1er Épisode | Épisode précédent
Mon Beau-père et madame en Afrique du Sud-1
Mon BoP reçoit une invitation protocolaire de la part du Boss pour venir en Afrique du Sud échanger sur les techniques d’élevage. Je suis en copie de cette lettre avec demande du Boss d’organiser le voyage à ses frais. Il me conseille d’insister si besoin çà ce que ma belle-mère nous accompagne. Il sait que mon BoP est hétéro et il ne compte pas le « gêner » par nos pratiques même hors de sa vue.
Fin février, Damien prend en charge l’exploitation (avec l’aide de Dylan et des deux morveux (Gaétan et Quentin).
Nous serons finalement : mes beaux-parents, Grégoire et Issa, Ernesto qui n’est encore jamais venu et Jalil que son emploi du temps laisse beaucoup de temps libre.
Vol direct en première classe pour Johannesburg. Mes beaux-parents commencent à s’habituer au confort. Nous autres restons « calme » du fait de leur présence.
A l’arrivée j’ai la surprise de voir que le Boss nous attendait avec Mapo. Les autres fois seuls son « service » était venu nous chercher. Accueil chaleureux de sa part. Avec Ernesto je monte avec eux. Jalil me fait un clin d’œil et embarque dans l’autre véhicule où Mati attendait. Je pense qu’ils vont arriver plus tard que nous !!
Durant le trajet, je présente mes beaux-parents, situe Ernesto et réciproque pour le Boss. La conversation reste très générale, météo, organisation locale, origine de notre hôte, exploitation généralités, élevage, cultures…
A l’arrivée, comme j’avais prévenu mes BoParents des « tenues » locale, ils ne montrent pas de surprise. En fait c’est même plus que ce que les jeunes se permettent de mettre sur leurs fesses l’été à la ferme !!
Le Boss nous installe dans nos quartiers. Je remarque qu’il a fait en sorte que la chambre de mes BoP donne sur le Bush. La notre à Ernesto et moi donne sur la cour centrale et les bâtiments dont celui des « ouvriers agricoles ». Jalil, Grrégoire et Issa occuperont chambre à coté à leur arrivée.
Jalil :
Quand je monte dans le 4X4 de Mapo, je suis content d’y trouver Mati. Grégoire et Issa aussi mais nous attendons d’être sortie de la ville pour les effusions. Les roulages de pelles sont voraces d’avoir dû attendre ce moment. Mapo au volant s’arrête dès que possible pour participer aux retrouvailles. Tous nous bandons mais Mapo nous rappelle que la route va être longue. Grégoire passe à l’avant et je me cale entre les deux jeunes blacks Issa et Mati.
Ils n’attendent pas que la voiture roule pour attaquer le touriste !! Ils remontent mon polo et baissent mon slim descendant en même temps le shorty ES que ‘j(avais pris la peine de mettre. A l’avant, Grégoire Bascule et, entre les mouvements et les bruits, nous devinons qu’il se met à sucer Mapo. A mes côtés, les t-shirts volent au-dessus des têtes et les shorts tombent aux pieds de leurs propriétaires.
Pas besoin d’artifice pour bander. Mon 22x6 est encadré des 26x6 d’Issa et des 28x7 de Mati. J’écarte les bras et branle mes deux voisins qui me rendent la pareille. Il leur faut quelques secondes pour accorder leurs mouvements et ça devient vite kiffait de se faire branler à deux mains de deux mecs différents. Moi je monte et descends les miennes pour faire glisser la peau fine qui recouvre leurs bites. Vite cela ne me suffit plus. Je m’agenouille entre les sièges et ils se rapprochent. Bassins collés, bras sur les épaules, ils se tiennent pour me faciliter le passage d’une bite à l’autre.
Miam j’adore avoir le pouvoir sur un mec rien qu’en usant de ma bouche et ma gorge. Ils apprécient sa profondeur, surtout Mati qui me connait moins. Vu la position, ils m’aident un peu en appuyant sur ma tête. Quand ils font ça, mon nez s’écrase contre leurs pubis (rasé pour celui de Mati). Et je ne dois ma survie qu’à ma grande capacité d’apnée !!
A l’avant Grégoire n’en finit pas de pomper Mapo. Quand ce dernier n’en peut plus, (1 heure de ce traitement quand même), il sort de la route pour trouver un coin tranquille.
La voiture tout juste immobilisée, nous sautons dehors. Coup de chaud par rapport à la climatisation mais les queues sont toujours raides.
Mapo attrape Grégoire et plaque sur le capot avant. Il lui baisse son slim déjà dégrafé et l’encule dans le même mouvement. Bien que sûrement surexcité, Grégoire laisse échapper un cri entre surprise, plaisir et légère douleur. On se prend généralement pas un 28x7 direct sans au moins un petit coup de langue sur la rondelle !!
On le voit ballancer du cul quand Mapo a totalement investi la place. Du coup on s’occupe de nous. Ou plutôt ils s’occupent de moi^^
Je me retrouve debout titubant, retenu de la chute par Issa qui me pompe et Mati qui me prépare le trou. Rapidement, même si moins que pour Grégoire, je me fais défoncer l’oignon par les 28x7 de Mati. Heureusement que la pipe d’Issa fait diversion !
Mais moi aussi j’apprécie cette sodo à sa juste valeur. Comme Mati balance son bassin pour me labourer les entrailles, je pose mes mains sur la tête d’Issa et écarte un peu plus les jambes pour résister aux poussées. Mati me prends par les épaules. Je me cambre et rejette ma tête en arrière. Plus grand que moi il se penche et nous pouvons nous mélanger les langues.
Roulage de pelle + pincement des tétons ses mains ayant immigrées sur mes pecs, sodomie profonde de grande ampleur tapant ma prostate à chaque pénétration et pompage de bite en mode gorge profonde, je résiste mais fini par ne plus réussir à le faire longtemps. J’explose et gave l’estomac d’Issa en direct. Il ne peut reculer mes mains plaquant son visage contre mon bas-ventre à faire rentrer ses dents dans ma chair. Chacune de ses déglutitions rajoute à l’excitation de mon gland.
Derrière moi, Mati lâche dans mon colon autant de giclées que les spasmes de ma rondelle laissent passer. Bien qu’absorbé par le plaisir, j’en compte au moins 10 qui vont me faire un lavement !
Il est encore à se décharger dans mon cul que je relève Issa et le pompe à mon tour. 4 passages dans ma gorge lui suffisent pour me gaver à mon tour.
On se détachent. Mati m’aide à effacer son passage : essuyage et passage de leur crème miracle. Mon anneau se resserre et je ne « fuite » plus.
Mapo est encore à enculer Grégoire. Il l’a posé dos sur le capot et grimpé sur le pare-chocs avant, il continue de le sodomiser. Grégoire, les jambes relevées et les chevilles posées sur les épaules de Mapo encaisse. Je sais que c’est un pro et qu’il lui ait arrivé de prendre plus volumineux encore mais c’était il y a déjà pas mal de temps vu que son Issa lui suffit.
Mapo descend de son marche pied en entrainant Grégoire avec lui. Il le porte jusqu’à l’arrière du véhicule que nous nous empressons d’ouvrir. Il pose Grégoire sur le sol du coffre et reprend sa sodo. Mati nous surprend en se glissant à l’intérieur pour venir s’assoir sur le 20x5 de Grégoire. Il accélère la conclusion du plan. Grégoire n’arrive plus à se retenir et jute dans Mati quand son grand frère lui remplit le cul.
La main d’Issa me pousse dans la voiture et nous renfilons nos vêtements.
Arrivée à destination plus d’une heure après la première voiture !
Sasha :
Mes BoParents sont curieux de tout. De l’architecture indéniablement coloniale de la maison et de ses alentours comme du rythme que l’on ressent jusque dans ses os. Le boss est un hôte parfait. Je ne l’avais connu qu’en homo dirigeant une exploitation aux employés homos et profitant librement de tout cela. Là, il est parfait d’urbanité et de conventions. Quand nous nous retirons, il prévient mes BoPs que la nuit, ils ne doivent pas s’inquiéter des bruits qu’ils entendront. Entre certaines bêtes sauvages et les grincements de la construction en bois, ils n’ont rien à craindre.
Il nous laisse dans notre aile, opposée à la sienne. Ernesto qui jusqu’à présent s’était retenu, présence de mes BoPs, me questionne alors que nous nous douchons. Je lui confirme que ce serait poli d’aller baiser notre hôte et s’il ne nous a pas attendu, nous devrions trouver avec lui un de ses employés TTTBM. Il est partant. Notre chambre communiquant avec celle des garçons, je passe les voir. Ils s’apprêtaient à rejoindre le logement des employés !!
Ils n’en n’ont pas eu assez à l’aller ?! Ils me confirment que non et nous faussent compagnie. Avec Ernesto, en peignoirs nous traversons la maison jusqu’à la chambre du maître. Aux bruits il est déjà en train de se faire démonter. Nous ouvrons la porte et le spectacle est là. Le boss chevauche un de ses employés et à ce qu’on devine à l’amplitude de ses relevés et à la lumière de la lune, ce dernier fait honneur aux critères de d’embauche.
Je m’approche du lit et quand mes mains se pose sur son dos pour le plaque sur le sorte du black, le boss tourne la tête et me fait signe que c’est Ok pour nous deux.
Je laisse tomber le peignoir et la queue déjà bien raide, je me kpote et enfonce mon petit 20x5 le long de la grosse queue noire.
C’est vraiment trop bon les doubles sodo. Je me cale bien au fond et profite des va-et-vient complets de mon collègue. Sentir un gros gland écraser sa hampe sur toute sa longueur avant de venir claque la couronne de son propre gland c’est super excitant. Et quand c’est répété c’est encore meilleur !
Avant de jouir, je cède ma place à Ernesto. Si la pénétration de mon 20x5 s’était faite sans difficultés, les 24x6 de mon mari espagnol demandent plus de délicatesse. Mais au final ils sont tout pareil dans le cul de Boss avec la queue black de son employé du soir.
Désœuvré, je m’agenouille à leurs têtes. Ma rondelle sur la bouche du black, ma queue raide attire la bouche de Boss qui me fait une fellation de pro. Gorge profonde (lol, il est habitué à sucer des 24x6 mini), travail du gland, il se fait plaisir avec une queue dont les dimensions lui permettent plus de variation que les grosses blacks qui lui défoncent régulièrement la gorge.
Je sens la grosse langue de mon annilingueur saliver ma rondelle, pointer et entrer dedans. Je me détends et la laisse pénétrer. Je le ressens sur plusieurs cm à l’intérieur de moi. Bel organe !!
Ses mains viennent bientôt en renfort et m’écarte les fesses pour faciliter l’accès. Bientôt deux doigts pénètrent mon trou au côté de sa langue. Heureusement que je sais me « détendre » car ce ne sont pas deux doigts de bureaucrate. Chacun doit faire le double des miens.
Il m’excite et j’ai envie maintenant d’une bite dans le cul moi aussi !!
Petit changement de position. Ernesto recule en gardant le Boss sur sa queue le temps que je m’installe sur mon préparateur. Ouf, il est TTBM mais pas au point de Mapo ! un bon 25 x 6 quand même ma rondelle, experte en dimensionnement de ce genre d’organe.
Je me plante et Ernesto revient alors et je me plante à ses côtés. Boss à perdu en diamètre total d’écartement mais son anneau colle rapidement nos deux queues.
Les mains du black viennent sur mes hanches et en force, il me soulève. C’est trop bon à nouveau. Sa grosse queue et surtout son gland champignon défonce mon colon et tape ma prostate à me faire jouir. Je dois fréquemment interrompre son pompage pour éviter cela.
Vu la longueur de sa bite je lui propose de venir nous rejoindre. Il capte direct alors que Boss non.
Je soulève mon bassin et il glisse du matelas. Je me couche à sa place et Ernesto se colle au dos de Boss l’écrasant sur mes pecs. Je sens rapidement le gland qui vient de sortir de mon trou essayer de se glisser entre nos deux queues.
Difficile. Il recule et revient recouvert de gel. En douceur ça ne passe pas. Je le sen prendre son élan et son coup de rein suivant propulse son gland au-delà de la première barrière. Cri guttural de Boss que l’arrivée d’un troisième joueur dans son intérieur a surpris. Ernesto me confirme que sa bite est écrasée comme jamais jusque-là. Petit temps d’adaptation de notre réceptacle et black pousse son avantage. Le sang de ma queue est poussé vers mon gland que je sens tendu comme jamais. Ça devient douloureux jusqu’à la délivrance : son gland vient de passer le miens !! Ernesto serre les dents et son soulagement est identique.
L’anneau de Boss nous comprime et quand son employé recule, il nous entraine avec lui. Boss s’adapte après tout il s’est déjà fait en double Mapo et Mati soit les deux 28x7 à sa disposition !!
Après trois va-et-vient de ce genre, je m’arque boute pour rester au fond au recul suivant. Putain de plaisir quand mon gland se fait écraser par celui du black ! la situation est telle que bientôt personne ne peut plus se retenir et nous jouissons tous à quelques secondes. Je sens le jus de Boss trouver une échappatoire entre mes carrés d’abdos et glisser sur ma taille. Ses contractions anales nous bloquent et je jouis de l’écrasement produit. Mon jus est le premier à remplir son colon mais il est vite rejoint par mes deux complices et mon gland baigne dans une mare de sperme.
Je reste raide et ne sens pas mes comparses dégonfler rapidement. On stase et tout le monde finit par se détendre un peu. Black est le premier à sortir bientôt suivi d’Ernesto. Je sens Boss travailler due l’anneau pour serrer à chaque départ. Quand je sors à mon tour, il fait le tour de force de me coller au plus près et de se fermer juste à près que mon gland soit sorti !! Bel exploit quand on sait qu’il vient de subir un écartèlement peu commun.
LE black se retire discrètement nous laissant tous les trois.
Boss nous remercie d’être venu lui rendre « visite ». Il caresse la queue d’Ernesto qui, demi-molle, reste encore impressionnante pour un blanc. Il lui dit que c’est la plus grosse blanche qui est jamais venu défoncer son cul.
Avant que nous regagnions notre suite, il nous dit âtre heureux de notre venue et me dit qu’il fallait qu’on se parle plus tard.
Peignoirs sur l’épaule nous traversons les couloirs. Le silence est tel que je passe la tête dans la chambre des jeunes : vide !
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!