Je me présente ; Eden, 24 ans, mince, sans être anorexique, musclé sans être dessiné. Bref un mec plutôt banal, un tatoué aux origines italiennes et aux lunettes toujours sales.
Depuis 4 mois je sortais avec un gars. Un beau gosse roux et bien foutu. Tout le contraire de moi, il était du genre à se faire remarquer. Il avait toute une bande de groupies, qui bandait à la moindre attention de ça part. c’était un Kiffeur. Un vrai mâle dominant, toujours habillé en sket et en survêt.
La première fois que je l’ai vu, j’ai bandé direct. Mon esprit de petite chienne coincé s’était emballé. En peut de temps je suis devenu son puppy. Il avait pris possession de moi.
Aujourd’hui alors que je préparais le repas, je l’entendis se lever du canapé. J’étais vêtu d’un simple t-shirt assorti d’un boxer moulant rouge vif. C’était mon uniforme. Une tenue propre a ma condition comme il aimait à le dire et qui mettait en valeur son petit joué privé.
Il ne lui fallut pas plus de quelques secondes pour se positionner derrière moi. Je n’eus même pas le temps de me retourner, que ces mains s’emparaient déjà de mes hanches. Un geste simple qui provoqua instantanément une demie molle. Il plaque son corps brulant contre le mien. Je ne faisais semblant de rien, faussement concentré. La pression de ces doigts sur mon bassin se fit plus forte. Je commençais à sentir son entrejambe gonfler au bas de mon dos.
Je me laissais aller contre lui alors que ces lèvres charnues se posaient sur mon cou. Sa langue parcourait chaque parcelle de ma nuque à mon épaule avec un appétit féroce. Je bandais maintenant comme un porc. Il malaxait mon gland au travers du tissu, me provoquant des frissons insoutenables. Je gémissais dans le vide, tentant de contenir mon plaisir.
— Tu aimes ça ? Hein petite pute ?
— Oui boss !
— Et tu aimes quoi petite salope ?
Il ponctua sa phrase d’une morsure à la carotide. Je laissai échapper un feulement de chienne en rut, avec l’impression que mon sexe allait exploser. Tout à mon plaisir j’en avais oublié ça question. Grossière erreur ! l’augmentation de la pression sur ma verge me rappela vite à l’ordre. Il avait horreur de se répéter.
— J’aime être ton jouet. Ta possession. Ta pute.
Il avait ponctué chacune de mes déclarations de légère morsure à la base de mon cou. Je pouvais sentir ma queue dégouliner entre ses doigts et passer au travers de mon boxer. Quant à la sienne, elle déformait le lycra de son survêt et se frottait avec impatience contre ma raie.
Ça allait être un coup rapide. Il voulait juste se vider. Une simple vidange pour rappeler qui était le mâle de cet appartement.
Il finit par lâcher mon cou et mon sexe. Il agrippa une poignée de mes cheveux. Sans tendresse, il me força à m’allonger sur le plan de travail. Il ne prit même pas la peine de retirer mon boxer. D’une simple contraction de muscle, il le déchira, exposant son réservoir à foutre comme il aimait à l’appeler.
Sans perdre un instant, il lâcha deux ou trois mollards sur mon trou en chaleur. Chacun était ponctué d’une fessée bien ferme. J’avais le cul qui chauffer à mort.
Il enfonça son pieu (20 cm) d’un coup sec. Je hurlais plus pour la forme que par réelle douleur. Depuis le temps j’étais habitué à ces assauts de mâle en rut. Il aimait m’entendre couiner et j’aimais le satisfaire.
Il ne me laissa pas le temps de m’habituer à ça présence et commença un va et viens en rythme. J’étais plaqué contre le tek du plan de travail. Il n’avait pas lâché mes cheveux et continuait à appuyer sur mon crâne. Son autre main, elle continuait à me faire rougir le postérieur.
La pièce ne résonnait plus que d’insulte et de son de peau qui s’entrechoque.
— Petite pute ! tu aimes ça ! grosse chienne va !
Son souffle devenait de plus en plus rauque. Il était sur le point de venir. Il me le confirma quand il décula aussi sèchement qu’il était rentré. Me guidant toujours comme une marionnette il me mit à genou. D’une claque sur la gueule, il m’ordonna d’ouvrir la bouche en grand. J’obtempérais dans l’instant. Je ne quittais pas sa queue des yeux. Il la branlait à 2 cm de moi sans que pour autant ma langue puisse l’atteindre.
Il lâcha un cri bien rauque et masculin, suivit dans la foulée de cinq jets blancs bien épais de foutre juteux. Il secoua son sexe au déçu ma langue, m’autorisant enfin à téter pour le nettoyer. De temps à autre, il reprenait la main pour frotter son gland contre ma face avant de me la remettre.
A mené le sol, plaqué contre un placard de cuisine, je me branlais à toute vitesse en tétant goulument. Il ne me fallut pas plus de deux allers-retours sur ma queue pour jouir avec un gémissement étouffer.
Il lâcha enfin ma mèche et avec une caresse sur mon trou bien ouvert me remit debout.
Suite…
J’espère que ça vous plaira et que vos commentaires seront nombreux.
Eden
jerome07@orange.fr