Le joueur
J'habite une petite ville où je suis le dirigeant et propriétaire d'une PME locale. Je suis le sponsor de l'équipe locale dont j'ai été membre dans ma jeunesse.
J'ai 57 ans. Je suis marié. Je m'autorise des écarts de conduite que mon épouse supporte pour en pas perdre le train de vie auquel elle est habituée.
Quand je veux baiser, je profite d'un déplacement professionnel ou je vais dans l'importante ville voisine.
Je n'ai pas trop de mal à trouver un gars. Je fais du sport deux heures par jour depuis ma adolescence et j'ai gardé un corps ferme, sans gras, tout en muscle. Je suis grand et ma gueule plaît.
Ne serait-ce que mon corps, personne ne se douterait de mon âge, mais le poil est devenu blanc. Et le poil il y en a beaucoup.
Trop pour certains mais heureusement pour moi, d'autres en raffolent
Le week-end dernier j'étais convié à participer au banquet de fin de saison de l'équipe. Pas une grande saison pour elle puisque déjà éliminée.
Nous étions nombreux, joueurs, dirigeants, sponsors, notables de la ville et membres de l'équipe municipale.
J'avais passé un agréable repas avec des joueurs et un des dirigeants à ma table. Un des gars, un grand beau mec, métis, nous avait bien fait marrer
Comme souvent, à la fin du repas, les esprits et le reste étaient chauds. Il y a toujours un moment où ces jeunes gens, sous l'effet de l'alcool deviennent de plus en plus "proches" les uns des autres ou des autres convives. La fête se prolongea.
Au moment de partir, l'entraineur est venu me demander si je pouvais ramener Simon le beau métis, qui avait trop bu pour conduire. J'acceptais. Il était très tard dans la nuit et ma position me ferait passer les contrôles routiers si j'en croisais.
Il était bien "touché". J'espérais qu'il pourrait marcher jusqu'à la voiture et qu'il n'y vomirait pas
L'air frais lui a fait du bien. Il marchait un peu de travers et j'ai fini par lui passer son bras droit sur mes épaules pour le guider.
" Hey mec, sans déconner, t'es trop cool pour un mec de ton âge, t'as l'air d'un jeune type " Je prenais ça comme un compliment. " Je veux être comme toi à ton âge, sans déconner, t'es trop en forme " Je lui demandais quel âge il pensait que j'avais. " 45 ans, maxi j'dirais ". Je le détrompais et j'avouais mes presque 60 balais.
" Putain, mec, t'es gaulé comme un gars de 40 " .Il me donna une grande claque de la main gauche sur les pectoraux pour illustrer son geste et pétrit un peu mon sein droite, comme pour en tester la fermeté. Sous le geste je le contractais mes muscles ce qui lui fit dire que mes " pecs " étaient en béton
On continuait à marcher dans les rues désertes en direction de ma voiture. J'étais garé un peu loin.
Simon pesait de plus en plus sur mes épaules. Quand j'ai voulu prendre la ruelle qui menait au parking, il s'est entravé manquant de tomber et s'est raccroché à ma chemise. Sous son poids, la couture de la manche et une partie des boutons n'ont pas résisté. Nous avons perdu l'équilibre. Il a fallu que j'appuie mon dos contre le mur pour ne pas que nous tombons tous les deux. " Oups, désolé ". Il a contemplé silencieusement mon vêtement déchiré. La chemise était ouverte jusqu'au nombril et la manche pendait. Je le tenais sous les bras, face à moi. Il prit appui sur le mur d'une main mon torse de l'autre.
" P'tain mec ! T'es poilu comme un putain de gorille " Il caressait mon torse sans retenue. Surpris par ce geste, je le laissais faire. Ses doigts on trouvé un téton et l'ont gentiment trituré " Dis donc, ça a l'air de te plaire que je te pelote ". Je me demandais jusqu'où il irait sous l'effet de l'alcool. " Tu as l'air d'aimer ça toi aussi " Il a posé sa seconde main sur mon torse et a écarté carrément les pans de ma chemise pour dégager totalement ma poitrine. Ses mains tournaient autour de mes tétons qui durcissaient. Ma queue commençait, elle aussi, à prendre du volume
" Mec, t'es carrément canon " Il a souri. Il a posé sa main sur ma braguette qui était maintenant bien gonflée. J'hésitais sur ce que je devais faire, nous étions en plein lieu public. Il a attrapé ma main et l'a posé sur son jean pour me faire sentir son érection. Il avait une sacrée gaule
Il m'a poussé dans une porte cochère, très obscure. Il a ouvert mon pantalon et s'est agenouillé devant moi. Il a sorti mon sexe du slip. Il juste dit " belle bite " avant de l'engloutir. Sa main droite accompagnait sa bouche le long de ma tige pendant que la gauche pétrissait mes couilles. Je n'étais pas son premier mec, c'était sûr. Il me suçait comme si sa vie en dépendait pendant qu'il farfouillait entre mes fesses pour me titiller l'anus.
Il a sorti sa queue et a commencé à se branler de plus en plus vite. Je sentais la pression montait de plus en plus, j'ai craché dans sa bouche sans même songer à le prévenir. Il respirait fort par le nez tout en avalant mon sperme. Il a gémit. Il a joui par terre
Il s'est relevé. " Trop bon " il a dit. Il a rentré sa queue dans son pantalon et j'ai fait de même.
Adossés côte à côte contre le mur de pierre on a retrouvé notre souffle
" Mec, t'en dis un mot à quiconque, je te démonte la gueule " Je lui répondais que j'en avais autant à son service et que c'était un peu lui qui s'était excité le premier. " Ouais, je sais, mec, mais j'avais trop envie de le faire "
On est reparti en direction de la voiture. Il s'est affalé sur le siège passager en rigolant sur l'état de ma chemise. On a rien dit pendant le trajet. J'ai stoppé au pied de sa résidence. Il ouvert la portière et a commencé à descendre puis il s'est ravisé.
Il a pris le stylo qui trainait sur le tableau de bord et a griffonné son numéro de portable sur le journal du coin. " Si ça te dit de remettre ça en mieux ". Il a passé la main sur ma braguette et est descendu. Il est rentré dans l'immeuble sans se retourner
J'étais abasourdi. Je venais de cracher mon jus dans la gueule d'un des plus beaux mecs de l'équipe et il redemandait
Quand j'ai redémarré, je savais déjà que j'allais lui téléphoner bientôt. Je vous raconterai ma prochaine fois avec Simon.
Gaston