Mon meilleur ami Ian et moi avions l’habitude de passer nos samedis soir à regarder des films tout en buvant et fumant. L’ivresse faisant son effet, ces soirées étaient très drôles et l’occasion pour nous de nous confier à l’autre. C’est donc très souvent qu’il me faisait part de sa frustration d’être toujours puceau à 25 ans tandis que de mon côté j’étais en couple avec ma copine depuis plus d’un an. Jamais il n’avait évoqué un quelconque désir pour une relation homosexuelle. Pour ma part, j’avais déjà connu quelques flirts avec des hommes, mais sans franchir le pas. J’étais très heureux avec ma copine, au point de m’imaginer finir ma vie avec.
Pourtant, un soir, alors qu’il était tard et que je commençais à somnoler devant le quatrième film de la soirée, je surprends mon meilleur ami à se caresser l’entrejambe devant une scène de sexe entre deux hommes… Cela m’amuse, mais je n’y prête pas plus attention tant je suis assommé par l’alcool. Mais quand je rouvre les yeux quelques minutes plus tard, il a migré sur le fauteuil un peu plus loin. Je discerne dans la pénombre qu’il a sa queue entre les mains et se masturbe pour de bon cette fois. Très surpris, je décide de me lever pour rejoindre discrètement la chambre d’ami et le laisser tranquille. Encore aujourd’hui, je n’explique pas ce qu’il s’est passé à ce moment… Je n’arrive pas à partir. Mes jambes ne répondent pas. Mon regard est obnubilé par sa queue et sa main qui la caresse. Sa respiration est saccadée, il tente tant bien que mal d’étouffer ses gémissements. Je sens qu’il n’est plus très loin de jouir. Cela m’excite. Je ne suis plus du tout fatigué, mon cœur s’accélère. Alors je m’approche doucement et sans dire un mot je m’agenouille devant lui. Il laisse échapper un couinement de surprise et s’arrête net. Nous restons quelques secondes sans bouger, sans parler. La télévision comble le silence et éclaire sa queue en érection. Je suis incapable de résister. Je la prends dans ma main. Il ne dit rien. Je commence à le branler. Il ne dit toujours rien. J’accélère. Il gémit. Alors je n’hésite pas plus longtemps et la mets dans ma bouche. Elle n’est pas très grosse, mais je n’ai jamais fait ça, je n’ose pas l’engloutir en entier. C’est lui qui pose sa main sur ma tête et initie le mouvement. Je la sens se gonfler un peu plus, je dois m’ouvrir davantage pour l’accueillir. Il accélère son mouvement, sa main se crispe sur mon crâne. À présent, son gland vient taper le fond de ma gorge sans hésiter. Il est à fond. J’ai peur d’étouffer, mais j’adore. Je sens que je bande comme un fou moi aussi. Très rapidement, il éjacule dans ma bouche. Je gémis presque aussi fort que lui à ce moment. Il se retire, j’ai la bouche remplie de son foutre. J’avale. Assez fier de moi, je cherche à croiser son regard pour savoir s’il a apprécié. Mais il détourne la tête, remonte son pantalon et éteint la télé comme si je n’existais pas.
« Bonne nuit. »
Il quitte la pièce pour aller se coucher, me laissant seul dans le noir.
À suivre…
Balous