Premier épisode
Vous avez été nombreux à réclamer la suite de cette folle aventure avec Marc le copain de ma mère alors là voici.
Cela fait maintenant quelques mois que Marc me défonce la chatte comme il aime le dire.
Il le fait quand il en a envie où il en a envie, j’étais devenu sa chienne, dès que ma mère avait le dos tourné, elle ne se doutait de rien puisque notre relation apparente avec Marc était la même qu’avant, on ne s’adressait jamais la parole en la présence de ma mère.
C’est un lundi comme les autres que je me réveillais et allais dans la cuisine prendre mon petit déjeuner, à table, se trouvait déjà Marc et ma mère en train de manger, j’allais dans le frigo prendre un truc à manger quand je sentis derrière moi Marc et ses jambes musclées m’effleurer les cuisses, ses abdos et ses pecs si chauds contre mon corps et son son énorme paquet contre mon cul, ma mère de dos ne voyait rien. Il mit sa main sur la mienne jusque lors posée sur la brique de lait, l’effleura et pris la brique, il me chuchotait tout bas a l’oreille « t’as aimé ce que je t’ai mis la dernière fois sale salope hein… mais t’inquiètes maintenant je vais pouvoir t’exploser le cul à volonté.. »
Je n’avais pas compris cette allusion, et je fis comme si de rien n’étais, mais le haïssait pour m’avoir mis la trique de bon matin.
Je m’installais à table en sentant bien mon plug que Marc m’avait forcé a porter pour que je sois toujours prêt à l’accueillir et commençais à manger.
– Alors Marc, mon amour tu lui as dit ou pas ? dit ma mère en rompant le silence
– Dire quoi ? je répondis
– Eh bien, tu vas passer deux semaines de stage avec Marc dans son entreprise, génial non ? Il en a profité pour t’embarquer dans ce stage parce qu’en plus il se passe en déplacement professionnel !
– Sérieux ! et mes cours alors ?
– Tu inquiètes, je suis allé parler à ton bureau des stages, tout est réglé, on part a Madrid mercredi. dit-il d’une voix grave qui allait si bien avec sa mâchoire carrée et musclée
– Ça me fait si plaisir que tu veuilles passer plus de temps avec Adrien mon chéri ! dit ma mère d’une voix niaise.
On est donc mercredi soir vers 20 h mon sac fait et tout propre que nous partions avec marc. Nous prîmes l’avion et arrivâmes à Madrid dans notre hôtel vers 23 h 30. Dans l’ascenseur déjà ça montait d’un cran, il me plaqua contre la paroi, et m’embrassait comme un dieu, je sentais son corps puissant contre le mien, il avait une main derrière ma tête et une sur mon cul qu’il malaxait avec une dextérité que je lui connaissais bien, je mouillais déjà comme une salope » tu vas prendre cher, j’ai les couilles pleines, ça fait 4 jours je ne me suis pas vidé ». Les portes se rouvrent, et on se hâte vers notre chambre.
On entre, c’est une chambre avec un seul lit évidemment « mets-toi à poil pour ton homme ma femelle »
Je me contentais de hocher la tête en soumis devant ce colosse de 2 mètres. J’étais nu comme un vers devant mon mâle, lui avait simplement déboutonné sa chemise ouverte désormais sur son torse viril et enlevé sa cravate, son regard me fit tout de suite comprendre ce qu’il voulait, je me suis donc mis à genoux devant son entrejambe démesuré. Il défaisait sa ceinture d’une main de maître, jetais devant son caleçon CK, Il mit sa main derrière ma tête et la poussa violemment contre son boxer, me heurtant a son bout de viande énorme « vas-y sens la sale pute, ça, c’est de l’odeur de mec, je vais te la mettre si profond ma salope », je humais ses effluves de mâle, un mélange de transpiration et de pisses, ça m’excitait énormément que je mouillais littéralement du cul.
Sa queue était si à l’étroit dans ce boxer, que je décidais de la libérer, elle se heurta sur ma joue gauche, je regardais Marc avec mes yeux de chienne, lui me regardait avec son regard de macho, il se mordait la lèvre inférieure, ça sentait mauvais pour moi, quand il faisait ça voulait dire que j’allais déguster.
Il prit sa queue de 24 cm bien dressée, et la planta dans ma bouche si violemment que j’ai cru que j’allais m’étouffer « tu l’aimes ma queue hein mon Pd » il me violait la bouche pendant bien 5 minutes, des filets de bave jaillissaient, il n’avait aucune pitié et j’aimais ça.
Dans un dernier coup de reins, il m’envoyait valser au pied du lit. Je me relevais mon cul vers lui, enlevais mon plug, il me mit une fessée qui résonnait dans la pièce, « t’as hérité du cul de ta mère salope, la nature est bien faite, je vais te féconder » il me prit, me mis sur le dos, mes jambes sur ses épaules « je veux voir ta gueule pendant que j’encule » Il posta son engin devant ma rondelle il me teasait, mettais son gland et l’enlevait, j’en pouvais plus il jouait à ça « allez j’en peux plus, mets la-moi, je veux te sentir en moi, je t’en pris défonce moi...." d’un coup d’un seul, sa queue disparue dans ma rondelle, ce qui lui arracha un « ah.... ça, c’est ma pute je t’ai bien dressée » il commençait les vas-et-viens brutaux qui étaient devenus ma drogue, la violence de ses coups de reins faisait bouger le lit dans tous les sens, il se penchait vers moi et m’embrassa si fougueusement tout en faisant claquer ses couilles sur mon cul, il me baisait comme ça pendant bien 10 minutes. Il se redressa alors pour changer de position, je me mis à quatre pattes, et il se mit dernière, et repris ses assauts virils de plus belle, cette fois plus puissants plus violents, avec moins de compassion, je hurlais de plaisir, il mit son bras autour de mon cou tout en me bourrant la chatte « aaaah… je vais jouir dans ton cul, t’es ma femelle, laisse-toi remplir par ton mâle ».
Je voyais tous ses muscles se contracter de plus en plus, je serrais mon cul en même temps que ma jouissance pour le faire venir, ça avait marché, je voyais écarter encore plus les jambes, laisser sa tête en arrière et dans un dernier coup de reins si violent il déversa toute sa semence, il laissa échapper un râle rauque et viril « AAAAAH....SALE PUTE ! »
Il s’écrasa sur moi son corps si chaud et en sueur, j’étais au paradis. On restait bien comme ça pendant quelques minutes le temps de reprendre nos esprits.
« Bon vas-y, viens on va prendre une douche » dit-il autoritaire,
je le suivais dans la salle de bain
« aller va dans la baignoire et à quatre pattes je vais nettoyer le cul » je m’exécutais et entrais dans la baignoire et pointais mon cul vers lui comme j’en ai si bien l’habitude.
« wôw… je t’ai mis cher… t’as le cul explosé, laisse-moi rincer tout ça » je sentais son sperme encore chaud dégouliner le long de mes cuisses.
Alors que je pensais qu’il prendrait le pommeau de douche, il prit sa queue en main, et dans un soupirent se mis a me pisser à la raie, un torrent puissant de pisse chaude s’abattait sur mon cul, en quantité incroyable digne de sa carrure
« ah… c’est mon p’tit rituel, c’est comme ça que je marque mon territoire, auprès de toutes celles avec qui j’ai trompé ta mère, tourne-toi que je nettoie ta gueule de pute aussi » Il finit son affaire sur ma gueule, j’ai étonnamment apprécié cette golden shower.
Il m’a ensuite rejoint dans la baignoire ou on s’est douché tous les deux, pendant qu’on embrassait se touchait, je vivais un rêve éveillé avec ce colosse. On est ensuite allé nous coucher, je me suis endormi contre lui mon cul sur sa bite, ses bras autour de moi je me sentais protégé.
Ces deux semaines en Espagne, je le sens, vont être les meilleures de la vie.
Chienassedu69