Acte 1 ici
Nuit dans un sous-bois - Acte 2
Suite à la faciale que je m'étais pris, mon amant d'un moment et moi décidons de papoter puis gentiment il me propose de me ramener chez moi que je me décrasse la face du foutre qu'il avait laissé.
Il méritait son A car il roulait comme un pied!
Rentré chez moi, je me douchais et me décrassais la chatte qui avait bien prit.
Je retournais ensuite sur le lieu du crime histoire de voir si il restait quelques courageux.
La nuit comme je l'ai écris précédemment était douce et je ne portais qu'un jeans moulant bien mon cul et une veste de survet sans tee-shirt en dessous.
Près du bord de l'eau se trouvait deux jeune qui semblait être juste arrivé, leurs scooters garé près d'eux, l'un d'entre eux était à genou en train de pomper sans passion son pote.
Le mec pompé ne semblait pas super heureux non plus car je le voyais soupirer, je m'étais accroupi dans le fourré à 2M d'eux.
Lassé le mec à genou se leva et se barra après avoir marmonné une excuse balourde à son pote genre (désolé je suis trop stressé) comme si le stress empêchait de pomper (quand on aime pomper...).
Le mec blasé se retrouvait la queue à l'air et n'ayant pas joui, il commence à partir et passant à coté de moi, je l'interpelle en lui demandant si il n'a pas trop les boules, à sa réponse affirmative, je lui propose mes services, d'abord réticent ( 10 ans doivent bien nous séparer), il se laisse tenter et se rapproche, je hume son jeans puis son caleçon bien gonflé, et lui bouffe la queue comme un affamé, ses soupirs de plaisir me laissent bien voir qu'il apprécie mes offrandes.
Le jeune puceau n'en n'est pas à son coup d'essai puis que ses mains commence à fouiller mon pantalon, il fait sauter les boutons de mon jeans et commence à jouer avec l'arrière de mon jock-strap ce qui me fait frétiller de la croupe.
Je passe près de 20 Mn à jouer avec sa belle queue pas très grosse mais relativement longue ce qui me permet de lui faire un maximum de gorge profonde pour notre plus grand plaisir à tout les deux.
au bout d'un moment je le sens prêt à jouir ce qu'il me confirme en me relevant la tête et en me roulant une pelle bien baveuse.
Je me place derrière lui et me met à lui branler sa longue queue en l'embrassant dans le cou et lui pinçant les tétons de ma main libre.
Il jouit dans un râle en lançant plusieurs jets de foutre le sourire aux lèvres.
Je lui fourni un kleenex pour qu'il essuie son sperme et me remercie de l'avoir vidé alors que son pote de baise l'avait laissé en plan, nous papotons quelques minutes puis il enfourche son scooter et me promet la prochaine fois de me prendre (les promesses n'engagent que ceux qui y croient).
il est à peu près 1H30 du matin et je n'ai pas sommeil, je n'étais pas le seul car moins de 15 Mn arrivera celui avec qui j'ai finis la nuit.
Nuit dans un sous-bois - Acte 3
Ma nuit n'est pas terminé,
un bon quart-d'heure après avoir fait jouir mon jeune amant à scooter, je me baladais après ces bons moments et dans un fourré je vois un superbe mec bien droit, en train de se faire sucer par un autre mec les fesses à l'air.
Je me rapproche et le mec debout me fais signe de le rejoindre , je commence à caresser la croupe du pomper en tentant de voir la taille de la bite qu'il pompe.
La croupe de mec plié en deux me tentant bien, je met ma langue et commence à lui bouffer cette raie offerte, vu les ondulations de son bassin je sens qu'il apprécie mon traitement.
La malchance a décidé de me jouer un sort puisque la pluie fait son apparition, , pas forte, mais assez pour que le mec pompé décide de lâcher l'affaire et se barre, adieu le plan à 3.
Dépité mon étalon suceur, se relève et se retourne, lui aussi avait envie d'un bon plan à 3 il est déçu mais me propose de continuer sous la protection d'un arbre tout les deux.
Une fois debout, mon nouvel amant est bien plus grand que moi et se trouve pourvu d'une très belle queue, circoncise (je préfère), veiné comme je les aimes je dirais 21 par 6 de diamètre, cela faisait un moment que je n'avais pas eu de sibel engin face à moi.
Très câlin ce beau rebeu se prénommant Hamed me prend dans ses bras et m'embrasse dans le cou, commence à me caresser de partout et me travailler les tétons.
Juste de faire ça il me file une belle gaule et je lui rend la politesse en lui bouffant le torse qu'il avait relativement musclé.
Le sort devait m'en vouloir car la pluie redouble de violence et le vent tournant nous n'étions plus du tout protégé, cette belle et douce soirée ne pouvait pas s'achever de cette manière!!!!!!!!!!!!
Mon bel amant me propose de continuer et je lui offre ma couche, moi qui le pensais assez soumis, je m'étais trompé, mais je n'allais pas être déçu.
La pluie nous chasse de ce sous-bois et nous nous dirigeons vers sa clio, il démarre et je commence à le guider, ma rue lui étant familière, il tire son bas de survet et m'invite à le pomper pendant qu'il conduit, c'est une première pour moi et je ne me fais pas prier pour me jeter sur son bâton d'amour, tout en espérant qu'il ne fasse pas de fausse manoeuvre où que nous ne nous fassions pas roder par un autre véhicule.
Arrivé dans ma rue, je relève la tête pour le guider jusqu'à mon immeuble, où nous grimpons rapidement.
Arrivé chez moi, mon compagnon m'attrape la nuque et m'annonce que vu que je lui ai bien bouffé le cul dans le sous-bois et que je l'ai bien pompé dans la voiture, il va me soumettre à sa queue car il a trouvé la chienne qu'il lui fallait ce soir là.
Histoire de me montrer tout de suite qui ai le maître, il me fait mettre à genou et m'ordonne de lui sniffer le paquet à travers son survet, je retrouve sa queue que je pompais quelques minutes plus tôt, il bande déjà bien, il s'installe sur le canapé en se massant les couilles et m'ordonne de venir sniffer ses skets, et de les lécher ( c'est à ce moment que je découvre les "pratiques sneakers"), ses Tn par chance sont propres , il se déchausse me fait lui enlever ses cho7 et lui lécher les pieds afin de le décontracter (son hygiène étant parfaite, je lui bouffe les pieds avec un plaisir non feint).
Satisfait il retire son survet et m'ordonne de venir le pomper là je suis toujours habillé et j'ai interdiction de me dévétir ou de me toucher, je remonte donc sur sa belle queue et la lui bouffe comme un malade
La queue veiné bien gonflé, je suis à 4 pattes devant lui, il me caresse la tête pour régulièrement m'enfoncer la bouche bien à fond sur sa queue, je lui prodigue le maximum de gorge profonde que je le puisse au vu de la taille du zob de mon amant.
Bien pompé, nous grimpons sur la mezzanine qui fait office de chambre, là mon maître m'autorise à me mettre à l'aise et je me retrouve rapidement en jock-strap, ce qui plait à mon ami du soir qui me tapote les fesses pour me mettre à 4 pattes, lui se cale pour que je lui pompe encore la queue, de sa main gauche il commence à me doigter, de ma main droite il guide ma tête pour que je continue à le sucer.
Le cul bien travaillé par son cul, il se place derrière moi et rentre sans ménagement en moi (capoté bien-sûr), la violence du choc et la brutalité de la pénétration me font pleurer et mordre mon oreiller afin de ne pas hurler trop fort.
il commence ses vas et viens afin de me limer le fion en me claquant les fesses et en m'insultant de bonne chienne, de garage à bite.
Il me couche ensuite sur le ventre sans se retirer et continue à me pilonner en me demandant si sa bonne queue me fait jouir, elle ne me fais pas encore jouir, mais bien bander, d'ailleurs elle se trouve bien à l'étroit dans son jock-strap, mais il ne m'autorise pas encore à le retirer.
Après m'avoir longuement travaillé le cul avec son butoir qui lui sert de sexe, il se retire ôte sa capote et m'intime l'ordre de me remettre à le pomper.
Même si mon cul me fait souffrir, je me remet avec autant de plaisir au travail, je sens qu'il va jouir et lui aussi, il me retire sa teub de la bouche et m'ordonne d'aller lui chercher à boire.
Lorsque je remonte, il est en train de se rouler un joint et boit sa bière en le fumant, élégamment il me le propose, je décline et profite de ces quelques minutes de calmes pour aller me rafraîchir la rondelle avec un gant imbibé d'eau fraîche (je porte toujours mon jock sur ordre du maître).
Nous discutons de tout et de rien, il me chambre sur le plaisir que je semble avoir pris à le pomper comme ne bonne salope et me faire défoncer comme une bonne chienne, je lui rend le compliment en lui rappelant que lorsque j'avais croisé son chemin, lui aussi était plié en deux en train de sucer un mec et que j'avais pu lui mettre deux doigts et lui bouffer le cul.
Mes mots semblent lui redonner de la vigueur puisque sans prévenir il m'allonge sur le dos me relève les jambes et commence à me bouffer le cul qui se trouve être bien humide, si il continue à ce rythme, ma queue va déchirer mon Jock-strap, il doit s'en douter et me tapote la tête pour me féliciter, il me retire mon jock-strap et me propose un 69 en me faisant un clin d'oeil.
Là il me fait découvrir une autre de ses facettes, il me fait dresser encore plus la queue tellement sa bouche me semble experte en fellation.
Je tente un doigt dans le cul, là il retire sa bouche de ma queue, et m'attrape la main avec un regard noir, "Jamais tu n'introduis mon cul sans que je ne t'ai invité à la faire", puis se ravisant et avec un franc sourire, "J'ai encore envie de te prendre mais cette fois dirige l'affaire et dis moi ce dont tu as envie".
J'en profite et l'allonge sur le dos et le capote, recouvre sa queue et mon cul de gel, inspire une bonne dose de Poppers et m'empale joyeusement sur son manche.
Je vais et viens sur sa queue, il semble lui aussi y prendre un grand plaisir.
Quelques minutes plus tard, il reprend les rênes de nos ébats et m'ordonne de me retirer et de m'allonger sur le dos.
Là tel un maître sur son esclave il se finit à la main et me somme d'en faire autant et de jouir en même temps que lui.
Nous vînmes en choeur il cracha de long jets de sperme sur mon ventre alors que mon sperme vint se mêler au sien.
Il se rebaissa pour n'embrasser langoureusement et étaler avec ses doigts nos spermes sur mon ventre.
Nous nous rejoignîmes sous la douche où nous baisâmes encore un moment (en gros je l'ai resucée afin de me prendre une faciale supplémentaire).
Lavé, vidé, et après un petit déjeuner, Hamed me demanda si il pouvait dormir chez moi car il était
H du matin et il ne se sentait pas de reprendre la route même pour traverser la ville (les contrôles le dimanche matin tôt sont fréquents et entre deux bières et un joint il restait prudent).
Nous nous endormions ce matin là dans les bras l'un de l'autre, je me réveillais quelques heures plus tard avec un mot sur la table me remerciant pour ce bon moment et une invitation pour un e autre partie de baise...
Je vous en reparlerais bientôt je pense.
Si vous avez des réactions suite à ces récits, n'hésitez pas à m'écrire idem si vous souhaitez que nous nous voyions sur Lyon
Bjork
Suite de l'histoire