Virée à l'Impact bar
Le mois dernier, j'ai posté, sur Cyrillo une histoire où je racontais la soirée de mon anniversaire à l'Impact, un des meilleurs -sinon le meilleur- bar à cul de Paris. Les mails de félicitations reçus de lecteurs m'encouragent à récidiver. Merci les mecs, vos mots ont été sympas et me confortent dans ma volonté de raconter mes virées sexuelles réelles. Je me présente à nouveau : brun, les yeux marrons, 1m73 pour 70kgs, trapu, bien bâti, une queue circoncise de 20X7 réelle, plaisant aux mecs qui aiment faire joujou avec. Plutôt actif, puisque j'aime faire la fête à de petits culs, je suis aussi parfois passif. Vivant en province, je monte à Paris une fois par mois environ, et j'en profite pour aller me vider les couilles à l'angle du boulevard Sébastopol et de la rue Greneta. J'étais à Paname les 14,15, 16 et 17 mars. Autant vous le dire, je n'ai pas laissé passer l'occasion de m'envoyer en l'air. Je n'ai pas été déçu.
A peine arrivé à l'Impact, mes affaires emballées dans un sac, je prends rapidement un verre au bar avant de descendre au sous-sol. De nombreux mecs sont déjà là, déambulant ou fuckant plus ou moins discrètement. Je croise un petit mec brun, jeune et mince. Il me mate, me suit avec insistance tandis que je me promène. Au bout d'un moment, je m'arrête, me retourne et voit le minet. Il me colle au train et me sourit toujours. OK. Pourquoi pas ? Il est mignon et a l'air de savoir ce qu'il veut. On s'isole dans une cabine, derrière un filet. Le petit m'embrasse fougueusement, et s'abaisse pour me sucer la bite. Celle-ci grossit rapidement, avant d'être en pleine érection. Je rends à mon tour la pareille à mon suceur. Il a une pine plus petite que la mienne, une quinzaine de centimètres environ, mais avec un beau gland agréable. Le petit brésilien m'embrasse à nouveau, me dit qu'il s'appelle Marco et qu'il est brésilien. Il me demande de mettre mon pied droit dans le glory hole de la paroi de la cabine. Je m'exécute. Les mecs qui passent doivent avoir une vue plongeante sur mon cul. Marco s'agenouille et commence à me bouffer la raie des fesses. Marco m'assouplit bien l'anus.
Un type balaise se pointe. Costaud, brun, avec un mince collier de barbe. Il nous regarde en se branlant et présente son sguègue au petit. Celui-ci hésite deux minutes, avant de prendre le membre en bouche, sur mes encouragements discrets. Le petit suce bien le mec, puis moi, alternant nos deux queues. Le mec balaise me roule un patin, tandis que je lui fais les tétons, le mordillant et le pinçant gentiment. On décide de quitter la cabine pour s'installer sur le lit à partouze. Je me place sur le bord, les jambes écartées. Marco et le balaize me sucent successivement la bite. Le mec balaize se branle comme un fou. Il finit par jouir. Il y a du foutre plein par terre. On remonte prendre un verre. Là, on discute. Je leur explique que je suis de province. Le petit Marco s'est installé debout entre nous deux, assis sur des tabourets. De ses deux mains, il nous caresse les cuisses et nos verges commencent à se redresser. Je félicite le mec balaize : son éjaculation n'a pas entamé ses capacités. Il rigole et me remercie. Il redescend ensuite au sous-sol, tandis que le petit Marco rentre chez lui.
Deux mecs canons arrivent au bar. En les écoutant parler, je m'aperçois qu'ils sont italiens. Je redescends au sous-sol. Un vieux me passe la main sur la pine. Je lui fais gentiment comprendre que ça ne m'intéresse pas. A ce moment, je croise les deux ritals. L'un avise ma bite. Sans attendre, il porte la main à mon membre, le soupèse, le branle, se penche et le prend en bouche. Son copain se met à genoux aussi pour sucer un mec à côté de moi. Nous avons les deux italiens à nos pieds et c'est top. "Do you have poppers ?" me demande le rital. Ben non, j'en ai pas. Un type se propose et porte un flacon sous le nez de l'italien. Ce dernier prend une capote, coiffe ma bite avec, se lubrifie le derche et se penche en avant. Il m'utilise comme un gode ! J'essaie de l'enculer, mais ce n'est pas facile : il a le trou très serré. Le rital se remet du gel. Je le pilonne rudement. Ma pine devient chaude. J'ai les couilles qui bouillonnent. Après un dernier tressaillement, j'éjacule dans la capote. Je me retire. J'enlève le préservatif et j'embrasse le mec. Il est près de deux heures du matin : je dois rentrer... mais je suis retourné le lendemain !
Tout ce que j'ai raconté est réel. N'hésitez pas à m'envoyer vos commentaires !
Nico
alexandrehelios@yahoo.fr