Tout d’abord, je m’appelle Victor, j’ai 21 ans, je mesure 1m75, je suis brun et plutôt mince. Cette histoire s’est passée cet été. J’avais rencontré un garçon, Julien, avec qui je passais la plupart de mes soirées, à se parler et à baiser. Il était plus grand que moi, et ça j’adorais. Ce soir-là, il avait décidé de me présenter à ses potes, dans un bar. Peu avant minuit, on décide de rentrer. Avec l’alcool et la chaleur qui n’aident pas, on ne peut s’empêcher de s’embrasser à chaque coin de rue, s’il n’y a pas trop de passage. Arrivé au pied de son immeuble, il me plaque contre le mur et recommence à me rouler de bonnes pelles. Il y a un peu de passage, alors on arrête de s’embrasser dès que quelqu’un s’approche. Mais finalement on recommence, je vois au loin des connaissances, mais je m’en fous, je ne peux pas quitter ses lèvres. Je sens sa queue durcir dans son pantalon, instinctivement j’y pose ma main et commence à le branler. Il soupire de plaisir, sourit. Il pose ses mains sur mes fesses et commence à les masser. On se fait du bien, mais on se dit que ce n’est pas vraiment raisonnable pour deux garçons de faire ce qu’on était en train de faire dans la rue, alors il m’entraîne dans le hall de son immeuble. A peine la porte fermée, sans que la lumière ne soit allumée et juste éclairés par les lumières de la rue, il revient vers mes lèvres, me masse les fesses d’une main et vient passer sa main sous mon t-shirt pour me caresser les tétons avec l’autre. Il connaît mes points faibles, il lâche mes lèvres et vient d’embrasser le cou, me fait des suçons. Je gémis de plus en plus, il aime ça et redouble d’effort.
-Suce moi… je lui chuchote, ma queue étant devenue trop à l’étroit dans mon jean.
Il se met à genoux, défait rapidement mes boutons, et baisse les deux couches de tissu qui le séparait de ma bite. Je bande déjà fort, et il commence à me lécher. Je pose mes mains sur sa tête pour lui enfoncer ma queue directement dans sa bouche. La chaleur et l’humidité de sa bouche me font gémir tellement je suis excité, il sait y faire et accueille bien mes 18cm en fond de gorge. Il continue à jouer avec mes tétons, et j’ai l’impression d’atteindre le 7ème ciel. Je deviens dingue et lui dis que je vais juter s’il continue. Il se redresse et on s’embrasse à nouveau. Je passe ma tête sous son t-shirt pour passer ma langue et embrasser ses tétons, ses abdos, pendant que lui passe sa main sur mes fesses. Il me donne son doigt à lécher puis vient le frotter contre mon trou. Encore une fois, l’alcool aide et il rentre directement son doigt dans mon cul, sans qu’il y ait résistance. Afin de ne pas trop gémir, je m’acharne sur ses tétons, les lui mordille, les lèche, ce qui a pour effet de le faire soupirer presque bestialement, de me doigter encore plus vite.
-Allez penche-toi contre le mur maintenant, je veux m’occuper de ton cul plus en profondeur, dit-il en me retirant son doigt.
Ni une ni deux je me penche contre le mur, cul tendu, car j’adore quand il me parle de cette façon un peu dominante. Je l’entends ouvrir un préservatif, et l’enfiler sur ses 18cm. Il se met à genoux et se met à me lécher le cul, tout en me donnant quelques fessées. Je ne peux pas m’empêcher de gémir comme une petite lope, ce qui semble l’exciter car il met plus d’ardeur dans ce qu’il est en train de me faire.
-Prends-moi Julien… prends mon cul…
Il se relève et vient m’enfiler sa queue dans le cul. Une fois la douleur passée, je commence à gémir. Je sens ses mains me tenir par les hanches, et sa queue aller et venir dans mon cul. Le fait qu’à tout moment quelqu’un puisse rentrer dans le hall et nous surprendre m’excite encore plus, et je sens que je n’ai jamais autant pris mon pied en tant que passif que maintenant. Il me tire la tête en arrière en m’agrippant les cheveux et me chuchote :
-Ton cul putain il est toujours aussi bon… je m’en lasse pas… dis que t’aimes, dis que t’aimes te faire prendre contre un mur dans mon hall…
-O… oui… t’arrête pas j’aime trop ta queue hm… je la veux tout le temps peu importe où on est…
Il m’agrippe le cou et me l’embrasse, recommence à faire quelques suçons pour marquer son territoire. Je l’entends accélérer ses coups de rein, ma bite est en feu à force d’être branlée, il grogne, me mordille le cou. Je ne peux plus me retenir et jute, dans ma main et contre le mur. Lui éjacule dans la capote dans un râle. On reste dans cette position, pour se remettre de nos émotions, essoufflés. Il se retire de moi, retire la capote et on se rhabille. Encore une fois on est chacun attiré par les lèvres de l’autre. On sourit, rigole, quand on réalise ce que l’on vient de faire. On s’embrasse tendrement, presque amoureusement, avant que je rentre chez moi. Julien a quitté Lille et est retourné chez lui, puisqu’il n’était là que pour un job d’été. Nous ne sommes pas restés en contact, car nous n’avions tous les deux pas envie de gâcher les bons souvenirs que nous avons eu ensemble cet été.
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VictorG
lillevictor@yahoo.com