’espère qu’elle vous a plu quand même, et fait rêver quelques scènes. Je m’excuse d’avance pour les éventuelles fautes de frappe.
MM 95
Grosgee@outlook.fr