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Chapitre 14
Djibril connaissait la réputation d'Aymeric et sa façon de le prendre par l'épaule, le serrant un peu contre lui, l'a fait bander de suite. Il a senti son zob s'agrandir, chercher à se développer, grossir dans son boxer serré. Il a dit à Aymeric qu'il n'avait jamais niqué avec un mec!
Quand il a vu qu'ils entraient dans une cave et que la porte se refermait sur eux, de voir le sourire amical qu'avait le céfran, le beau céfran blond, il a bien cru qu'il allait jouir sans sortir son zob.
Il a semblé pressé et voulait enlever le haut, mais Aymeric l'a retenu en le prenant par les hanches, le collant à lui, lui fait un bisou sur le nez :
-écoute moi bien Djibril, ce qu'on va faire tous les deux il n'y aura que nous deux qui le saurons, je vais te montrer comment découvrir un mec ici dans une cave, c'est pas comme dans le square où les mecs arrivent, s'agenouillent pour te sucer ou montrent leur cul pour se faire niquer et se cassent après comme des voleurs, alors qu'il y a tant de choses à faire avant ou après!
-quoi donc ? demande Djibril tout bas.
-tu sens bon Djibril, j'aime ton odeur de jeune rebeu que je vais initier à mes vices pour te faire jouir comme jamais ta main ne t'a fait jouir! Mais avant je veux te découvrir, voir comment est fait un jeune rebeu de cité que je n'avais jamais vu!
-ben alors faut que je me déshabille ?
-non JE vais le faire, mais avant...
La main d'Aymeric vient caresser la joue de ce jeune rebeu. C'est doux chaud, lisse et il se penche pour recevoir la caresse, sa main file sur la nuque, passe dans les cheveux, il sent Djibril frémir, sa main caresse sa nuque, la serre tendrement en même temps que ses lèvres caressent les joues, passent sur le nez, remontent entre les yeux, caressent le front, reviennent par le même chemin, repassent sur le nez et viennent se poser sur ses lèvres, juste se poser, car il sursaute Djibril, surpris, mais ne bouge pas, ses mains viennent se poser sur les hanches du céfran.
Aymeric ferme ses yeux et ses lèvres appuient de plus en plus sur les siennes, les lèvres bougent, et commencent à se bouffer tendrement. Aymeric fait venir sa langue pour lécher les lèvres de Djibril qui, encore surpris pousse un petit gémissement. Aymeric voit qu'il a les yeux fermés, alors sa langue force la bouche, va chercher la sienne et se colle à elle, déposant sa salive.
Il gémit encore plus le jeune rebeu et sa langue est comme attirée par la bouche du céfran où elle se retrouve prisonnière, aspirée, séchée, la salive avalée et les langues partent dans une bataille effrénée. Les corps se soudent, Aymeric sent le zob du rebeu dur comme de l'acier, comme lui doit sentir qu'il bande également.
Sans arrêter la bataille des langues, d'échanges de salives, Aymeric passe ses mains sous les vêtements de Djibril pour caresser la peau douce et chaude, remontant dans le dos musclé, il caresse en effleurements et Djibril reprend ses gémissements.
Il s'arrache de la bouche de Djibril :
-faut respirer Djibril de temps en temps.
Il sourit, il est beau, ses yeux brillent, ses lèvres humides sont enflées, il se les pourlèche et Aymeric en profite pour mettre son torse à nu.
Il est bien bâti ce jeune rebeu, pas de graisse, que du muscle en voie de développement. Il caresse le torse, passant négligemment sur les tétons qui aussitôt s'érigent surprenant Djibril qui regarde la main d'Aymeric.
Deux doigts viennent s'emparer d'un téton et les lèvres d'Aymeric viennent rechercher les siennes qu'il offre volontiers pour reprendre les jeux de langues, mais cette fois il pousse un long gémissement étouffé, quand son téton est pincé, il a eu comme une douleur d'abord et tout de suite une onde de plaisir a traversé sa poitrine et de sentir les deux doigts le faire rouler entre eux, le fait bander encore plus!
La langue, les doigts, Djibril ne sait plus où il a vraiment le plus de plaisir, il bande et sent la barre du céfran se frotter contre la sienne. Il a envie d'être nu et de voir le céfran nu également, ce blond et la question lui vient : le poil de sa queue est blond aussi ? il a hâte de voir ça.
-enlève moi le haut Djibril.
Il obéit et découvre le torse du céfran, ce torse blanc aux tétons qui pointent déjà lui! Alors il en touche du bout des doigts. Il voit les doigts d'Aymeric venir se saisir de son autre téton.
Aymeric serre le téton, Djibril en fait autant sur le sien.
Il serre plus fort, faisant gémir Djibril, il en fait autant et, surpris Aymeric gémit également.
Les bassins sont collés et Djibril n'arrête pas de penser qu'il va juter tout seul à se faire des caresses pareilles!
Aymeric le prend dans ses bras, frottant son torse contre le sien, quel plaisir de sentir un corps caresser le sien, ça ne va pas arranger mon zob pense Djibril.
Ils s'embrassent encore, en se caressant et d'un seul coup Aymeric le pousse sur le canapé lit où il tombe à la renverse, étonné.
Il voit le céfran se mettre à genoux et lui enlever ses TN, ses chaussettes, caresser ses pieds l'étonnant encore plus, surtout que le céfran les sent, les hume et leur fait des bisous, ses mains remontent sur son jean, des mains chaudes qui viennent jusqu'au bouton de l'ouverture, ouvre le jean, tire dessus, Aymeric est obligé de soulever ses fesses pour que le jean disparaisse et il voit le céfran se lécher les lèvres quand il regarde son boxer.
Cette grosse bosse qui va vers la gauche, le boxer est plus qu'humide, sans ménagement Aymeric libère le nouveau zob qu'il ne connait pas!
Il aime ça Aymeric découvrir un nouveau zob, et en plus d'un puceau, un puceau rebeu! ça doit être son premier!
Le zob libéré se redresse en pointant vers la tête de Djibril, les couilles poilues sont remontées de chaque côté de la hampe, circoncis le gland est magnifique, Aymeric tend sa main sous le regard de Djibril qui regarde la première main étrangère qui va toucher son zob et il gémit presqu'avant elle ne le touche, le saisisse en le redressant pour voir le méat grand ouvert libérant une mouille claire qui coule.
Djibril a fermé le yeux et gémit comme jamais il n'a gémit, sa queue est plus que raide, elle lui fait mal tellement il est tendu et d'un seul coup il sursaute, ouvre les yeux et voit que le céfran vient de poser ses lèvres sur son gland, l'enveloppant lentement, il sent la langue le caresser et la mouille sort encore plus et constate que le céfran l'avale.
Son zob disparait dans la bouche du céfran qui le serre bien entre ses lèvres et joue avec sa langue dessus.
Là pour gémir, il gémit, et en même temps il sent des frissons parcourir son corps, venant de partout allant dans tous ses membres, sa queue durcit encore plus et semble même s'allonger!
Une onde, une vague provenant de dessous les couilles se répand dans ses couilles, remontent dans son zob et quand il comprend qu'il jouit... il crie, hurle :
-j'vais juter!
Il ne voit pas le céfran qui n'a pas bougé et avale tout ce qui se présente, les giclées sont puissantes, chaudes et coulent facilement dans sa gorge.
Il est anéanti, les bras le long du corps, il gémit encore les yeux fermés alors qu'Aymeric le regarde tout sourire.
Quand il ouvre les yeux, il prend un air triste et dit :
-je ne pensais pas juter si vite Aymeric, désolé j'ai été trop vite!
Il avait vraiment l'air malheureux.
Aymeric se penche sur lui, au dessus de lui :
-mais maintenant cela va aller mieux Djibril, tu vas venir découvrir mon corps, toucher ma queue et j'espère bien que tu as envie de goûter à la queue du céfran!
-je ferai tout ce que tu me demandes Aymeric, mais là je suis vidé tu sais!
-ton jus de jeune rebeu est très bon Djibril!
-t'as tout avalé ?
-ben oui j'aime pas gâcher dit Aymeric en s'allongeant près de lui, allez à toi de découvrir ton cadeau, car tu as encore du boulot!
Djibril se met sur un coude, passe sa main sur le torse :
-t'es beau Aymeric et très gentil!
-allez déshabille moi, je commence à être à l'étroit moi!
Il rigole Djibril et reproduit les gestes d'Aymeric, allant jusqu'à faire des bisous à ses pieds, mais quand il libère la belle queue du céfran et qu'il voit la toison blonde, ses yeux semblent sortir de sa tête, il regarde Aymeric, sa toison et la compare à la sienne.
La queue est belle mais pas toute décalottée, mais ses doigts sont attirés par la toison, la toucher, la caresser, passer ses doigts dans les poils mais son regard est attiré également par la mouille qui coule. Il redresse la queue et libère le gland, joue avec le prépuce et fait comme Aymeric se penche, hésite quand même en posant doucement ses lèvres sur le gland.
Il est surpris de constater que la peau du gland est encore plus douce que la peau ailleurs. Doux et chaud, humide avec la mouille! Il a déjà goûté à la sienne, alors il goûte celle d'Aymeric et se redresse laissant un filet entre le gland et ses lèvres. Cela le fait sourire comme si la mouille ne voulait pas le quitter, alors il ouvre les lèvres et avale le gland, passant sa langue dessus et est surpris d'entendre Aymeric gémir. Il insiste et Aymeric gémit de plus en plus, ses lèvres descendent sur la grosse queue, putain mais c'est bon de sucer une bite de céfran, il n'en revient pas mais pense, j'espère que mon pote Djamel voudra bien que je le suce pour comparer!
Il pipe lentement le céfran qui n'arrête pas de gémir les yeux fermés, quand il dit :
-je vais pas tarder à jouir Djibril!
Il hésite Djibril rester ou regarder la jute sortir ? Il décide de rester comme Aymeric lui a fait.
Une grande giclée arrive qu'il sent se répandre dans sa bouche sur sa langue, ses dents et arrive au fond de sa gorge, le surprenant, il hésite encore une fois, mais une deuxième giclée surgit, se mélangeant à la première qui commence à couler en lui, il veut déglutir mais il se met à tousser et tout le sperme ressort dans les poils blonds, il voit les autres giclées sortir et couler dans les poils, sur le ventre.
Il donne un coup de langue sur la dernière goutte et regarde Aymeric l'air désespéré.
-j'ai pas pu faire comme toi Aymeric!
Le céfran l'attire à lui, le prend dans ses bras, le serre contre lui :
-c'est normal Djibril, c'est déjà très bien ce que tu as fait tu sais! Je suis fier de toi! Fais moi un bisou!
Ce n'est pas qu'un bisou qu'il fait, il semble adorer les jeux de langues le jeune rebeu et cela fait encore durcir son zob collé au flanc du céfran.
Ils se caressent, se font des bisous, roulent dans le canapé lit, les queues bandent encore, toujours aussi raides et chaudes.
-tu veux me niquer ? demande Aymeric.
Il en rougit le rebeu.
-tu vas me le faire aussi ?
-si tu veux oui, si tu ne veux pas non, tu sais chacun aime ou pas!
-ben comment tu veux que je sache si j'aime ou pas si je ne le fais pas!
-ah ah dit Aymeric, alors t'en fais pas je me ferai un plaisir pour te faire plaisir jeune rebeu, mais on va commencer par le plus facile, tu vas me niquer comme un rebeu, mais un rebeu tendre, tu vois quand tu niques un mec que tu aimes bien, faut penser à son plaisir et au tien bien sûr! Alors faut lui préparer le cul à ton pote, lui ouvrir son petit trou pour ensuite faire glisser plus facilement ton zob.
-mais tu fais ça comment ?
-je vais te montrer sur le tien et tu me feras pareil après ok Djibril ?
-ok, je fais quoi ?
-tu te mets à quatre pattes et t'ouvres bien tes jambes!
Docilement il a pris la position montrant son petit cul vierge à l'appétit d'Aymeric et Djibril a senti ses mains le caresser, l'ouvrir, le nez est passé dans sa raie, avec la langue qui touche son anus fermé. Le titille, l'inonde de salive, revient le forcer, il pousse Djibril et sent la salive couler en lui, putain encore une sensation qu'il ne connaissait pas, mais quand la langue du céfran s'est mise à le lécher, cherchant toujours à entrer en lui en l'inondant de plein de salive les gémissements ont recommencé et il a compris que son trou s'ouvrait plus facilement, car un doigt est entré en lui le faisant sursauter, mais quand le doigt a touché la paroi, une nouvelle onde l'a traversé et l'a fait gémir encore plus.
Il le doigtait facilement ce petit cul, il sera facile à niquer pense Aymeric, mais donnons du plaisir à ce jeune rebeu.
-tu vois c'est facile et après tu mets deux doigts cela l'ouvre encore plus dit Aymeric.
-t'as mis deux doigts ? demande Djibril.
-non juste un dit Aymeric.
-fais le avec deux!
Le gémissement s'est transformé en petits cris et Djibril tendait son cul pour que les doigts s'enfoncent encore et encore. Ce petit trou restait ouvert alors Aymeric a recommencé à le bouffer, le lécher, l'inonder et les mains de Djibril sont venues l'ouvrir encore plus.
Mais Aymeric veut qu'il lui fasse.
-à toi dit il et après tu mets ton zob et tu me niques dit Aymeric tout sourire.
Il avait l'air déçu le jeune rebeu, alors Aymeric lui caresse la joue :
-t'en fais pas ton petit cul y passera! dit il en riant.
Il se met en position et ne voit pas le regard de Djibril regarder un cul pour la première fois, voir l'anus entrouvert, il passe un doigt dans la raie, touche l'anus et constate que son doigt est avalé facilement, ce qu'il fait pour entendre Aymeric pousser un petit gémissement, mais en fait c'est lui qui gémit le plus de sentir la douceur de cette paroi! Il fait des bisous aux fesses, retire le doigt et vient lécher l'anus du céfran, sa langue s'aventure dans l'anus et là encore de nouvelles sensations lui arrivent. Il joue comme il peut de la langue en répandant sa salive et vient avec son doigt la faire entrer, avant de mettre deux doigts et constater que l'anus s'ouvre comme une fleur.
Son zob coule et lui fait mal, mais la voix d'Aymeric se fait entendre.
-nique moi Djibril, tu rentres ton zob doucement quand même!
Il a tout fait doucement car là encore quand son gland s'est trouvé prisonnier du sphincter, la chaleur qui l'enveloppe, la douceur, son gland glisse et entre faisant crier Aymeric. Il continue son avancée pour constater que le conduit le serre comme une main pourrait le faire et son gland poursuit son voyage, raclant contre le conduit, ce qui lui donne des frissons encore, ses mains se posent sur les fesses et l'envie de niquer est là.
Pas besoin de leçon, les va-et-vient lents prennent de la vitesse mais cela ne dure pas très longtemps, cinq mouvements a compté Aymeric et Djibril a crié très fort en lâchant son sperme dans le conduit du céfran, et sentir son propre sperme envelopper son zob, il a cru qu'il n'allait pas arrêter de juter!
Il tremblait de partout quand il s'est écroulé sur Aymeric qui l'a entraîné en s'allongeant, son zob toujours au fond du petit cul céfran.
Il a voulu se dégager mais Aymeric serre des fesses :
-bouge pas Djibril, tu sens ton beau zob comme il est bien dans un petit cul, tu sens ton jus chaud partout!
-j'ai encore juté trop vite Aymeric dit Djibril d'un air désolé.
-mais c'est normal, tu découvres tout, et ta queue aussi mais la prochaine fois tu verras tu sauras comment faire pour ne pas jouir trop vite!
Il est sorti du céfran et est venu se réfugier dans ses bras, l'embrasser, le caresser:
-tu sais si je ne savais pas que tu es le mec de Nordine je t'aurais dit que je te voulais à moi le céfran!
-mais on va se revoir Djibril, j'ai encore des trucs à t'apprendre quand même!
-tu me niques pas maintenant ?
-non une autre fois Djibril.
-demain ?
-je sais pas, on verra dit Aymeric.
-pourquoi t'aimes pas le faire ?
-oh si dit Aymeric, mais là t'as vu l'heure ? il se fait tard et je dois rejoindre mon chéri.
-tu vas lui dire pour nous deux ?
-j'en sais rien, pourquoi ça te gêne si je lui dis ?
-non dit il en rougissant, mais je ne voudrais pas que tout le monde le sache!
-t'en fais pas, personne ne le saura, à part ton pote Djamel et Soufiane qui nous ont vu entrer dans la cave... ils vont bien se douter qu'on est pas venu pour jouer aux cartes, d'autant qu'ils sont entrés dans une autre cave tous les deux.
-tu sais je crois que Djamel est comme moi!
-alors t'en fais pas ton pote est entre de bonnes mains avec Soufiane, c'est le rebeu le plus doux et le plus gentil que je connais et je trouve que tu lui ressembles de plus en plus!
Djibril l'embrasse tendrement.
-allez viens faire un câlin et après on rentre!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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