Vie rêvée d'un soumis

Chapitre-5

Voilà 3 mois que yan est mon esclave à domicile et pendant ces 3 mois je l’ai baisé au minimum une fois par jour, son cul n’a subi aucun répit et il a bouffé mon sperme et bu mon urine régulièrement. Pas question de lui faire l’amour une seule fois, je le baise, je le saute, je le démonte, je suis son Maître il est ma chose.

Il est comme je le voulais, obéissant, attentionné, respectueux, servile et il me dit chaque jour combien il est heureux de me servir.

L’esclave parfait qui obéit au simple claquement de doigt, au simple regard. Que je sois aimable ou infect avec lui, il reste le même : un larbin, une poupée gonflable et je sens que son seul désir est de me faire plaisir alors j’en profite, je l’utilise, je le torture, il est venu ramper pour ça, cette sous-race n’a que ce qu’elle mérite. Nous l’avons voulu car ne vous y trompez pas, j’ai des sentiments pour lui. Il m’aime je le sais, je l’aime, il le sait mais nous avons convenu d’une relation inégalitaire dans laquelle il est H24 à ma disposition et il fait ce que je lui ordonne, que ça lui plaise ou non. Parfois il dort avec moi, parfois par terre, parfois dans sa geôle. Parfois il mange à table avec moi, parfois avec des couverts, parfois non et parfois, par terre à 4 pattes, c’est selon mes envies et il obéit. J’ai besoin de l’humilier, je prends mon pied, j’ai besoin de le torturer par le fouet, les baffes, le broyage de couilles ou autres et il encaisse. J’ai besoin de le baiser sauvagement en cherchant mon plaisir et il prend les miettes que je lui donne en récompense, l’esclave parfait comme je l’ai dit.

Quelle plus belle preuve d’amour et d’appartenance que de s’offrir ainsi sans jamais rien demander en retour ? J’en profite, j’aime, il aime, ne vous y trompez pas, même si vous me trouvez dur avec lui, vous ne voyez pas ses yeux briller de plaisir quand il voit que j’en prends, vous ne le voyez pas me vénérer comme il le fait, vous ne le voyez pas ramper et couiner de joie au moindre ordre que je lui donne, ce mec est une perle rare. Quand je lui ordonne de faire quelque chose que je sais qu’il n’aime pas, le simple fait de me voir satisfait le motive pour continuer.

Les soumis à 2 balles, prenez-en de la graine, vous ne lui arrivez pas à la cheville même si lui restera à sa place : par terre, c’est là qu’il se plaît et se vautre depuis 3 mois.

Depuis le weekend dernier, j’ai instauré un nouveau rituel : nourri uniquement au sperme et à l’urine du vendredi soir au dimanche matin et ce soir j’invite mon meilleur ami avec son mec à dîner, on est samedi, ma lope sera affamée, on va prendre notre pied.

Puisque je suis sadique, c’est yan qui prépare le repas bien entendu et je l’observe du coin de l’œil, nu, collier en cuir, menottes en cuir et cage métallique à s’affairer en cuisine pour que tout soit prêt, j’ai envie de me lever et de le baiser, de le défoncer sans aucune pitié comme souvent je le fais en rentrant du travail, il aime ça finalement se faire enculer enfin surtout se faire utiliser. On discute beaucoup, c’est la base de la confiance et de la complicité.

Mais je le laisse mariner, quand il aura soif, il viendra réclamer sa pisse et quand il aura faim il me demandera mon sperme que je ne lui donnerai sans doute pas avant le soir mais pourquoi pas son foutre, il n’a pas joui depuis 3 mois, je vais penser à le faire jouir au sol et bouffer…

Mais je suis très excité, je me lève de mon fauteuil et le rejoins dans la cuisine, je caresse ses fesses et retire son plug. Immédiatement, il se cambre pour me donner accès à son cul. J’engouffre mes doigts dans cette chatte souple et ouverte à se faire ramoner chaque jour, il gémit quand je titille sa prostate.

- T’aime ça finalement te faire prendre le cul ma salope…

- Oui Maître, tu m’as fait apprécier ça et surtout, j’aime car tu aimes ça.

Je ne tiens plus, je baisse mon pantalon et l’embroche sans aucune délicatesse, il gémit encore plus fort, je lui embrasse l’épaule que je mordille ensuite puis le cou et je viens lui murmurer à l’oreille :

- Qu’est-ce que tu es ?

- Ton esclave, ta lope, ta chose Maître.

- Et à quoi tu sers ?

- Ton plaisir uniquement Maître.

Alors je le défonce, je le pilonne sans pitié et il hurle en me remerciant. Il est le seul bâtard à avoir le droit de me tutoyer car c’est aussi mon mec. Je lui ai octroyé ce droit, en contrepartie, je lui ai retiré son prénom, il n’a plus droit qu’aux qualificatifs de ce qu’il est : lope, salope, raclure, bâtard… Jamais je ne l’ai appelé une seule fois par son prénom en 3 mois.

Je sors de son cul sinon je vais jouir, je lui remets son plug et lui ordonne de finir de préparer le repas, ensuite, il ira se préparer : lavage intégral, juste un pantalon (fendu à l’arrière pour avoir accès à son cul et une chemise blanche sans bouton, ses accessoires ne l’ont pas quitté depuis son arrivée, ce sont aussi ses habits.

Lorsqu’il revient, propre et habillé, il est bandant, sexy, j’ai envie de le démonter à nouveau mais je me contiens, mes invités vont arriver.

D’ailleurs, ça sonne, ma lope va ouvrir. Romaric, mon meilleur ami, et son mec arrivent alors que je trône dans le canapé du salon.

Romaric m’embrasse sur les lèvres, Marc, son compagnon, me serre la main et me gratifie d’un « bonsoir Monsieur ». yan a dressé la table du salon pour l’apéro, les flûtes de champagne, biscuits apéro et toasts sont déjà dessus.

- Enfin tu me présentes ton mec, déclare Romaric en s’affalant dans le canapé. Marc reste debout puis s’assoit lorsque son mec claque des doigts. Belle bête, tu as bon goût. S’il est aussi servile que beau, tu as le jackpot.

Je tourne la tête vers yan, et du regard, il comprend qu’il doit faire le service. Il remplit 3 flûtes de champagne, me tend la première et donne les suivantes à mes invités puis il présente le plateau avec les toasts. Lorsque chacun s’est servi, il vient s’assoir à côté de moi comme je l’y ai autorisé du regard.

- Il ne trinque pas avec nous ? Demande Romaric, un sourire aux lèvres, il me connaît bien.

- Du vendredi soir au dimanche matin ma lope est nourrie au sperme et hydratée à la pisse, dis-je fièrement.

- Marc, poursuit Romaric sans être surpris, remplis la coupe de la lope.

Marc se lève sans un mot, descend sa braguette, sort sa bite, se saisit de la dernière flûte et pisse dedans puis il me la tend, je le remercie d’un signe de tête et nous trinquons.

L’apéro se déroule parfaitement bien, nous parlons de tout et rien, nous dînons, sauf yan qui est à genoux à côté de ma chaise, arrive enfin le moment d’utiliser nos lopes. C’est Romaric qui ouvre les hostilités en s’asseyant avec son digestif dans le canapé et en ordonnant à Marc de venir pour qu’il puisse pisser. Son mec obéit sans moufter, il est bien bâti, un beau barbu musclé, très mâle et pourtant très soumis. J’en profite pour faire de même avec yan qui, lui aussi, s’exécute sans dire un mot. Une fois fini de pisser, nous maintenons leur tête sur notre queue qui commence à gonfler, nos lopes nous sucent lentement, nous nous laissons porter par le plaisir qu’ils nous procurent.

- Ton mec n’a pas bouffé depuis hier soir donc ?

- Non, juste mon sperme ce matin.

- Il faut le nourrir avant de l’utiliser… Je peux ?

- Fais-toi plaisir, il est là pour ça.

Romaric se relève et demande une assiette que yan part chercher dans la cuisine puis, il lui ordonne d’enlever son pantalon, de monter sur la table à manger et d’y poser l’assiette. yan obéit. Romaric adore fouiller un cul, même le mien est passé entre ses doigts experts, je souris d’avance, il va faire hurler ma lope, je me régale à l’idée d’assister au spectacle. Je vois Romaric retirer le plug du cul de ma lope et immédiatement y introduire ses doigts, yan soupire de plaisir.

- C’est du 3 mois d’âge qui sortira, dis-je à Romaric en riant puis je regarde Marc, porte les yeux sur ma queue raide qui palpite et le regarde de nouveau. Il comprend et vient me sucer lentement pendant que je regarde mon pote se faire plaisir.

- C’est vrai que tu les aimes sous cage, moi je les préfère les couilles vides, Marc se vide 2 fois par jour devant moi.

Romaric poursuit avec ses doigts l’occupation du cul de yan dont je vois la respiration se saccader et son rythme accélérer, il tente de se retenir, j’aime le voir faire ça. Mais il a affaire à un expert qui, au bout de 10mn de fouillage de cul, réussit à lui déclencher un orgasme ruiné. Le sperme de yan s’écoule de sa bite et coule dans l’assiette en traversant la cage pendant qu’il gémit à n’en plus finir en agrippant les côtés de la table. Romaric attend une minute puis lui ordonne de bouffer ce qui est dans l’assiette. yan s’exécute en véritable affamé, Romaric me regarde l’air vainqueur.

- On passe à la chambre ? Je suis chaud là, faut que je démonte de la pute.

Sans un mot, je repousse Marc et me lève, je vais dans la chambre suivi de Romaric et nos lopes. Romaric ne tarde pas à m’embrasser à pleine bouche et me déshabiller, j’en fais de même, nos lopes attendent patiemment nos ordres. Nous aimons d’abord nous donner du plaisir lui et moi pour nous rendre encore plus chaud. Habituellement c’est Marc qui subit ensuite nos assauts, là nous avons 2 esclaves que nous allons sauter, défoncer, démonter sans aucune pitié.

Mais avant ça c’est un moment sensuel entre Romaric et moi où nous continuons à nous chauffer dans le lit pendant que lope à présent à poil regardent leur Maître prendre du plaisir. Nous nous caressons, nous embrassons tendrement en regardant par moment nos esclaves avec un sourire carnassier.

Suffisamment chauffés au bout de 30 minutes, Romaric se lève et choppe yan par les cheveux pour l’amener dans le pieu avec nous, il lui attache les mains dans le dos et commence à lui limer la gueule.

Je regarde Marc, lui fais signe de venir et lui présente ma queue qu’il avale sans discuter, nous commençons un pilonnage de gueule intensif en gémissant de plaisir. Ensuite nous investissons les culs et nous embrassant Romaric et moi. Les gémissements des lopes montent dans la pièce, nous excitant encore plus alors nous les défonçons sans pitié pour leur montrer ce qu’est un vrai mâle.

Mais nous ne voulons pas jouir trop vite, avant, nous devons dresser nos lopes.

Romaric se lève et enchaîne Marc debout en croix, j’amène yan, le fais mettre à genoux et lui fait avaler la queue de Marc. Pendant ce temps, Romaric commence à fouetter le dos de son mec qui gémit de plaisir, je lui pose des pinces sur les tétons, il couine fortement. Je détache les mains du dos de yan et je le fouette aussi, lui ordonnant de sucer Marc jusqu’à le faire gicler. Et ma lope s’active, affamé de sperme, sa seule nourriture du jour, il a faim, il va vider complétement les couilles de Marc qui ne lui offrira qu’un résidu de semence de lope puisqu’il se vide 2 fois par jour. Au bout de 20 longues minutes, yan est récompensé de sa pipe vorace et se délecte de son nouveau repas en couinant, je redouble de coups, il se libère de la bite de Marc en lâchant un « merci Maître ».

Nous détachons Marc et investissons de nouveau les culs mais cette fois, celui de nos esclaves et nous les démontons pour prendre notre plaisir, ils couinent, gémissent. Ils n’ont plus d’excitation mais prennent un plaisir immense à sentir que nous prenons le nôtre, ils savent quel est leur job, on les a dressés pour ça.

Nous alternons les culs sans ménagement et, au bout de 2h30 de débauche sexuelle non-stop, Romaric et moi jouissons dans un râle viril, expulsant notre sperme sur le paquet de la chambre. Sur mon ordre, yan nettoie le sol puis nous nous affalons dans le lit.

Nos lopes dormiront par terre, Romaric et moi nous endormons rapidement dans les draps et dans les bras l’un de l’autre.

Puisqu’il est prévu qu’il reste avec son mec demain toute la journée, nous aurons l’occasion de nous défouler de nouveau. Si yan est à la hauteur de mes attentes, dimanche soir, nous ferons l’amour pour la première fois depuis 3 mois. Je lui offrirai une soirée sans cage et sensuelle.