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Baptiste -3
"La Parenthèse Innatendue", Partie 1
Déjà deux mois que nous étions ensemble, Baptiste et moi. Tout se passait extrêmement bien, l'été arrivait et nous étions comme sur un nuage. Ce jour-là, nous étions assis à la terrasse d'un café parisien, situé en plein coeur du Marais. On sirotait tranquillement nos cocktails, quand il reçut un appel de son associé, Cyril. Celui-ci lui annonçait qu'ils devaient partir pour New-York, car ils allaient être exposé dans l'une des galeries les plus branchés de la Big Apple. Le départ était prévu pour demain, huit heures. On rentrait donc en vitesse et il fit sa valise, afin d'être prêt pour le grand départ. Il s'absenterait une semaine, ou deux. Rien n'était fixé, mais ils devaient partir. Je vous cache pas qu'au fond de moi, une pointe de déception naissait. Le retour du soleil, l'été qui arrive, et moi qui allait devoir rester seul pendant une semaine ou deux. En plus de ça, cette nuit-là, on se coucha directement, car Baptiste devait être en forme pour le voyage du lendemain. Bon ...
Le réveil fut difficile, se lever à 6h30, ça fait mal. Il manga en express, s'habilla et pris sa valise. Il m'embrassa sur le palier une dernière fois, avant de partir. Même si ce n'était que pour une semaine, ça me foutait un petit coup au moral, surtout que nous n'avions pas fait l'amour avant qu'il parte. Bref, je m'étais recouché jusqu'à 13h, et c'est le soleil qui me réveilla. Je décidais de profiter de ma journée, je ne voulais pas me laisser abattre, donc je pris une bonne douche, j'ouvris le frigo et là, le néant complet. Le frigo était vide ! Je m'habilla en vitesse et descendit au supermarché du coin. Il venait tout juste d'ouvrir, et une seule caisse était ouverte. C'était un dénommé Louis qui passait tous mes articles à la machine. Il était charmant, 1m80 (à vue d'oeil), assez fin, yeux verts et cheveux bouclés. Je ne mens pas, c'était bien mon style de mec. Alors qu'il s'apprêtait à me rendre monnaie et ticket de caisse, je lui demanda à quelle heure il finissait ce soir. Me demandez pas pourquoi, moi-même je ne le sais pas. Enfin si, je le sais ... Peut-être parce que ce mec me plaisait et que j'étais rester sur ma faim avec mon mec avant qu'il s'en aille. Il me répondit " Je termine à 19h00, pourquoi ? ". Parfait, j'irais le chercher à 19h00 pétantes et on irait prendre un verre. Tout le reste de l'après-midi, j'étais détendu, assis à la terrasse d'un troquet du quartier (enfin, un troquet à Passy, ça a des allures de Fouquet's). L'heure approchait et je décidais de remonter à l'appartement vite fait pour me laver (il faisait super chaud) et me changer. Il était donc 19h00, le soleil commençait à peine à se coucher. J'étais là, devant le supermarché, à l'attendre. Il sortit et me demanda pourquoi je l'avais invité à prendre un verre. D'une nature franche et honnête, je lui dévoilais clairement mes intentions. Il accepta ensuite de me suivre à l'appart'
Nous étions là, assis sur le canapé, un verre de vodka à la main, à parler de tout, de rien ... Plus je le regardais, plus je le trouvais beau. Il devait être à peu près 21h quand il s'approcha de mes lèvres. Oh la la, qu'est-ce qu'il venait de faire ! Je me suis déchaîné ! J'ai enlevé son t-shirt, posé mes mains sur son torse très légèrement poilu, et j'ai commencé à l'embrasser avec fougue. Ce soir, tout serait sauvage. Il enleva mon t-shirt rapidement et commença a griffer ma peau délicatement. Je gémissais dès que sa main m'effleurer. Il continua de m'embrasser avec une telle envie, ça me rendait dingue. Je posais une main sur son paquet qui m'avait l'air bien garni, et lui commença a me caresser les fesses, par dessus mon pantalon. Pantalons qu'on ôta en même temps, et nos caleçons aussi, dans la foulée. Nous étions nus, attirés et déchaînés. Il embrassa mon torse, titilla mes tétons avec ses dents, tout en griffant mon dos. C'était fort. Il pompa ma queue pendant une dizaine de minutes et j'en fis de même. Nous étions là, en 69, c'était magique. Je sentit qu'il allait gicler, j'ai donc préféré m'arrêter et mettre mon cul à proximité de sa langue, pour qu'il me l'humidifie un peu. Après un langoureux anulingus, il enfila une capote et me prit sans ménagement. J'adorais ça ! Il me tira par les cheveux en me traitant de salope, en me disant que je n'était qu'une pute et qu'il allait me baiser comme un damné. Oh mon dieu, j'allais exploser de désir. C'était trop d'émotions pour moi, j'éjaculais sur le lit sans même me toucher. Il finissait de m'enfourner et il retira sa capote afin de gicler sur mes reins. A bout de souffle, il fonça dans la salle de bain, tandis que j'allumais une cigarette en me posant la question fatale : " Aurais-je des remords suite à ce qu'il vient de se passer ? ". Encore dans l'euphorie du moment, je ne pourrais trouver une réponse immédiatement. Il sorta de la douche, m'embrassa et s'en alla. J'allais à mon tour dans la baignoire et pris un bon bain chaud, durant lequel j'avais !
réfléchi à la fameuse question. Et ma réponse était fixée, je n'aurais pas de remords, après tout, ça ne m'étonnerait pas que Baptiste & Cyril couche ensemble à New-York
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Julien xxx