Sexe au dispensaire

Voilà quelques jours que je suis revenu du Maroc où Mohammed m’avait envoyé pour tester la vie dans ces harems présents dans certains villages retirés. Une expérience intéressante. Je pensais y rester mais Mohammed est venu me rechercher, en promettant au chef du village que je reviendrai plusieurs fois par an.
Mohammed est mon propriétaire et nul doute que je lui manquais, moi la petite lope obéissante. « Pour être certain que tu n’as rien attrapé là-bas, j’ai pris rendez-vous chez un urologue du quartier. Je t’accompagnerai car il ne parle pas très bien français vu qu’il a ouvert un petit dispensaire pour les migrants arrivés en ville » me dit Mohammed tandis que je sors de la douche, ce confort absent au bled où j’ai dû me laver dans un bassin ou dans la mare de l’oasis proche du village. Nu, j’apprécie de retrouver mon corps propre et soigneusement épilé. Pour satisfaire Mohammed et ses amis, friands de corps lisses et blancs de peau. « Nous avons rendez-vous ce soir à 17 heures, je passerai te chercher. » me dit Mohammed avant de me laisser me reposer, non sans avoir caresser ma verge lisse.

Le soir venu, Mohammed sonne et vient me chercher. Douche prise, string rouge enfilé sur mon corps épilé je le suis. Le dispensaire n’est pas très loin et nous y allons à pied. L’endroit ne paie pas de mine, une vieille maison de laquelle entrent et sortent des maghrébins et des migrants venus de partout. Mohammed se faufile dans les couloirs jusque le cabinet de son ami urologue. Cabinet est un grand mot en fait, juste une pièce avec quelques chaises le long du mur comme salle d’attente, une armoire et une table d’examen éclairée par une simple ampoule. Mohammed et moi prenons place sur les chaises dans l’attente du doc. Pour me rassurer, Mohammed me caresse la cuisse. Il est vrai que l’endroit n’est pas très gai et ne ressemble pas à ces cabinets médicaux classiques. Un autre homme nous rejoint, et s’assied à côté de nous. Le prochain patient sans doute. Ce qui me choque un peu, ce qui me surprend plutôt, c’est qu’il n’y a pas de séparation da
ns la pièce, mis à part un rideau presque transparent.

J’arrête de réfléchir car le médecin vient d’entrer. Assez grand, sec, cheveux blancs peignés vers l’arrière, teint mat, son visage sévère me frappe. Mohammed se lève et va lui parler en arabe. Je ne comprends rien mais je pense qu’il parle de moi car le médecin me regarde et esquisse un sourire sadique. Il sait sans doute que j’ai servi de chèvre. Il me fait signe de m’approcher. « Déshabillez-vous et venez sur la table » me dit-il dans un français teinté d’accent arabe. Sans me regarder il se tourne vers la table tandis que je me déshabille complètement. Lui installe des étriers sur la table. Et me fait signe de monter sur la table. Je m’exécute et sur ses indications je place mes pieds sur les étriers. Me voici à poil sur la table, les jambes ouvertes, mon intimité dévoilée. Je ne sais pas pourquoi mais il écarte la tenture. Pour avoir plus de lumière ? Sans doute. Mais me voilà offert à la vue du patient assis au fond de la pièce, qui
ne perd pas une miette du spectacle de mon corps nu écartelé par les étriers.
Sans rien dire, le docteur enfile des gants et commence à me palper. Les seins puis le ventre, la verge, décalottée sans douceur. J’avoue que ses palpations m’excitent et provoquent une forte érection. Lui s’en fiche, son regard est porté sur mon petit trou, étoilé. « Humm, ton trou a bien servi à voir son état » me dit-il sèchement. « Au bled, tu as bien servi, combien as-tu eu de partenaires ? » Sa question me ramène en mémoire ces longues journées passées nu à subir les sodomies, par les vieillards ou les jeunes. « Je pense que j’ai eu une quarantaine d’hommes venus se vider en moi durant mon séjour » je lui réponds. Sans me regarder, il me palpe l’anus, enfonce un doigt puis deux dans mon fondement pour tester l’élasticité de mon orifice. D’un geste il se prend un speculuum sur la petite table présente à côté de la table. La froideur du métal me fait sursauter mais j’apprécie cette sensation de froid au sein de mon anus. « Humm,
tout me semble normal malgré votre expérience. La prise de sang le confirmera » dit le docteur à Mohammed avant de l’entraîner à l’écart pour lui parler en arabe. Les deux hommes sortent de la pièce, me laissant tout nu sur la table, mes jambes ouvertes, mon intimité offerte. Deux hommes ont rejoint le patient dans la « salle d’attente ». D’un coup, ils se lèvent et s’approchent de moi avec des moqueries lancées sur mon petit corps nu. Ils tournent autour de moi, comme des félins autour d’une proie. Sans la présence du médecin, ils se sentent libérés de toute réserve. Ils commencent à me caresser, me pincer les seins, les fesses. L’un d’entre eux m’écarte les fesses et enfonce sans préparation deux doigts. Un autre me masturbe sans douceur. Je laisse faire, tétanisé. « Je baiser toi » me dit le plus âgé des trois. Il n’a pas dû baiser depuis longtemps et mon corps efféminé l’excite, comme un rappel à ce qui lui manque, un ou une
partenaire. Il libère sa queue en quelques mouvements et se couche sur moi pour me pénétrer. Mon anus dilaté par le speculuum n’a aucune difficulté à accueillir ce gros membre. Le troisième homme me prend la tête et la tourne vers sa queue, présentée pour la sucer. Le nez dans ses poils pubiens je suce et lui ne tarde pas à jouir dans ma bouche. Mon enculeur l’imite et jouit dans mon anus. Satisfait, le trio rejoint sa place tandis que le docteur revient dans la pièce avec Mohammed. A la vue du foutre qui s’écoule de mon trou, il comprend tout, mais ne dit rien. « Vous pouvez vous rhabillez jeune homme. Mohammed vous dira ce que nous avons prévu pour vous. » Curieux et intrigué, je me rhabille et je suis Mohammed pour retourner à l’appartement. Il y aura matière à discuter à notre retour. Mon anus humide me rappelle que je suis décidément une belle petite lope.