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HISTOIRE

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Pour son plaisir

Le voyage au Maroc

Sorti de l'hôpital militaire, et exempté du service militaire, ma vie reprend aux côtés de Jacques. Il est toujours aussi exigeant avec moi. Lorsqu'il part pour la journée, il me remet la cage pour m'empêcher de me branler. Le soir, si quelque chose ne lui convient pas, j'ai droit à une fessée.

Les jours passent : je continue d'étudier par correspondance. Je ne rencontre quasiment personne sinon que les copains de Jacques qui viennent pour l'attraction que je suis. Début novembre, je passe le permis de conduire et ouf, je l'obtiens du premier coup, ce qui m'évite une correction.

Jacques m'embauche alors dans son entreprise. Il souhaite que je sois son chauffeur, son secrétaire particulier. Pour cela, il m'a acheté un costume. Un très beau costume avec une casquette lorsque je conduis. C'est donc moi qui prends en main la BMW de Jacques. Je l'amène partout où il doit aller. Je l'accompagne parfois à son bureau. La jeune fille à l'accueil me regarde à chaque fois que je passe. Elle me sourit comme pour m'interpeler. Mais j'ai ordre de ne communiquer avec personne ! D'ailleurs c'est de plus en plus rare quand je rentre dans le bâtiment.

Chaque matin, avant de démarrer, Jacques m'indique quel sous-vêtement je dois porter et parfois, il m'ordonne de mettre " mon petit bijou ", ce godmichet qu'il veut que je garde toute une journée. C'est pas facile, surtout quand je suis assis pour de longues routes, mais je ne veux pas le décevoir.

Les mois passent... Avant l'été, Jacques m'annonce que nous devons nous rendre à l'étranger en septembre. Il me fait faire un passeport, les vaccins, sans m'indiquer où nous irons. Je passe avec succès ma licence et il m'inscrit aussitôt pour une maîtrise. Durant l'été, nous continuons à tourner dans les différentes boîtes qu'il dirige. Pas de vacances cette année ! je passe mon anniversaire au volant d'une audi, la nouvelle acquisition de Jacques. Il aura quand même une pensée pour moi, il m'offre un nouveau " bijou " : deux pinces à seins reliées par une chaînette. Je devrai porter ce bijou quand il le souhaitera.

Au mois de septembre, il m'annonce que nous prenons l'avion pour le Maroc. Il y a là-bas une entreprise à relancer et il veut que je m'en occupe avec lui. Si je réussis la mission, il me la cédera. Je suis aux anges ! Arrivés sur place, un chauffeur nous prend en charge et nous amène dans un hôtel à touristes. Belle chambre, piscine, sauna... Le rêve quoi !

Quelques visites dans l'entreprise qu'il veut racheter. Il me présente comme son associé ce qui me flatte beaucoup ! Ces interlocuteurs semblent un peu gêner de traiter avec un jeune mais mes connaissances de l'économie m'aident à les convaincre. Lors de notre dernière visite, il ne reste plus que quelques formalités avant les signatures. Jacques est très fier, moi encore plus ! Le soir nous dînons à l'hôtel puis il s'occupe de moi dans la chambre. Ce soir là j'ai droit à une soirée d'amour sans violence (ou presque) il joue avec moi, mon cul, me malaxant les fesses, m'embrassant la rondelle, m'introduisant sa langue, me titillant les seins. Puis il me pose mes pinces à sein ce qui me fait beaucoup d'effets ! il se laisse embrasser longuement, sucer. A mon tour je m'occupe de son cul, je sais que l'embrasser et le lécher longuement entre le sexe et l'anus le font grimper au 7ème ciel. Il jouit dans ma bouche, je jouis sur mon ventre et il me fait avaler le nectar, doigt par doigt. Nous nous endormons enlacés.

Lorsque le garçon d'étage frappe à la porte, nous sommes toujours enlacés. Il me cache sous les draps et l'autorise à entrer. La garçon dépose un plateau sur lequel il y a une missive. Lorsqu'il est sorti, Jacques lit la lettre qui fixe un rendez-vous pour la fin d'après-midi. Il est très heureux. Nous prenons une douche en nous caressant, puis je vais vers la piscine de l'hôtel. J'enfile mon maillot de bain rouge. Il s'agit d'un slip, Jacques ne voulant pas que je porte de short ou de bermuda. Ce maillot est à ma taille ! je prends un débardeur pour traverser l'hôtel et une serviette. Jacques ne voulait pas que je prenne un peignoir. Il aime me voir déambuler en slip. Je fais quelques longueurs. Je le vois m'observer à la fenêtre de la chambre, au troisième étage. Il a enfilé un short et un polo. Son bronzage ressort bien. Je le trouve superbe.

Après quelques longueurs, je sors de la piscine, enfile mon débardeur et m'allonge sur un transat. Jacques n'est plus à la fenêtre. Je suis alors abordé par un homme, de type arabe, qui me demande de le suivre, dans un très mauvais français. Il m'explique qu'il vient de l'entreprise et qu'il aimerait quelques précisions. Je lui propose de nous rencontrer dans la chambre, mais il me fait comprendre qu'il n'en a pas pour très longtemps et que nous aurons vite terminé. Je le suis donc, sans me méfier. Lorsque nous arrivons dans un endroit un peu retiré, où personne ne nous remarque, deux autres hommes arrivent sur moi et me bâillonnent. Le premier me lie les mains dans le dos avec du gros ruban adhésif puis les jambes. Ies trois me portent ensuite et me jettent dans le coffre d'un 4X4. Il y a déjà deux autres garçons qui semblent affolés. L'un d'eux est arabe, il porte une djellaba et il n'a pas de chaussures, tout comme moi. L'autre semble être européen. Il est habillé comme pour un jogging. Tous les deux sont bâillonnés et ligotés comme moi. Une bâche nous recouvre puis le 4X4 démarre, sans excès particulier comme si il ne craignait rien. La route me semble longue. Il fait très chaud sous cette bâche ! Je sue, mes compagnons de route également. Ça sent plutôt mauvais sous cette bâche un peu humide.

Le véhicule s'arrête à un moment. J'entends des voix mais je ne connais pas la langue utilisée. Visiblement quelqu'un fait le tour du véhicule, mais personne ne regarde sous la bâche. Je tente de remuer, mais je suis bloquer par les deux autres. Le véhicule reprend la route. Ça secoue pas mal ! il fait de plus en plus chaud !

Il s'est passé au moins deux à trois heures quand on s'arrête enfin. Un homme soulève la bâche et nous tire du 4X4, sans ménagement. Il enlève les liens des jambes et nous faire avancer vers une petite maison isolée. Nous devons être dans le désert, c'est la seule maison aux alentours. Il n'y a quasiment aucune culture autour, sinon qu'un petit plan d'eau et quelques petits arbres. L'homme nous enlève les liens des mains et donne un ordre en arabe. Je ne comprends rien mais le petit arabe qui est avec nous semble comprendre et je le vois lever les bras. J'en fais de même tout comme le troisième prisonnier. Il nous retire alors les baillons. Je le questionne pour savoir pourquoi je suis ici. Mais il ne répond pas à mes questions. Lorsque les baillons sont retirés, il nous fait signe de nous assoir dans un coin de la pièce. J'imite le petit arabe qui nous accompagne. Une vieille dame entre dans la pièce avec les bras remplis de linge. Un autre homme apporte une grande bassine et la remplit d'eau. La vieille dame s'adresse à notre compagnon arabe qui se met tout nu et entre dans la bassine. Elle le lave, lui demande de se sécher et lui remet une djellaba qui semble un peu grande pour lui. Elle lui arrive presqu'aux chevilles. C'est mon tour. Elle me fait signe, je fais comme mon compagnon. J'entre dans la bassine. Elle me lave, je me sèche, avec la même petite serviette déjà très humide et je reçois à mon tour une djellaba et une paire de sandales. La djellaba est un peu plus à ma taille. Elle m'arrive sous les genoux et je ne suis pas trop gêné aux épaules. C'est enfin au dernier compagnon à entrer dans la bassine pour le même cérémonial. Nous sommes ensuite amenés dans une autre pièce par un homme qui nous enchaîne, tous les trois ensemble. Nos pieds sont munis d'un bracelet en fer retenu par un cadenas, puis une chaîne nous retient tous les trois. On ne pourra pas courir, c'est sûr !. On nous sert du thé et des fruits secs puis la porte se referme.

J'interroge le petit arabe. Il parle français. Il s'appelle Younes, il est tunisien et s'est " ramassé " à la frontière, il y a trois jours. C'est la première fois qu'il mange depuis trois jours. Il est resté dans le 4X4 depuis tout ce temps. L'autre compagnon s'appelle Jimmy. Il est écossais. Il ne parle qu'anglais, très peu le français.

Younes est très volubile. C'est un jeune garçon de 18 ans qui voulait passer au Maroc pour travailler. Sa famille est très pauvre. Lui est plutôt mignon. Très brun, avec des grands yeux noirs. Il a les traits assez fins et s'il n'avait pas ses quelques poils de moustache et ses gros sourcils, il pourrait passer pour une fille. Il est petit, environ 1M65, mais assez costaud quand même. Jimmy, lui, est un peu plus grand, il doit arriver à peu près à ma taille, soit 1M80. Il a les yeux verts et les cheveux très blonds, et très courts. Il m'interroge sur mon absence de poils. Je lui explique succinctement ce qui m'est arrivé depuis ces deux dernières années. Lui était au Maroc en vacances, avec des amis. Il était sorti faire un jogging. Quelqu'un l'a abordé pour demander un renseignement puis il s'est retrouvé dans le 4X4, et ce la veille au soir de mon enlèvement. J'essaie de les rassurer en leur parlant de Jacques, que celui-ci allait tout faire pour me retrouver. Younes semble très inquiet, il dit que nous pouvons être vendu à de riches marchands, pour leur plaisir sexuel. Nous sommes très isolés et personne ne peut nous retrouver si nous nous enfonçons trop dans le désert.

Pendant tout ce temps, nous avons bu le thé, délicieux d'ailleurs, et manger les quelques fruits. Puis nous avons discuté de comment on pourrait s'en sortir... Personne n'avait vraiment d'idée. Jimmy voulait aller aux toilettes... Younes appela un gardien, en arabe. Il lui expliqua qu'on devait faire nos besoins. Le gardien nous apporta une bassine en plastique. Il en profita pour reprendre la théière tout en laissant les gobelets en métal. Il déposa également une cruche avec de l'eau et dit quelque chose à Younes. Quand il fut sorti, Younes nous annonça que la bassine était pour nos besoins et la cruche pour boire. Nous n'aurions rien d'autre avant demain.

Comme nous étions enchaînés, Jimmy dut se soulager devant nous. Il pissa longuement dansa la bassine. Sa queue était longue et fine. Il n'était pas circoncis ce qui intriguait Younes qui découvrait ça pour la première fois. Younes prit le relais. Sa bite était brune et assez épaisse. Elle n'était pas très longue et le gland était assez gros. Quand il eut fini de pisser, j'ai moi aussi pris mon tour. Je les voyais me regarder. Quand j'ai eu terminé, la bassine était presque pleine. On l'a mise à l'opposé de la petite pièce, puis on s'est remis, à terre. En fait nous étions enchaînés par les pieds, ce qui nous permettait de nous déplacer, mais uniquement ensemble. Nos mains étaient libres de leur mouvement. La pièce n'était pas meublée. Il y avait juste quelques coussins sur lesquels nous étions. A terre, c'était une sorte de lino en mauvais état, sans doute posé sur de la terre. Un petit plateau sur lequel étaient la cruche et les gobelets, c'est tout. Une petite ouverture laissait filtrer un filet de soleil. La porte par laquelle nous étions entrés était fermée à clefs et nous entendions des gens parler derrière cette porte. Il était donc inutile d'essayer de fuir.

Le jour baissait. Personne ne venait nous voir. J'étais entre mes deux compagnons de galère. Nous avons décidé de nous allonger pour essayer de dormir. Il fallait coordonner nos mouvements. Nous avons bu un peu d'eau puis nous nous sommes assoupis non sans évoquer chacun nos vies. Jimmy ne parlait pas bien le français, il le comprenait à peine, Younes lui ne parlait pas l'anglais ! je faisais les traductions. Puis nous avons fini par nous endormir.

Le matin, nous furent réveillés bruyamment par trois hommes qui voulaient que l'on se mette debout. Il ne parlait qu'arabe. C'est Younes qui montrait l'exemple. Lorsque nous furent debout, ils nous demandèrent de les suivre. Ils nous amenèrent à un lieu, péniblement à cause de nos chaînes. C'est là que nous pouvions faire nos besoins et nous laver sommairement, toujours enchaînés. Ce fut très gênant de devoir se soulager devant mes camarades et surtout devant les gardiens qui ne cessaient de nous regarder. Je les voyais sourire en nous regardant. Ils nous ont ensuite ramené à la cabane puis nous avons dû travailler : nettoyer de la vaisselle, trier des bouteilles... Younes nous a expliqué que c'était la condition pour manger. Le soleil commençait à chauffer vraiment, heureusement la pièce était plutôt fraiche par rapport à l'extérieur. La vieille dame nous apporta à du thé et des gâteaux. Le soir nous avons eu droit à de la semoule et quelques légumes.

L'un des gardiens est venu nous détacher. Il m'a emmené dans la pièce voisine où deux autres hommes étaient attablés. Il m'enleva mon vêtement et je me retrouvais nu devant ces trois gardiens qui très vite me touchèrent le ventre épilé. Puis ils me forcèrent à les sucer. Ils m'allongèrent sur la table, relevant mes jambes. L'un d'eux voulut s'enfoncer dans mon cul, mais je ne voulais pas. J'ai reçu une grande gifle, ce qui m'a fait m'abandonner. J'essayais de resserrer mes fesses pour qu'ils n'arrivent pas à m'enculer, mais c'était peine perdue. Les trois se sont relayés à ma bouche et à mon cul. Ils ont tous joui sur mon ventre, en prenant soin de tout étaler. Quand ils ont eu terminé, ils m'ont lancé mon vêtement et m'ont à nouveau attaché à mes camarades. Je devais sentir le sperme car Jimmy, maintenant au centre, me l'a fait remarquer. Je lui ai expliqué ce qui venait de se passer et j'ai remarqué que ça le faisait bander. La nuit était noire. Jimmy m'a demandé de le sucer. Sa bite était bien meilleure que celles des gardiens et j'ai avalé sans rechigner son sperme au goût sucré.

Notre captivité a encore duré quelques jours. Younes semblait de plus en plus inquiet, moi aussi je me demandais si Jacques faisait le nécessaire pour me retrouver. Chaque soir, je devais rejoindre les trois gardiens qui devenaient de plus en plus violents au fil des jours. Puis un matin, nous avons entendu une voiture. Younes a bien écouté ce qui se passait. On venait nous récupérer. Nous ravisseurs nous avaient vendu. Les craintes de Younes se réalisaient...

maurleo

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