Première suce dans un bar gay
Avant je n'étais pas gay. Pas hostile, un peu curieux mais aucune envie d'aller plus loin. Puis les 18 ans sont venus. Avec eux, les premiers émois sexuels et la première connexion internet. De nature discret, j'ai toujours aimé être dans l'ombre:être à l'origine des succès sans qu'on ne sache que je suis derrière le résultat. Une vraie mentalité de passif.
Le jour où j'ai rencontré mon premier sexe est le même que celui de mon entrée en addiction. C'était l'an dernier. En plein mois de mai. Je devais réviser des exam, encore et toujours. Normalement c'est dans le calme et le confort de mon studio d'étudiant que je m'atèle à la tâche. Cette année, j'avais envie d'autre chose, de me créer une ambiance propre à ce moment. J'avais repéré dans le centre de Lyon un petit bar près de la place Bellecour qui m'avait l'air confortable et était fréquenté assez pour avoir une atmosphère sans être déconcentré.
Pendant une semaine, je suis allé là-bas de 14h à 19 h. J'étais heureux, les pages se tournaient et mon cortex prenait en otage le savoir. Je m'envoyais des fleurs sur mon initiative qui avait pour mérite premier de me faire décoller de ma page facebook! Au bout de quelques jours, j'avais déjà remarqué que la population était uniquement masculine. De tous âges mais peu féminine. Jeune mais pas naïf j'ai saisi que j'étais dans un bar vraisemblablement gay. Ça ne me dérangeait pas... au contraire le va vient des couples qui se désunissait le seuil de la porte passé pour l'extérieur me distrayait.
Jeudi, un homme d'une quarantaine d'année cheveux grisonnants et chemise ouverte vient s'installer à ma table. C'est mon premier contact hors serveurs. Dans mon coin avec mes écouteurs, l'hospitalité ne se devine pas. Il s'appelle Jacques et semble être un habitué à en juger son lever de main en guise de salut, presque automatique, au moindre minet passant. Il est là assis, regarde mes feuilles. En silence. "Vous aimez la science politique", lui fis-je comme pour rompre son insolence et me donner une contenance. "Ici, on se nourrit pas vraiment de savoir mon petit...", sourit-il. On rit. Après les présentations, Jacques vint vite à l'objet de son immersion. "Tu sais où tu es petit?", me questionne-t-il. "Quelques indices me laissent croire à un bar, mais n'est pas Colombo qui veut", lui lancé-je avec un aplomb assez rare. "Non, mais tu sais qu'ici c'est un bar gay et qu'un petit cul de blondinet ça vaut son cocktail"...
Estomaqué, j'en perds mon sourire. J'avais entendu que des lieux de drague gay enlevaient les formes mais là. "Je suis venu pour travailler, je ne suis pas gay".... Jacques sourit, prend une de mes feuilles et écrit "Goûte, tu reviendras". Il range la chaise, glisse une capote dans mon sac et s'en va. Je suis mal à l'aise. L'impression d'être foutu en-dehors de mon repaire par un loup se croyant maître du territoire.
En rentrant chez moi, une autre sensation prend place. Se sentir désiré et ce côté hors norme me fait sourire. Certes sur le coup c'est une violence mais au final c'était plutôt marrant et pas insistant. Je décide alors d'y retourner le lendemain. Jacques est là, me regarde en coin et me fait offrir une boisson. J'accepte souris et lui renvoie le serveur avec un bout de papier "J'ai goûté la limonade, je suis revenu". Un moyen de lui montrer que je en lui en tenait pas rigueur. Enfin sur le coup, après je me suis dit que c'était un peu maladroit et que ça pouvait être vécu comme un signal.
Une heure se passe. L'heure d'une pause pipi méritée! Je déballe mon sexe devant l'urinoir quand une porte s'ouvre c'est Jacques. Il se rhabille et un minet sors en souriant. Je dois avouer que j'avais vu le manège et que ma venue était aussi un peu intrigué..."La limonade a ses avantages et ses inconvénients à ce que je vois", me charrie-t-il. Il regarde mon sexe sans retenue ni gène. "C'est pas énorme mais c'est prometteur". Je ne sais plus où me mettre il s'approche de l'urinoir à côté et sort le sien. Il bande à moitié et une odeur forte s'en dégage je ne peux m'empêcher de regarder. Il esquisse un sourire et commence à se caresser. Je range mon matos, ne me lave pas les mains et file du bar, sous les yeux des clients déjà convaincu de ma conquête par Jacques.
Toute la soirée je repense à cette scène, cette odeur... mes révisions n'avancent plus, mes fantasmes cavalent. Après tout pourquoi pas, dans deux mois je ne suis pas dans cette ville. Mais je ne suis pas gay... puis cette odeur et ce regard bleu et lubrique. Au moins en jouer. Pendant quelques jours j'y retourne, Jacques s'y fait rare et les quelques fois qu'il est là, à peine un mot pour moi.
Le jeudi après-midi suivant, nous ne sommes que nous deux comme clients. Je passe mes nuits à me masturber à la pensée de notre échange aux WC. Comme un réflexe au bout d'une heure, je glisse vers les pissotières. Je sors mon sexe sans aucune envie d'uriner juste d'attendre. Un quart d'heure se passe et rien. Je pars dans une cabine, j'ai trop honte et suis déstabilisé. Qu'est ce que je fous... Plongé dans mes réflexion j'en sors au prix du bruit de la porte d'à côté.
"Séb - mon prénom - tu t'es endormi", suivi du rire de Jacques. Je ressors fier et là rejoue ma scène devant l'urinoir. Sans un bruit juste celui de ma braguette qui descend et monte à plusieurs reprises.
Une main me saisit l'épaule. Le bras poilu de Jacques m'attire dans la cabine.
"Alors, maintenant, tu ne peux plus faire semblant... Tu veux quoi...
"La limonade je te l'ai dit, resissté-je
"Alors tu veux boire au goulot?"
Ce dialogue m'excitait, je sentais toute la tension sexuelle de cette semaine de jeu. Jacques s'approche de mes lèvres je marque un recul. "Comme une catin, tu n'embrasse pas", lance-t-il me malaxant mon sexe de 16 cm en érection et au bord de l'implosion. D'une main il m'appuie sur l'épaule pour me mettre à genoux. De l'autre il défait sa ceinture. Je n'en peux plus. Je me transforme. Pendant qu'il s'occupe de sa boucle je lèche son jean à l'entrejambe. Mon regard ne quitte pas le sien. Ca y est la ceinture chute. Ma main va chercher les boutons, un à un. Chaque cran tombant me rapprochait du premier sexe d'homme qui allait nicher dans ma bouche.
Jacques veut enlever son pantalon. "Non je veux le côté catin", lui dis je sur un ton implorant. Je sors son sexe par la braguette. La forte odeur est toujours au bout de ses 19 cm. Malgré la tige veinée, je m'amuse d'abord avec son gland. Ma langue s'enroule autour, mes yeux le fixe et retourne à son regard. Jacques a l'air aux anges. "Une catin, tu m'en tout l'air désormais". Voilà qui m'excite. Je prends son sexe d'une mai, fais des vas et viens pour ensuite l'engouffre dans ma bouche. D'abord à moitié, faisant courir ma langue sur la hampe, la ressortant de ma bouche avec un vrai bruit de salive et me la tapotant contre mes joues pour mieux sentir à sa merci. Son regard se fait brillant "Vas y bouffe jeune chienne". C'est décidé, cette fois je fais tomber son jean au milieu des genoux et me jette sur son sexe. D'abord vigoureusement, comme si j'en avais toujours rêver. La bouche toujours en contact je le masturbe, l'effleure fais des gorges de plus en plus profondes. Il bouge son bassin de plus en plus... Je me retire et descend jusqu'à ses boules, tout en jouant de son sexe avec la main, je lui lèche les bourses puis d'un coup je ressaute sur son sexe et enchaîne les va et vient. Il râle et me retourne me mettant sur le cul dos contre la porte des toilettes. Ses mains sur mes tempes, mes yeux le fixant il cri "Maintenant la limonade est prête". Pendant deux minutes il empreigne le rythme. Fort et rapide. "N'hésite pas à boire à la paille" me glisse-t-il à peine avant de lâcher cinq jet au fond de ma gorge. J'avale puis laisse couler aux commissures de mes lèvres... "Quelle suceuse... pourquoi avoir attendu tout ce temps?!" Je ne dis rien. Je nettoie son sexe et sens cette odeur. Je me relève et lui dis simplement "Il me reste pas mal de chapitre à réviser". Et rejoins ma place.
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Lasus
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