Encore une journée classique au bureau. Excepté qu’aujourd’hui il y’a des travaux bruyants sur le trottoir en face et je suis contraint de m’installer dans un bureau différent du mien à l’étage. Ça ne change pas grand chose finalement… sauf que je partage exceptionnellement mon bureau avec un de mes collègues qui se retrouve lui aussi impacté par les travaux.
Il est vraiment pas mal, il s’appelle Simon, il est assez grand, au moins 1m90 pour bien 90kg facile. Assez épais, bien que je n’ai jamais trop vu son corps, il est très souvent en pull à capuche et en jean. De toute façon les espoirs sont maigres, je sais qu’il a une femme et deux enfants. Je dois avouer qu’il ne me laisse pas trop indifférent…. De tous mes collègues hommes, c’est le seul sur lequel il m’arrive de fantasmer parfois quand je le croise dans les couloirs. Je nous imagine entièrement nus, lui allongé sur le dos et moi assis à cheval sur sa teub en train de le chevaucher, ou ma tête entre ses deux cuisses en train de gober sa queue le visage plein de bave… bref. Il est vraiment sympa, il s’intéresse un peu à tout et il aime bien discuter, surtout de foot.
Je m’installe dans le bureau assez tôt le matin. Un peu plus tard dans la matinée, vers 10h quelqu’un frappe à la porte, c’est lui. Il me demande si ça me dérange qu’on partage le bureau pour la journée. Évidemment, je lui réponds que ça ne me dérange pas du tout. Il s’installe au bureau face au mien. Nos écrans ne sont pas au milieu du bureau, ce qui fait que chacun peut voir le visage de l’autre. C’est assez pratique pour discuter en fait, et c’est aussi pratique pour moi de jeter des coups d’œil discrets afin de le mater en secret par moments.
Au fur et à mesure de la matinée, on échange, on discute et on rigole. Tout se passe plutôt bien. Assis à ma chaise, je me baisse un peu pour chercher une prise pour y brancher mon chargeur d’ordinateur, il y en a pas beaucoup dans ce bureau et l’emplacement de ces derniers en plein milieu de la pièce ne facilite rien… En me penchant pour chercher une prise, je ne peux m’empêcher de jeter un œil, et même de regarder bien attentivement son paquet. Il est assis à son bureau, sur sa chaise, j’ai la vue en plein sur son entrejambe et son pantalon qui le serre en position assise. D’un coup de pied, il fait tomber une pile de papiers qui se trouvent sous le bureau. Proposant mon aide pour le ramasser, je me mets accroupis tout près de lui, mon visage a quelques centimètres de ses cuisses. Il me dit que ça va aller, qu’il peut ramasser.
On se remet assis et un peu plus tard, au cours d’une dune conversation banale, il me lance :
— tu crois que je t’ai pas vu me mater ? En rigolant
— euh.. non, de quoi tu parles ? Je lui réponds gêné et commençant à devenir rouge
— non mais y’a pas de mal, je me serais matté aussi, dit-il en rigolant, et t’es pas mal non plus ! Même si je suis pas de ton bord.
— de mon bord ?
— ouais, gay quoi ! J’ai jamais rien fait avec un gars mais je testerais bien
Ne sachant pas trop quoi dire et gêné, je ne réponds en rigolant : ah ok !
— regarde sous le bureau ! Il me dit
Je regarde sous le bureau et je le vois en train de se toucher avec une main, à travers son pantalon. Visiblement notre petite conversation a commencé à l’exciter et son entrejambe semble commencer à prendre du volume. Je remonte et il me fait un clin d’œil.
T’as déjà sucé au boulot ? Il me lance. Je lui réponds « si tu savais. » (une histoire d’électricien qui a déjà été racontée ici…) avant de me jeter le visage sur son paquet, bouche entre ouverte. Je me frotte contre sa bosse qui semble grossir de plus en plus. J’ai un peu peur que quelqu’un rentre dans le bureau et nous surprenne, mais ça m’excite aussi d’un côté. Et me vient une idée : je me positionne sous le bureau, lui assis à sa chaise baissée au max pour que ma face soit pile en face de son penis. Il y a une planche sur le pan du bureau qui fait face a la porte, donc si quelqu’un rentre personne ne peut nous voir.
Je me positionne correctement sous le bureau, à genoux et commence à défaire le pantalon de Simon. Je le déboutonne et me mets à lui caresser le pantalon, puis le baisse légèrement et frotte mon visage contre son boxer, je commence déjà à sentir sa queue chaude qui a l’air pas mal au toucher. Je soulève le boxer noir et j’aperçois une belle queue velue bien dure courbée vers la gauche. J’en salive d’avance. Elle doit faire au moins 18cm et plutôt épaisse, bien comme je les aime. Il a le gland violet et un petit tapis de poils au pubis. Je n’ai pas trop de visuel sur ses couilles mais elles m’ont l’air bien pleines et lourdes. Je commence à lui téter le gland et il se raidit dans sa chaise. J’entame des vas et viens avec ma bouche, en essayant de ne pas trop faire de bruit, ni de ne laisser couler trop de bave de ma bouche de salope. On est entourés de bureaux et de collègues. Il donne des coups de reins et appuie ma tête avec une de ses mains.
— comment tu veux que je travaille avec toi si tu suces aussi bien woah
Ça m’excite et je me mets à lécher sa bite, le sucer encore plus et j’essaye de l’avaler bien profondément. J’ai envie qu’il me défonce la gorge mais la position et la situation rendent les choses un peu compliquées. Je pose mes deux mains sur ses cuisses et j’y vais à pleine bouche, j’avale sa queue. Quelqu’un frappe, et entre. Je me stoppe directement sans un bruit et je reconnais la voix d’une de mes collègues. Elle lui demande un renseignement concernant un dossier. Lui un peu gêné essaie de lui répondre tant bien que mal. Je pense que lui et moi avons peur que la collègue remarque quelque chose… c’est à la fois terrifiant et excitant en fait. Je reprends doucement sa bite d’une main et commence à lui lécher le bout. On sent dans sa voix qu’il n’est pas naturel, mais la collègue ne remarque rien. Ils continuent leur échange et je continue à pomper sous le bureau. Elle finit par lui demander s’ils mangent ensemble ce midi et il lui
répond « j’ai d’autres plans pour ce midi désolé ». Elle part et ferme la porte. Il me lance :
— mais t’es fou !
— avoue t’as apprécié quand même… je lui réponds
Il dit rien et prends ma tête pour la remettre sur sa bite. J’en conclue que oui, il a forcément apprécié. Il se lève, je me redresse et sors de sous le bureau, mais toujours à genoux, il garde ma tête entre ses mains et commence à me l’enfoncer le long de son chibre. Il donne des coups de reins hyper puissants qui me détruisent la gorge, c’est ce dont j’ai toujours rêvé. Je le regarde en levant les yeux et la vue de son torse un peu gras mais musclé m’excite. Il me dit que j’ai un regard de pute, me donne deux trois coups de reins avant de se retirer complètement de ma bouche et de remonter son pantalon. Il me sort :
— je vais te tringler toute la pause dej.
C’était donc ça son « plan » pour ce midi…
Je ne peux qu’accepter sa demande. D’autant plus que la pause déjeuner est dans même pas 20 minutes et je bouillonne d’impatience de me faire tringler par mon collègue.
C’est le midi, l’heure de la pause déjeuner. Et il y a une grosse bite au menu ! Mon collègue se lève de sa chaise, s’approche de moi et commence à m’embrasser langoureusement, je suis hyper excité et je commence à bander comme un taureau. Le fait qu’à tout moment quelqu’un puisse entrer m’excite encore plus. Par sûreté, mon collègue préfère fermer la porte à clé. Au moins si quelqu’un essaie de rentrer, on ne pourra être dérangé. Je m’agrippe à ses cuisses et commence à le déshabiller. Il a son pantalon sur les chevilles et il enlève son tee shirt. Je suis en boxer et je commence à m’étouffer sur sa queue bien dure. J’alterne entre gorge profonde et branlette. Je mets mes deux mains autour de son gros manche et je le branle. Je saisis sa teub et je l’envoie fort contre mon visage me donnant des grandes biffles avec sa queue, j’aime trop ça. Son odeur de mâle viril et de sa mouille m’excite toujours plus, il est vraiment dur et ban
de fort fort. Je me mets à l’embrasser et il me tourne dos à lui et me penche au bord du bureau. Il crache sur sa queue, étale avec ses gros doigts et commence à essayer de m’empaler. Je sens son gros gland forcer le passage dans mon trou, c’est plutôt douloureux et je le sens passer… je ne peux m’empêcher de gémir alors qu’il n’a même pas rentré 1 centimètre.
Il me dit de me taire et me met une main sur la bouche pendant qu’il insère un peu plus sa queue dans mon trou serré mais c’est trop et je crie. Je pense qu’on ne nous a pas entendus mais c’est risqué car des collègues mangent tout près de nous dans les pièces à côté. Me vient une idée, j’ouvre la fenêtre de façon à ce que les bruits des travaux sur le trottoir en face couvrent mes cris de plaisir. En attendant, mon collègue en profite pour se glisser derrière moi et continuer à essayer de me rentrer sa queue, il en profite le coquin ! Il est en train de me rentrer les quelques centimètres de son gros gland en plein devant la fenêtre qui donne sur la rue. Je crie de plaisir mais mes cris sont masqués par le bruit du marteau piqueur des ouvriers en face. Maintenant que son gland est rentré, mon collègue lui aussi en profite pour faire du marteau piqueur avec son énorme chibre bien au fond de mon cul. Après avoir forcé le passage il me pilonne à fond.
C’est compliqué et un peu douloureux au début, sa queue épaisse finit par trouver son chemin dans mon conduit étroit, plus il m’élargit et plus je prends du plaisir. Je hurle au rythme des marteau piqueurs à l’extérieur et des coups de chibre qui me pilonnent de l’intérieur. Je pense qu’un ou deux ouvriers en face nous regardent, ou regardent au moins dans notre direction mais je m’en fous. Tout ce qui m’importe actuellement ce sont les centimètres que je suis en train de me prendre dans le cul et ça me fait un bien fou.
Tout en restant en moi, il se tourne et moi avec, se retrouvant dos à la fenêtre, complètement nu laissant apparaître son cul bien rebondi à toute la rue. On s’avance un peu et il me penche à 90° et me plaque l’avant du corps sur le bureau. Il met chacune de ses mains sur mes hanches et commence à nouveau à me pilonner sévèrement sans marquer un arrêt. On entend distinctement le bruit de ses couilles toutes lourdes qui frappent contre mon cul. Les bruits sont plus ou moins masqués par les travaux en face, mais ça ne semble pas l’empêcher d’augmenter la cadence et de claquer encore plus fort contre mon cul. On se met à gémir tous les deux tellement cette pause déjeuner de sexe est agréable… il continue à me matraquer pendant une vingtaine de minutes avant de se retirer.
Il s’allonge sur le bureau de tout son long, toujours avec le pantalon aux chevilles sa bite bien dure pointant vers le plafond et il me fait signe de monter sur lui. Je me précipite en direction de sa queue, lui gobe les couilles avant de lui faire quelques allers retours en gorge profonde avant de m’empaler d’un coup sec sur sa bite monstrueuse. Je le chevauche comme une vraie salope et le bureau en fait trembler le sol. Les employés de l’étage en dessous doivent entendre mais je m’en fous une fois de plus. Je prends mon pied sur l’énorme queue à ma disposition et je savoure chaque coup de queue toujours un peu plus profondément. La position est idéale pour qu’on s’embrasse, je lui roule de grosses pelles à pleine bouche. Une odeur de transpiration et de sexe commence à envahir tout le bureau, même fenêtre ouverte. On continue à baiser sauvagement sur le bureau jusqu’a ce qu’il se mette à me pilonner aussi fort et vite que le marteau piqueur d’en
face. Je sens qu’il va pas tarder à gicler et je me déhanche comme une vraie pute au bout de sa queue tout en me branlant. Je mouille énormément et il ne me faut pas longtemps avant d’inonder son torse poilu de mon jus chaud et collant. Se faire recouvrir de sperme doit l’exciter à fond car je le vois et le sent en train de soupirer longuement et de marquer une pause dans sa façon de me défoncer le cul. Je sens ses jambes musclées se raidir contre le bas de mes fesses et ses couilles se contracter. Il est en train de me remplir bien comme il faut après m’avoir élargi pendant une petite heure. Il gicle une bonne quantité de sperme bien au fond de mon cul. Il me remplit comme on ne l’avait pas fait depuis un moment… j’aurais bien aimé tout me prendre dans la gueule. On s’embrasse à nouveau longuement et je le sens de retirer doucement. Laissant mon trou complètement béant. Il descend du bureau et je l’entends dire « wow » il prend son téléphone e
t se filme en train de me mettre un doigt puis deux dans mon trou bien ouvert coulant de foutre. Il se met à approcher ses doigts dégoulinants de sperme près de ma bouche pour que je les nettoie et il m’embrasse mêlant son propre sperme et sa salive dans ma bouche.
Il se nettoie le torse et je descends du bureau, m’essuie un peu de mon côté et il sort
— J’espère qu’on ne nous a pas trop entendu…
— ça devrait aller, avec le bruit des travaux ça a dû couvrir. Je lui réponds.
— je connais un parc avec une petite forêt pas loin… je t’emmènerai un de ces quatre pour te défoncer. Avec des potes. T’aimerais bien ?
Me remettant à peine de ses coups de reins, je lui réponds « avec plaisir, tu sais où me trouver »
— mais d’abord je vais continuer à te démonter un peu tous les jours au travail, p’tite salope !
GreyGhost
gr3ygh0st333@gmail.com
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