Multiclonage Jutsu
Comme toutes les semaines j'attendais de visionner le nouvel épisode de Naruto. Cette semaine, le temps estival était particulièrement chaud. Je me mettais donc devant mon ordi, seulement vêtu de mon boxer. La bataille faisant rage à l'écran et la chaleur de l'ordi sur mes genoux m'ont incité à aller prendre une douche en suivant.
Dans la salle de bain, je me regardai de haut en bas dans le miroir et encore dans l'atmosphère du manga, je m'imaginais en ninja. J'imaginais me battre contre de beaux ninjas musclés possédant des techniques que je n'osais imaginer. Toujours perdu dans mon rêve, je fis machinalement les signes du multiclonage, jutsu de prédilection de Naruto... Et là, BANG, dans un nuage de fumée, je vis apparaître un autre moi juste en face. J'ai d'abord cru ne voir que mon reflet dans le miroir mais non, j'avais quelqu'un en face de moi et nous avions deux reflets dans le miroir. Mon autre moi était aussi en boxer dans ma salle de bain. C'était une sensation très étrange de se retrouver face à soi. Ce clone (tout comme moi d'ailleurs) était blond aux yeux bleus, assez grand et plutôt fin avec des muscles fins qui se dessinaient sur ses bras et ses cuisses. Il avait l'air gêné, presque autant que moi et ne savait pas quoi faire.
Je pris l'initiative :
- Euh, salut !
- Ben salut. Tu es moi ou je suis toi. C'est " un peu " bizarre, non ???
- Euh oui, mais tu sais que tu es très mignon, dis-je avec un sourire en coin.
- Je peux te retourner le compliment, dit il en faisant descendre son regard sur mon torse.
J'avais déjà eu une relation gay mais je n'y avais pas pris plus de plaisir que ça. Mais là, je ne savaiis pas pourquoi, je me sentais attiré par ce corps que je connaissais par coeur, mais que je n'avais jamais pu explorer en entier par manque de souplesse. Il me semblait que mon clone se faisait la même réflexion.
- Qui d'autre mieux que moi pourrait savoir ce que tu aimes et ce qui te fait vibrer ?, lui demandais-je.
- Je sens que ce pourrait être très enrichissant, me répondit il en s'approchant de moi.
Je sentais son odeur qui m'était familière. C'était une odeur de fin de journée d'été, une odeur torride, humide. Il était tout près de moi, je posais ma tête dans son cou et je fermais les yeux. Tous les signaux que je recevais, me déconcertaient, j'étais en confiance, j'étais bien, j'étais excité. Il s'avança un peu plus et nos deux torses entrèrent en contact. Pieds contre pieds, boxer contre boxer et tétons contre tétons. La chaleur aidant, nos torses devinrent humides et commençaient à glisser l'un sur l'autre. Je faisais courir mes mains dans son dos et sentais des détails que je n'avais jamais remarqués. Au même moment, je me suis souvenu d'une chose qui me rendait fou. D'un coup de tête, j'ai attrapé le lobe de son oreille avec mes dents et ai commencé à le mordiller, tout en soufflant dans son oreille. Cela eut le résultat que j'attendais. Il tremblait et je sentais sa queue en regard de la mienne gonfler. J'étais très excité de découvrir sa queue bandée même si je savais déjà ce que j'allais trouver, ayant déjà passé de nombreuses heures à la caresser. Mais avant ça, il fallait que j'essaie quelque chose. Il semble que nous ayons eu la même idée au même moment. Il prit mon visage entre ses mains et approcha sa bouche de la mienne. Il m'embrassa tendrement et fougueusement à la fois. Là, c'est moi qui me mettais à bander. J'étais comme un fou, il se calait sur ma respiration pour m'embrasser de plus en plus profondément. C'en était trop. Je reculais. J'étais perdu. Je le regardais en voyant le dessin de sa queue dans son caleçon.
Je m'avançai vers cette protubérance et saisis son boxer que je fis descendre le long de ses jambes. Je vis sa queue, ma queue, dressée, avec déjà une goutte de précum au bout. Je savais déjà ce qu'il fallait faire, je savais exactement qu'elle place devait prendre cette queue dans ma main. Je commençai donc à la caresser. J'avais envie de la prendre en bouche mais là, je ne savais pas quoi faire, comment le faire. Je me rappelai ce que j'aimais que l'on me fasse et je me mis à genoux sur le sol de la salle de bain. Je sentais l'odeur de sa queue, la même odeur que j'avais pu sentir dans les boxers et qui suffisait parfois à m'exciter. Je voulais attendre, y aller doucement, prendre mon temps. Je n'ai pu attendre et pris toute sa queue dans un seul mouvement. C'était chaud, j'avais le goût de ma queue dans ma bouche, un peu comme une autofellation mais en moins acrobatique. Il aimait ce que je faisais. Je voulais moi aussi, qu'il me fasse bénéficier de la connaissance de mon corps. Je baissai mon boxer et m'allongeai sur le sol. Il comprit ce que je voulais et il vint se mettre au dessus. Comme précédemment, il me prit en bouche d'un seul coup. Nous nous sucions l'un l'autre dans des mouvements similaires. Il devançait mes envies et appuyait exactement là où il fallait appuyer. C'était génial.
Je n'avais jamais été pris par derrière et là, je savais que je n'avais rien à craindre, pas de pression, pas de risque d'accident... j'eus envie d'essayer. Je le repoussai et me relevai, en m'appuyant sur le lavabo, le cul en arrière. Il s'approcha de moi et cracha sur mon trou. Par n'importe qui d'autre, j'aurais trouvé ce geste vulgaire et dégradant. Là ça m'excitait encore plus. J'avais l'impression de m'ouvrir tout seul. Il présenta sa queue et poussa doucement. Ca résistait un peu, puis il utilisa mon point faible. Il se pencha et vint respirer dans mon oreille. Toutes mes défenses volèrent en éclats et il entra en moi. Il était très excité, je reconnaissais les signes. Il faisait attention à moi mais avait envie d'aller plus vite, plus fort, plus loin.
- Vas y, c'est bon pour moi, pense à toi maintenant et fais comme tu le sens, lui dis-je pour le rassurer
- Merci, tu me connais vraiment bien toi...
Il alla effectivement plus vite, plus fort et plus loin, mais pas longtemps. Après deux minutes à ce régime il explosa en moi. Je savais qu'il ne fallait pas bouger et ne pas le toucher après qu'il ait éjaculé. Il savourait sa jouissance en restant en moi. Je le laissais faire. J'avais moi aussi envie de jouir.
Il savait ce que je voulais. Il s'agenouilla et me suça dans un mouvement lent mais puissant. Je saisis sa tête et jouis dans sa bouche. Comme moi, il ne bougea pas, avala mon sperme mais arrêta de me sucer. Il continuait juste à me donner quelques coups de langue sous le gland, comme j'aime.
- Tu as bon goût, me félicita-t'il.
- Je suppose que toi aussi, mais là je n'ai pas pu voir.
- Maintenant que l'on connaît les signes...
On a terminé sous la douche. Nous avons lavé nos ou notre corps sous une douche froide. A la fin, j'étais exténué mais heureux. Il était temps que je stoppe le jutsu.
Je fis les signes, mon clone s'évapora et la conscience de tout ce qu'il avait vécu lors de la dernière heure s'ajouta à tout ce que j'avais vécu et ressenti. Mon excitation revint sur le champ. Je me jurai de ne surtout pas oublier ces signes et de les refaire aussitôt que possible...
Ju Ju
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