Anniversaire à l'Impact
Vivant actuellement en province, je suis remonté sur Paris quelques jours en début d'année pour mon anniversaire.
Je me présente : (désormais) 37 ans, brun, les yeux marrons, 1m73 pour 70kgs. Looké plutôt rugbyman donc. TBM aussi : j'ai une queue de 20 cmsX7, réelle, circoncise et dont j'aime me servir pour défoncer sans pitié les petits culs. J'aime la sensation serrée du petit cul, façon pucelle à enculer. L'ami chez qui je logeais m'a proposé une virée à l'Impact, pour fêter ma nouvelle année. J'ai dit oui tout de suite. J'aime ce sex club (à mes yeux le meilleur) où les mecs queutards se défoulent à poil, au sous-sol bien sûr, mais aussi au rez-de-chaussée.
Il n'est pas rare de voir des types se sucer ou s'enculer au bar, sans parler de ceux qui se paluchent tranquillement, attendant de trouver leur affaire, ou se rinçant l'oeil. Le tout se fait sans prise de tête, et rapidement. Ce qui est appréciable, par rapport aux saunas classiques.
Avec mon ami, nous arrivons donc. Le portier est sympa et nous accueille obligeamment. Le barman est nouveau. C'est sa première soirée. Un collègue est venu lui donner un coup de main. Nous nous déshabillons et nous mettons nos affaires dans des sacs. Il est 21h30. La soirée peut commencer. Mon ami ne perd pas de temps et descend les marches pour trouver une bite qui le satisfera. C'est un excellent suceur, infatigable. Pour ma part, je préfère attendre au bar, devant une bière, pour voir les mecs qui arrivent. Il est encore tôt. L'Impact est loin d'être plein. Ma boisson finie, je descends à mon tour au sous-sol. Les mecs tournent. Certains s'amusent déjà. Je vois un mec assez balaise, avec une courte barbe. Eyes connection. L'affaire est conclue. Il me demande de nous isoler dans une cabine.
Dans la pénombre, on distingue des types derrière les filets. On se roule des patins goûlus. On se mordille les tétons. Le mec balaise finit par s'accroupir. Il commence à me sucer. Ma pine grossit et devient bien dure. Je lui prends la tête avec les deux mains, afin de l'encourager à en avaler le maximum. Il s'acquitte bien de sa tâche, passant et repassant sa langue sur mon gros gland. Mais le mec se relève bientôt et me dit qu'il est désolé, mais qu'il doit arrêter. Il est crevé : il vient de tirer deux fois son coup dans un sauna, me dit-il. Il s'en va, me laissant seul, avec la bite au garde-à-vous. Je vais jeter un coup d'oeil au fond, vers les glorys-holes. Un black antillais, costaud, est en train de se faire pomper le dard par un mec avec un petit bouc, armoire à glace, lui aussi. Je les mate. L'antillais avise ma queue, la branle et commence à la sucer. Au bout d'un moment, je décide de remonter. Cela fait une heure que je suis là. Il y a maintenant du monde. Les mecs arrivent à un rythme accéléré.
fais la connaissance de deux gars au bar. L'un, Boris, est très mignon, la queue encore au repos, mais déjà assez mastoque. L'autre, Denis, est plus grand, avec un cockring et un prince-Albert, le sexe totalement épilé. Denis et Boris viennent de faire connaissance. Denis, passif la plupart du temps, s'est fait prendre par Boris. Il me branle et me fait comprendre qu'une petite gâterie de ma part lui dirait assez. Je reçois cinq sur cinq. Je m'agenouille devant eux et je commence à les pomper.
A ma demande, Denis a enlevé son Prince-Albert. Je passe à la queue de Boris. Il bande comme un dingue, avec un superbe gland violet, bien décalotté. Sa queue est moins longue que la mienne, mais très épaisse. D'un commun accord, nous redescendons. Didier s'allonge sur le dos, sur le lit à partouze. Boris s'encapote et se graisse la bite, afin de bien se préparer à saillir Denis. Je les regarde, sniffant un peu de poppers et me branlant en même temps. Boris pénètre et laboure le derche de Denis, qui prend son pied. Puis, Boris passe la main sur mes fesses, me signifiant par là qu'il aimerait profiter de mon cul.
Quoique je sois d'ordinaire plutôt actif, son coup de rein me dit bien. Je me place en levrette, tandis que Boris change de capote. Il va me mettre une cartouche d'enfer, dans le quart d'heure qui suit. Sa grosse queue me lime le fion. J'ai le trou qui chauffe. Boris me défonce sans état d'âme. Il éjacule en geignant, dans la capote. Nous nous relevons. Boris s'en va. Denis et moi nous reprenons une bière au bar. Il est minuit. Denis voudrait me prendre à son tour, mais j'ai un coup de barre passager. Nous nous quittons. Je vais me balader en bas. Il y a des minets américains très mignons, qui s'envoient en l'air. Un mec me complimente sur mes lèvres. Merci man. Un type brun est à quatre pattes, jambes écartées, le cul offert. Je passe une capote et je lui donne une douzaine de mégas coups de bite. Il couine. Il est heureux. Moi aussi.
Son trou chaud est accueillant. Profondeur anale appréciable pour bon pieu de chair. Je le laisse et je retourne au fond. Mon ami est en train de sucer un touriste avec application. Je heurte l'armoire à glace avec un petit bouc. Celui qui suçait l'Antillais. Nous nous regardons. Il a un grand sourire. Nous nous installons sur le lit à partouze, où nous entamons un 69. Je le suce. Il a une queue énorme, aussi grosse que la mienne et un peu plus longue. Je passe à ses couilles rasées, que je gobe, puis à son cul que je bouffe avec application. Sous l'effet de ma langue, il a l'anus bien ouvert. Marc (c'est son nom) me roule un patin et me dit qu'il aimerait bien que je le prenne. Ce serait avec le plus grand plaisir, mais, avec la chaleur et le poppers, je débande. Un autre type s'approche. Un colosse (c'est la soirée, décidément!).
Il me prend la tête d'autorité et me présente sa pine. Je la prends, le décalottant sèchement à chaque coup de langue. Il a un petit sursaut à chaque fois. Bien fait ! Il est maintenant près de deux heures du matin. Il est temps de rentrer : les meilleures choses ont une fin. Nous nous rhabillons, mon ami et moi, pour aller prendre le bus de nuit à Rambuteau. Je le remercie de son initiative : ça a été une très bonne soirée d'anniversaire. Je rentre dans quelques heures en province... mais je me promets de revenir, sans attendre un an ! ...
Nico
alexandrehelios@yahoo.fr