Soumission & Domination

Monaco 3 -624

Killian:

Je retrouve mes copains après ma première nuit auprès de notre client. Ils sont finalement plus fatigués que moi. Et quand j’entends leurs récits, cela ne m’étonne pas. Se faire baiser par le capitaine puis remettre ça avec un des matelots, finalement ils auront plus baisé que moi.

Mais vu ce que je me suis pris dans le cul, une fois cela m’a suffi.

Le client est aussi respectueux que la première fois où nous nous sommes rencontrés. Il sait la particularité de son anatomie et sait aussi que Sasha n’apprécierait pas qu’il nous « casse » le cul. Sa cabine fait le double des nôtres et est totalement équipée pour la baise. Slings accrochés au plafond. 1 au-dessus du lit, l‘autre à coté pour baiser debout. Son tiroir à godes, s’ils ne sont pas tous réalistics, offre une belle palette de taille, tout comme la collection de plug.

Si nous avions des questions à savoir comment ses couilles pouvaient pendre si bas, j’ai résolu le problème. Il se balade avec un ballstrecher en inox d’au moins 200 ou 300g. Effet intéressant comme il m’a sodomisé.

Je leur annonce que nous devons choisir un matelot qui sera attaché plus particulièrement à notre service durant toute la croisière. Pour Anne, le choix est fait. Le mousse qui l’a « servi » ce premier soir lui plait particulièrement. Tilian lui pense plutôt à un autre que celui avec qui il a baisé la nuit précédente. Je précise que nous avions le droit de les tester avant de choisir. Rire d’Anne qui pense que son mec, Tilian, va essayer la totalité du personnel de bord avant de choisir. Je pense pareil connaissant bien mon pote. Il ne dit pas non et commence déjà à planifier qui et quand.

Ostie : Anne nous coache dans la visite éclair de Rome. Dans un taxi que nous prenons pour la journée (du coup on s’est pris le plus jeune et plus canon de ceux qui attendait au port, mais pas le plus raisonnable !). En ayant échappés à plusieurs accidents (enfin si nous avions été en France), nous avons visité : La chapelle Sixtine, le Colisée et la fontaine Trévi (témoin d’un gros roulage de pelle entre Anne et Tilian).

Retour à bord et départ vers la Sicile direction Catane par le détroit de Messine. Pas de culturel cette fois mais du sportif avec un trek sur l’Etna.

Tilian :

C’est ma journée avec le client. Je laisse mon mec et mon pote baiser à couilles rabattues avec l’équipage tandis que je taffe. Bon, c’est vrai qu’il y a plus pénible que ça. Surtout que la journée commence après déjeuner quand le boss a expédié les affaires du jour.

Sieste crapuleuse comme le dirait ma mère. Je la passe à me faire préparer la rondelle. Massage à l’huile, assouplissements aux godes tailles croissantes, entrecoupés de phase de repos au plug, je fini l’après-midi avec un plug queue de clebs dans le cul ! Identique à un gode de cette espèce mais avec un diamètre de resserrement plus réduit. Je me suis jouit dessus pas moins de 3 fois durant tout ce temps. Et ce qui m’a le plus surpris c’est qu‘à la troisième fois j’avais toujours autant de jus. Pas une goutte de perdue, monsieur a tout avalé me relarguant généreusement ma dernière éjaculation dans une pelle appuyée jusqu’à disparition complète de mes petites cellules.

Je suis surpris par l’absence d’inconfort que ce « plug » menaçait de provoquer en moi. Déjà la boule fait bien dans les 7/7.5cm de diamètre et le reste une belle longueur de 15cm plus étroite à la pointe et à la base mais au plus fort d’un bon 5.5cm quand même. La graisse à gode ne pénètre pas et je reste bien lubrifié. Avec le maillot de bain, il faudrait de bons yeux et mater précisément ma rondelle pour apercevoir le T qui l’empêche de s’enfoncer total. Même intérieurement je m’habitue.

Evidement je ne peux m’empêcher de montrer ça à Anne. Dans ma cabine, à 4 pattes sur le lit je pousse et expulse l’engin. Anne a des yeux comme des soucoupes quand il se rend compte que c’est une bite de clebs. Il m’aide pour la remettre en place et nous finissons l’aprèm sur le pont à bronzer et mater qui sera le prochain matelot à baiser. Je participe au choix de mon petit copain.

Le Second que nous réquisitionnons nous renseigne sur les spécialités de chacun. Qui a la gorge la plus profonde et large, qui se fait mettre sans avoir besoin de plus de préparation qu’un peu de salive sur le gland, qui apprécie les doubles sodos. Idem en ce qui concerne la soumission. 4 d’entre eux vivent avec une cage de chasteté en permanence. Notamment les deux matelots d’origine arabe, malgré leurs queues plutôt grosses au repos.

Il nous informe de la hiérarchie de baise qui calque celle du bateau. Le propriétaire est prioritaire sur tous, suit le capitaine puis lui-même. Après c’est qui veut avec qui accepte sans rang. Bien qu’officieusement le chef cuisto se « prend » un droit de cuissage sur les mousses. Il nous garantit que ceux que nous aurons choisi ne seront plus qu’à notre service pour toute la durée de la croisière.

Anne opte pour un autre des mousses, limite clone de son premier choix. Le second nous renseigne qu’il provient de la même ile et est un ami d’enfance de son premier choix : Kees. Anne me surprend en nous disant que c’est la première fois qu’il entend son prénom.

Je ris qu’ils étaient top occuper à baiser !

Son prochain sera donc Tijn.

Pour moi ce sera Ziad un des deux arabes. Ça m’intrigue de baiser un mec sous cage. Même si ce ne sera que demain. Nous apprenons son surnom Zi-Va. Le mec sachant tout lâcher pour donner du plaisir à son partenaire.

Le second le fait appeler. Dans la minute arrive un beau brun, très noir de cheveux et comme les autres aucun autre poil. Dans les 1m75, musclé à l’identique du reste de l’équipage (c’est-à-dire autant que nous) il arbore un bronzage naturel accentué par le soleil de méditerranée sur une peau qui n’a pas l’air de connaitre la couverture d’une djellaba.

Comme il s’approche à portée de main, je tire le devant de son maillot blanc et découvre une belle bite circoncise encagée d’inox brillant. Quand je relève les yeux, il n’hésite pas à fixer les siens dans les miens. J’aime l’absence de « honte » que j’y lis. Quand le second l’informe que le lendemain qu’il sera à mon service, un grand sourire lui barre le visage.

En attendant le patron me fait demander.

J’arrive dans sa grande cabine. Il est déjà à poil et bande comme un taureau. Je tombe mon maillot et m’agenouille devant son sceptre. En plongeant j’ouvre grand la bouche et engouffre dans le mouvement son gland et une partie de sa bite.

Il me laisse téter son gros gland quelques minutes avant de me relever et de vérifier le matériel qu’il m’avait confié. Il sort le plug qui glisse avec un bruit mouillé. Je sens un vide alors que je ne sentais pas être plein quelques instants plus tôt !

Il me tourne et me plaque sur son lit. J’écarte les jambes, il se couche sur mon dos. Je sens sa queue fendre mes fesses et son gland trouver mon trou. Un petit coup de rein et il me l’enfonce en moi.

Reflexe, je serre ma rondelle. J’ai le plaisir de la sentir cercler sous la couronne et retenir sa poussée. Comme il insiste, je ne fais pas mon récalcitrant et le laisse me défoncer. Le reste de la bite en plastique m’a préparé juste comme il faut. Suffisamment élargi pour que sa bite me pénètre totale (25cmx7, excusez du peu !), mais pas trop pour qu’ils soient bien serrés. Je suis soulagé quand ses hanches écrasent mes fesses. Il me les écarte et ajoute ses derniers mm.

Il arrive à me faire kiffer la sodo passive moi qui préfère plutôt l’autre côté du service.

Il me lime la rondelle quelques minutes avant de me soulever sous les bras et de me décoller du matelas. Il traverse la chambre comme si je n’étais rien (alors que je fais quand même plus de 70Kg ! Il me pose sur le sling après avoir fait tourner sa « brochette ». Dos sur le cuir suspendu, je me fais attacher chevilles et poignets aux suspentes. A partir de là il me défonce royalement. Pilonnage de son gland au plus profond de moi, limage de ma rondelle sur la totalité de sa queue, sortant le gland, attendant que je me referme un peu avant de le replonger tout au fond, caressant mon oignon avec la pulpe de son gland jusqu’à ce que je supplie qu’il me l’enfonce, il m’a, une heure durant, excité comme je l’ai été peu de fois par cette partie de mon anatomie. Apothéose : il m’envoie ses premières éjaculations (j’en compte 5) au fond de mon ventre avant de sortir et de me couvrir de sperme. C’est quand je sens son gland gonflé par le jus qui le traverse passer ma prostate que j’explose à mon tour et que mon jus précède le sien sur mon torse et mes abdos.

Je suis musculairement fatigué. On se douche ensemble et réciproquement nous frontons nos dos. Je repars de sa suite juste le temps de retrouver Anne et Killian et de rejoindre le service du soir. Le diner n’est servi que quand notre boss a tous est prêt.

A sa table nous discutons de tout. De notre visite de Rome à notre future ascension de l’Etna demain.

Il nous dit qu’il n’a pas encore fixé toutes les étapes et qu’il avisera selon son désir. Nous ça nous va de toutes les manières, il n’y a qu’Anne qui connais la Méditerranée. Pour Killian et moi c’est une première.

Il nous quitte vite. Même rompu je bande à l’idée de me faire mon arabe en cage !

Zi-va se pointe dès le départ de notre Boss. Tout comme Kees et Tijn qui viennent coller Anne. Un des brésilien vient s’assoir sur les genoux de Killian et lui rouler une pelle qui coupe le souffle de mon pote. Il se présente : « Rhaul ». Quand il se lève je vois que mon pote ne perd pas beaucoup au change d’avec notre boss. Le Maillot de Rhaul est nettement déformé par une grosse barre horizontale qui courre sous le tissu élastique jusqu’à sa hanche quant à son cul, une perfection de rondeur et de format.

On ne s’attarde pas non plus au salon et chacun nous regagnons notre suite, accompagné.

A peine entré dans la chambre, je pousse Zi-va sur le lit. Je le projette devrais-je dire !

Le temps de le rejoindre il est sur le dos. Je me couche sur lui et on se roule une pelle de ouf. Belle langue qui devrait me faire des léchages de cul divins ! en attendant il essaye de m’attraper les amygdales 😉

Je sens sa cage sursauter contre ma cuisse quand l’excitations tente de le faire bander. Je suis trop curieux et rapidement je me décolle pour baisser son Aussiebum qui recouvre la partie qui m’intéresse. Je reste redressé pour mieux mater. Comme j’avais eu l’aperçu. Beau mec paraissant le même âge que nous, total épilé, bronzé intégral sur une base déjà cuivrée. Musclé juste ce qu’il faut pour habiller sa carrure, c’est-à-dire beaucoup mais pas trop non plus. il me laisse le mater, quand il estime que j’ai les yeux suffisamment exorbités, il se tourne et me présente le dos. Le V de son dos est plus marqué tout comme la vallée de sa colonne vertébrale qui n’a d’intérer que de faire glisser son regard vers ses fesses. Petites et rondes elles sont fendues en deux par un sillon qui me semble profond. Sur la fesse droite un Neptune indique de son trident la direction de son trésor enfoui (sa rondelle pour être plus clair).

Je ne peux ni ne veux me retenir. Une main sur chacune des fesses, j’écarte lentement. Son anneau se dévoile. Bien que sûrement sollicité par du lourd (le boss et le capitaine sans compter s’il se fait aussi d’autres membres du reste de l’équipage, elle ne présente qu’un plissé légèrement plus ovale qu’une rondelle neuve. Pas un poil non plus sur cette face. Je me penche alors qu’il se cambre et remonte son bassin. Bouche ouverte, langue sortie, le contact est électrique. Gros frisson de part et d’autre alors que j’écrase mon visage contre les falaises qui entourent son trou.

Ma langue pointe et directe elle s’enfonce d’un bon cm avant d’être prise au piège. Il me démontre un bon tonus de rondelle ça promet quand je vais mettre ma queue, miam !

Ma main vient devant tâter sa bite, elle rencontre l’acier inox. Mais, par chaque interstice, la chair déborde. J’imagine une douleur alors que je ne cesse de l’exciter.

Ses couilles, libre elles, ballottent au rythme de ses tentative de bandaison avortées. De belle tailles (la poche est aussi grosse que sa queue cage comprise), ses boules roulent sous mes doigts. Je suis trop excité. D’avoir été baisé une bonne partie de la journée, ou tout simplement par la vue que j’ai sous les yeux, je ne me retiens pas et remplace ma langue par mon gland. Le mouvement conjoint de rapprochement (moi en pression et lui en recul) m’a fait le défoncer direct jusqu’aux couilles. Je manque de lui remplir le boyau !!

Je reste au fond le temps de faire baisser la pression. Il en profite pour tendre ses bras en arrière et écarter ses fesses avec ses mains. Encore en pression, je sens mes derniers s’enfoncer de l’autre côté. Gémissement de part et d’autre ! Trop bon !!

La conscience m’échappe. Je me mets à lui défoncer le cul comme je n’ai encore jamais osé le faire avec personne, même pas avec Jimmy pourtant bien adepte des sodos hards et profondes. Il encaisse, en redemandant même quand je baisse de régime. A bout, je me vide au fond de lui avec de grands vat et vient. Quand il sent mon gland prêt à sortir il serre sa rondelle et m’en empêche. Encore plus excitant. Je jute au moins 10 fois et il prend tout^^

Je suis vide mais je bande toujours !! il réajuste les positions : moi couché sur le dos, lui empalé sur ma bite qui refuse de molir face à moi.

Il me tend la clé de sa cage. J’ouvre et se déplie devant mes yeux une belle bite de 20/21 x 5.5 minimum. J’allucine quand je la vois par rapport à l’espace limité de l’inox. Il se penche en avant et embouche son gland puis plus de la moitié de sa queue. Deux, trois hochements de tête et il se gave de son jus. Trop bo de le voir déglutir. J’en veux !! j’attrape sa queue et serre sous son gland. Il ne peut replonger sa tête. C’est la mienne qui prend la place et reçois les 3 dernières salves en direct de ses couilles.

Je garde en bouche et l’attrape par le cou pour lui rouler une pelle. Il en avait gardé ne bouche lui aussi. Bataille de langues noyées dans une mer de sperme.

Je débande enfin. Lui aussi ramolli sa queue contre la mienne. Quand nous avons la bouche vide, nous nous décollons et les yeux dans les yeux nous éclatons de rire.

Discussion sur l’oreiller de comment chacun en était arrivé là. Moi, de mon parcours chez Sasha (sans divulguer de nom), lui de son enfance à naviguer en felouque sur le Nil à servir de vide couilles à son père et ses oncles. De son « achat » par son boss et notre client.

La fatigue me prend et je m’endors.

Killian, Anne & Tilian pour Jardinier