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Premier épisode | Épisode précédent

Frères de coeur -2

Jérémy se trouvait encore assis confortablement sur mon torse, profitait encore quelques instants de la masturbation que je venais de lui prodiguer. Quant à moi, je me trouvais toujours en imposture, prisonnier de son corps de jeune adulte, le visage maculé de son sperme. Le plus horrible dans ma situation, c'est que j'étais dans l'incapacité la plus totale de prévenir mon meilleur ami de ma condition car si j'entrouvrais les lèvres l'espace d'un instant, le jus encore chaud qui s'y trouvais pénétrerait dans ma bouche. Je me retrouvais donc muet et incapable du moindre mouvement, hormis mes jambes qui s'agitaient et de mes bras qui tenaient vainement d'attirer son attention

Lorsqu'il reprit ses esprits et daigna à jeter un coup d'oeil dans ma direction, Jérémy éclata de rire et attrapa un vieux T-shirt sale qu'il me tendit.
-Hey mec, t'as vu ta tronche ? Roh la vache, comment je t'ai dosé !
J'utilisai le vêtement qui sentait la sueur pour racler et faire disparaître les exploits de mon meilleur ami avant de lui répondre sèchement :
-Putain, tu fais chier ! C'est répugnant !
-Fais pas ta petite nature : c'est pas comme si tu ne l'avais pas voulu, répliqua-t-il, hilare.
-Qu'est-ce que tu racontes ? Pourquoi j'aurai voulu ça ?
-Demande-toi plutôt pourquoi tu ne l'aurai pas voulu, souligna-t-il en recouvrant son sérieux mais en ayant toujours un sourire en coin tout en s'appuyant un peu plus contre ma cage thoracique, rendant ma respiration plus difficile. Si tu ne voulais vraiment pas que mon yop se retrouve étaler sur son visage, tu aurais évité de mettre le trou par lequel il sort vers ta gueule, tu ne crois pas ? Je sais que j'ai la bite dure mais elle n'est pas unidirectionnelle

Si Jérémy avait de sérieux problème d'un point de vue scolaire, il n'en demeurait pas moins malin : bien évidemment, il savait que je n'avais nullement souhaité voir ma figure inondée de son sperme. Mais la tournure de sa phrase m'empêchait de pouvoir me défendre correctement. D'autant que le manque d'oxygène à mon cerveau et la chaleur de fournaise qui régnait embrumait mon esprit petit à petit. La raison de cette inaction, je préférai la laisser pour le compte du stress : en voyant ce qui allait m'arriver, je crois ne pas avoir eu le temps de réagir. Mais lui fournir cette excuse ne conviendrait pas : ce serait admettre qu'inconsciemment, je l'avais souhaité.
-Tu ne dis rien ? demanda-t-il, son sourire s'élargissant sur son visage, tandis que je balançai son t-shirt à travers la pièce.
-Quoique je dise, ça ne te suffirait pas, répliquai-je froidement, évitant du même coup son regard narquois.
-Oh, tu me vexes, tu sais.
-Ferme ta gueule et bouge de là : tu m'étouffes !

Il finit par ranger son pénis dans son boxer et se retira de mon torse, me permettant de mieux irriguer mon cerveau. Je me massai le plexus solaire pour reprendre un rythme cardiaque plus ou moins normal, malgré l'animosité qui me rongeait après cette épreuve, tandis que Jérémy s'en allait prendre une douche, toujours à moitié mort de rire en ressassant encore l'état de mon visage après son éjaculation

Son poids sur mon corps avait empêché au sang de bien circuler dans mes muscles et mes bras et mes jambes étaient parcourus par des fourmillements. Je dû faire quelques étirements afin de faire disparaître cette désagréable impression. Le temps que je finisse, Jérémy était déjà revenu de la douche, torse nu à nouveau, se séchant les oreilles avec un essuie. Apparemment, la légende selon laquelle on est plus beau lorsqu'on s'est lavé est d'autant plus confirmée avec lui : son beau visage ruisselant lui donnait un air un peu viril, comme s'il goûtait de sueur. Ses yeux bleus étaient animés d'une étrange lueur, presque scintillante, comme deux perles iridescentes. Il avait également négligé le séchage de sa poitrine et ainsi debout, il paraissait d'autant plus impressionnant : ses deux pectoraux bien fermes ainsi que son dos en V encadraient parfaitement ses abdos qui dansaient presque au fur et à mesure qu'il marchait.
Alors qu'il entreprit de terminer sa toilette, il lâcha nonchalamment :
-Tu sais, j'ai vraiment adoré la façon dont tu m'as masturbé tout à l'heure. Je ne sais pas si c'est le fait que je n'ai pas tiré mon coup depuis quatre jours, mais en tout cas, j'ai beaucoup aimé.
-Heureux d'avoir pu te faire plaisir, dans ce cas, commentai-je sans pouvoir détacher mon regard de son corps de Dieu grec

Il remarqua que mon attention était tournée vers ses muscles et roula des mécaniques pour venir s'assoir à côté de moi et me chuchoter :
-Tu pourrais recommencer non ? Regarde !

Il passa sa main sur son boxer noir qui eut beau être XL, lui moulait merveilleusement le paquet énorme qu'il avait entre les jambes. Au simple contact de ses doigts, une érection formidable s'anima dans son sous-vêtement.
-Je me suis dit que tu pouvais à nouveau me combler, tu ne crois pas ?
-Non mais tu déconnes ? Je ne suis pas gay !
-Arrêtes Max, c'est pas comme si on couchait ensemble : on se prête juste main forte.
-"'On'' ? Comment ça "'on'' ?
-Si veux, après, pour te prouver que c'est purement amical, je peux aussi te branler, comme au bon vieux temps. Tu te rappelles ?
-Tu disais ça déjà tout à l'heure.
-Ouais mais là, c'était dû. Là, c'est entre nous

Je me tus une seconde, réfléchissant à sa proposition : après tout, s'il prenait aussi l'initiative de me rendre la pareille par la suite, pourquoi pas ?
-Bon, je veux bien.
-Parfait, alors, remets-toi en position !

Je n'eut même pas le temps de protester que Jérémy me fit basculer sur son lit et s'installa à nouveau confortablement sur moi.
-Non, arrête
-Quoi ?
-Je n'aime pas du tout cette position !
-Pourquoi ? Etant jeune, tu l'adorais pourtant, fit-il remarquer. Et puis tout à l'heure, tu n'avais pas l'air de te plaindre.
-C'est que je n'ai pas spécialement eu le temps de protester, vois-tu

Mon meilleur ami fit la moue, releva son corps du mien et alors que je pensais qu'il allait se bouger de moi, il ôta son boxer et reposa immédiatement ses fesses musclées sur mes abdos, expulsant tout l'air de mecs poumons. Il croisa les bras, prit un regard sévère et dit :
-Non, c'est celle-là que je veux. Autrement, je ne te branlerai pas tout à l'heure.
-Bah je n'en ai rien à foutre ! Tu ne me masturberas pas, c'est triste mais c'est la vie !
-Ok, comme tu veux. Mais je ne bougerai pas tant que je n'aurai pas ma branlette de la main de mon ami.
-Tu n'oserais pas rester là, le menaçai-je en tentant vainement de me dégager de son étreinte.
-Je te rappelle que tu ne parles pas à n'importe qui, souligna-t-il en m'enserrant un peu plus entre ses deux cuisses. J'ai toujours fais ce que j'ai dit que je ferai. Du moins, ce qui méritait mon attention

Je pesai le poids de ses mots et pris conscience que j'étais piégé tant que je ne ferai pas ce qu'il voulait de moi. Alors, c'est à contrecoeur que je pris entre mes doigts son énorme membre. Il me semblait encore plus épais que tout à l'heure : j'étais incapable d'en faire le tour avec une main.
-Regarde-moi dans les yeux quand tu me branles, me dit-il tandis que je commençai le lancinant va et vient sur son sexe en érection déjà entière

Je levai les yeux vers mon meilleur ami qui avait vu son bleu intense habituel devenir une couleur d'acier : il semblait extrêmement sérieux, même si je devinai qu'il aimait ça, ses pulsations sanguines parcourant son membre s'accélérant en rythme avec mes doigts.
-Attends, il est un peu sec et ça me fait mal. Donne-moi ta main

Je lui tendis ma paume ouverte et il la porta à sa bouche avant d'y lâcher un crachat. Il l'éloigna de ses lèvres et fit couler un long filet de bave vers son gland rougis et gonflé. Il utilisa ensuite mes doigts humidifiés pour bien étaler le lubrifiant le long de son membre. Il réitéra l'opération, son regard sciant toujours plongé dans le mien, un grand silence s'installant entre nous.

Après cinq série d'humidification, il resserra ma main autour de son sexe toujours bandant et se mit à le faire coulisser. Ses yeux se fermèrent et de nouveau, il rejeta la tête en arrière, comme pour profiter du moment. De ses lèvres, s'échappèrent quelques gémissements. Je comprenais pourquoi toutes les filles voulaient coucher avec elles : les nombreuses conquêtes qui étaient déjà passées dans son lit avaient dues avoir à faire à un véritable animal : une fois que l'excitation montait, le sang de Jérémy pulsait dans ses veines à grande vitesse, la sueur perlait déjà son front et ses muscles se tendaient et prenaient un volume monstrueux. Une quantité extraordinaire se dégageait de son corps, tel un four surchauffé, rendant l'air atrocement chaud et entêtant

Je ne sus pas s'il le fit consciemment ou non, mais le bassin de Jérémy se mit à faire de petits va et vient. Ses fesses se serraient et se desserraient sur mon torse, je le sentais et son gland allait et venait, s'approchant et s'éloignant de mon visage, un peu comme si ma main n'était plus qu'une chatte qu'il souhaitait pénétrer. Le mouvement s'accéléra brusquement et il haleta de plus belle, ses gémissements devenant petit à petit de véritables râles de plaisir qu'il ne faisait rien pour étouffer.

A l'instant où je sentis que son éjaculation allait venait, je ne voulus pas revivre le désastre d'il y a moins d'une heure et je dirigeai son sexe dans une autre direction que mon visage. Mais il semble, par réflexe ou non, Jérémy attrapa sa queue et la laissa directement pointée vers ma figure. Au même instant, son pénis fut parcouru par un puissant spasme et du sperme gicla à grande vitesse directement sur mon visage. J'eu à peine le temps de fermer les yeux pour ne pas finir aveugle. Je sentais son jus se déverser sur ma peau et coller mes cils à mes paupières et coulant le long de mes jours

Jérémy pressa à nouveau son membre comme pour faire s'échapper les dernières gouttes juste en-dessous de mon nez et s'appuya contre son lit, pour ne pas s'étaler sur moi.
-Woaw, c'est vraiment magique avec toi : t'as des petits doigts fées : tu sais vraiment bien branler toi ! Ah, je crois que tu ne sais plus ouvrir les yeux. Mon pauvre Maxime

Il joignit sa dernière phrase à une tape amicale plutôt agressive qui m'arracha un léger cri. Mauvais réflexe : même si l'instant fut bref, le jus de mon meilleur ami s'infiltra dans ma bouche. Dans la position dans laquelle je fus, il coula directement dans ma gorge et je ne pus m'empêcher d'avaler. J'aurai voulu protester mais je crains à nouveau d'avaler son sperme. J'attendis qu'il daigna à me tendre à nouveau son t-shirt pour m'essuyer et courir dans sa salle de bain. Agenouiller près des toilettes, je me raclai vainement l'oesophage mais je savais bien que son jus était déjà dans mon estomac. Cette idée me dégoûta et me donna des nausées.
-Si tu ne tiens pas à te retrouver avec ma pisse dans les cheveux, je te conseille de te décaler, me lâcha Jérémy en plantant ses deux jambes nues juste derrière moi, le sexe dirigé vers la cuvette pour uriner

Je me dégageai de la trajectoire afin de le laisser pisser me tenant la gorge comme si j'avais avalé un poison mortel.
-Mec, j'ai avalé ton sperme
-Ouais j'ai vu : je n'aurai pas cru que tu voulais le faire
-C'est toi qui m'y a forcé !
-Arrête de dire des conneries : je t'ai forcé à rien ! T'as voulu boire mon yop, c'est tout. Je comprends que t'ai envie de tester de nouvelles choses.
-Non mais c'est vraiment dégueulasse ! Je vais peut-être avoir des maladies !
-Arrête un peu de te plaindre !
-Non mais on voit bien que...

Je fus stoppé net dans mon élan : Jérémy avait dirigé vers ma bouche son membre qui était en train d'uriner et sa pisse vint directement se loger dans ma gorge, comme son sperme
-Ca, c'est pour m'avoir manqué de respect, cracha-t-il en quittant la pièce. Et t'auras intérêt à nettoyer

Je revins quelques minutes plus tard et je découvris Jérémy, habiller de son short, torse nu toujours, en train de jouer à la console. Quand j'arrivai, sans quitter les yeux de la télé, il me dit :
-Désolé pour tout à l'heure mais j'étais tellement bien : tu m'as merveilleusement branlé et j'étais sur un petit nuage. Et voilà que tu me fais une remarque comme quoi c'était de ma faute si tu avais avalé mon sperme
-Ouais mais ce n'était pas une raison pour me pisser dessus !
-Si, je trouve. C'est pour te punir de m'avoir injurié. Mais je regrette vraiment

Au moment où il avait dit cela, il s'était tourné vers moi et avait pris son sourire le plus craquant, celui qui faisait fondre toutes les filles du lycée. Je ne pouvais rester de marbre et je commençai à balbutier en cherchant un autre argument :
-C'était quand même dégueulasse, mec, ta pisse !
-Je sais, mais je ne sais pas quoi dire d'autre que simplement désolé, renchérit-il, conservant ce sourire charmeur imprimé dans le visage. Allez, viens jouer avec moi !

Il me tendit une manette que je pris, tant je ne pouvais lui résister. Je repensai soudain à ce qu'il m'avait dit et je fis remarquer :
-Mec, tu devais me branler aussi ! C'était le marché

Il se tourna vers moi, toute trace de son sourire s'étant évaporé et dit sur un ton plus que sérieux :
-Il n'en n'est pas question : je ne suis pas gay !

A suivre

Valtaria

valeerra@hotmail.be

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