Un puceau en montagne
Déjà 2h30 que je grimpe sous un soleil de plomb. Malgré mon départ à 8 h du matin, la chaleur a finie par me rattraper. Encore 1 h et je verrais enfin le sommet à 1420 m avec ce point de vue circulaire magnifique que je connaissais pourtant bien. Cinq ans, que je n'avais pas gravie ce sentier caillouteux et pentus que me faisait transpirer comme un boeuf. Je sentais la sueur couler le long de mes reins sous mon sac à dos et mes cheveux collaient à mon front. J'avais fait ma dernière ascension pour mes 30 ans mais depuis j'avais perdu le souffle. Enfin les éboulis de rocher se présentaient à moi , plus que quelques minutes et je serais récompensé de mes efforts. Voila, j'y était. Devant moi, la chaine des anciens volcans s'étalait, l'auvergne profonde est magnifique . Je posais mon sac à dos trempé, enlevais mon tee shirt, pour l'exposer au soleil avec mes chaussettes après avoir ôté mes chaussures de montagne . Je constatais que la ceinture de mon bermuda était aussi mouillé...prévoyant, j'avais apporté mon short de running en nylon. Après avoir enlevé bermuda et slip j'enfilais le mon mini short je pouvais enfin respirer. Assis sur un promontoire rocheux, ma gourde à la main, je contemplais ce spectacle splendide de la nature vierge. Après une bonne 1/2 heure, je sentis le besoin d' effectuer mon rituel montagnard , pisser tranquille face au vide, la bitte enfin en plein air. Je commençais à me vider la vessie quand un cri me perturba : " Eh les mecs cool je suis en dessous ! " je me reculais de trois pas pour terminer de pisser sur le rocher. Je ne pensais pas trouver quelqu'un la dessous et surtout à cette heure. Après avoir rengainer mon attirail, je dévalais pieds nus les éboulis. En effet sous l'avancé du rocher, ou je me trouvais précedement, était allongé un jeune mec en maillot de bain. Il me tournait le dos, appuyé sur un coude en train de lire une revue. C'était un jeune mec à la peau allée et aux cheveux noir profond. Il n'avait toujours pas repéré ma présence. Je détaillais le corps imberbe de cet éphèbe a la musculature fine aux abdos bien dessinés.
Si ma vue ne me trompait pas ,j'avais l'impression qu'il bandait. Je toussotais pour lui signaler ma presence.IL se releva tel un ressort, pliait la revue pour n'afficher que le dos de la couverture et rassembla ses jambes en enlaçant ses genoux dans ses bras. C'était typique d'un mec qui voulait cacher un sexe en érection. Visiblement je le surprenais et le dérangeais. Son visage était fin les yeux aussi noirs que les cheveux, un visage allongé très juvénile , une vingtaine d'année certainement. Je rompis le silence gêné " Excuse moi, c'était moi qui pissais au dessus je ne pouvais pas s'avoir qu'il y avait quelqu'un. " d'une voix limpide et rieuse il m'assurait que ce n'était pas grave mais qu'il avait craint que nous soyons plusieurs et qu'a un moment il se trouve sous un jet intempestif . Rassuré que j'étais seul il me confirmais que seul aussi ,il était installé depuis plus d'une heure ici.
Je me permis de m'assoir à coté de lui pour entretenir une conversation. Il m'appris qu'il était étudiant et, revenait chaque période de vacances chez ses parents agriculteurs dans le village de N...juste au dessous du massif. Il me racontais que pratiquant le jogging pendant toute l'année ; Ici, il ne pouvais pas courir à cause de l'altitude mais parcourait les bois et le massif presque chaque matin pour garder la forme. Nous discutions des paysages, des gens, des montagnes, de la faune etc...et rapidement la confiance s'installait. A plusieurs reprises je jetais un coup d'oeil sur son entrejambe qui semblait doucement dégonfler. Il percevait mes regards car à chaque reprise il resserrait les genoux vers son ventre. Je lui indiquais que j'allais chercher mes affaires que j'avais laissé sécher sur le rocher et lui demandais si ça ne le dérangeais pas que je vienne me réinstaller à coté de lui .Quelques minutes après, je déposais mes affaires prés de lui. Pendant mon absence, il avait rangé sa revue dans son sac. Ce mec me plaisait énormément et je tentais une approche sordide " Au fait, pour un montagnard, tu devais être très absorbé par ta lecture pour ne pas m'avoir entendu approché. ! " " tu étais pieds nus sinon je t'aurais entendu " me répondit il. Je poussais plus avant la provocation, " mais ce bouquin te faisait bander non ? un livre de cul pour un minet en manque ? " Il se mit à rougir et baissais les yeux. Je tentais à nouveau de gagner un point " Je pense que tu ne voulais pas que je le vois puisque tu la caché pendant que j'allais chercher mes affaires. " Je ne reçu aucune réponse à cette affirmation. Au risque d'être lourd, je tentais encore une approche. " Tu avais retourné ta revue pour que je ne vois pas le titre mais la pub de couverture est la même que celle du journal auquel je suis abonné ; " " Ah oui ?; " avant qu'il ne puisse réagir je faisait glisser la revue qui dépassait du sac et ma conviction se trouva renforcé , c'était " Têtu ".Il me fixait dans les yeux avec un regard inquiet. Cette découverte me permis de faire glisser la conversation autour des filles, des mecs, du sexe. Il m'appris pratiquer en cachette le naturisme en pleine nature pour bronzer, mais toujours du même coté ayant peur de coup de soleil sur la bitte. Profitant de ma proximité je m'enhardissais à saisir la ceinture de son maillot de bain pour découvrir le haut de ses fesses. Il n'eut pas le temps de réagir . je lui fit remarquer que je ne voyais pas de différence de bronzage et qu'il devait s'exposer souvent. " oui mais uniquement derrière pas devant . " je lui appris que je pratiquais aussi le naturisme mais par contre en intégralité. Joignant mon geste à la parole je fis tomber mon short pour présenter à mon compagnon mon bronzage intégral. Je voyais ses yeux rivé sur ma bitte et mes couilles rasées. Je constatais aussi que son érection était à nouveau au maxi. " Putain la vue d'un mec te fais rapidement de l'effet, tu bandes ? " Avec un sourire timide il étendit les jambes au sol pour présenter, a mon regard, son maillot de bain tendu. Encore une fois, je le pris de vitesse et glissais mes doigt sous la ceinture du maillot. " Libère la bête bon dieu tu es en pleine nature ! " ayant fait glissé le tissus de quelques centimètres j'apercevais des poils noirs sortir du lycra et la tète de son sexe. " Je me suis dépoilé devant toi pour te montrer mon bronzage et toi tu caches le tiens ? allez n'ai pas honte fais voir. " Il se coucha sur le dos pour faire glisser son maillot sur ses chevilles. Je pouvais admirer une belle queue non circoncise de 16/17 avec de belles valseuses recouvertes de petits poils noirs frisés. Je pouvais aussi constater la différence de bronzage avec le reste du corps. " Dommage que tu ne fasse pas du bronzage intégral il y a effectivement une différence avec ton dos " Il regardait sa bitte tendue et levait ensuite les yeux vers moi . J'étais debout face à lui. Ma queue tendue à mort présentait ses 19 centimètres prêts à tout.
Je me ré assis à coté de lui et toujours sans laisser de place à la réaction j'approchais ma main de cette belle bitte tendue . " tout de même c'est pas mieux comme ça ? une belle queue comme tu as ? " Cette fois je savais la partie gagnée. Il me laissait toucher sa bitte, ses couilles et glisser ma main sur ses abdos, ses pectoraux. Je sentais mon compagnon vibrer de tout son corps ; Je lançais ma question " c'est la première fois ? " sa réponse affirmative m'indiquait la prudence à avoir si je voulais arriver à mes fins. Pour l'instant c'était déjà bien . Mais moi qui suis super actif aurais je la possibilité de découvrir un passif et de me faire un puceau. ? développant tout mon charme et sentant la partie jouable j'entourais mon jeune mec de douceur et de câlins. Lorsque je sentis sa main vouloir toucher ma bitte et mes couilles je savais la partie gagnée. Doucement mes caresses sur son corps longiligne se dirigeaient vers la raie de son cul . Prévoyant , dans mon sac à dos, j'ai toujours gel et capotes. Naturellement tout à l'heure, en prévision, j'avais dé bouchonner le tube prêt à être utilisé. Après avoir enduit mes doigt , je tentais un doigté léger. Je sentais le corps de mon minet vibrer. Après de longue minutes tout en discutant sur la déculpabilisation des relations homos, j'arrivais à rentrer un doigt dans les profondeurs de mon éphèbe. Il se tortillait comme une chatte visiblement il aimait ça.je passais à la vitesse supérieure avec deux doigt puis bientôt trois à ma grande stupéfaction. Son cul était largement ouvert et je pouvais tourner mes trois doigts dans cette rosettes .A un moment rentrant l'index et le majeur jusqu'au fond, je lui titillais la prostate c'est dire s'il était large du cul." Tu sais Sylvain(il m'avait donné son prénom) tu serais prêt à recevoir ma queue pour enfin que tu connaisses le plaisir. " Après beaucoup de tergiversation, il acceptait l'essai, ayant ma parole que dés qu'il le souhaitait j'arrêtais mon expérience.
Rien ne se passa comme cela, après une première entrée par paliers pour qu'il puisse laisser se dilater son anus, de lui même, il commençait à pratiquer les vas et viens. Je me suis arrêté à plusieurs reprises, non à sa demande, mais pour éviter de jouir trop vite tellement le plaisir était intense. Il voulait tout essayer, je le pris à plat ventre, sur le dos, en levrette, empalé sur ma queue en me faisant face la même chose en me tournant le dos...je prenais mon pied comme je ne l'avais pas pris depuis des mois.
Enfin sa jouissance arrivait et il me recouvrait le torse de sa semence blanche et épaisse. A sa demande, je lui déchargeais mon foutre sur la gueule, lui recouvrant un oeil, la bouche, le nez et même une trace dans les cheveux.
Epuisé, cote à cote, sur le dos, nus, nous reprenions nos esprits sous les rayons chauds du soleil. Il me tenait la main et doucement sa tête vint se blottir dans le creux de mon épaule ; " Je suis heureux "me dit il. Que demander de plus ! c'étais, pour moi la plus belle randonnée de l'année ! Naturellement puisque nous avions deux mois de vacances devant nous (je suis enseignant) nous nous sommes revus entre deux et trois fois par semaine explorant toutes les formes de relations mais toujours pleines de douceurs. Dés la deuxième rencontre il voulu se faire sucer et me sucer. Il pris très rapidement un plaisir intense à me décalotter le gland avec ses lèvres, sucer ma queue et mes couilles comme on lèche une glace. La deuxième semaine ce fut la découverte de me lécher le cul , il prenait plaisir à enfoncer sa langue au plus profond possible de ma rosette puis à grands coups de langues me nettoyer la raie que je rase d'ailleurs régulièrement. La troisième semaine il voulu gouter à mon sperme et le partager avec moi dans un long baisé. Ce fut ensuite le sien qu'il déversait toujours sur mon torse qu'il léchait jusqu'à la dernière goutte. Il était déroutant et merveilleusement beau dans son attitude de gamin effronté . Il se promenait systématiquement nu au moment du repas, des soirées télé et se frottait sans cesse à moi dés qu'il le pouvait. Ses érections étaient instantanée dés que son désir pointait ou que ma main effleurait sa bitte. L'année de ses 20 ans fut l'année de la découverte de son amour des garçons. A la rentrée universitaire, il fit la connaissance de Karim, un beau rebeu sympa qui partagea rapidement avec lui un appart en colocation. La relation de ses deux jeunes mecs, beaux comme des dieux me réjouit. Mais, chaque fois que je rencontre Sylvain à Lyon, nous faisons à nouveau l'amour dans le plus grand secret, car pour lui, je suis son maitre " es sexes " et son amant caché. Franchement, je n'ai plus rien à lui apprendre, l'élève a dépassé le maitre.. Les vacances prochaines je referais l'ascension de la montagne aurais-je encore la chance de tomber sur une providence ? qui sais !
Yannick