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soumission & Domination 237
Hervé-2
Dimanche matin.
Après une nuit calme, enfin dispersée, Franck, Louis et les jumeaux au second, Ernesto avec Hervé dans la chambre à coté de la notre et moi-même avec Marc et PH, où je suis sûr que nous avons tous joués avec nos organes sexuels, nous sommes tous réunis pour le petit déjeuner dès 9 heure.
L'ambiance est totalement détendue. Louis, même s'il n'est pas encore passé sous la bite de mon Marc, est complètement intégré et le voir chahuter avec les jumeaux est plaisant à voir.
Il est amusant de voir le regard avec lequel Franck couve son petit protégé. Hervé est, lui, totalement détendu avec un Ernesto collé à son coté.
Ce coup ci tout le monde est partant pour un décrassage. Passage au stand équipement et voila tout le groupe en goguette. Si Marc et Hervé reprennent un flottant avec jockstrap, les autres optent pour un cycliste quand ils nous voient, PH, Ernesto et moi, transformer les nôtres en " boxer ".
La " promenade " se fait à un bon train même s'il n'est pas phénoménal. Louis est un peu à la peine mais le soutient de Franck le maintient à notre niveau.
C'est au retour que nous sommes passés à la vitesse supérieure.
Nous nous serrons sous les douches de la salle de muscu et, évidement, cela dégénère sous l'impulsion des jumeaux.
Franck, qui connait bien les principes de la maison, pousse Louis dans les bras de Marc.
Je regarde Hervé. Il n'a pas l'air de se formaliser de voir Louis se mettre à genoux devant son collègue (Marc) et commencer à lui faire une pipe. Il faut dire que Tic brule la politesse à Ernesto et lui octroi le même genre de supplice.
Je m'approche de lui et lui dis qu'il a vite changé de bord pour un pur hétéro.
Il me répond qu'il n'avait jamais eu de préjugés sur les mecs mais que jusqu'à hier, il n'en n'avait pas eu l'envie.
Je lui demande si ce ne serait pas Ernesto qui l'aurait convaincu de venir gouter à ce coté de la sexualité. Hervé me répond qu'avec lui (Ernesto), il n'avait eu aucune chance de nous échapper !
Il est trop et je ne peux me retenir de lui rouler un patin.
Et putain comme il embrase bien !!
Ernesto me bouscule. Il nous décolle et me dit que ça suffit et que je pourrais quand même lui laisser la priorité sur notre nouvel ami.
Cela dit il prend ma place et roule une pelle à Hervé.
Je les laisse avec Tic à leurs pieds, et vais rejoindre Marc et Louis. Franck et bien sur avec eux !
Louis est en train de faire une pipe à Marc et ce dernier, les mains posées sur sa tête, lui donne le rythme et la profondeur de chaque pénétration.
Je demande à Franck de préparer le petit trou de son mec. Pour l'aider, je prends Louis par les hanches et le relève à 4 pattes.
Franck se couche alors derrière Louis et se met à lui bouffer l'oignon.
Son cul m'attire irrésistiblement et je kpote ma bite, la recouvre d'une bonne couche de lubrifiant et me couche sur lui pour l'enculer.
Franck est un peu surpris mais pas trop, après tout dans une touze, c'est un risque ou une chance accepté de fait.
En attendant son cul est toujours aussi bon que les premières fois où nous avions fait connaissance. Il grimace un peu à la première intromission mais me demande clairement d'y aller une fois que je suis installé au fond de son cul.
Moi, j'ai apprécié chaque millimètre de ma progression dans sa rondelle. Son anneau bien musclé serre ma queue sur chacun des 20cm de ma pénétration.
Une fois mes couilles collées aux siennes, je me permet une brève pause avant de me mettre a le limer d'un bon rythme.
J'aime les réactions en chaîne que provoquent mes coups de rein.
Quand je tape mes couilles contre celle de Franck, il donne un coup de tête dans le cul de Louis qui, du coup, s'empale la gorge avec les 22cm de Marc.
A un moment, Franck décolle ses lèvres du trou de Louis et annonce qu'il est prêt.
Marc ne se le fait pas dire deux fois. Il se kpote à son tour et gardant Louis à 4 pattes remplace la langue de Franck par son gland.
Je ripe un peu Franck et avec Marc, cote à cote, nous enculons ce nouveau petit couple.
A deux mètres de nous Hervé à planté sa belle queue dans le cul d'Ernesto et les jumeaux nous donne le spectacle d'un 69 irréel tellement leur ressemblance est troublante.
Franck tire la tête de Louis vers lui et lui roule un patin. Je m'efforce de régler mon rythme sur celui de Marc pour éviter qu'ils s'éclatent les dents. Vraiment amoureux ces deux là !
Pendant un bon moment le silence n'est rompu que par des " Slurp Slurp " et autres " Han " de bucherons ! Et c'est sans compter les gémissements en tout genre " Hummm, et Rh... ". De temps à autre une parole intelligible submerge du bruit de fond. Un " encore " fait écho à un " prend ça " qui ponctue un coup de rein soudainement plus puissant. Un " trop bon " commente les effets d'un ramonage en profondeur.
C'est en ordre dispersé que nous atteignons tous la jouissance.
Les premiers sont les jumeaux. Pour nous exciter un peu plus, ils s'écartent un peu et nous voyons comme ça leurs jets de sperme sortir de leur gland et aller se perdre dans la bouche opposée. Une fois les sources taries, ils se tournent et se roulent une pelle qu'on imagine tous trop bonne !
Marc te moi sommes les suivants à exploser. Sous nos derniers coups de bites, Franck et Louis ont leurs orgasmes et jutent sur le tatami.
Hervé et Ernesto sont les derniers. Mais sous nos regards fatigués, nous les voyons prendre un plaisir réservé aux personnes qui ont plus que le sexe en commun. Ernesto se prend un orgasme à nous rendre jaloux alors qu'Hervé rempli sa kpote, planté au plus profond de son trou.
Quand ils se séparent c'est pour se prendre dans les bras.
Nous restons étalés sur le tatami le temps de nous remettre puis, retour sous les douches. Quand nous en sortons, Samir et Ammed nous apportent des peignoirs et des tongs.
Nous montons au séjour et nous répartissons dans les canapés. Si Hervé et Ernesto s'accaparent un deux places, Louis s'installe sur Franck dans un des grands fauteuils en cuir.
A peine installé avec Marc sur le grand canapé, Tic et Tac nous tombent dessus. Ils nous roulent des pelles et nous disent que nous avons intérêt à nous occuper de leurs petits culs d'ici ce soir, si nous ne voulons pas qu'ils se plaignent à leur père !
Un éclat de rire général ponctue leur sortie.
Nous attendons le repas ensemble. Du canapé d'à coté nous parvient des murmures inaudibles.
J'ai beau dire tout haut que les messes basses sont impolies en présence d'autrui, Hervé et Ernesto continuent leurs apartés.
Quand nous passons à table, je me place entre eux deux. Ce que je comprends de leur discussion, c'est qu'ils sont en train de voir comment Hervé peut atterrir à Barcelone plutôt qu'à Paris ou Nantes.
Belle évolution en deux jours. Passer d'Hétéro célibataire plutôt enclin à sauter sur les belles femmes qui passent dans sa zone d'influence, à : au minimum bi, amoureux d'un jeune mec, ce n'est pas courant !
Marc fait remarquer à son collègue qu'il faudra quand même qu'il passe par la France à chaque retour de mission à l'étranger.
Hervé lui objecte qu'il pourrait se faire muter à la filiale espagnole, cela faciliterait ses déplacements.
Je vois alors mon Ernesto blêmir. Je pense qu'il vient de se rappeler qu'à Barcelone il y a sa clientèle à servir. Je le vois essayer de parler. Il s'étrangle, essaye à nouveau mais n'y arrive pas.
D'un coup de coude dans les cotes j'arrête ses pitoyables tentatives et lui dis que je me chargerai de lui en parler plus tard.
L'occasion arrive à la fin du café. PH emmène les jumeaux et notre petit couple (Franck & Louis) sur la terrasse pour profiter du soleil de cette fin de vacances, nous laissant seuls, Marc, Hervé, Ernesto et moi.
Je demande à Hervé si Marc lui a parlé de ma société. Il me dit que oui, il savait que je proposais un service d'Escort " complet ".
Je lui dis alors qu'Ernesto en était ma composante espagnole.
Il met quelques secondes à réaliser ce que cela sous entend. Quand il regarde Ernesto pour en avoir la confirmation. Il le voit, tout rouge, regarder le bout de ses pieds, il tient là sa réponse.
Je lui dis que cela ne doit pas changer ce qu'il pense d'Ernesto. Il est, pour nous trois (Marc, PH et moi), un ami, un amant et surtout le p'tit mec que nous aimons tous les trois.
Nous le voyons réfléchir.
Ernesto est vert sous son bronzage. Il est de plus en plus mal, comme les minutes passent. Limite s'il ne se décompose à vue d'oeil.
Marc, qui comme moi, perçoit le malaise d'Ernesto, rappelle Hervé à la réalité.
Tout ce que ce dernier arrive à sortir c'est " et tu as beaucoup de clients ? ". Ernesto s'écroule dans mes bras, mouillant mon épaule de ses pleurs.
Marc engueule Hervé pour son manque de tact.
Hervé vient vers nous et tente de prendre Ernesto dans ses bras. Ce dernier refuse et se colle à moi.
Il nous demande de le laisser seul avec Ernesto. Marc, comme j'hésite, me fait signe de sortir avec lui.
Nous les laissons et rejoignons le groupe en train de bronzer. PH m'interroge du regard et j'hausse les épaules d'impuissance.
Ils nous rejoignent une heure plus tard, Ernesto est transfiguré. Collé à Hervé, un sourire beat barre son visage. Hervé, qui a compris l'affection qui me lie à Ernesto, me dit qu'ils ont réglés le problème.
Je pense que le projet que j'avais, un jour, de voir Ernesto rejoindre notre trio vient de s'écrouler. La façon dont il se complait dans les bras d'Hervé ne trompe personne.
Quand plus tard dans la journée j'arrive à coincer Ernesto seul, il me remercie de lui avoir fait connaitre Hervé et me confirme que le coup de foudre a été réciproque.
Je lui demande " et nous ? ". Il me dit qu'il en a parlé avec Hervé et que rien ne change par rapport à avant leur rencontre. Il accepte ce qu'il a pu vivre avant de le connaitre et que les relations qu'il a tissées fassent parties de lui et qu'il doive prendre Ernesto tout entier.
Je suis tellement content pour lui que je le serre très fort dans mes bras, les yeux tout humides ! Et, comme à chaque fois que j'ai un beau mec dans mes bras, je bande. Ernesto est dans le même état que moi. Ça me rassure, ça m'aurait gêné qu'il ne bande plus que pour son Hervé chéri.
Nous finissons nos retrouvailles par une pelle à rendre jaloux Hervé. C'est d'ailleurs un peu ce qui est arrivé, même s'il n'a pas interrompu notre étreinte.
Pour enfoncer le clou, je le préviens que, quand il viendront à la maison, il devra nous prêter son Ernesto.
Jardinier