Bonjour à tous,
Lors de l’été 2020, il m’est arrivé une expérience étrange avec un prof d’EPS nommé Eric. Cette matinée m’a beaucoup marquée.
Je m’appelle Alexandre. A l’époque j’avais 21 ans. Tout juste diplomé, j’avais loué un studio à plusieurs dizaines de km de la maison familiale. Ne décrochant que des contrats assez courts, j’avais le temps de commencer le running. Physiquement je suis assez banal : 1m70, mince, typé nordique et introverti.
Un matin du mois d’aout, j’ai décidé d’aller courir dans la campagne entourant ma nouvelle ville. Je préférais courir au matin afin d’éviter la grosse chaleur. 7h, je me lève. La nuit avait été chaude j’avais donc dormi nu. Je ne me douche pas, j’enfile un slip et un short allant jusqu’au genoux plus un t shirt blanc en coton (je n’avais pas encore investi dans des vêtements de running un peu plus pro’). Chaussettes et basket aux pieds je sors de chez moi. Sur le trottoir, j’allume ma montre. J’avais l’intention de courir 1h. A cet instant, j’entends la porte d’entrée de la maison voisine s’ouvrir. Je me retourne et vois un mec équipé comme un runner pro’ sortir de chez lui. Nous sommes à max 5 mètres l’un de l’autre. Il est plus grand que moi, 1m85 environ, 38 ans. Mince, il porte un débardeur léger et un mini short de running. C’est un sportif confirmé. Il me salue avec un grand sourir.
Kurt
E (Eric) : Salut !
A (Alexandre) : Bonjour !
E : En forme ? Combien de Km ce matin ?
Il était évident qu’Eric avait le contact facile.
A : 1h… +- 11 km…
E : Pas mal ! Tu vas par où ?
Je lui décris mon parcours. Pendant ce temps-là, Eric fait ses lacets puis remonte un peu son débardeur au niveau du nombril pour serrer son short. Il a de léger abdo sans poils visibles.
E : Attends j’ai mieux comme parcours. Suis moi !
A : Je ne suis pas sûr de pouvoir te suivre. J’ai commencé à courir il n’y a que quelques semaines.
E : Pas grave mec. J’ai déjà couru hier matin. Ce sera de l’entretien pour moi. Au fait, moi c’est Eric !
A : Alexandre moi.
Nous nous serons la main et commençons notre running. Je suis derrière lui. Sa foulée et plus grande. Bien que je sois derrière lui, Eric continue de me parler.
E : Tu vas voir, le running c’est addictif ! J’en fait depuis que je suis prof d’EPS.
De mon coté je lui explique mon emménagement dans cette ville que je connais peu. Le suivant à plus petit rythme je peux mieux juger son physique : il a de grandes jambes très peu poilues, son short est un « raz des couilles » de runner pro’. Il lui arrive au bas des fesses et il est fendu sur les cotés. Le mouvement de ses jambes laisse penser qu’il ne porte pas de slip. Le filet interne de son short lui suffit de toute évidence.
Nous courons pendant 20 minutes. Eric parle. Je le laisse faire car je suis plus essoufflé que lui. Je me force un peu pour garder son rythme. Parfois j’arrive à revenir à son niveau mais pas pour longtemps. Nous commençons à beaucoup transpirer.
E : Putain ‘ fait chaud !
Là Eric retire son débardeur. A cet instant, j’étais à son niveau. Torse nu, il accroche son débardeur à l’élastique de son short. Eric est musclé sec, sans poils nulle part. A ce moment là, je suis à coté d’un mec presque nu que je ne connaissais pas il y a encore une 1/2h. Eric doit avoir beaucoup de confiance en lui.
E : T’as pas chaud avec ton gros t shirt coton là ?
J’avais chaud effectivement et vu la sympathie que dégageais Eric, j’ai retiré mon t shirt.
E : Voilà c’est bien ça mec ! Le vent va te sécher aussi !
Je lui fais un grand sourire car je suis trop essoufflé pour parler.
Il éclate de rire et me secoue virilement l’épaule avec sa main. Je fais mine de trébucher pour « jouer » le jeu. Eric est un bon pot me dis-je.
Là, Eric baisse le regard et parle de mon short pas vraiment adapté au running.
E : Il est pas super ton short pour courir Alex ! Il est beaucoup trop long tu vas avoir des frottements et des brulures. Tu devrais porter des « X » (il me dit le nom d’une marque qui m’est inconnue).
A : Oui c’est vrai que par cette chaleur c’est pas top…
E : Moins on a de tissus, moins on a de lessive !
Eric éclate une nouvelle fois de rire et tire un peu sur mon short pour le faire descendre le long de ma hanche. Pendant 2’’ mon short est de travers. Le haut de ma fesse droite est visible.
E : Allez on accélère ! Les jolies filles c’est par là !
A : Eh ! Attends !
Kurt
Nous continuons notre running dans la bonne humeur. Les km s’accumulent. Nous transpirons à grosses goute. Mon short est trempé de sueur. Celui d’Eric lui colle aux fesses et même sur le devant. Je peux deviner que le sexe d’Eric est sur la gauche.
Kurt
Nous revenons devant chez nous. Essoufflés, fatigués, nous reprenons notre souffle une grosse minute sans nous parler.
E : Une petite bière chez moi Alex ?
A : Avec plaisir !
Kurt
Nous entrons chez lui. Eric se déchausse et retire ses chaussettes dans son hall d’entrée. Il laisse tomber son débardeur au sol. Je fais de même. Me voilà dans le salon d’Eric torse nu et pieds nus. Eric revient de la cuisine avec une canette de bière. Je peux mieux le voir de face : uniquement en mini short de running c’est clairement un athlète.
E : Santé !
A : Santé !
Nous buvons s à grosses gorgées notre bière.
Soudain, du coin de l’œil, je remarque la terrasse d’Eric. Il possède un bain à bulle gonflable (très à la mode à l’époque).
A : oh ! tu as acheté ce truc là ! C’est bien ?
E : C’est trop bien après le running ! Tu veux essayer ?
A : Pourquoi pas oui, dis-je plein d’entrain
Nous nous dirigeons vers la terrasse et le bain à bulles, canettes de bière à la main.
E : J’ai changé l’eau hier soir.
Eric appuie sur un bouton et les bulles commencent à jaillir.
E : Viens, on y va !
A ce moment là, Eric passe ses doigts sous l’élastique de son mini short et le fait glisser le long de ses cuisses pour le faire tomber au sol. D’un coup pied, il envoie son short de l’autre coté de la terrasse. Eric est dès lors complètement nu devant moi. A aucun moment il n’a essayé de cacher son sexe pour vite entrer dans le bain. Il est là, face à moi, nu. Dans son regard je peux voir que la situation ne lui pose aucun problème. C’est comme si nous étions des frères entre lesquels il n’y aurait aucune ambiguïté. Ces 2-3 secondes me paraissent durer beaucoup plus longtemps. Son sexe est long et légèrement plus fin que le mien. Ses couilles se balancent de gauche à droite. Eric n’a aucun poil, même au pubis. Il se dirige vers le bain.
E : Alors ? Tu viens ?
Je laisse également tomber mon short puis mon slip. Je suis nu également mais n’étant pas habitué à être nu devant un autre homme, je me cache le sexe pour me diriger vers le bain. Eric y entre en enjambant le rebords. Ces fesses musclées se contractent dans le mouvement. J’entre également et m’enfonce dans l’eau jusqu’au torse.
Dans l’eau remuée par les bulles, Eric est face à moi. Le bain n’étant pas très large, nous allongeons nos jambes en faisant dépasser nos pieds à l’extérieur. Dans cet position, nos bassin remontent un peu à la surface. Nos sexe et couilles ne sont immergés que d’une dizaine de cm. Je sens les bulles rouler sur mes fesses. Elles font également balloter nos pénis. Nous continuons notre canette de bière.
E : Trop bien putain
A : c’est clair… t’as de la chance d’avoir ça !
Le silence s’installe. Nous fermons les yeux et apprécions l’instant
Au bout d’un minute je rompt le silence.
A : ça fait longtemps que tu cours alors ?
E : une dizaine d’année…
A : et… excuse moi pour la question... mais tu es imberbe ou tu te rase le corps ?
Sans ouvrir les yeux Eric me répond avec le plus grand des naturels. La question ne le gêne absolument pas.
E : je ne suis pas beaucoup poilu mais quand même un peu aux aisselles et services trois pièces. Donc je passe un coup de OneBlade sur le pubis et les couilles. Je t’enverrai le lien amazon si tu vois pas vce que c’est comme rasoir…
A : je veux bien oui.
Eric ouvre alors les yeux et regarde mon entre jambe velu très visible sous les 10 cm d’eau.
E : Si tu veux éviter les problème de peau et les odeurs, il faudra raccourcir tout ça, dit-il en pointant mes poils pubiens.
Il était évident que ma « touffe » allait devoir être fortement raccourcie.
E : regarde, la OneBalde c’est parfait !
C’est alors qu’Eric s’est mis debout dans le bain. Je l’avais en face de moi, le visage juste au niveau de son sexe et de ses couilles. Il n’y avait pas plus 50 cm entre lui et moi. Eric écarta un peu les jambes et souleva ses couilles.
E : Pas une rougeur, pas un seul frottement !
Eric avait effectivement une peau toute lisse et sans poils incarnés. Cependant, la situation commençait quand même à me gêner. J’avais le visage à 50 cm du sexe d’un autre homme. Si quelqu’un nous voyait il aurait pu s’imaginer des choses…
A cet instant, ma montre sonna. Midi ! Ce fut pour moi un soulagement.
A : Désolé Eric, je dois filer il est déjà midi.
Je sorti de l’eau d’un bond. J’entrepris de me sécher rapidement avec mon short. Eric sortit de l’eau également.
E : Attends 1 minute je reviens !
Eric retourna dans le salon complètement nu et mouillé. J’entendis qu’il montait à l’étage. Après quelques secondes il redescendit. Il s’approcha de moi en trottinant avec un tissu en main. Ses couilles et son pénis ballotaient dans tous les sens.
E : Tiens, essaie le.
Eric me tendit un short de running. Il était aussi court que le sien.
E : Il a un filet respirant intégré, donc pas besoin de slip, dit-il en me faisait un clin d’œil.
A : Merci… je vais l’essayer la prochaine fois que je cours.
Je mis le short sous mon bras.
A : A la prochaine fois Eric !
E : Avec plaisir Alex ! Bye !
Je sortis de sa maison et rentra chez moi.
Les jours qui ont suivi, j’ai repensé à cet matinée avec Eric. Sa sympathie naturelle et la légèreté avec laquelle il traitait la nudité m’avait impressionné.
Etrangement, je ne revis que très peu Eric dans le quartier. Les 2 seuls fois où je l’ai croisé, j’étais en voiture et lui courrait. Il ne m’a jamais remarqué.
Quelques mois plus tard, une affiche avait été placée sur sa fenêtre : « A vendre ». La maison fut vite achetée.
Je ne sais pas où est parti vivre Eric ni ce qu’il est devenu.
J'ai toujours son short mais je n'ose pas la porter en dehors de chez moi. Trop court au niveau des fesses, j'ai l'impression que chaque foulée montre ma raie. Il me sert maintenant de pyjama.
Alexandre
recitspourcyrillo@gmail.com
