Je suis consultant dans le secteur de la santé, et mes semaines sont rythmées par de nombreux déplacements hors de Paris. J’ai 28 ans, je suis marié, heureux en ménage, et avec mon mari, Julien, il nous arrive de temps à autre de faire des plans à plusieurs. Je vais vous raconter notre toute première fois : au sauna.
C’était il y a quelques années, début janvier, à Toulouse. Nous étions de passage dans ma famille pour quelques jours dans mon Sud natal. Le froid et la pluie fine s’étaient abattus sur la région. Un vrai temps de chien, pas grand-chose à faire. Mais nous étions excités. Les vacances, le manque de sexe car nous logions chez la famille, et tous ces beaux Toulousains que l’on croise dans la ville Rose… Tous ces éléments contribuaient à notre excitation.
Quelques semaines auparavant, nous avions eu cette fameuse conversation : Et si nous ouvrions notre couple ? Grindr ? Ah non, trop glauque ! Alors un sauna ? Pourquoi pas ! Et je dois dire que j’avais envie d’y aller depuis longtemps ! J’étais vraiment très content de tester cela, et l’idée d’ouvrir notre couple ensemble me rassurait. Nous tombons d’accord sur les limites à ne pas dépasser et sur le fait de rester ensemble. Nous planifions notre venue et, par précaution, nous nous mettons sous PrEP.
Nous nous garons à proximité et marchons en direction du sauna. À chaque pas, mon rythme cardiaque augmente. Je ressens la même sensation que quelques années auparavant, lorsque je choppais sur Grindr : un mélange d’excitation et de peur.
Nous arrivons enfin sur place, le souffle court. L’entrée est sécurisée par une porte blindée à ouverture électronique et des caméras, ce qui me rassure. On entre et on paye nos tickets. Le vestiaire est un peu glauque, et je suis tout gêné de m’y dévêtir. Il y a quelques mecs plus âgés et bien portants qui ont l’air de se connaître. Je repense en souriant à ce qu’ils se disaient en se voyant : « Meilleurs Vieux ! » C’était la première fois qu’ils se retrouvaient cette année, et j’apprendrais plus tard sur les réseaux que c’était une journée Bears organisée par un club de quinquas gays du coin.
Serviette fermement nouée à la taille, je commence à suivre Julien dans les dédales de l’établissement. Je n’ose pas trop regarder les hommes présents, je suis intimidé et très stressé. La première impression des vestiaires me hante : Et si aucun ne me plaît ? Et si mon mari et moi n’avons pas les mêmes goûts ? Et si nous ne trouvons personne ? Toutes ces questions, légitimes, me traversent l’esprit.
De notre côté, nous sommes un couple plutôt grand : je fais 1,82 m et mon mari, 1,89 m. Nous sommes sportifs mais bons vivants, d’où quelques rondeurs. Je suis assez poilu, tandis que lui l’est peu et, en plus, il tond souvent son pubis. Nous visitons les différentes installations, et je repère rapidement ce qui me rassure et ce qui m’effraie. Exit les salles sombres remplies d’objets bizarres, où la lumière fait planer un doute sur le consentement et les pratiques sexuelles poussées. Je ne suis pas prêt. Nous regardons les cabines, le spa, et nous allons au bar prendre un verre.
Nous discutons rapidement, et je commence à me détendre. Quelques hommes arrivent à leur tour, dont certains plus à mon goût : 30-38 ans, virils, sportifs. Nous décidons de nous lancer et, après un passage à la douche, nous nous dirigeons vers le hammam. En passant devant le jacuzzi, j’aperçois une belle gueule qui s’y prélasse.
On pousse la porte, la lourdeur et la vapeur nous prennent. On laisse nos serviettes et on s'assoit sur le banc. Le hammam est tout en longueur, et il est bien difficile de distinguer les hommes dans cette brume. Il semblerait qu'il y ait quelques mecs qui pourraient me plaire, d'autres moins. Devant nous, c'est le défilé. Ça rentre, ça sort. Avec Julien, on se caresse, l'excitation monte. Un homme est assis à côté de moi, je le matte mais je ne fais rien. Un homme entre et je le vois s'arrêter devant chaque homme assis. Plus il se rapproche, plus je distingue. Il se baisse et se relève. Arrivé devant mon voisin, je comprends qu'il fait une gorge profonde par bite qui s'offre à lui. Je me laisse faire, ça fait du bien. En continuant de caresser mon mari, je le regarde se faire sucer.
Notre serial pompeur continue sa route, et je continue de caresser Julien et de me branler quand soudain, je sens une autre main sur la belle bite de 18 cm de mon mari, et je comprends qu'il a une touche. Je me penche pour voir qui c'est, et je vois la belle gueule du jacuzzi.
Il est grand, costaud mais pas gras, des tatouages sur tout le bras droit, du poil sur le torse et la tête rasée. Il me plaît. Je commence un jeu de séduction tactile, à branler mon mec avec notre hôte. Ils s'embrassent, je bande comme un taureau. Puis ce mec se penche pour m'embrasser, et Julien se joint à nous. La scène dure quelques secondes, puis le mec nous entraîne vers le fond du hammam où il y a moins de lumière et moins de mecs pour nous voir.
Nous voilà tous trois en sandwich, lui entre nous deux. Julien n'aime pas spécialement embrasser, alors que moi, j'aime bien, alors je m'attelle à la tâche avec ce bel inconnu. Nos baisers sont fougueux, à pleine bouche, la langue dure. Variant les baisers, morsures du lobe de l'oreille et léchage d'aisselles poilues. Julien lui met directement sa bite contre la raie de notre ami, et ses mains parcourent nos deux corps. Il nous branle, nous met des doigts dans la bouche. Il a un côté dominateur de temps à autre. Je me déplace de manière à me retrouver entre les deux. J'ai deux corps qui me plaisent contre moi. Les caresses, les palpages sont vigoureux. La moiteur des lieux est intense, nos trois bites bandent fort, et notre show a l'air de plaire à quelques mecs qui se branlent en nous matant. Maintenant que je suis à l'aise pour me donner en spectacle, je me mets à genoux, une bite dans chaque main. Je ne sais pas où donner de la tête avec ces deux belles bites. Ell
es sont bonnes. Julien est circoncis, mais elle fait tout de même 18x6, lourde. Je sens que celle du gars est non circoncise, ce qui me change sans pour autant me déplaire, et doit faire un honorable 16x4.
J'adore sucer. J'aime vraiment ça. Jouer avec ma langue sur le frein. Lécher avec mes lèvres et la tête inclinée la verge et arriver à la base de la bite pour avoir accès aux boules. Les gober une à une. Et passer à l'autre bite. Jouer avec les deux en même temps. Entendre leurs râles si je fais une gorge profonde. Eux s'embrassent, se caressent, entremêlent leurs doigts derrière ma nuque. Ce moment complice est tout simplement génial.
Julien me relève et nous nous embrassons à trois, ardemment. Un ou deux matteurs essaient de se joindre à nous et nous les repoussons gentiment. Julien se met à son tour à genoux pour nous satisfaire et j'entame le marathon de la galoche avec le sexy chauve. Il a une bonne haleine goût chewing-gum menthe. Et m'étreint avec force. Son corps est plus massif que les nôtres et poilu comme j'aime : pas trop entretenu du pubis, du poil sur le torse et sous les aisselles, une raie parcimonieusement poilue et de belles fesses imberbes.
Julien nous pompe avec entrain. Je suis d'ailleurs étonné car il n'est pas le plus friand de ça, et m'avait dit ne pas vouloir sucer d'autres mecs que moi. Il doit être super excité. Il se relève et c'est au tour du chauve de se mettre accroupi. J'embrasse Julien à pleine bouche et il faufile ses doigts entre mes fesses pour me titiller la rondelle. Je suis au paradis. Je décide alors de m'accroupir également, il va aimer mon salop, avoir deux bouches pour sa bite. Je laisse alors notre ami continuer de sucer et je me contorsionne pour lui bouffer les boules. Julien prend appui avec une jambe sur le mur et m'ouvre la voie vers son périnée et son anus qu'il adore se faire bouffer. J'alterne entre ces trois zones pour le plus grand plaisir de mon mari. Avec mes mains, je continue de caresser notre hôte et je profite de sa position pour malaxer ses couilles et son anus. Il a l'air d'aimer ce coquin !
La position devenant inconfortable, on se relève et nous décidons de faire une petite pause.
Nous filons sous la douche où nous continuons de nous caresser. Quelques spectateurs nous ont suivis et ces douches ne comprennent que des mecs complètement bandés.
Je propose un repos dans le jacuzzi quelques minutes. Une fois dans l'eau, nous échangeons quelques banalités et nous apprenons qu'il s'appelle Léo et qu'il a 33 ans. Il nous demande ce qu'on aimerait faire avec lui dans une cabine et là, Julien ne me laisse pas répondre et dit que ce sera suivant notre feeling. Je comprends alors qu'il est ok pour laisser tomber les limites que nous nous étions fixées : que je ne me fasse pas prendre par un autre mec et qu'il ne bouffe pas le cul d'un autre mec. Nous sommes tous deux versa, mais nous avions conclu de n'être que actifs pour cette journée.
L'excitation de l'interdit montant, nus nous caressons sous l'eau et nous sortons de l'eau pour nous sécher quelques minutes dans le sauna avant de trouver une grande cabine confortable. Deux mecs essaient de se joindre à nous, mais une fois de plus, nous refusons gentiment.
Dès que la porte est fermée, je me jette sur la bouche de Léo. Et très vite, je m'agenouille pour le sucer. Sa bite étant revenue au repos, le prépuce en recouvre presque tout le gland, ses boules sont bien distendues et pendent lourdement. Je hume sa bite, sa toison. Du bout de la langue, je titille son urètre, un filet de précum s'en échappe. Je lèche le tout, et prends sa bite en bouche pour la sentir grossir et durcir en moi. Pendant ce temps, Julien, qui s'est mis debout sur la banquette pour se faire sucer par Léo, a pris à deux mains la tête de ce dernier pour lui limer la bouche. C'est vraiment deux salles, deux ambiances.
Je me remet debout et Julien s’assoit sur la banquette. Pendant que Léo et moi-même nous nous embrassons, Julien caresse nos fesses respectives. Il les malaxe, avec vigueur. Il arrive sur nos raies et y glisse ses mains. Comme pour nous donner un ordre, il écarte ses doigts pour que nous ouvrions nos jambes, que ses beaux doigts viennent titiller nos rondelles. Je sais qu’il fait ça en symétrie car les soubresauts et mouvements de Léo correspondent à ce que je ressens. Je vis le moment en stéréo.
Puis Julien se laisse tomber sur la banquette et dit : « Léo, viens me sucer. ».
Il se penche alors pour s’exécuter. Je me branle en regardant ça. Je vois le dos puissant de Léo sur lequel quelques plaques de poils rasés ayant repoussés lui donnent l’aspect d’avoir deux ailettes. Je me place derrière lui, mon torse contre son dos et je caresse sa bite et sa toison. Ma bouche lèche son dos et va chercher vers le bas le piquant de ses poils courts. Puis je descend encore plus bas vers ses fesses. Sa rondelle est magnifique. Bien étoilée, encore de ce qu’il faut de poils noirs et drus. Et elle a bon goût en plus. Léo gémit sous mes coups de langue, ça a l’air de lui plaire. Je lubrifie de salive et masse avec mes doigts. Il cambre le dos. Ça lui plait c’est sur. Je lui met un doigt et lui donne quelques tremblements en allant stimuler sa prostate. Me retire et je valide avec lui qu’il a envie d’aller plus loin. Capote en place et gel appliqué je met quelques secondes à pénétrer les belles fesses de Léo. Je commence des longs vas et
viens. Je vois les poils de son cul se coller et se décoller sur la capote et j’entends Léo gémir. Mon rythme s’accélère et voilà que maintenant mes couilles tapent les siennes quand je suis au fond. Ses gémissements se mêlent à ses râles car il a décidé de faire en plus de ça des gorges profondes à Julien qui me regarde dans les yeux. Moi qui pensais que Léo aurait été uniquement actif, il a eu sa dose de passif.
Au bout d’un temps, je me retire. Léo s’allonge à côté de Julien et ils se caressent en s’embrassant. À mon tour cette fois de sucer ces deux belles queues. Julien me demande de me retourner et j’en suis ravi car je sais ce qu’il va m’arriver. L’un puis l’autre me bouffe le cul alors que je les suce. Je me sens comme empli de bonheur. J’arrive à sentir lequel des deux me fais quoi. Je connais par cœur les gestes de mon mari qui sait comment ouvrir mes fesses serrées.
Il dit à Léo de se préparer et continue de me bouffer le cul. Il frotte bien sa barbe sur ma rondelle j’adore ça. Léo présente sa bite, Julien au premières loges du spectacle car il continue de me lécher le périnée. Comme la bite est moyenne elle entre assez facilement et rapidement Léo commence ses vas et viens. Julien s’extirpe de sous moi et contrôle les faits et gestes de Léo. Il agit comme un maitre protecteur à mon égard. Il prête son mec, mais on ne fait pas n’importe quoi avec! Puis me voyant de plus en plus à l’aise, il se place face à moi, m’attrape la tête et me fais faire des gorges profondes. Entre chacune de mes respiration il ordonne à Léo d’augmenter la cadence.
À bout de souffle, je demande à ralentir et faire une pause.
Julien met alors Léo à quatre pattes, vient passer un coup de langue sur sa rosette, enfile une capote et avec un peu de lubrifiant et 2 coups de doigts, puis commence à prendre Léo. Moi je regarde. Ça me fait drôle de le voir si directif, si dominant. Petit à petit il augmente la cadence, il appuie entre les omoplates de Léo pour le faire cambrer encore plus et il le baise de plus en plus rapidement. La sueur qui avait commencé à perler dans son dos s’est répartie sur tout son corps. Julien m’avait dit qu’il pouvait être bestial, je suis impressionné de la chose et je me dit qu’heureusement ce n’est pas avec moi. Les couilles de mon mari claquent fort contre celles de Léo, j’ai la sensation d’être acteur d’un bon porno gay.
Lors d’une accalmie je me faufile tant bien que mal sous Léo, il a l’air ravi de retrouver là au vu de la pelle monumentale qu’il me roule. Je lui attrape ses fesses avec mes mains de façon à bien ouvrir son trou. Mon Julien prend ses épaules et le pilonne bien comme il faut. Léo gémit, il en redemande. Il continue de bander fort malgré tous les soubresauts qu’il subit. Le moment est intense. Les corps sont en sueur, ça sent la testostérone à plein nez. Cette odeur a comme effet sur moi celle du poppers. Moi aussi je veux ma part du gâteau. Je leur demande de se calmer, enfile une capote sur la queue de Léo, un peu de gel, je soulève mes hanches, il attrape avec son bras puissant mon bassin, et je m’empale sur son chibre. Ça rentre immédiatement tellement j’étais dans un état second. Julien recommence à baiser Léo en douceur et me voyant prendre du plaisir, il accélère la cadence. Léo lui n’a pas besoin de bouger, l’assaut de Julien suffit à me
donner du plaisir. Et le rythme s’accélère a nouveau. La sueur des deux me coule dessus, elle a un goût salée, je m’en lèche les babines. Je sens toute la puissance que Julien met dans sa baise à travers la bite de Léo.
Puis Léo n’en pouvant plus, demande à arrêter. Les deux se retirent. Julien retire sa capote, laisse tomber un filet de bave sur sa queue et me pénètre. Je suis bien dilaté et dès le début je lui demande de me pilonner comme un salop, comme il ne l'a jamais fait. Il s’exécute sans demander son reste. Il ordonne à Léo de me foutre ses aisselles sur la face. Il me connait. Il sait que je ne résiste pas à l’odeur musquée de l’homme qui baise. Alors ça y est, je le sens, je suis ouvert à mon maximum. Il redouble donc d’énergie pour me baiser. Il dit à Léo de se mettre sur mon abdomen et m’ordonne de le sucer. Léo attrape ma tête avec ses deux mains pour me baiser la bouche. Je suis rempli sans ménagement. Et ça vient et sa part. Mon arrière train de répond plus, il encaisse juste. Je met de l’attention à sucer la bite de Léo qui est à son maximum. Son prépuce recouvre la collerette de son gland. Quelques veines apparaissent en 3D et le precum es
t à son maximum.
Léo me dit qu’il va venir et je m’acharne quelques derniers instants, il se retire et tout son corps luisant de sueur se contracte dans un râle intense et il gicle sur mon visage et sur mon torse. Il m’essuie puis Julien le fais se retourner pour que sa bite pende bien au dessus de ma bouche. Il me connait bien le salop. J’ai du mal à résister à une bite ayant vidangé son nectar. Et là il reprend son ouvrage. Sa sueur tombe sur moi, la quantité est impressionnante. Je suis dans un état second, la bite de Léo qui rebondi sur ma bouche, le dernier filet de sperme qui me donne un petit coup l’adrénaline et Julien me dit qu’il vient. Je suffoque. Je sens un coup plus puissant et dans un hurlement il se décharge en moi. Je sens ce liquide inonder mon cul. Et alors là, un brulement à l’intérieur de moi-même qui me prend tout le corps. Mes abdos sont contractés à mort et j’éjacule sur mon ventre en plus d’avoir eu un orgasme par le cul. Mes gémissements
ne s’arrêtent pas, et il me faut quelques temps pour redevenir silencieux.
Je reste allongé sur le dos sans bouger car j’en suis incapable. Julien s’étant retiré s’essuie un peu et vient se loger contre moi imité par Léo.
On reste un moment comme ça, sans trop parler, à nous caresser. Nos corps sont complètement déshydratés et le matelas en sky est devenu un lac.
Au bout de 10 minutes nous nous redressons et partons à la douche où tous trois nous nous nettoyons mutuellement.
Nous échangeons nos coordonnées au vestiaire et nous nous quittons dans un dernier baiser.
À peine dans la voiture je m’endors, mon corps n’a plus aucune force, je suis rempli de bonheur.
Titanium
titanium097@gmail.com
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