Histoire précédente :
N6 : https://cyrillo.biz/histoire/reveil-bandant-6.html
N7 : Une dissert' bien dure
Petit rappel : Je m'appelle Nicolas, 21 ans, 60 kg pour 1m78
Après des vacances, et surtout cette nuit, très intéressante, je me retrouve en cours, première année de Master d'Histoire. J'étudie l'Histoire Ancienne, notamment la Grèce En Kit (Antique :) ), et ça fait rêver, les Jeux Olympique nus, l'entrainement des athlètes grecs avec leurs corps huilés, les costauds éphèbes spartiate, etc ..
Pendant ces cours j'ai rencontré Julien, 22 ans qui viens de l'Université de Nîmes, joli garçon, belle gueule, 1m75, teint halé, qui a l'air musclé comme il faut, sympathique, yeux vert, lèvres charnues. On s'entend bien, on mange ensemble le midi avec d'autres camarades étudiants. Contrairement à moi il n'accumule pas les copines, il est sérieux, plutôt difficile en amour. J'ai personnellement bien envie de lui, mais je me fais pas d'illusion, tous les beaux mecs ne sont pas gays, à part dans les films X ou sur les sites d'histoires gays
Bref, il se trouve que les partiels de Janvier approche et que nous avons encore des dissertations à rendre. Je suis tombé sur "l'homosexualité masculine et la virilité dans la société athénienne préhellénique" et Julien sur "l'homosexualité masculine et le rôle de la femme dans la société spartiate préhellénique" (oui, on s'en branle, sans mauvais jeu de mots). Comme c'est des sujets pratiquement similaire, on a décidé de travailler ensemble sur ces dissert', une soirée à la bibliothèque, une après-midi à son appart (où nous avons travaillé sans que rien, hélas, ne se passe entre nous), puis une après-midi à mon appart. J'avais prévenu mon colocataire, Quentin, d'éviter de faire une gaffe et de mettre un pantalon (https://cyrillo.biz/histoire/coloc.html), avec sa libido, il aurait bien violé Julien. Nous revenons de cours, nous allons dans ma chambre, on s'installe, les livres et les cours ouverts. On commence à travailler, on s'échange des idées. On fini par discuter de nos sujets de façon beaucoup moins universitaire
- Il se faisait pas chier avec les femmes à l'époque quand même, me dit Julien
- C'est vrai qu'il était pépère, séparait l'amour physique et l'amour spirituel c'est fort.
- Il avait vraiment envie de tromper leurs femmes en ayant une bonne excuse.
- Ou vraiment envie de se faire un mec en ayant une bonne excuse, lui répond-je.
- Ouais aussi, par contre la distinction entre actif et passif, je trouve ça drôle, être actif c'est encourager, t'as le droit d'enculer un autre mec, par contre être passif c'est interdit. S'il y a un actif, il y a forcément un passif.
- D'où l'intérêt des esclaves, qui eux avait le "droit" d'être passif. Par contre si t'es passif avec un esclave c'est la peine de mort direct et pour les deux.
- Des esclaves, dit-il pensif, c'est vachement intéressant comme concept je trouve.
- C'est pratique c'est vrai, mais ça à un prix quand même.
- Enfin bon, moi je n'aurais pas consommé, les femmes me suffisent.
- Qu'est-ce t'en sais ? Je lui lance
- Et toi ? me répond-il
- Euh, ..., rien, euh ..., je deviens tout rouge à ça question, me rendant compte que viens de dire une connerie
- T'es gay ? Tu peux me le dire, ça sortira pas de l'enceinte de l'université, me dit-il en souriant.
- Non, répond-je nettement (ce qui est vrai puisque je suis bi)
- Oh c'est bon, je voulais juste savoir, toute façon c'est tous des sous-hommes ces gros PD.
- euh oui, répond-je gêné (je sais m'adapter à toutes les situations)
- Bon bah continuons à travailler alors
On se remet à travailler, mais dans ma tête, je suis en train de me dire que c'est définitivement foutu, car en plus de ne pas être gay, il est homophobe. J'aurais dû m'en douter, lire un passage de livre où un vieux spartiate (30 ans à l'époque) en sodomise un plus jeune pour lui apprendre la rudesse de la vie, ne l'a pas fait rire ni émouvoir ni même émoustiller (par contre moi, c'était tendu dans le boxer)
Comme sa connexion internet à lâché sur son ordi portable qu'il a amené, je lui prête gracieusement le mien. Il effectue quelques recherches pour sa dissert'. Ensuite il commence à fouiner discrètement dans l'ordi, et tombe évidemment sur mes fichiers téléchargés où de jeunes adultes consentant et du même sexe font du sport nu, comme les grecs d'ailleurs, à plusieurs, voire plus. Il m'interpelle :
- Et la grosse tante, devine ce que j'ai trouvé, me dit-il en retournant l'ordi vers moi
- Oh mais c'est quoi ça ?! Je sais pas comment c'est arrivé là, répond-je
- PD et menteur en plus, bravo
- Je ne suis pas PD, je suis bi, nuance. En plus comment t'as réussi à trouver le dossier ? Il est censé être caché comme un dossier système.
- C'est parce que je caché mes vidéos de la même façon, d'ailleurs faudra que tu me passe "Si je te trouve, je te bourre" je l'ais pas celle-là, me dit-il en souriant
- Tu te fous de ma gueule, ou ... ?
- Non, non faut vraiment que tu me la passe. Mais plus sérieusement, je ne pensais pas que t'étais gay.
- Je te réponds la même chose, lui répond-je, en souriant. Ça fait combien de temps que t'as pas fait quelque chose avec un mec ?
- Au moins 6 mois, me répond t-il, je suis sorti d'une relation de deux ans, donc ça m'a un peu dégouter, et j'ai essayé avec les femmes, mais ce n'est pas vraiment ça. Je suis assez grec là-dessus, dit-il en rigolant.
- Ça te dit pas de faire quelque chose là, histoire d'illustrer nos dissert' ?
- Ouais après tout, en plus cette dissert' m'a donné vraiment envie. Par contre je vais dans le légale et dans le pas légale (voir discussion précédente).
- Moi aussi, c'est bon ça, il y aura quelqu'un dans la légalité c'est bien
Sur ces sages paroles, on se rapproche l'un de l'autre, et nous commençons à nous embrasser tendrement. Nos deux corps se rapprochent et nos mains se baladent sur les vêtements de l'autre. Nous continuons à nous embrasser, et je commence à mettre mes mains sous ses vêtements, il a la peau d'une douce chaleur. Nous enlevons le haut, et nous nous embrassons de nouveau bien goulument, c'est du roulage de pelle de compétition, il emballe divinement bien, c'est son ex qui doit le regretter. Je le regarde, torse nu, il a un joli corps, des muscles saillant, avec sa peau halée, et une odeur chaude et méditerranéenne de mâle dominant ; il n'y a rien à dire, c'est un vrai mâle, bandant à souhait. Nous faisons sauter le jeans, nous voilà en boxer tous les deux, avec de belles bosses à l'intérieur. Nous commençons à nous caresser le boxer. Je passe délicatement ma main sur son boxer et lui caresse au niveau de la bite. Ma bite grossit vite, mais la sienne à l'air plus longue au démarrage. Je suis obligé de mettre ma main dans son boxer pour la sentir grossir vraiment. Je commence à la masturber un peu, mais je veux goûter cette chaire
Je me lance. Je me mets à genoux, face à son boxer que je lèche. Je commence à le sucer à travers le boxer. Rien que ça il est déjà heureux. Je le regarde d'une façon ultra coquine. J'enlève son boxer, pour voir apparaître devant mes yeux, une magnifique bite bien proportionnée (18 cm sur 4/5 cm), d'une belle couleur et à l'odeur du mâle chaud prêt à posséder sa conquête. Je la mets dans la bouche, elle est bien chaude. Je commence mes mouvements de vas-et-viens sur son sceptre. Il gémit de façon très masculine, ce qui m'excite aussi, j'ai mon sexe parfaitement dressé grâce à ces bruits de mâle en rût. Je lui lance des regards encore plus coquin et soumis. Il pose sa main sur ma tête et commence à guider les mouvements avec sa main et son corps. Je deviens son esclave, il a mérité ça, 6 mois sans mecs, faut bien réparer ça. Il accélère ses coups de rein dans ma bouche et enfonce entièrement son mat dans ma gorge. Je manque de m'étouffer mais il recommence, toujours avec ses bruits virils et mon regard de passif totalement soumis. Ses manoeuvres durent longuement, malgré son attende de 6 mois, il garde le contrôle de lui. Julien continu encore quelques minutes à m'enfoncer sa bite dans ma bouche gourmande, puis il presse ma tête contre son corps bouillant, sa bite dans ma bouche, je sens plusieurs jets de sperme chaud dans ma gorge. J'avale tout. Je continu à le sucer pour nettoyer son bel instrument
Je me redresse face à lui, je l'embrasse et lui roule une pelle. On échange nos salives, pour qu'il goûte à sa semence. Je le regarde, je regarde mon boxer. Je lui fais comprendre que c'étais à son tour de prendre son sirop pour la gorge.
Il se met à genoux, me baisse directement mon boxer, et enfourne ma bite dans sa bouche. Il commence tout de suite des va-et-vient rapide avec sa bouche, c'est encore lui qui dirige l'opération malgré sa position. Il suce parfaitement, il prend tout en bouche, une bouche bien chaude. Il me lèche le gland savamment, il suce mes boules aussi. C'est le nirvana, il suce magnifiquement bien, avec le rythme idéal et dès qu'il sent que je commence à me raidir pour éjaculer, il s'arrête pour être plus tendre et faire baisser la pression. Aucun doute c'est un expert et il aime la bite. Il me regarde, non pas avec un regard soumis comme moi je faisais, mais un regard de conquérant emplit d'assurance. Il sait ce qu'il fait, et il le fait magnifiquement bien, et il sait qu'il le fait magnifiquement bien. Ses lèvres charnu sur ma bite m'offrent une sensation égale à nulle autre, ses va-et-vient de sa bouche sur mon sexe raidit et chauffé à blanc prêt à exploser sont une forme de bonheur que je ne connaissais pas encore. Il fait durer ce puissant plaisir 20 bonnes et longues minutes au minimum. Puis, alors que je me raidis de nouveau, près à éjaculer, il accélère son rythme. Pas de doute, il veut en finir, que je lui délivre mon sirop. Je balance plusieurs gros jets de foutre dans sa bouche. Il avale tout aussi, et en redemande presque. C'est vraiment un cochon qu'était en manque.
Tout en restant à mes genoux, il commence à me tâter le boule et me demande où sont les préservatifs. Je vais les chercher en même temps que le gel, puisque j'ai compris qu'il avait envie de me culbuter maintenant.
Julien s'étend sur le lit pour m'attendre, j'arrive avec le nécessaire que je pose à côté de lui et m'étends sur lui. Je l'embrasse. Nos deux corps nus et nos peaux chaudes glissent l'une sur l'autre. C'est un joli et beau moment de tendresse.
Mais Julien décide de passer à des choses plus brutes
Il me met en position, à quatre patte sur mon lit, se place derrière moi, et met un doigt dans mon cul. Il s'aperçoit assez vite que ça glisse très bien, et décide d'en glisser un deuxième, puis un troisième. Là ça devient déjà plus dur. Il décide donc de mettre du gel, une capote, et de s'aventurer en moi. Il place son gland face à mon anus. Il commence à enfoncer son piquet, doucement, très doucement, très délicatement. Sa bite à moitié rentrée, il la ressort lentement, puis me la renfonce toujours lentement, en arrivant cette fois au bout. Là il commence ses va-et-vient lents, mais puissant. Je dois avouer que cette lenteur est plus qu'excitante, je bande comme un dingue. Il commence à augmenter le régime, mais ses coups restent puissants. Il me laboure bien à fond. Il arrive à allier puissance et rapidité. Chaque coup est ponctué d'un cri mâle grave, typique de l'homme puissant en train d'effectuer son devoir, et d'un gémissement plus faible, typique du soumis en train de se faire posséder. Je me sens de nouveau esclave et soumis. Il alterne rapidité et lenteur, mais comme seule constante la puissance de ses coups de reins dans mon corps. Je suis totalement excité, lui aussi, nos deux corps sont suant, nous dégageons une odeur de mâle chaud. Il continu d'oeuvrer dans mes fesses pour mon plus grand plaisir, plaisir qui se manifeste par une bite tendu et grossit par l'excitation. Cette excitation grandit à chaque coups de queue que Julien m'enfonce dans mon cul. De plus il me caresse sensuellement la bite quand il est au fond de moi. Et l'inévitable arrive, je lâche ce qui me reste de foutre sur mon lit. Excité d'avoir réussi à me faire éjaculer de nouveau, il commence alors une énième phase d'accélération de ses coups, mais cette fois-ci il ne s'arrête pas, il continu. J'ai le cul en feu. Je sens qu'il ralentit les coups, et que son corps brulant se raidit. Il sort complètement de moi, enlève sa capote en un éclair, juste le temps de me retourner, il m'enfourne sa bite dans la bouche et balance la puré!
e dans u
ne série de rugissements virils, il y a en tellement que ça déborde de ma bouche, je n'ai pas le temps de tout avaler, il finit d'éjaculer son sperme chaud sur mon torse déjà en sueur
Il est, nous sommes, totalement vidés, épuisés, exténués par ce moment de baise intense. Je n'ai ni le courage ni l'envie d'ailleurs d'aller prendre d'assaut ces fesses. Il me fait comprendre qu'il aurait bien voulu que je le prenne. Mais ça sera pour une prochaine fois.
Nous nous embrassâmes de nouveau, lui s'étale sur moi plein de foutre, dans mon plein de foutre aussi. Nous restons un long moment ensemble. Puis il me dit qu'il doit repartir, qu'il commence à se faire tard. Il se rhabille. Prend ces affaires. Il me propose de passer chez lui demain après-midi pour finir nos dissert', et rester le soir ensuite, pour d'autre chose. Il part
Mon colloc rentre dans ma chambre, en boxer comme d'habitude, moi je suis toujours nu vautré dans le sperme.
- La prochaine fois, faîtes moi de bruit, ou alors invité moi.
- On y pensera, lui-répond je
- Bon tu viens, tu ne vas pas dormir dans cette chambre, avec cette odeur, et dans ces draps.
- Je vais changer les draps que n'inquiète pas pour moi.
- Oui mais viens quand même avec moi maintenant, vos cris m'ont excité comme jamais.
- Ça se voit, t'as l'air d'avoir la bite bien dure sous ton boxer, t'es insatiable toi, j'ai trop mal aux fesses, je suis fatigué.
- Et si je vais la vaisselle et la cuisine pendant deux 2 mois, qu'est-ce que tu dis ?
- Je dis que j'ai toujours mal aux fesses mais que j'ai retrouvé des forces.
- Allez en piste dans ma chambre, m'ordonne Quentin
- Attend j'enlève mes draps, je prends ma douche et j'arrive, gros cochon.
- Salaud
Après ma douche, je suis allé voir Quentin dans sa chambre, et nous nous sommes amusés. Mais en m'endormant dans les bras de Quentin, j'avais toujours mal aux fesses, mais Quentin aussi
P.S. : Pour ceux qui suivent mes histoires cochonnes, j'ai changé d'adresse courriel. Ce fus iam-gay-bi@hotmail.fr, c'est désormais nicolas45.perso@hotmail.fr
P.S. 2 : Pour ceux qui suivent mes histoires cochonnes, dites moi toujours ce que vous en pensez, si elles sont si excitantes pour moi que pour vous.
Nicolas