Éphèbe puceau
Je suis Yannick, 39 ans 1m75 70 kg brun imberbe assez sportif, bisexuel depuis toujours avec une préférence pour les jeunes mecs tout de même. J'ai un cabinet d'expertise comptable avec deux associés Daniel de 59 ans beauf moyen mais bon bosseur, et Christine 51 ans . belle femme divorcée depuis 4 ans, très indépendante et surtout hyper sportive. Début juillet elle négocie de pouvoir prendre 3 semaines de congés pour réaliser un treks en Turquie. Après accord, j'accepte de prendre une partie de ses dossiers chaque matin et les miens l'après midi. Comme elle travaille en grande partie à domicile elle me passe les clefs de son appartement pour que je puisse bosser.
La première semaine, je travail comme un fou d'autant que la chaleur se faisait sentir et que chez elle contrairement au bureau il n'y a pas de clim. Je pris l'habitude de travailler torse nu en short, prenant de temps en temps une pause sur sa superbe terrasse exposé plein sud.
Le vendredi de la première semaine je commençais à bosser à 7 h pour pouvoir terminer tôt le soir .Après trois heures intensives, je prends l'envie de me préparer un café et de me prélasser quelques instant au soleil sur la terrasse. J'étais en train de siroter mon café lorsque j'entends un bruit métallique dans l'appartement. Je me lève, passe à la cuisine...rien. Je poursuis mon investigation dans la salle à manger, le salon, mon bureau ...toujours rien ;Mais en m'approchant d'une chambre j'avais l'impression que quelqu'un était dedans. " Merde pensais je,un rôdeur, je suis bien barré ". Saisissant un tube de carton dur, je m'approchais à pas de loup vers la porte de la chambre .Tout à coup, une main puissante me saisie par le bras, me le plia derrière le dos en une clefs douloureuse et un avant bras musclé me serrait la gorge. Le personnage était donc dans mon dos et je ne pouvais bouger. Je commençais à flipper à mort. L'individu avait une tête de plus que moi et posait son visage derrière mon épaule pour éviter d'éventuels coup de tête que j'aurais pu donner. C'était d'ailleurs la seule réaction que j'aurais pu avoir étant immobilisé complètement.
Je sentais dans mon dos un point dur, ,comme je suis habitué à baiser, j'avais presque l'impression que c'était une bitte en érection. Je peux vous dire que je n'étais pas fier de mettre laissé piéger de la sorte par un monte en l'air. Celui ci, d'une voix très grave et lente me glissa à l'oreille " qu'est ce que tu fais ici ? tu sais que l'appart est vide tu cherches quelque chose ? " je ne revenais pas de ce message et me ressaisissant je répondis " he ! n'inverse pas les rôle c'est moi qui bosse la et toi que fais tu là ? "
Presque instantanément je sentis mon bras se libérer et ma respiration revenir. Me retournant je découvrais un beau mec blond bouclé d'allure athlétique, en slip blanc tendu à mort par une érection d'enfer. Mes sens ne m'avais pas trompés ! il était superbement baraqué, le torse lisse, les abdos plus que sculptés les jambes lisses et la aisselles rasés. Sa belle gueule d'ange reflétait la stupeur. Et de sa belle voix grave il me répondit " Putain tu m'as fait peur...je suis Adrien le fils de la propriétaire, je suis arrivé cette nuit de Londres...je ne pensais pas trouver quelqu'un ici. "Puis se ravisant il baissa les yeux vers sa queue bandée "excuse pour la tenue mais je me lève et comme ont dit c'est la gaule matinale...c'est vrai que je dois avoir l'air très con dans cette tenue " ayant enfin retrouvé mon sens de l'humour je répondis " mais pas du tout je te trouve d'ailleurs superbe comme ça ..le slip et même de trop à mon goût. Allez viens boire un café avec moi sur la terrasse ça nous remettra de nos émotions ; " Je laissais Adrien sur le pas de la porte et je me dirigeais vers la terrasse après avoir faut couler un autre café. Le bel éphèbe, me rejoignit quelques minutes après, pieds nus, torse nu mais avec un short de running blanc du plus bel effet. J'appris qu'il avait 24 ans, était étudiant en architecture, et judokas aujourd'hui ceinture noire .Je comprenais maintenant la rapidité de son intervention tout à l'heure. Le matin se déroula sans accros, moi sur mes comptes, Adrien déballant ses bagages. Vers midi il me demandais si je mangeais avec lui mais ayant un autre engagement je déclinais l'invitation et dis que lundi prochain ce serait OK.
Pendant le week - end ,alors que j'étais au bord de l'eau avec un de mes ancien amant, je ne pouvais gommer de mon esprit le beau mec que j'allais voir Lundi au boulot. Dés 7 heures j'étais dans le bureau à bosser dans la même tenue que la semaine d'avant, torse nu en short running, mais cette fois je n'avais pas mis de slip dessous pour voir ma bitte ballotter librement sous le fin tissu. Vers 10 heures, je sentis deux mains douces se poser sur mes épaules, je n'avais pas entendu Adrien arrivé." salut bosseur déjà au boulot ?. "
" il faut bien que je bosse pendant que ta mère se promène ! "
Ma remarque le fit rire, ses mains douces étaient toujours posées sur mes épaules. Puis doucement, je sentis ses doigts me masser les clavicules ;
" Et bien Yannick c'est incroyable comme tu as le dos tendu...c'est le stress de ton boulot de merde. " " Tu as raison Adrien, d'ailleurs tes massages légers font du bien "
" Si tu veux, à midi puisque tu manges avec moi je prendrais un moment pour te détendre le dos si tu veux. "
je rêvais déjà à ce moment plaisir ou ce bel éphèbe me masserait. Le temps paressait long pour attendre 12 H. Mais je ne résistais pas, et, vers 11 h 30, j'interpellais Adrien.
" Adrien, j'arrête de bosser je n'en peux plus ! tu viens prendre l'apéro sur la terrasse. ? "
Deux minutes après, torse nu avec son mini short blanc qui laissait paraître unes bosse à l'entrejambe, Adrien me rejoignit.
" alors yannick toujours tendu ? allonge toi sur le ventre que je te dénoue le dos ; "
je ne me fis pas prier deux fois et rapidement je sentais ses mains douces aux doigts fins me pénétrer les muscles. Il remontait le long de ma colonne vertébrale, passait sous les omoplates puis les muscles du dos...un rêve. Un bon quart d'heure après il m'intima l'ordre de placer mes bras croisés sous ma tête. Adrien se mit à califourchon sur mon cul pour poursuivre ses massages. Je fantasmais et une érection d'enfer me prenait le bas ventre. Après dix minutes de ce manége Adrien me demanda de me placer sur le dos pour terminer les trapèzes des épaules. Je me retournais en disant " tu sais Adrien, je suis désolé mais te sentir assis sur mon cul et me peloter le dos m'a fait bander à mort . " je présentais à mon beau sportif une bitte tendue qui faisait piquet de toile de tente sous mon short en nylon.
Adrien ne pouvait lâcher son regard de ma queue en érection " Putain quel sexe ! " me dit il " tu es monté comme un âne ! " " n'exagère pas 19 cm par 6 seulement "
" tu l "as mesuré ? " " ben oui pas toi ? ".Je n'eu pas de réponse.
Adrien me confiait qu'il n'avait jamais vu d'autre queue bandée que la sienne et qu'aux douches collectives des salles de sport il n'avait constaté que les bittes molles de ses copains. Il pensait d'ailleurs avoir une des plus petite queue et se sentait même complexé. Il me questionna alors comment il fallait mesurer la longueur d'une queue. Ne pouvant laisser mon bel éphèbe dans l'ignorance et cultivant par la même occasion mon coté exhibitionniste, je quittais mon short pour lui présenter ma nudité. La première remarque d'Adrien fut sur la dimension impressionnante à son goût de ma bitte et le fait que je sois entièrement rasé. A ma réponse que je trouvais plus hygiénique, il me dit que lui se rasait les couilles pour éviter les frottement avec les coquilles de protection pendant les combats, mais que c'était la première fois qu'il voyait un mec entièrement rasé. Je sentais que mon beau mec était troublé par la situation mais aussi semblait vouloir braver les interdits. A ma question s'il voulait mesurer sa bitte il accepta avec un sourire de gamin devant un pot de confiture. " Quitte ton short et pour mesurer il faut bander ! "
Il me répondis qu'il ne bandait pas sur commende Je pouvais détailler sa petite queue demie molle avec deux valseuses rasées qui me semblaient bien pleine.
Les poils autour de sa bitte était soigneusement taillés et une petite ligne de poils blonds remontaient jusqu'au nombril.. Adrien était nu devant moi et tentait de placer ses mains
devant son sexe . Je repris l'initiative " Approche, si tu veux bander il n'y a pas deux solutions , ferme les yeux et laisse moi faire. " Toujours assis sur mon transat et lui debout, j'avais son dard devant moi. Je lui pris la taille et il se laissait faire, j'approchais sa queue de ma bouche et doucement je donnait un coup de langue sur le bout de sa queue. Adrien posait se mains sur mes épaules et se reculait " que fais tu yannick ?. " " Tu veux mesurer ta queue ou pas ? pour ça il faut que tu bandes alors laisse toi faire. " Il reposait les bras le long de son corps et dés que je commençais à engloutir la pointe de sa bitte dans ma bouche il gémit comme un fou. Sa queue se raidissait à vue d'oeil déjà la pointe se plaquait sur mes dents. Je pris l'initiative tout à coup d'enfourner toute cette petite queue .Je n'étais pas arrivé à l'extrémité qu'Adrien hurla " je joui ! " il tentais de pousser mes épaules, mais, je passais mes mains derrière ses fesses fermes et le maintenais en position. Ma gorge se remplissait de foutre chaud et abondant. L'affaire n'avais pas duré plus d'une minute. Adrien ne bougeait plus , mon front appuyé sur ses abdos me permettait de sentir les soubresauts de son jeune corps et sa transpiration. Sans qu'il puisse rien me dire , je me dégageais saisissais le mètre posé à coté de moi, pris sa bitte dans ma main en gardant l'air le plus naturel du monde " allez Adrien maintenant je peux mesurer ! " mon éphèbe était complètement perdu entre plaisir, culpabilité, désir et honte d'avoir craché si vite. " Adrien elle fait 16 1/2 par 5 " tu n"as pas une bitte de Cheval mais elle est parfaitement bien faite et c'est un vrai plaisir tu peux être fier ! " il me regardait avec un sourire beat qui le rendais fragile et tendre.
Remis de ses émotions et moi heureux de mon action, nous restions nus assis cote à cote. Sa queue avait repris sa position de repos, quant à la mienne elle était toujours demi bandée.
Tout en sirotant notre café, nous commencions à discuter sexe. Il m'affirma que c'était sa première pipe, qu'il n'avait jamais pensé faire quoi que ce soit avec un mec et que d'habitude il était assaillit par les demandes de nanas. Il faut reconnaître que beau comme lui, de nombreuses minettes devaient vouloir le conquérir. Puis il m'avouait que son éjaculation précoce était son frein à son passage à l'acte sexuel. Il me fit beaucoup rire en me racontant sa première fois à 20 ans . Une minette l'avais chauffé, embrassé ,caressé le corps , lui avais enlevé sa chemise délicatement et elle avait tombée sa robe sous laquelle elle ne portait rien. Les sens d'Adrien, n'avait, me dit il, fait qu'un tour et il avait déchargé tout son foutre dans son slip avant de l'enlever. Il m'expliquait comment il avait monté un bateau à la minette pour lui dire qu'il devait précipitamment partir et ne pas coucher avec elle. Naturellement elle ne lui avait plus jamais parlé. Il me raconta aussi sa deuxième fois ou il était arrivé jusqu'au lit avec une petite salope habituée a draguer tout ce qui bouge. Adrien avait rentré sa queue dans la chatte super large et lubrifiée de sa partenaire et il pensait pouvoir tenir quelque minutes. Sauf la petite " tepue " s'était retournée et avait plantée la queue d'Adrien dans son cul serré. Il me racontait alors comment en une fraction de seconde il avait balancé la purée sur la raie de la minette qui s'est alors copieusement foutue de lui. Ces expérience malheureuse avait refroidit Adrien qui s'était juré de ne plus retomber dans un piége pareil Et voilà, me dit il que c'est avec un mec, plus âgé que moi, pas sportif, copain de ma mère que je fais une nouvelle expérience malheureuse. Il me fit jurer de garder le silence sur cette aventure. Je lui ai alors demandé si je devais aussi garder le silence sur la dimension de sa bitte et la beauté de celle ci. une grande frappe sur mon épaule gauche me rappela qu'il était beaucoup plus costaud que moi et qu'il fallait tout de même que je fasse attention.
De fil en aiguille j'avais le bon filon pour arriver à mes fins. Jouant le grand frère je discutais avec lui sur la façon de vaincre cette éjaculation précoce. Lui qui était ceinture noire de judo avait un mental qui devrait pouvait dompter cette tendance. Je lui laissais entrevoir que dés demain nous pourrions, par des travaux pratiques commencer sa thérapie Je ne lui en dit pas plus ce jour là. Mais le soir chez moi vers 22 h Adrien m'appelait au téléphone, pour me demander s'il avait bien compris ma proposition de l'éduquer sexuellement.
Naturellement je lui confirmais sans lui donner plus de détail. Dans ma tête, je pensais déjà a l'assaut que j'allais tenter avec lui dés le lendemain. Sept heure du matin, j'étais déjà dans le bureau à bosser et naturellement Adrien dormait toujours dan sa chambre. 11 heure, comme à mon habitude je prenait ma pause sur le balcon avec mon café, Adrien n'était contrairement à son habitude toujours pas levé. Je retournais à mes écriture lorsque sur le coup de 11 h 45 j'entendais couler la douche, Adrien devait être dessous. Un quart d'heure plus tard je vis arriver dans le bureau mon bel éphèbe les cheveux encore mouillés, le corps luisant d'eau et la taille entourée d'une serviette de bain. Je ne me serais pas retenu je l'aurais dévoré. Enfin il s'approcha du bureau " salut Yannick comme d'hab toujours au boulot ! j'étais de sortie hier et suis rentré à 3 h ce matin, j'ai la tête dans le seau aussi je n'ai pas partagé ton café du matin. Tu restes manger avec moi à midi ? " j'acquiesçai a cette question. Adrien était planté debout à coté de moi et regardait par dessus mon épaule les livres de compte que je rectifiais.
Je sentais son bassin appuyer sur mon épaule et ne restant pas à la tentation je passais la main sous la serviette " Mais tu es nu mon bel oiseau ! tu me tentes !attention je ne pourrais pas me retenir ! " Adrien , passé l'effet de surprise se dégageait et me lança en riant " merde, je n'avais pas prévu cette prise ! yannick tu es pour la deuxième fois plus prompt que moi tu devrait faire du judo !! " Il se dégageait et partait en direction de la cuisine ou je le rejoignis quelques instants plus tard. Adrien était en train de se préparer un café et dés le premier coup d'oeil je vis que la serviette était tendu par une forte érection. " Eh bien Adrien toujours aussi rapide a bander , " Je le sentais gêner de cette situation mais aussi je me demandais si inconsciemment il ne cherchait pas la provocation. Avec son sourire d'ange il lorgnait sur sa serviette tendue et plaquait sa bitte contre le bord de la cuisine pour cacher son érection. " En effet yannick je maîtrise assez mal mes érections, comme mes jouissances d'ailleurs et tu le sais, mais dis moi, honnêtement tu es homo ou pas ? " je ne voulais pas lui cacher que j'étais bi depuis toujours, que j'avais été marié avec une minette qui était partie avec une copine, que j'avais vécu 6 ans avec un jeune mec de 10 ans mon cadet et que j'avais une véritable attirance pour les jeunes mecs . Ma franchise ne le choquait pas et il me répondit qu'il se doutait de cette réalité. J'acquis alors la conviction que le coup de la douche, de la serviette autour de la taille sans slip , du contact au dessus du bureau n'étais pas si innocent que ça.
Pendant le repas nous poursuivions notre discutions et il me questionnait beaucoup sur les relations sexuelles des homos .Je lui répondais le plus simplement du monde, sans tabou, et je sentais de plus en plus s'installer une complicité entre nous. Dés 14 h je le quittais pour rejoindre mon autre lieu de travail. Vers 16 h Adrien m'appelait sur mon portable " Dis yannick ils annonce un super beau temps pour le week end ça te dirais de venir avec moi en Ardèche pour faire du canoë , " ma réponse fut immédiate et mon coeur battait très fort. Dés le lendemain nous formalisions avec Adrien le projet, nous partirions vendredi à 16 h avec une tente, et nous rentrerions lundi matin avant 10 h et naturellement, de sa part, l'explication était qu'il n'avait pas de voiture mais moi si. Je fantasmais déjà à imaginer 4 nuits à proximité de mon bel éphèbe .Deux jours plus tard, nous étions installé dans un bivouac en plein coeur de l'Ardèche et le premier voisin était à 500 mètres de nous. Je constatais d'ailleurs que la tente de nos voisins étaient occupé par deux superbes minets qui pratiquaient le naturisme. Adrien me confirmait que dans cette zone était autorisé et que si je voulais je pouvais faire de même. J'appréciais cette sollicitude mais mis comme condition que si je pratiquais le naturisme il était nécessaire que lui aussi . Nous sommes resté sur cette proposition et avons cependant gardé nos maillots de bains. Après le repas nous avons préparé la randonnée pour le lendemain et nous sommes couchés. Je dormais toujours nu et ce que je fis, mais Adrien pour sa part enfila une pyjama court pour la nuit.
Vers une heure du matin, je ne dormais pas et Adrien non plus, la chaleur était intenable. J'entrouvrais la porte de la toile et interpellais Adrien pour lui dire que son pyjama n'était pas non plus la meilleure façon de faire respirer son corps. Sans répondre il se mit aussi nu et nous ne recouchions. Avec la lune qui éclairait notre toile, je pouvais voir le superbe corps d'Adrien offert à mon regard, et mon érection traduisait mon état d'esprit . Ce ne fut que vers 3 heures du mat que je réussis à m'endormir. 6 Heure le lendemain, debout pour la journée de rando. La chaleur, le dénivelé, la vitesse de marche tout concouru à mon épuisement. Vers 17 h lorsque nous regagnâmes notre tente j'étais fourbu. Après une baignade dans l'ardéche je m'allongeais à l'ombre d'un rocher et je me suis endormi comme un bébé. Trois heures plus tard Adrien vint me réveiller pour manger et ensuite je "installais sous la tente. Adrien vint me rejoindre alors que je commençais à me rendormir. " Alors Yannick épuisé à ce point, ta tête est plus solide que ton corps. " je ne répondis pas à cette provoque et lui dit qu'après une bonne nuit de sommeil je serais en forme demain pour la suite. Adrien vint s'allonger à coté de moi et se déshabilla.
Le bruit du vent dans les arbres et celui de l'eau de la rivière rendaient le campement idyllique. Tout à coup je sentis le Adrien s'asseoir sur mon dos je pouvais constater qu'il était nu et son sexe mou plaqué sur le creux de mes reins. " Ne bouge pas Yannick je vais te masser pour décontracter tes muscles. Il m'enduisis d'huile de massage et commençait par me masser les épaules , puis le cou, et descendait sur mes reins, mes jambes. En remontant sa main le long de mes cuisses il rentra en contact avec mes couilles mais il ne s'attarda pas. J'étais bien et me laissais caresser par ses mains puissantes. Mon érection prenait déjà racine, mais il me semblait, ou alors je me faisais un film, que lui aussi commerçait à bander. Bientôt le doute n'étais plus permis, ses mains s'attardaient sur le bas de mon dos, sur mes fesses et mes jambes. Profitant qu'il se dégageait pour pouvoir me masser les mollets, libéré de son poids je me retournais sur le dos présentant mon érection maxi. Je constatais que lui aussi bandait fort. Sans un mot, je pris son sexe dans la main et lui caressais les couilles rasées. Adrien fermait les yeux et se laissait faire .
Je le tirais par les avant bras et le fis allonger sur moi. Son visage était en face du mien je cherchais ses lèvres qu'il m'offrit sans résistance. Pendant ce long baisé langoureux mes mains parcouraient son dos puissant, ses fesses et mes doigts cherchaient sa rondelle. Je sentais la vibration de son corps et sa recherche d'échapper à mes doigts expert qui voulaient entrer dan son intimité. " Arrête yannick, arrête...quel jeu tu joue ? " " je veux faire ton éducation Adrien je t'avais promis ! " Enfin, je venais de faire rentrer un doigt dans le cul d'Adrien qui se contorsionnait sans que je sache si c'était du plaisir ou de la réprobation. La transpiration aidant, nos corps luisant de sueur devenaient glissants. Je réussi à introduire un deuxième doigt dans le tréfonds de mon éphèbe ? Il s'allongeait sur moi et me présenta à nouveau ses lèvres pour un baisé enflammé. Le doute n'étais plus permis Adrien se laissait faire et moi, je désirais plus que tout ; le baiser. Le jeu de caresses, de début de pipe, d'ouverture de sa rondelle dura plus d'une heure. Je sentais sa mouille sur la pointe de sa bite et souvent je lui rappelais la nécessité de son self contrôle pour éviter l'éjaculation. A plusieurs reprises, je sentais sa jouissance proche mais chaque fois le beau sportif reprenait son contrôle. C'était divin. Au bout d'une bonne heure, je m'allongeais sur le dos et fis installer Adrien de même à coté de moi. Nous avions cessé nos caresses et je lui tenais la main tendrement. Sa respiration était calme et nous nous sommes endormis comme ça, sans que lui et moi n'ayons jouis, belle réussite !.Dés 6 heures du matin j'étais réveillé et commençais à caresser les pectoraux puissants de mon minou puis ses abdos pour arriver à sa couronne de poils pubien ce qui lui déclencha une érection immédiate. Tendrement il m'embrassa à nouveau et se laissa mettre un doigt dans le cul sans s'esquiver. Avait il envie ?
Je tentais ma chance " mets toi sur le ventre Adrien tourne toi ; " maintenant je voyais son dos sculpté, ses fesses imberbes rondes et pleines. Je m'installais à califourchon sur son cul et lui massais le dos le cou...enfin je l'embrassais sur les épaules, la colonne vertébrale , les fesses et introduisis ma langue entre ses fesses. Contre toute attente il écarta ses jambes pour que je puisse accéder à sa rondelle dans laquelle j' introduisais ma langue le plus profond possible. Adrien se tortillait de plaisir et moi, sadique lui rappelais à espace régulier " Adrien ne jouie pas , tu dois résister, le mental doit gagner sur ton éjaculation ! " son souffle devenait court et je sentais les vibrations de son corps ;Enfin, le cul bien ouvert et humidifié était offert à mon envie. Je positionnais ma queue devant ce petit trou ouvert et poussa légèrement . "Adrien c'est la dernière ligne droite si tu ne jouis pas maintenant c'est gagné sers les dents ; " Adrien me répondit " c'est un supplice de plaisir mais vas y. " enfin j'avais l'autorisation .Ma queue était tellement pleine de prè sperme son cul était tellement ouvert que l'introduction se fit sans effort. Bientôt mes couilles touchaient ses fesses, j'étais rentré à fond dans son intimité. Adrien râlait et me dit " je vais jouir, je ne tiens plus ! " je sentis ma bitte se faire serrer par le mouvement de ses sphincters. Moi aussi, n'en pouvant plus je lui inondais le cul de ma semence.
Epuisés nous nous replacions cote à cote Adrien me caressant à nouveau de sa main gauche " Dis yannick tu as déchargé dans mon cul ? ça ne risque rien ?. " je l'informais des différends testes que j'avais fait et de la certitude de ma bonne santé. Nous avons remis le couvert à quatre reprise dans les jours qu'il nous restaient ; Adrien à même avalé mon sperme m'a sodomisé aussi une fois en tenant la distance. Enfin, juste avant de repartir pour rentrer chez nous, il me confiait que ce que nous avions vécu était son phantasme le plus caché. Il était heureux car il pensait être amoureux de son colocataire en Angleterre mais, avant de passer à l'acte, son dépucelage devait lui permettre de réussir son entreprise.
Trois mois plus tard, après notre retour, Adrien m'appelait de Londres pour me remercier à nouveau de son initiation et m'annoncer que son colloc était dans ses bras et dans ses draps.
Naturellement, sa mère ne compris jamais la complicité construite entre son fils et moi, mais c'était notre secret à tout les deux.
Yannick