Histoire : >> Si tu veux passer directement à l'action et que tu t'en fous de l'introduction, descend directement (ou fait un CTRL+F pour rechercher) les dix astérisques. En espérant que mon histoire t'apporte ce que tu cherches :).
Ceci est donc une histoire vraie qui m'est arrivée il y a quelque temps, les prénoms sont juste changés.
Présentation rapide, moi c'est Niko, 25 ans, 1m75, environ 65kg, cheveux bruns courts, yeux marrons, le gars normal pas spécialement beau ni moche en fonction des gouts. Passif la plupart du temps, ma queue de 18cm et bien épaisse me sert parfois. J'aime faire plaisir aux mecs, donc qu'il s'agisse de pomper, me faire défoncer le cul ou au contraire en défoncer un, je suis là pour provoquer la jouissance de mon partenaire, ce qui en général déclenche la mienne.
Ce jour-là sur Marseille, en revenant du boulot, je m'égare sur Grindr, assez excité mais sans grands espoirs, car je ne voulais pas rester dehors en plein froid à attendre qu'un mec se décide, même dans le sud il fait froid en hiver ! L'application m'exaspère parfois à cause de beaucoup de mecs qui ne savent pas ce qu'ils veulent vraiment, cependant je l'utilise toujours, vu que j'adore faire des plans.
Quelques minutes plus tard, alors que j'avais abordé 3-4 mecs sans recevoir la moindre réponse (malgré la présence de la pastille verte signifiant "En ligne"), quelqu'un me contacte, me demandant où je suis, son profil indiquant qu'il est environ à 200m de moi. Je me contente de lui envoyer un banal "salut" et le nom de la rue que je traverse en soulignant que nous ne sommes pas loin. Coup de bol, il se trouve dans une chambre d'hôtel, qui est justement sur mon chemin du retour, m'évitant un détour (pour 200m, ça n'aurait pas été trop contraignant à pied, mais bon ça fera toujours cinq minutes de vent glacial en pleine gueule en moins).
Il m'indique le n° de sa chambre, son prénom à annoncer à l'accueil et m'envoie quelques photos de lui et de son sexe : il a 45 ans, le crâne rasé, une barbe de deux jours, un corps assez bien entretenu. L'écart d'âge ne me dérange généralement pas, et en plus c'est un beau mec, je n'ai donc aucune raison de refuser. Sa queue n'est pas énorme, mais au moins 16-17cm et d'une épaisseur standard, le genre banal qui n'est jamais sujet de fantasmes. Mais c'est justement ça qui me plaît, les queues de taille moyenne ou d'apparence banale ont toujours été au cœur de plans très agréables : c'est plus facile à pomper en fond de gorge sans s'étouffer et pour la sodo, on prend son pied sans souffrir au début (je ne suis pas un passif au cul dilaté capable de s'enfiler des poutres, du coup je suis toujours bien serré !).
Une fois à l'accueil de l'hôtel, un jeune homme assez charmant m'aborde tandis que je prends une pochette cartonnée dans mon sac en bandoulière, pour faire genre professionnel :
- Bonjour, je peux vous aider ?
- Oui, je viens voir un collègue chambre 508.
- Quel est son nom ?
Je ne panique pas et garde mon calme.
- Franchement, je n’en sais rien, je sais qu'il s'appelle Benoît, on n’est pas trop sur les formalités au boulot, ça fait que quelques semaines que je suis entré dans la boîte.
Mon histoire toute simple fonctionne, et l'employé hoche la tête et m'indique l'escalier. Je monte jusqu'au cinquième et tape doucement à la porte de la chambre 508. La porte se déverrouille et j'entre donc dans la pénombre de la chambre, tandis que le mec se tient là, entièrement à poil et la queue en érection. Je referme derrière moi et me débarrasse de mon sac et de ma veste que je laisse au sol, trop excité pour chercher un endroit où déposer mes affaires. De toute façon, comme c'est un hôtel plutôt correct, le sol est propre.
- Salut
- Salut, hmmm, belle queue.
***
Je me mets aussitôt à genoux et défais mon pantalon pour en sortir ma bite que j'empoigne de ma main droite, tandis que la gauche s'empare de la queue du mec.
- Va doucement je suis super excité.
Il risque de juter rapidement, donc, ce n'est pas grave, j'aime tout autant qu'un mec endurant. Je prends donc son membre viril en bouche et fait glisser lentement mes lèvres dessus, appréciant sa texture, ses formes, sa différence comparée à toutes les autres queues que j'ai eu l'occasion de pomper. C'est agréable pour moi et pour lui au vu de ses gémissements et de ses petits coups de bassin saccadés et timides.
Pendant cinq bonnes minutes je m'occupe de sa queue tout en me branlant, alternant entre suçage de gland, gorge profonde, va-et-viens tantôt vigoureux, tantôt lents en insistant avec ma langue. Je m'amuse à le maintenir à deux doigts de la jouissance.
- Putain, tu suces trop bien... Tu veux que je te jouisse où ?
Comme réponse, je me contente de lui prendre les mains et les poser à l'arrière de ma tête. Il comprend aussitôt et commence à me baiser doucement la bouche, gémissant de plus en plus.
- Je vais jouir là, j'en peux plus...
Je lui fait signe qu'il peut y aller, qu'il peut se lâcher, se faire plaisir à fond, je me branle de plus en plus fort, enivré par le gout de sa queue, de son odeur de mâle, proche de l'orgasme, attendant qu'il se serve de moi comme vide-couilles pour me laisser aller.
Il m'attrape alors fortement la tête et devient bestial, donnant de grands coups de reins sans se retenir, me baisant la bouche sans retenue, laissant échapper des bruits entre le gémissement et le grognement. Je le sens alors se crisper, ses mouvements deviennent erratiques sans pour autant s'arrêter de me baiser violemment la bouche.
-Aaahhh !
Aussitôt, une vague de sperme se déverse en moi, une partie fonçant directement dans ma gorge et l'autre coulant avec force dans ma bouche. Le mec n'arrête pas de me pistonner la bouche et profite de son orgasme à fond.
- Putaaain salooope, prends tout ! Haaaan !
À genoux, la bouche envahie par sa bite et son sperme qui se déverse à flots, je suis aux anges, mon poignet s'active sur ma queue. Le jus du mec a un gout divin et alors qu'il s'enfonce au max dans ma gorge, je suis parcouru de tremblements, heureux de servir de vide-couilles, mon orgasme se déclenche enfin ! Ma queue crache alors une bonne quantité de jus, preuve de mon état d'excitation avancé. Je m'empale tout seul la bouche sur la queue du mec afin de profiter au max du moment, gémissant comme une salope.
- Ooh, t'es trop doué toi, putain...
Il se retire enfin de ma bouche, sifflant doucement d'inconfort : sa queue doit être sensible après l'orgasme, et le fait que je m'y sois accroché n'arrange pas sa situation. À contrecœur, je la laisse partir, comprenant très bien son état.
- Hmmm, wow. T'as bien joui toi aussi...
- Ah ça, je ne peux pas le cacher.
Il m'aide à me relever et me montre la salle de bain, vers laquelle je me dirige doucement, ma queue en main, pleine de jus. Je me nettoie vite fait et essuie ma bouche. Je récupère mes affaires et l'on se quitte avec un "merci" mutuel. Je redescends les étages et je sors de l'hôtel, le froid m'accueillant à nouveau.
En rentrant chez moi, je me dis que vu qu'il était à l'hôtel, il ne devait qu'être de passage, ce qui était dommage, car un bon plan comme ça en rentrant du travail, ça aide beaucoup à se détendre.
J'espère que vous avez apprécié mon histoire toute simple, n'hésitez pas à m'envoyer un petit mail si vous avez des remarques ou avis ! À très bientôt ! B.H.
Buffcake_Hunter
buffcake.hunter@gmail.com