Très chers lecteurs, bonjour ! Je tiens tout d’abord à vous souhaiter la bienvenue dans mon espace, tout en espérant que vous allez bien. Entre autre, drôle m’est-il parfois de repenser à mes petites galipettes et je me suis dit : pourquoi les gardés que pour moi !? C’est ainsi que je suis ici pour que vous partagiez ce sourire que j’ai sur les lèvres au moment où je vous conte cette histoire. Demeurant dans l’espoir que ça vous plaise. Bonne lecture !
NB: ( CECI EST UNE HISTOIRE VRAIE. )
*** ***
Je m’appelle Alex et j’ai 24 ans. Il y’a 3 jours de cela, j’étais dans mon lit en une parfaite matinée de jeudi entrain de scroller sur le site Pull and Bear, à la recherche d’un coup de cœur. Cependant, étant un amoureux des achats physiques, j’avais du mal à visualiser les vêtements sur moi. Je me décidais alors de me rendre dans une boutique Pull and Bear d’Orléans. Je quittais chez moi à 11h et au plus tard 13h j’y étais.
Comme je l’adorais il n’y avait pas grand monde dans la boutique pour ne pas dire qu’elle était presque vide. Je sillonnais les rayons à la recherche d’un article intéressant, passant des jeans aux cargos, des cargos aux chemises, et des chemises aux baskets. Ne me décidant pas, je choisis de prendre quelques chemises, pantalons et d’aller les essayer quand, arriver dans le couloir menant aux cabines d’essayage je croise un bel homme à la peau de bronze, cheveux très courts, boucles d’oreilles, belle corpulence tout vêtu de noir. Il n’était pas très grand ni très court. Au moment où l’on se dépassait, j’avais l’impression que le temps s’était arrêté, je regardais ses yeux quand soudain je ne sentais plus que son parfum. Je me rendis dans l’une des cabines, tirai le rideau et essayais mes vêtements. Après m’être changer, je suis sorti pour me voir dans le grand miroir qu’il y’avait dans le petit couloir. A ce Moment, je le voyais à travers le miroir, il pliait quelques vêtements quand il leva les yeux de mon côté en me souriant légèrement. C’est là que le jeu de regard commença. Je le regardais et lui me regardait. Il prit les vêtements qu’il avait plier et s’effaça . Là je soupirais et me rendis dans la cabine une seconde fois, essaya une autre tenue et alla encore me voir dans le miroir quand cette fois-ci il vint vers moi et me dit d’une voix suave et posée :
- « Je peux t’aider ? »
Étonné je ne savais pas quoi répondre ! Son regard me transperçait, je sentais de grosse bouffée de chaleur et maladroitement je me suis retourné vers lui et je répondis : - « Non merci ça ira », je maudissais deja mes mots quand il insista :
- « Tu es sûr ? »
Là un instant de silence. Je baissais mes yeux et m’arrêta sur son paquet. Il y mis sa main et me dit :
- « Tu la veux c’est ça ? »
Timidement comme un gosse pré pubère je répondis affirmativement de la tête et il me sourit en lâchant :
- « Où se trouve ta cabine, ici ? »
Je hochais de la tête.
Il regarda derrière lui, puis entra dans la cabine. Je le suis à mon tours et tira le rideau.
Là, il me saisit, m’attira vers lui avec fougue et m’embrassa. Il me regardait en me disant : - « Ça va ? »
Je ne répondis pas et je me suis mis à l’embrasser à mon tour. On s’est embrassé pendant un petit moment, puis peu à peu et délicatement il déboutonna mon jeans, le baissa un peu et introduit sa main dans mon boxer, m’appuya le cul et enfonça son doigt dans mon anus serré. Là je gémissais quand il me dit : - « Chut ! On va nous entendre »
Effectivement j’avais oublié en une fraction de seconde où on se trouvait.
On s’embrassait, il mit de la salive sur ses 2 doigts et les introduit en moi. A ce moment j’avais juste envie de me déshabiller, me mettre au sol et m’ouvrir juste pour lui. Mais j’avais un peu trop de classe pour ça hahaha. Je voulais me mettre à genoux pour lui faire une fellation quand il m’arrêta :
- « Si tu me suces je voudrais jouir, sauf que je veux te baiser avant. » chuchotait-il
Je lui dis que ce serait inconfortable de le faire ici, fait qu’il approuva. Il me dit qu’il finissait vers 20h, mais qu’il n’habitait pas tout seul. Je lui ai dit que moi si. Il sourit et me demanda où ? Je lui ai dit où j’habitais et il me répondit :
- « Tranquille alors, je viendrai chez toi après le travail. Sois prêt. »
On s’échangea nos numéros, il me fit une bise et sortit de la cabine en prenant le soin qu’il n’y avait personne dans le couloir. Je n’arrivais pas à y croire. Je souriais. Là je pris quelques articles, passa à la caisse, lui sourit et m’en alla.
*** ***
Le soir, aux environs de 22h il arrivait chez moi. Bizarrement, il me paraissait encore plus beau sous cette lumière et dans ce décor. On ne perdit pas beaucoup de temps, on s’embrassait passionnément, j’en avais des frissons, il descendit mon short, me doigtait, je gémissais, il allait plus fort et je gémissais encore plus fort. Je débouclais sa ceinture, baissait son pantalon, sentait l’odeur de sa bite qui grandissait à travers son boxer que je retira et me mis à le sucer: j’y allais doucement, puis plus vite et encore, elle avait une taille parfaite, il gémissait à son tour et j’étais plus impliqué parce qu’il aimait ça. Je le fis pendant un moment quand nous sommes allés dans ma chambre. Il se déshabilla complètement. Oh mon Dieu ! Oh mon Dieu son corps était un bonheur pour les yeux. Il me poussa sur le lit, venait vers moi comme un prédateur, m’embrassa, me lécha les tétons, la bite et là, en m’écartant les jambes, avec sa langue chaude et humide il me faisait un anulingus phénoménal. Je gémissais fort, il me doigtait, me léchait et ainsi de suite.
- « Je veux te niquer maintenant », dit-il.
Je pris un sachet de capote et du lubrifiant. On fit ce qu’il fallait faire et : Tout doucement, tel un couteau dans du beurre, il me pénétra. Je n’avais jamais senti une bite entrer en moi de cette façon. Il entamait des vas et viens avec des mouvements progressifs, je le sentais en moi, au fur et à mesure je m’ouvrais, il allait plus vite et plus fort, j’haletais comme un chien assoiffé, il n’arrêtait pas : « T’aimes ça einh ?! Tu le voulais n’est-ce-pas ? Vas-y comme ça… Oui… non, non, ne te contracte pas, ouvre toi… Oh oui, ouvre toi comme ça… tu n’as pas le droit de me repousser…» disait-il en gémissant.
Je sentais tous ses mouvements en moi. Il cognait ma prostate avec hargne, je gémissais comme un fou, une vague de chaleur m’emparait et je jouissais abondamment sans me toucher. Il ne s’arrêtait pas, tel un taureau mécanique il allait encore plus fort : - « Oh oui c’est bon… ton trou est un délice… oh oui… » Après ces mots, tout tremblant il s’écroula sur moi. Il prit une bonne bouffée d’air et se retira de moi. Me demandant la permission, il alla dans la salle de bain, sorti, se rhabilla : - « Tu comptes repasser à la boutique ? »
- « Seulement si tu comptes revenir chez moi »
Il sourit.
- « Alors on se verra très fréquemment » fut-il en riant.
Je me leva du lit, on s’embrassât, je le conduis à la sortie et devant le seuil il me fit un clin d’œil coquin. Il s’en alla et je ferma la porte.
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Pour ceux qui se poseront la question, nous sommes toujours en contact et on prévoit se revoir la semaine prochaine Hahaha. On ne change pas le numéro gagnant.
Ps: Si cela vous a plus, n’hésitez pas à me le faire savoir. À bientôt pour de nouvelles aventures. Bisous
Alex 🐝
oxfordalex4@gmail.com
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