Histoire : Le jour J était arrivé. Je m’étais réservé des vacances au Portugal avec ma femme et mes 2 enfants, et j’étais stressé comme jamais à l’idée de rater l’avion, ou d’oublier ma brosse à dents. Arrivés à Roissy et soucieux de nous débarrasser des formalités au plus vite, nous avons enregistré nos bagages puis nous nous sommes dirigés vers la sécurité.
Je prends assez souvent l’avion pour savoir à quoi m’en tenir : je fais toujours attention à bien enlever montre, ceintures, monnaie dans les poches afin de ne pas sonner au portique. Je laisse ma femme et mes enfants passer en premier. Aucun d’eux ne sonne. Je me compose alors un air sûr de moi, et avance sous l’appareil. Retentit alors un long bip. L’agent m’explique qu’un scanner corporel est en service, et m’invite à rentrer dedans. C’est une grande cabine en verre avec des traces au sol indiquant la position des pieds. Je me place donc sur les marques et l’agent appuie sur un bouton.
Il me demande alors de sortir de la cabine et de me replacer pour la palpation, les jambes et les bras bien écartés. Il enfile des gants en latex bleu, et commence à me palper minutieusement les pectoraux, me tâte les abdos… Il fouille chaque centimètre de mon torse musclé à travers mon tee-shirt et ses gants en latex. Ma femme, ne voyant pas que je bande comme pas possible, se moque de ma mauvaise fortune. L’agent me redemande d’écarter les jambes, et s’attaque à ma taille. Il passe sa main gantée tout autour de ma ceinture, entre le pantalon et le boxer. Quand il frôle mon pénis en érection, il comprend tout de suite ce qui ne va pas. Il se met alors à tâter avec application mes testicules gonflés à bloc. Je n’en mène pas large, et fais une mine déconfite, mais intérieurement, je me surprends à ressentir un certain plaisir à me faire fouiller.
La palpation terminée, l’agent me dit en souriant : « Bon alors ce n’était pas si terrible. Je vous fais juste le test anti-explosifs et vous pourrez rejoindre votre famille. » Il passe un échantillon en papier sur mes mains puis le place dans une petite machine. Dix secondes plus tard, il revient vers moi : « Alors le test est positif, suivez-moi. Ne vous inquiétez pas c’est une procédure normale » Ma femme m’interroge du regard, et je lui fais signe d’un air inquiet que tout va bien.
Muni de son badge, il m’emmène dans une salle sans fenêtre. Il me demande alors d’enlever mes chaussures. Tant que c’est que les chaussures… Ceci fait, il me fait retirer mon tee-shirt. Puis pointe du doigt mon pantalon. Je proteste, et demande à voir son supérieur. Il me répond que si je fais le difficile il peut aussi fouiller ma femme. Je râle, mais sous la contrainte, j’enlève mon jean et dévoile alors un boxer bleu moulant qui épouse parfaitement tous les contours de mon appareil génital, tendu comme un arc. Il me demande « OK ? » Je lui réponds que je consens à tout. Il me fait alors remettre en position pour une palpation, mais cette fois, me prend en photo sous tous les angles.
Il pose l’appareil photo et, avant même de m’en rendre compte, mon boxer est baissé et je sens 2 doigts bien lubrifiés rentrer dans mon anus. Je pousse un petit cri de surprise, puis je suis tétanisé, incapable de me débattre. Je sens les doigts rentrer en moi, atteindre la petite noisette de ma prostate. Les doigts en font le tour, la titille, et très vite, je perds les pédales. Je respire avec bruit et tous mes muscles se tendent. Le plaisir devient insoutenable, et alors qu’il continue à titiller mon point P, je n’en peux plus, je hurle de plaisir.
Il me laisse le temps de me remettre de mes émotions, puis dézippe sa braguette et rentre son engin énorme dans ma bouche. De sa main, il tient ma tête contre son bassin et m’impose son rythme. J’essaie de me détourner pour reprendre ma respiration, mais sa main me tient fermement contre lui et m’oblige à continuer de le pomper. Ses mouvements sont amples, et me forcent à accueillir son pénis jusque dans ma gorge. Pendant qu’il me fait faire des va-et-vient de plus en plus vite, j’explore son phallus avec ma langue. Soudain, il se met à gémir, et alors que son appareil est au plus profond de ma gorge, il éjacule une quantité énorme de sperme qui coule déjà dans mon œsophage.
L’agent profite de mon état de choc pour passer une corde avec un nœud coulant autour de mon cou. Il veut me faire agenouiller sur une table basse. Je fais mine de refuser, mais il tire sur la corde, et manquant d’air, je finis par lui obéir. Il se sert alors d’une grosse noix de lubrifiant et l’étale généreusement à l’entrée de mon anus. Je ne peux pas m’échapper. D’ailleurs je n’ai même pas le temps d’y penser que le mec enfonce profondément son énorme pénis dans mon anus. Chaque coup de reins m’arrache un cri de douleur et de plaisir. Je n’ai pas le choix, il me maintient solidement. L’agent de sécurité, les veines gonflées, les joues rouges laisse échapper des mugissements de plaisir. Il me rentre dedans de plus en plus violemment. Soudain, je le sens se crisper, lancer un cri rauque, et c’est l’explosion en moi. Je sens son sperme chaud se répandre dans mes tripes. Une fois le liquide gluant inséminé, l’agent retire son dard et relâche la bride.
Il voit à quel point je suis excité, et m’attache avec ses menottes à une chaise. Cela fait une semaine que je ne me suis pas vidangé, et, vu mon état d’excitation, je meurs d’envie de spermer. Il me masturbe un peu, avec ses gants en latex, puis sort de sa poche un appareil. Il place des électrodes sur mon gland, mon scrotum et mes tétons, branche le tout, et pousse un bouton. Je ressens alors une décharge traverser mes organes génitaux. C’est jouissif, et une petite goutte de liquide séminal sort de mon pénis. Il augmente le niveau des décharges au fur et à mesure, et je me mets à baver de plaisir. Pour me faire taire, l’agent maintient contre ma bouche son gant bleu, m’empêchant de respirer à mon aise. Pendant ce temps, il augmente coup sur coup les décharges, et me rend fou. Je voudrais me toucher, mais mes mains sont menottées au siège. Je lui lance un regard suppliant et il augmente encore l’intensité des décharges. Je suis sur le point d’éjaculer, et alors que je ne peux plus me retenir, il place mon boxer bleu sous mon pénis. J’essaie d’arrêter l’éjaculation, mais très vite mon sperme est propulsé sur mon boxer, souillé par l’importante dose de liquide visqueux que je viens d’expulser. De ses doigts experts, il me fait ouvrir la bouche et lécher mon foutre. Quand il me laisse enfin sortir, j’ai la bouche et le boxer pleins de sperme, le cul défoncé, et j’ai été fouillé de fond en comble.
Je retrouve ma femme tout sourire, et plus tard, dans l’avion, je retrouverai dans mon sac la paire de gants en latex dont il s’est servi pour me dominer. Depuis, je garde toujours un objet métallique sur moi pour passer les portiques, en espérant retrouver un jour un agent de sécurité aussi tatillon.
Valentin.pm
pmval@yopmail.com
Autres histoires de l'auteur : Fouille corporelle à l’aéroport