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18 Avril

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Nos vies

Mon mec et moi sommes en couple depuis 3 ans. Qui se ressemble s’assemble, parait-il. Nous avons le même âge à quelques mois près : 33 ans ; nous faisons environ la même taille : lui 1m82 et moi 1m78 ; nous faisons plus ou moins le même poids : ses 81 kg contre mes 79, plutôt musclés tous les deux ; nous sommes bruns, poilus sans être des ours ; nous différons par nos yeux (verts pour lui, noir pour moi), nos voix (pointue contre grave), et le contenu de nos slips : au repos je fais plus tourner de têtes que lui sur la plage ; sans nos slips et en pleine activité, on se vaut en longueur, il me dépasse en largeur. Dans notre vie de tous les jours, il n’y a pas d’étiquette actif/passif puisque nous sommes tous les deux polyvalents : vu qu’il se lève avant moi en semaine et qu’il rentre fatigué du travail, j’ai tendance à encaisser le matin et lui le soir ; les weekends il n’y a pas de règles, si ce n’est qu’on doit finir à égalité (on ne compte pas les points, l’important c’est le contentement !).

Moi je travaille depuis la maison et lui pour une grosse entreprise, nous gagnons bien nos vies et profitons à plein régime : le mariage et les enfants par mère porteuse ce n’est pas notre truc ! On a juste fait un PACS rapide pour pouvoir acheter ensemble notre petit pavillon. Et cet achat a changé nos vies. De noceurs nous sommes devenus pantouflards, on sort au ciné deux fois par mois et c’est à peu près tout.

Pour avancer dans l’histoire, il faut que je vous raconte notre rencontre. Il y a trois ans, nous sommes tous les deux arrivés dans la même ville sans y connaitre personne : lui pour son boulot, et moi pour changer d’air. C’était le printemps, nous étions des anonymes entourés d’inconnus. Pour la drague (et plus), on a fait des recherches et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés dans la même boite gay : un lieu éphémère qui ne tourne que juin juillet aout, réservé aux mecs, pas de jeunes folles, pas de gonzesses, pas de trans faussement extatiques ; l’Effet Mer c’est open, mais bien réglé : on danse pas complètement à poils (slip/boxer/caleçon au minimum), on ne baise pas sur la piste de danse, et les lourds qui insistent après un « non » peuvent se faire dégager à la demande, le tout de plain-pied sur la plage.

Pour le boumboum radada, c’est à part du côté-bar/boite qui trône sur la plage : un ponton au-dessus des flots mène à un lieu couvert de peut-être 200 m 2 sur pilotis ; trois murs masquent la vue depuis la terre et une baie vitrée (ouverte la plupart du temps) offre une vue imprenable sur la grande bleue ; à l’intérieur pas de murs, c’est un grand loft avec un balcon à l’étage ; ici aussi un dress-code : dehors le dessous du bas est le minimum, dedans c’est le maximum. Il n’y a qu’un truc à vendre ici : un kit capote/lubrifiant, et vu l’ambiance il est de bon ton de se fournir tout de suite en rentrant. Des amas de chaires luisantes de sueur, poilues ou glabres, jeunes et moins jeunes, encore fraiches ou usées jusqu’à la corne, s’entassent pêlemêle. Ça hurle, rugit, feule, jouit, de partout. Ce n’est pas une orgie non plus, c’est plus un éventail de ce qu’offre le lieu : de ceux qui font de simples pipes, à ceux qui se partouzent sans gêne ! Pour rentré, il faut payer, et si on est un groupe de deux (ou plus), il faut passer devant le vigile qui laisse entrer ou non en fonction de l’ébriété, et après lui avoir affirmer qu’on est consentant : la culture du viol ce n’est pas l’esprit du lieu et ils y sont vigilants.

Je repère ce lieu sur internet et les retours que j’en ai sur des blogs sont tous positifs. L’endroit est sélect vu les tarifs, mais je ne suis pas à plaindre et je me décide à y aller le premier weekend de juin : je suis tombé sous le charme. Ce soir là, j’ai juste pris la température, me suis laissé rouler quelques pelles, ai un peu caressé des mecs trempés de sueur sur le floor, me suis laissé coller et senti l’intimité virile d’autres à travers mon jean. Dès le second weekend, j’ai pris l’habitude d’y aller le vendredi et le samedi. C’est le samedi que je me suis fait ramener, et ramoner, par ma première rencontre : c’était bien, surtout qu’entre mon déménagement et mon emménagement je n’avais pas fait grand-chose niveau zizi-panpan depuis plusieurs semaines !

Vendredi, troisième weekend, après avoir revu deux fois mon coup de samedi dans la semaine, et sachant que ça n’engageait à rien, j’y suis retourné et c’est moi qui ai ramené. Un pompier, plus grand, plus musclé, plus bronzé que moi : une statue grecque (sauf à l’entrejambe !), il voulait prendre, mais m’avait avoué vouloir être pris aussi : un versatile comme moi, un de ceux qui avaient essayé les femmes par norme sociale, avait gouté les mecs pour être sûr de ne rien louper de plaisant juste à cause d’une norme sociale surannée ; il y avait trouvé son compte et dans la même logique de ne pas passer à côté d’un truc qui aurait pu lui plaire avait tester et approuver les deux côtés de la sodomie, et faisait à l’encan en fonction de ses envies et de celles de son partenaire du moment : j’avais le même parcours. Il était insatiable et m’avait plaisement épuisé ! Au petit matin, après des heures de sexe intensif, après que je me sois une énième fois vidé (je n’avais pas été de ce côté depuis vraiment trop longtemps), je m’étais écroulé sur son dos et lui ai dit combien ça avait été bon, mais aussi combien il fallait que je dorme ! Lui, m’a souri en me disant que cette partie de jambe en l’air avait rechargé ses batteries et qu’il était d’attaque pour sa garde… il se dégage et me laisse sur le ventre, et file prendre une douche. Je somnole et ne l’entends pas vraiment sortir de la salle de bain et rentrer dans la chambre. En revanche je le sens se mettre à mes pieds, je sens ses grandes mains caresser mes jambes en remontant vers mes fesses, puis je le sens bouger. Quand il colle son visage entre me fesses et sa langue sur ma rondelle, il me tire un cri de jouissance. Il me reprend pour mon plus grand bonheur et le sien, alors qu’il vient de se doucher. Nos bruyants ébats se terminent dans un concert de mâles éructant leurs bonheurs. Enfin apaisé, il me demande si je suis déjà allé sur le ponton de l’Effet Mer. Il m’en parle longuement et me donne envie d’y aller. Il se rhabille, me pique une bise en me disant qu’il espère me revoir et me laisse m’effondrer de fatigue tandis qu’il va rejoindre en retard sa caserne. Quand je m’éveille, j’ai oublié qu’il est parti et tâte l’autre côté du lit ; je me soulève un peu déçu quand je me souviens qu’il est parti travailler. Je me lève, me douche, me caféine, et me retrouve en super forme alors que le jour tombe et la nuit se lève. Après une telle bonne pioche hier soir, je décide de retourner à l’Effet Mer et peut-être essayer le ponton…

Je prends mon temps, je mange, vérifie un peu les mails du boulot (travailler chez soi n’a pas que des avantages : grâce à internet mes clients peuvent me contacter/déranger 24 h par jour…), et pars pour arriver au club vers 22 h. C’est samedi soir, le troisième de juin : il y a un monde fou ! Pas mal de jeunes qui arrosent la fin du bac : j’adore cette philosophie de faire une pré-fête sans savoir si ce qu’on fête sera une réussite ! Globalement ils restent entre eux : ils ont un peu peur des libidineux dégueulasses qui leur lorgnent dessus. Mais vu que personne ne veut se faire sortir, ça ne dépasse pas le stade des regards insistants et lourdauds. Moi je m’en fiche, je ne suis plus une cible : de tels regards je sais les faire se détourner. Moi, les jeunes je les mate aussi en passant, mais sans m’y arrêter : je ne veux pas finir au poste pour détournement de mineurs ! Il y en a qui sont à croquer, mais je ne prendrai pas le risque. Arriver sur la piste de danse, je vais me déhancher, me frotter, me coller ; très vite j’ai chaud : je vais au vestiaire tomber chemise, fute, chaussures et chaussettes, j’en profite pour prépayer une dizaine de consos : ma consigne c’est un bracelet à numéro qui correspond à mon crédit au bar. Je repars danser, la sueur de 150 mâles embaume l’atmosphère. Les corps suintent et luisent, les muscles brillent au rythme des stroboscopes, se bandant à la cadence de la musique. Ce que je vois est beau, esthétique même et je m’en voudrais de ne pas participer. Je retrouve donc la piste de danse, je me mélange à cette faune torse nu pour la plupart de ses membres, en sous-vêtements en majorité. Je me frotte, j’allume, me fais allumer et tripoter ; je me retrouve en sandwich entre deux mecs : celui de derrière porte un slip blanc, transparent d’humidité corporelle ne cachant presque plus rien d’un sexe gonflé de désir et d’excitation ; celui de devant est un minet qui trémousse son jock sur mon slip de plus en plus volumineux. Ça dure, mes cavaliers changent, je fais quelques allers-retours au bar pour boire et faire baisser mes tensions artérielle et pénienne ! À un moment un jeune mec me chauffe à fond : rien que son regard langoureux pourrait me faire éjaculer dans mon slip ! Quand je me rends compte que c’est un des peut-être bacheliers qui vient pour se défouler, je m’écarte et devant son air déçu lui propose un verre en guise d’excuses et de compensation : il ne reste pas déçu longtemps et repart s’amuser avec ceux de sa génération comme je viens de lui conseiller gentiment. Je reste au bar afin de me faire redescendre un peu. Mon colleur de tout à l’heure, me rejoint et m’offre un verre : les mecs avec mon physique ont tendance à profiter de la situation en général et il est plutôt content de s’être frotté à un mec qui se refuse à être un prédateur. Il me demande si je connais le ponton, parce que lui compte s’y rendre. Ma « mésaventure » avec le lycéen m’ayant un peu refroidie, j’hésite. Puis je regarde la piste de danse et voir tous ces corps m’électrise. Je me laisse convaincre et accompagne ma nouvelle connaissance jusqu’au ponton. Là, le vigile fait le tri : tous les trop jeunes se font refouler, tant un jeune cul ouvert pour la première fois et qui pisse le sang n’est pas une chose souhaitable. En clair ce soir je vais en zone hard, interdite aux encore trop petits joueurs.

Quand j’entre, la lumière est douce, l’air est salé, pégueux, voir foutreux ! Je détaille ce que je vois après que « gros paquet » m’a indiqué le comptoir à capotes (vendues au minimum par cinq !). À l’étage, au balcon, il y a des mecs qui se font prendre debout appuyés à la rambarde et d’autres qui se font sucer par une ou plusieurs bouches, quand certains ont plusieurs queues dans la bouche. Je note que certains des lycéens les plus âgés ont réussi à rentrer (ils sont venus à la nage) : leurs ainés ont été assez respectueux avec eux, soit les rapports sont softs, soit c’est le jeune qui prend ! L’avantage du lieu, c’est que tout est ouvert et qu’une tentative de viol ne passerait pas inaperçue et serait arrêté tout de suite. J’aime ce que je vois, je suis complètement à l’aise, je retire mon slip et le confie au comptoir capotes qui fait office de vestiaire bis ; je déambule parmi des couples éphémères, des couples d’amoureux en goguette, je vois des culs somptueux, des queues magistrales : étonnement, alors que j’évolue dans un temple du stupre, je ne vois et ressens que de l’amour. Amour charnel, mais aussi de la passion, des envies, des frissons, des bonheurs et du plaisir ! Je retrouve « gros paquet ». Il est aux prises avec une connaissance à lui qui lui fait une turlutte appuyée. Il me fait signe d’approcher, je me place à ses côtés, il me caresse les fesses, et prend ma bite en main, je passe ma main dans son dos (puissant !) et m’arrête sur ses joues arrière : c’est ferme, puissant, haletant légèrement au rythme du suceur ! La soirée ne fait que commencer, mais ce que je vois m’excite tellement que je me demande si j’ai acheté assez de presos ! Vite nous bougeons du milieu, nous nous retrouvons près de la baie vitrée, le suceur se met sur le dos et « gros paquet », très en forme et ne méritant pas d’autre surnom, le prend sans manière et à cru ! Je suis étonné, mais il m’affirme le connaitre. Il m’encourage à enfiler une capote et venir le prendre. Je m’exécute et c’est dans ce trio endiablé que je commence vraiment ma soirée de débauche. C’est extra à souhait ! À côté de nous vient se poser un couple. Je reconnais le preneur pour le type qui m’a baisé la semaine dernière. On se sourit, on s’éclate côte à côte, et les réactions que suscitent nos braquemarts sont jouissives ! Je croise le regard sur le mec qu’il est en train de se taper.

Et c’est comme ça que pour la première fois j’ai posé les yeux sur l’homme qui partage ma vie. J’appris plus tard qu’il venait depuis le même jour que moi, le soir de notre rencontre nous n’avons rien fait que nous regarder baiser avec d’autres, même si dans nos regards réciproques nous savions chacun de notre côté que nous finirions par nous envoyer en l’air. C’est arrivé trois semaines plus tard. Entre temps j’avais revu « gros paquet », mon pompier, découvert d’autres mecs et m’étais fait visiter un bon nombre de fois par quelques inconnus. De cette rencontre nous avons décidé de conserver une chose : une fois par an, pendant nos vacances nous nous mettons en mode open-bar : ça contrebalance, voir donne toute sa valeur à notre vie plan-plan. Nous réactivons notre compte d’une célèbre appli : trois photos, un descriptif rapide de ce que nous sommes et ce que nous cherchons, et en règle générale on trouve toujours de quoi pimenter nos soirées : deux polyvalents bien foutus et ouverts à quasiment tout, ça match rapidement. Et de fait, quand nous cherchons, nous trouvons.

Récemment, mon mec a dû aller en formation à Annecy pour un mois. Tous frais payés, bel hôtel, et beaucoup de temps libre. Il m’a suffi de prendre mon portable et je suis allé avec lui ! Ce n’était pas vraiment des vacances, mais nous avons redémarré l’appli le premier weekend : quitte à être ailleurs, autant découvrir ce que le coin a à offrir ! Pendant que mon mec bosse moi j’erre dans la ville, je me pose en terrasse pour bosser une petite heure le matin ou l’après-midi. Très vite je me rends compte qu’il y a de belles plages sur le lac et que l’eau n’est pas froide. L’emploi du temps de mes après-midis est tout trouvé. Une fois sa journée finie mon mec vient me retrouver : les mecs autour qui matent sont généralement déçus que je ne sois pas seul… Je me retrouve à gérer l’appli et à répondre aux invitations et propositions. Ça fait trois jours que nous sommes là et j’ai déjà une dizaine de touches sérieuses ! Mon mec me demande d’attendre le weekend et je lui dis qu’il va falloir qu’il soit à la hauteur de mes attentes d’exotisme : c’est ça qui est bien aussi avec notre style de vie, l’émulation est toujours là, plus forte à chaque fois ! Le vendredi, allongé sur ma serviette à la plage, j’ai une longue conversation avec un mec qui a pris contact avec moi. Il est vraiment intéressé, et franchement intéressant. Il m’envoie des photos décentes qui sont déjà affriolantes à souhait. C’est un Savoyard désœuvré qui ne veut pas se prendre la tête ; physiquement, n’y voyez aucun narcissisme, mais il est semblable à nous : 1m80, brun, musclé, polyvalent ; l’exotisme est trouvé dans son bronzage plus appuyé que le nôtre, ses cheveux longs, et son corps glabre ! Si mon mec est d’accord, on pourrait passer du bon temps sans prise de tête (un des critères communs sur l’appli). Quand mon mec arrive sur la plage, il a tôt fait de se mettre en slip de bain. Nous allons piquer une tête ensemble, nous nous collons, nous roulons des patins, caressons ! Il est dans une forme olympique et si la plage était moins fréquentée nous nous prendrions sans gêne, là, en suspension sur l’onde. Enlacés, il me débriefe rapidement sa semaine pendant que je glisse ma main dans son slip, pour lui titiller la rondelle et que je lui "suçone" le cou. Il se laisse faire et m’attrape le sexe. Nous finissons par nous doigter et nous branler l’un l’autre tout en nous embrassant. Une fois que nous avons joui, nous partons nager plus au large pour nous rincer et pour éviter de créer une émeute en ressortant de l’eau avec deux belles mi-dures à peine apaisées !

Nous nageons jusqu’à un voilier en bois où un type super beau fait du nudisme : j’aimerais bien aussi être le cul à l’air à prendre le soleil. Après 20 min de nage intensive, nous regagnons le rivage : notre baignade a duré près d’une heure. Nous sommes main dans la main, nos corps luisants de l’eau du lac, nos muscles bandés de l’effort que nous venons de fournir. Des têtes se tournent, nous nous sourions : pas besoin d’appli pour chauffer les mecs esseulés ! Enfin assis sur nos serviettes, nous profitons de la chaleur des derniers rayons de soleil. Je lui parle de ma conversation bien avancée avec mon contact, lui fais lire notre conversation. Et un peu penaud, il m’annonce qu’il a déjà dit « oui » à la proposition d’un collègue. Je m’étonne qu’il ne m’ait pas demandé mon avis avant et suis passablement en colère. Il me vend un weekend idyllique pour me faire arrêter mon boudage : un chalet dans un coin tranquille, tout le monde tout nu, deux couples (dont nous) pendant deux jours, et un troisième qui ne resterait que le samedi… 4 bites et 4 culs inconnus en accès libre, mon mec devrait bosser dans le marketing : je bougonne pour la forme encore deux minutes, mais ses yeux et son sourire m’indiquent qu’il a parfaitement compris que je suis plus que partant ! Je laisse un message d’excuses à mon contact et lui dis que nous serons plus disponibles la semaine prochaine. Sa réponse me laisse espérer qu’il n’est pas froissé : pas de prise de tête, ça veut dire ce que ça veut dire, que je ne m’inquiète pas. Nous nous rhabillons pour rentrer à l’hôtel : ce soir c’est resto et casino au bord du lac, et nous nous faisons élégants. Mais avant ça, nous faisons baisser toutes nos tensions sexuelles. Tandis qu’il se désape, je le pousse sur le lit : son pantalon aux genoux et sa tête dans le drap, son grandiose séant pointe vers moi ; je recule son slip, le lèche à peine et m’introduis direct en lui. Nos préliminaires aquatiques ont été suffisamment poussés pour que ça glisse tout seul. Je me pose de tout mon corps sur lui et commence à le prendre intensément. Il halète de plaisir, il aime bien quand c’est musclé ; pas violent, mais sans délicatesse apparente ! Je lui glisse à l’oreille qu’il a intérêt à être prêt à encaisser si le chalet, les culs, les bites ne sont pas à leur gout. Il sait que cette promesse je la tiendrai de toute façon ! Je le défonce et lui il m’en demande encore, ses suppliques sont grossières, voire vulgaires ! Il m’excite et me chauffe, et me ment en hoquetant qu’il m’a connu plus en forme. Quand je me finis dans lui, je le mords dans le dos : j’imprime ma marque sur lui, ce weekend je partage, mais que personne n’oublie qu’il est à moi. Je me relève, finis de me déshabiller et file à la douche, le laissant épuisé avec le cul dégoulinant. Je suis en train de me savonner quand il me rejoint dans la salle de bain. Il se vide les entrailles de ma semence et la vessie malgré sa belle gaule. Il me rejoint dans la douche alors que je suis en train de me rincer, il se colle à mon dos, me caresse le torse et le pénis, il m’embrasse le cou, l’omoplate, et frotte son sexe bandé contre ma raie. Il se baisse et commence à me "languer" l’anus profondément ! Je m’appuie contre le mur, une de mes mains allant de la paroi pour assurer mon appui à sa tête que je pousse fort vers moi, j’ai les genoux qui flageolent, mon cœur s’emballe. Il remonte en léchant toute ma colonne vertébrale, je me retourne, et pendant que nos braquemarts gorgés et chauds se font front, je l’embrasse. Nos langues se mêlent, nos soupirs font un concerto de râles rauques, il me glisse un, deux puis trois doigts dans le fion : c’est délicieux. Mais avant, je veux lui rendre sa politesse et m’agenouille pour lui faire une pipe magistrale. Il pose ses mains sur ma tête et m’aide dans mes allers-retours. Il me relève d’un coup, me disant que si je n’arrête pas, il m’aura préparé pour rien. Je fais semblant de faire la moue : j’aime quand il jute dans ma bouche ! Mais vu ce que je vais prendre dans quelques instants je ne peux que sourire ! Il me retourne vivement, me plaque au mur de toutes sa force, et se colle à moi de tout son poids : je suis comprimé et incapable de bouger. Il change sans prévenir d’attitude, devient doux et tendre et me prend lentement, gentiment, profondément. Là où j’appuyais sa tête dans les draps pour étouffer ses cris tout à l’heure, lui réponds à l’appel de mes lèvres et m’embrasse longuement et langoureusement pendant qu’il entame un va-et-vient qui m’électrise. Je profite, sens et ressens chaque centimètre, centimètre carré, centimètre cube de son membre, de ma tige à plaisir. C’est long, large, profond, chaud : je suis aux anges. Toujours calé dans mon intimité, il me décolle le ventre du mur, recule, et vient coller son dos au mur opposé, puis il commence à se baisser jusqu’à être assis, moi à califourchon sur lui. Nos lèvres ne se touchent plus et j’exprime bruyamment mon bonheur ! Après quelques minutes, je me dégage de son pieu, me relève, le tire par les pieds, jusqu’à ce qu’il soit allongé, son sexe dressé vers le plafond, je le chevauche en m’empalant sur lui. Nous sommes face à face désormais, il me remplit comme j’aime et je sais que nous exploserons ensemble ! Ce qui arrive au bout de dix minutes. Je m’effondre sur lui, nos cœurs battent la chamade à l’unisson. Une fois calmés, nous nous relevons et nous lavons l’un l’autre. Quand nous sortons de la chambre, trois quarts d’heure plus tard, nous sommes tirés à quatre épingles et je suis prêt à passer une bonne soirée.

Le weekend fut plus qu’épique. Le couple qui ne devait pas rester avait changé de plan et était venu à trois. Ils avaient ramené un jeune exclusivement actif, toujours en colère. Quand je repense à la scène où, avec deux bites dans le cul, deux dans la bouche, et une dans chaque main, on lui explique qu’être passif ça peut-être super fun aussi, une érection me vient. Il était venu pour se taper des culs avec son braquemart indécent, son mètre soixante-dix et ses 55 kg, et il s’en était tapé. Tout le monde a su profiter de la crevette montée comme un âne, mais pour le convaincre de rendre la politesse ça n’a pas été sans peine… mais je crois que nous en avons fait un bon versatile !

Les quatre autres avaient plus ou moins notre âge, de 31 à 37 ans, un était plus replet que les autres, et le matos avant et arrière de tout le monde était plaisant. Le mieux fut tout de même le samedi soir, où après une journée de ramonage intensif, une partouze tardive jusqu’à 3 h du mat, chacun a regagné sa chambre. Le salon empestait la sueur, le foutre, le latex chaud, le cul et le tabac : rentré dans la chambre c’était pouvoir respirer ! Mon mec et moi, on s’allonge, on se câline, on se complimente quand soudain de la chambre à côté viennent des petits couinements… curieux on se lève, on sort sur le balcon pour mater : le collègue de mon mec est en train de se faire démonter par le petit jeune qui lui encaisse les coups de boutoirs du mari du premier… on regarde ça et bien qu’épuisé nous nous remettons à bander. Mon mec me prend en plein air, il est délicat, ses vas et viens sont doux et délicieux. Quand il a fini, nous nous embrassons longuement et réintégrons la chambre pour qu’à mon tour je lui fasse l’amour. Son cul est aussi dilaté que le mien, mais c’est chaud et accueillant, c’est chez moi ! Nous finissons bien après que les soupirs de la chambre mitoyenne ne se soient arrêtés. Nous nous endormons enlacés. Demain on se dit qu’il faudrait y aller plus doucement. Mais vu que c’est un weekend de baise, cela ne réalise pas : le dimanche est aussi chaud que le samedi, voire plus avec le petit jeune qui se lâche enfin complètement. Le dimanche soir en rentrant je suis incapable de me souvenir combien de fois j’ai pris, ni combien de fois j’ai juté. Mon mec me demande d’être sage le soir, parce qu’il veut être en forme pour sa formation le lendemain et je suis suffisamment fatigué et vidé pour le comprendre. Après une douche rapide, on s’endort sans même manger ! Je suis réveillé le lendemain par le petit gourmand qui est en train de me tailler une belle pipe en se branlant. Je m’en voudrais d’abuser, et je me mets têtebêche pour lui rendre la pareille. C’est donc dans un joyeux 69 que commence notre semaine !

J’ai mis plusieurs jours à me remettre du weekend. Je ne suis pas allé vérifier l’appli avant jeudi après-midi. Après un lundi et un mardi sans pénétration et tout en fellations, le mercredi soir a été un feu d’artifice. On était enfin complètement remis du passage des autres et on commençait à être en manque l’un de l’autre. C’est donc tout émoustillé que je veux organiser notre dernier weekend sur place.

Je recontacte le mec que j’ai laissé en plan au dernier moment vendredi. Il est toujours par là. Il attendait, pas nous spécifiquement, mais restait dispo. Allongé sur ma serviette à la plage, je lui raconte notre weekend. Il m’annonce qu’il connait : le collègue de mon mec est une de ses connaissances et il a déjà fait des weekends cul avec lui, mais il y a plusieurs années. À un moment, il me demande de me lever, je le fais, et il me décrit (surtout mon maillot de bain en fait). Je lui demande où il est et il me demande de regarder au large. Je scrute l’horizon et je repère un type qui me fait signe depuis son bateau ! C’est le voilier en bois vers lequel nous avons nagé l’autre jour et sur lequel un mec faisait du nudisme. Au souvenir de ces belles fesses, je salive ! Il me dit de le rejoindre en m’envoyant une photo sans équivoque ! J’hésite… le jeu avec mon mec c’est de partager… et là je suis tout seul. Une autre photo arrive et me laisse rêveur. Je l’envoie à mon mec et lui demande si j’ai le droit d’y aller sans lui, à la découverte. Mon mec me répond qu’il n’y voit pas d’inconvénient si je nous filme en train. Je retourne sur l’appli explique mes scrupules, l’autorisation et l’exigence de mon mec : il accepte lui aussi en me disant que cela motiverait mon mec à nous rejoindre. Je laisse un dernier message à mon mec avec une photo du bateau, ramène toutes mes affaires à la voiture et pars à la nage rejoindre l’inconnu !

Il me faut 5 bonnes minutes pour arriver au bateau, une fois arrivé, je lance un « Ohé, du bateau ! » de bon aloi. Une sculpture animée sort de la cabine, me sourit, me tend la main, me tire de l’eau avec une aisance toute naturelle, et m’accueille à bord en me donnant une serviette et un verre pour me remettre de mon effort. Vu l’heure qu’il est, et ce que j’ai sous les yeux, j’espère qu’il a des tonneaux à boire : j’ai envie qu’il m’épuise d’efforts tout l’après-midi ! Il porte une serviette à main en tailleur et un bronzage magnifique. Il fait ma taille, mais surement pas mon poids : je suis fin et lui est affuté ; quand mes muscles sont visibles, les siens sont saillants ; il n’est pas poilu du tout ; un long tatouage polynésien part de sa cheville droite, remonte sa jambe, son flanc, son bras et se termine à son poignet droit. Nous discutons facilement, mais très vite nos langues ne veulent plus se cantonner à émettre des sons, nos yeux voyagent sur nos corps pour nous détailler et finissent invariablement leur auscultation sur les tissus masquant à peine nos entre jambes avantageuses et de plus en plus à l’étroit. Je pose une main sur sa cuisse, et lui en pose une sur ma nuque. Nos têtes s’inclinent l’une vers l’autre et quand nos lèvres se touchent, nos slips ne cachent plus rien de nos envies. On se lève sans que nos bouches ne se séparent, on se colle l’un à l’autre, on se frotte, on se caresse, sa main glisse sous mon slip de bain encore collant d’humidité, je tire sur son petit carré de tissu et le mets à poils en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Son sexe chaud et gonflé vient buter contre le mien qui est encore frais et maintenu dans son slip mouillé. Je me sers contre lui quand il me met un doigt, je gobe sa langue ; quand il en introduit un second, mes lèvres quittent les siennes et je lâche un sourpir de jouissance ! Quand il extrait ses doigts, il les lèche avec gourmandise et me sourit. N’en pouvant plus de patienter, je me glisse lentement vers le pont du bateau, lui embrassant et léchant le cou, le torse musculeux et quand j’arrive au nombril, ma bouche rentre en contact avec son gland et l’enfourne prestement. Rapidement il hahane. Son sexe est énorme, j’ai vraiment faim. Je m’arrête de sucer, lui dit de me prendre en photo et de l’envoyer à mon mec. Il fait un rapide film (mon mec me l’a montré après !) qui va de ma bouche et sa bite à sa tête et vice-versa. Il pose son téléphone et vient s’allonger, les jambes relevées : il m’offre sa bite et son cul et j’en profite goulûment. J’enlève mon slip, me branle un peu en le suçant et le doigtant, puis je retire ma main de ma bite et vais me doigter aussi. Quand il voit ça, il m’attire vers lui m’embrasse, me soulève et me porte dans la cabine, il m’allonge sur la couchette et vient se coucher à côté de moi, sa tête à mes pieds. C’est le 69 le plus long, le plus intrusif que je n’ai jamais eu et que j’ai fait : nous restons plus de trois-quart d’heure ainsi lovés à nous pomper le dard, nous lécher la rondelle, nous forcer le passage à coups de doigts. Il a le trou le plus souple que j’ai eu en main : à un moment il m’annonce qu’il va me mettre un quatrième doigt pour m’habituer, je lui dis que j’en ferai de même, si moi ça me tire des cris, lui juste des soupirs pendant que sa rondelle s’élargit sans mal. Il m’avoue qu’il aime se faire fister, mais qu’il n’en pas envie là ; ça me rassure parce que je suis pas fan de ça, et surtout parce que je ne l’ai jamais fait. Il me prend sur lui, m’écarte les fesses, m’ouvre le cul avec des deux index qui coulissent en moi et me collent sa langue baladeuse ! Je râle de joie.
Je m’active sur sa queue ! Elle est grosse, longue, veineuse, bronzée, avec un gland gros comme une balle de golf qui dépasse de mes deux mains enserrant son manche sans parvenir à en faire le tour ! J’ai déjà eu plus grand, ou plus gros, mais jamais les deux à la fois : c’est la plus belle bite de ma vie. Sa langue me fait frissonner et je jouis sans que ma bite ne soit sollicitée ! Mon bas ventre collé à son torse est vite inondé. Il me fesse, me tire à lui et me pompe les dernières gouttes. Je me dégage, vient lui lécher les pectoraux et les abdos pour récupérer mon foutre, puis je le lui fais boire. Il m’attrape les lèvres de sa bouche et me roule un patin tout en m’enfilant deux doigts. Surpris je pars vers le haut, sans que ses doigts ne sortent puisqu’il les pousse. Il m’embrasse les tétons, me fait une toilette de chat jusqu’à je n’ai plus du tout de sperme sur la peau. Il sort enfin ses doigts et me dit qu’il est temps pour moi aussi d’aller me servir au tonneau. Je reste allongé sur le dos, il se lève, me fait faire un quart de tour et me colle sa bite magistrale sur le visage. Je gobe ses couilles qui pendent, et le branle. Sa rondelle est face à mes yeux et quand je la vois qui commence à palpiter, j’enfourne sa bite et il se met à me baiser la bouche jusqu’à la luette en douceur. Quand il vient, j’ai la bouche pleine de son énorme gland, et je crois boire la tasse tant il m’inonde de sa semence. Quand il a tout craché, il sort sa bite, je lui lèche le méat avec application, puis il vient se coucher sur moi et nous nous embrassons langoureusement !

Nous décidons de remonter sur le pont pour respirer, boire un verre et faire un peu de bronzette ! Il me caresse gentiment quand son téléphone sonne : mon mec arrive et espère qu’on est encore en forme ! Pendant que nous l’attendons, nous discutons de tout et de rien, il rend tout facile avec son allant. On se met face (et bites) au soleil, on se caresse la queue l’un l’autre : elles prennent vite de la vigueur, mais on ne se branle pas. C’est un vrai moment d’érotisme. Quand mon mec arrive, il monte discrètement à bord, nous voit nous caresser les yeux fermés à cause du soleil et s’approche de nous sans bruit. Ses mains mouillées et froides nous choppent les bites, nous nous relevons un peu surpris, mais son sourire ravageur me fait me rallonger. Notre acolyte comprend à qui il a à faire et se présente à mon mec qui vient d’avaler ma bite. Puisqu’il a la bouche pleine, c’est moi qui fait les présentations. Mon mec quitte ma queue pour l’autre, il nous pompe et nous branle par alternance. Sa main libre caresse nos couilles. Au bout, d’un moment, il se met à quatre pattes pour venir m’embrasser ; il embrasse aussi notre hôte, puis nous nous roulons une pelle à trois pendant que nous lui retirons son slip de bain collant d’où surgit son service trois-pièces bien en forme. On se câline à trois, puis quand mon mec est sec nous réintégrons la cabine. Mon mec et moi debout à nous galocher, le marin nous prend tous les dans sa bouche et nous suce comme si ça vie en dépendait ! Je quitte les lèvres de mon mec et vais m’activer sur sa queue : deux langues sur lui, dont une qui le connait par cœur, le font venir rapidement. Tout le monde étant venu une fois nous commençons les choses sérieuses.

Mon mec et moi pompons le nudiste qui s’est assis. Puis une fois bien bandé je viens m’assoir sur lui. Il me lime avec passion pendant que mon mec lui bouffe le cul et le doigte. Moi j’ai la tête qui tourne tellement je prends mon pied ! Puis mon mec présente sa queue à notre hôte : elle est aspirée par son cul ! Mon mec qui est quand même épais coulisse dans ce fion robuste super aisément. Le marin se met à souffler fort. Moi je contracte mon anus en rythme avec mes allers-retours : je me laisse littéralement tomber sur sa colonne de chaire quand elle rentre et la serre de toute mes forces quand elle ressort. Entre mon mec et moi, il ne sait plus par où il prend le plus de plaisir. Mon mec commence à me branler, et se contorsionne pour venir me sucer. J’appuie sur sa tête et bascule mon corps en arrière à la recherche de lèvres à embrasser : quand je les trouve je ressois une pelle appuyée et déformée par le plaisir que nous vocalisons. Notre hôte passe à la vitesse supérieure et me ramone sauvagement.
Une fois qu’il m’a bien sucé mon mec recule et vient s’empaler sur ma pine : bon dieu que ce cul est bon, doux, chaud, accueillant ! Je sers mon mec dans mes bras : je ne voudrais être nul par ailleurs. Il me demande si la bite que je reçois est bonne. Muet d’extase je lui réponds en hochant la tête, j’ai les yeux exorbités ! On change de position au bout d’un moment : j’encule notre hôte pendant qu’il encule mon mec. Je me déchaîne : mon mec est monté plus gros que moi, du coup ça glisse tout seul, je fais ce que je veux de ma bite dans ce trou ! C’est un bonheur. C’est éreintant aussi. Je m’agrippe au marin, sa peau luit et glisse de sueur ; mon mec gueule de plus en plus fort ! Je me recule et met un dernier grand coup puis je m’effondre : je ne suis pas venu, mais je tiens plus debout. Je regarde mon amour se faire déboîter. Un fois que j’ai repris mon souffle, je vais lécher la rondelle qui accueillait ma queue il y a peu, puis je dis à mon mec de me prendre. Sa bite va et viens en moi comme rarement tellement je suis dilaté. Avec le braquemart que je me suis pris, je suis à fleur de peau, chacun de ses coups de boutoir m’électrise : c’est mon homme et on s’aime. Notre acolyte sort du cul de mon mec et nous regarde tendrement. Il dit qu’il nous trouve beaux, pas que plastiquement, mais que notre amour passionnel nous rends resplendissants ! Il nous regarde, on fait comme si nous étions seuls, pas qu’on veut plus de lui, juste qu’il nous faut ces 5 minutes rien qu’à nous. On s’arrête au bout d’un moment. On va respirer en plein air, le jour tombe. On décide de piquer une tête dans le lac pour se rincer un peu. On remonte à bord, le marin annonce qu’il faut qu’il aille s’amarrer, mais qu’il a envie de continuer et il nous invite chez lui.

Mon mec me regarde et lui dit qu’on le suit : il a lu mon regard, il sait que j’en veux encore et ne veux pas m’en priver. Moi dans son regard j’ai lu de la fatigue… je lui dis qu’on peut rentrer. Mais je me laisse convaincre. Une fois apponté, nous retrouvons la berge et suivons notre guide pendant 2 min à pied. Il habite au-dessus d’un ancien bar et a un appartement terrasse dans un bâtiment vide. Une fois chez lui il nous apporte une bière à chacun : la vue sur le lac est magnifique. Il nous demande si on est prêt à reprendre et si on veut bien le prendre en double. Mon mec et moi on n’a jamais fait ça… on n’a même jamais essayé. On est un peu hésitant quand le type se lève, se fout à poil et nous dit de le rejoindre. De revoir sa queue m’émoustille, on se lève et mon mec annonce que si on lui fait ça il devra nous le faire aussi. Ma tête panique à cette idée, mais mon cul semble en vouloir, car il s’ouvre grand à ces paroles ! On se désape. Le type nous branle et nous suce, il nous met deux doigts à chacun et titille nos prostates pour nous exciter à mort. Il nous fait nous allonger chacun dans un sens, attrape nos queues et vient se planter dessus. C’est serré, mais visiter cet endroit avec la queue de mon mec est exaltant ! Il s’encule tout seul un moment puis s’allonge sur moi pendant que mon mec vient se coller à genoux derrière lui. Le type râle sous nos va et viens asynchrones. Nous changeons encore : cette fois mon mec est dessous et moi derrière. Je vis mon meilleur plan à trois de ma vie. On y va lentement, mais on prend nos aises. À la respiration de mon mec, je sais qu’il s’éclate ! Essoufflé le type nous demande d’arrêter : son cul à son compte. Lorsqu’il se relève, sa rondelle est complètement ouverte et palpitante, sa queue est tendue au maximum. Il nous embrasse en nous remerciant. J’embrasse aussi mon mec ; la suite m’effraie et m’excite tout à la fois.

Mon mec me caresse le cul et me dit qu’il préfère garder le meilleur pour la fin. Il nous demande de le prendre chacun notre tour et ensuite d’essayer à deux. Je le pénètre le premier, je l’embrasse à pleine bouche, déjà il frémit. Notre ami me caresse les couilles ; je sors et laisse la place : je regarde le gourdin prendre le cul de mon mec. Les chaires qui s’écartent, la colonne gorgée de sang qui avance surement en lui, mon mec exulte. Il se fait prendre comme ça pendant un bon moment, je lui donne ma bite à téter. Enfin le type ressort et nous regardons la réaction du trou de mon mec. Le type m’assoit au bord du lit et je prends mon mec dans mes bras, le marin se colle juste derrière. Il me dit de rentrer le premier. Une fois caler au fond de mon mec, notre hôte vient faire pression sur sa rondelle et force le passage. Mon mec se tétanise, je sens un gland remonter toute ma bite et dépasser mon propre gland. Notre guide dans cette nouvelle expérience nous dit qu’on va commencer les va et viens. Après un moment, mon mec se détend pleinement et crie son plaisir. On sort de lui, on reprend le processus de pénétration, mais cette fois c’est moi qui rentre en deuxième. Je me demande comment mon mec arrive à encaisser, j’ai peur pour mon cul, mais je veux offrir ça à mon mec, et je veux ressentir les mêmes sensations que lui. Mais avant que ce soit mon tour, on essaie une dernière façon de faire : les deux glands qui poussent et rentrent en même temps. Mon mec s’écroule sur moi ! Je panique un instant, mais il relève sa tête avec un sourire extatique aux lèvres et aux yeux. Il m’embrasse et me dit qu’il m’aime, et alors que nos allers-retours s’emballent il me crie son amour, il pleure en souriant. J’ai envie de juter. Notre acolyte me dit de le faire et j’envoie la purée dans mon mec qui m’étreint de toutes ses forces. Quand nous déculons, notre nouvel ami vient lécher ma queue et la rondelle de mon mec. Mon mec éclate de rire et me dit que ça va me plaire ! Puis il se retourne et va laver la queue de notre camarade de jeu qui est pleine de mon foutre. Puis il se lève et l’embrasse. Leurs deux queues se frôlent, je me redresse et vais les sucer ! Je caresse leur cul, leur mets un doigt pour voir comment vont leur trou. Puis ils me relèvent : on va le faire debout. Je passe par les mêmes étapes que mon mec, je me sens déchiré, violenté, poignardé, mais je ne cesse d’en redemander. On change alors de position : je me retrouve dans les bras de notre ami et mon mec est derrière moi ! Quand mon mec vient en moi, sa jouissance est décuplée, il se retire et je finis par exploser à nouveau sur le torse de notre amant qui s’excite à fond une dernière fois dans mon cul. Il me repose par terre rapidement, me lèche la rondelle pendant que je nettoie la bite de mon amoureux. Une fois propres, on va laver la queue de notre hôte. Et on le pompe jusqu’à ce qu’il explose sur nos visages, on se lèche l’un l’autre jusqu’à ce qu’il n’y ait plus une goutte et on se roule un patin foutreux délicieux. On se relève et on embrasse celui qui restera comme notre meilleur coup de vacances !

Nous avons passé le weekend chez lui. Je me voyais presque nous mettre dans un ménage à trois. Depuis nous allons facilement prendre nos vacances à Annecy, et je me souviens avec émotion la première fois où nous l’avons emmené au ponton !

Ldan

Em@il

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