Premier épisode
Chapitre-2
Quelques semaines ont passé depuis ma première visite au dispensaire avec Mohammed. Je suis toujours installé dans son appartement et ses passages fréquents apportent de la surprise dans mon quotidien de lope. Il débarque souvent à l’improviste, de jour comme de nuit, seul ou accompagné. De cette visite au dispensaire je garde cette idée du doc de me présenter au responsable d’un harem présent en ville. Clandestin et reconnu, m’a dit Mohammed, pour la présence de lopes européennes qui font la chèvre, comme je l’ai fait au Maroc en début d’année.
Mohammed reçoit d’ailleurs un courrier régulier du chef de village pour m’inciter à revenir. Mon petit corps lisse et blanc a laissé de bons souvenirs et d’autres villages aimeraient m’accueillir. « Avec les congés de printemps qui s’annoncent ce serait une idée que de te renvoyer là-bas pour une bonne semaine non ? » me demande Mohammed, nu contre moi dans le sofa, sa main droite glissée sous mes fesses. « J’adorerais oui, comme j’aimerais aussi que tu me présentes au responsable du harem dont parlait le doc au dispensaire. Il m’a dit que j’aurais bien du plaisir. » Je vois les yeux de Mohammed pétiller à l’idée de cette envie. « Pas de souci pour moi mon joli Damien, mais avant cela laisse-moi te baiser ce soir, tu sens bon la fille après ce bain parfumé que tu as pris. Ta peau est si douce sans le moindre poil » me glisse Mohammed dans l’oreille. Pour le satisfaire et répondre à son envie de sexe concrétisée par son phallus gonflé qui
émerge de son entre-jambes je me mets sur le dos, jambes relevées et écartées. La vue sur mon petit trou est garantie, comme une invitation. Qu’il accepte. Mohammed se couche sur moi, m’embrasse avec fougue tandis que son gland se présente sur mon œillet. Percé d’un coup de reins. Serré comme je suis chaque pénétration me fait sursauter de douleur mais évacuée par le plaisir de sentir ce membre chaud me ramoner les entrailles. J’aime me sentir efféminé sous les sodomies de Mohammed et ses amis arabes. Pris à sec la douleur est plus forte mais le frottement des peaux est délicieux. Huilé par le foutre de Mohammed, mon petit trou s’humidifie et provoque ce bruit d’eau caractéristique des bourses de mon partenaire claquant contre mes petites fesses. Mohammed jouit rapidement et son jet de foutre chaud est projeté dans mon intérieur. Lui se retire et s’essuie la queue avec mes cheveux longs.
Mohammed n’a que faire de me respecter, je suis sa lope c’est tout. « Bon, je dois redescendre chez moi pour retrouver Fatima mais je vais contacter le harem et te proposer comme slave. Ce sera sans doute une bonne préparation pour ton retour au Maroc » me dit Mohammed avant de se rhabiller. Sur une dernière caresse sur ma croupe il prend congé et me laisse nu dans le sofa, son foutre toujours en moi.
Le lendemain, j’entends la porte de l’appartement s’ouvrir. Seul Mohammed a la clé, je sais donc que c’est lui. Je suis encore au lit, en nuisette transparente noire, ce cadeau offert par ma sœur Dominique et puisé dans sa garde-robe. Sachet de croissants en main Mohammed entre dans la chambre et prend le temps de me regarder, couché sur le dos, ma nuisette remontée et laissant voir mon pubis épilé. « Un jour j’aimerais peut-être que tu te fasses opérer pour retirer ton pénis. Tu serais enfin ma poupée féminine » me dit-il dans un grand rire. C’est vrai que j’y pense et que le doc au dispensaire m’avait parlé d’un collègue capable de me le faire. Mais j’évacue cette histoire en rabattant la nuisette sur mon sexe.
« Bonne nouvelle me dit Mohammed, j’ai contacté le chef du harem et il est d’accord pour nous recevoir aujourd’hui. Il lui manque justement un passif européen pour remplacer un départ. Ta description lui a plu. Mais ne t’attends pas à croiser de jeunes hommes arabes sur place. Ce harem est souvent fréquenté par des hommes âgés en quête de jeunes recrues comme toi, de la chair fraîche à la peau blanche. Tu sais que mon grand-père me parlait souvent de son père qui profitait d’esclaves européens capturés lors de séjours au Maghreb au début du 20e siècle. Personne ne les revoyait revenir en Europe. Un épisode peu présent dans les ouvrages historiques. Mais bon, je ne veux pas te faire peur. Je passe te prendre dans une heure » me dit Mohammed.
Une heure seulement pour me préparer, pas de temps à perdre. Une douche avec un lavement intime soigné est expédiée. Un simple coup de rasoir suffit pour rafraîchir mon corps épilé partout. D’accord cela ne donne pas un air viril mais cela apporte une grande douceur dans les contacts. J’enfile un pantalon de coton blanc, sans sous-vêtement, et un sweat-shirt. Mon look est à la fois moderne et sexy. Avec la transparence du coton j’ai intérêt à faire attention en rue. Je risque de choquer.
L’heure venue Mohammed monte me chercher. Dans la voiture, pour que je ne sache pas où nous allons, Mohammed me met un bandeau sur les yeux. « Le respect du secret de la localisation du harem est important me dit Mohammed. Je ne voudrais pas qu’il t’arrive quelque chose et que tu décides d’y aller seul par la suite. »
Nous roulons une bonne demi-heure je pense. Difficile à dire. Puis la voiture s’arrête dans une allée de graviers. Mohammed fait le tour de la voiture et m’ouvre la portière. Toujours les yeux bandés il m’aide à descendre et me guide jusqu’à l’entrée. Suis-je en ville ou en périphérie ? Je l’ignore. J’entends des cris sur un fond de musique arabe. Le genre de cris que je pousse parfois dans mes rapports avec des hommes trop bien dotés sur le plan anatomique si vous voyez ce que je veux dire.
J’entends Mohammed parler avec un homme, sans comprendre ce qu’ils disent. Puis Mohammed me dit qu’il reviendra me chercher. Je l’entends marcher sur les graviers, me laissant seul, les yeux bandés.
« Entre bel esclave, ce que tu cherches est ici » me dit un homme tout en me prenant par la main pour entrer. La chaleur des lieux m’envahit, comme cette odeur de parfums exotiques. Je n’ai pas le temps de m’attarder sur ce détail que déjà des mains se posent sur moi. Je sens que l’on me baisse le pantalon à mes pieds. On m’aide à le retirer. La vue de mon pubis glabre provoque des sifflets admiratifs. Ma verge épilée, pas grosse avec ses 18 cm, repose sur mes bourses. Des mains les touchent, claquent sur mes fesses, malaxées, ouvertes au maximum. On cherche à voir mon anus. Puis c’est mon sweat-shirt qui est retiré. Me voici complètement nu dans ce lieu que je ne vois pas encore. J’encore plusieurs voix. Et, enfin, on me retire le bandeau. Mes yeux doivent s’habituer à la pénombre de l’endroit. Je distingue trois hommes autour de moi. Costauds, barbus et d’un âge que je classerais dans la soixantaine, voire plus. Mohammed ne m’a pas menti, pas d
e jeunes de mon âge. l’un d’entre eux me glisse un collier au cou, serré. Un autre me met des fers aux pieds. Peut-être pour m’empêcher de m’enfuir. « Tu vas nous servir mon petit Damien. Malgré tes 30 ans tu es très appétissant avec ton petit corps lisse. Mohammed nous a dit que tu avais déjà servi de chèvre au Maroc. Très bien, ici ce sera pareil mais un peu plus sévère » me dit l’homme qui semble le plus dominant. Ses propos déclenchent un rire collectif. Nul doute que les autres savent ce qui me sera réservé.
Colinot
tonlibertin@netcourrier.com
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