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Frères de coeur -4
Une nouvelle fois, je vous remercie tous pour votre soutien par mail, ceux qui le lisent depuis le début de cette aventure, et les autres qui sont tombés par hasard sur l'histoire de Maxime et de Jérémy. Mais je remercie tous les lecteurs car, ce matin, en me connectant, qu'elle ne fut pas ma surprise de voir que Frères de Coeur était l'histoire la plus lue de Cyrillo :D Un grand merci à vous tous! :-)
Les futures suites seront, contrairement aux 3 précédents chapitres, plus courts, en moyenne de la moitié. Sauf peut-être certains chapitres qui se verront plus longs. Nonobstant, lesdits chapitres seront beaucoup plus actif, étant donné qu'à présent, nous entrons directement dans le vif du sujet, même si j'espère pouvoir tenir encore longtemps la lente progression de la relation qui s'installe entre les deux protagonistes.
Je ne savais pas vraiment ce qui se passait en cet instant : je me retrouvai encore maitrisé par Jérémy, dans une position délicate et me demandait, cette fois, d'aller plus loin que les deux dernières fois, où une simple masturbation lui avait suffi. A présent, il réclamait de moi que j'embrasse le tissu de son boxer que me séparait de sa queue.
-Pourquoi insiste-tu tant ?
-Parce que j'ai envie de tester une fois, répondit-il, le bleu de son regard plongé dans le mien, me fixant avec détermination. Et que j'ai gagné. Donc, tu dois me donner quelque chose
-Il n'en n'est pas question ! Arrête et lâche ! Tu commences à me faire mal, ma plaignis en tentant vainement de dégager mes mains de son emprise.
-Aller quoi, me demanda-t-il encore une fois, mais cette fois-ci, le ton de sa voix était doux et chaleureux. Ce n'est qu'un petit gage de rien du tout. D'autant que, regarde, ce n'est pas comme si tu l'embrassais directement : il y a tout de même mon boxer. Et pour ne pas embrasser le long, la grosse partie là. Je ne te demande pas le gland.
Je faisais navette entre son visage et sa queue. Je voyais à son regard qu'il voulait vraiment mais se montrait bien plus compatissant que ce que je ne l'aurai cru. Cela me rebutait au plus haut point.
-Allez Max, ça restera entre nous, poursuivit-il en rapprochant encore un peu plus son paquet de mon visage. Regarde-le, il te fait de l'oeil. Allez, rien qu'un bisou.
Devant une telle insistance et sachant pertinemment que je n'aurai pas la paix avant qu'il ait obtenu gain de cause, mes lèvres se contractèrent en cul de poule et je les approchai du fin tissu qui me séparait de son pénis. Je donnai un baiser très évasif, très rapide sur la bosse qui déformait le boxer de mon meilleur ami. Ce dernier soupira un petit coup puis dit :
-Ok, mais un peu plus longtemps maintenant car je ne l'ai pas vraiment senti. Allez Max : tu n'es plus vraiment à ça près.
A nouveau, j'amorçai une avance vers son membre. Au contact de mes lèvres sur le vêtement, je sentais le morceau de chair dur comme du fer être pris de soubresaut. C'était exactement comme si j'embrassais directement la peau. C'était chaud et veineux, comme je me l'imaginais. J'entendais un gémissement d'aisance de la part de Jérémy et il me dit :
-Allez, encore quelques fois. C'est tellement bon
Je ne sais pas trop ce qui me prit à ce moment-là -sans doute le fait que ma poitrine, comprimée par le poids de Jérémy m'empêchai de bien respirer ou bien la chaleur pesante qui commençait à régner- mais j'embrassai plus et plus longuement le pénis de mon ami, à tel point que ce dernier n'eut même plus besoin de me le demander pour que je continue. Mes lèvres parcouraient le tissu qui protégeait encore son intimité. Le ménage durant une trentaine de seconde et, profitant de mon extase, Jérémy ôta son boxer, dévoilant son pénis bandé à fond qui me faisait véritablement de l'oeil, à présent. Je crois qu'il ne m'a jamais paru aussi gros : je devais être totalement incapable d'en faire le tour avec mes doigts et sa longueur atteignait sans nul doute les 25 centimètres. Il avait jailli du sous-vêtement comme un diable, ses couilles pendantes et poilues se reposant sur mon torse nu en le chatouillant doucement. Jérémy le prit dans sa main et se branla un peu, son regard plongé dans le mien. Il se décalotta lentement, révélant un gland monstrueusement gros, rouge et gorgé de sang et me dit :
-Va-y Max, embrasse-le : embrasse la fente où je pisse.
Toujours dans mon état second, j'obéis et je déposai un baiser sur le trou qui lui servait à uriner. Puis deux, puis trois et au final, mes lèvres parcouraient une fois encore la peau de son membre de long en large, l'humidifiant à chaque fois un peu plus. Tandis que je baisai à nouveau son gland, ses mains attrapèrent ma tête et il finit pénétrer le sommet de son pénis dans ma bouche. Cette action eut pour effet de me faire redescendre sur Terre et de réaliser ce qui était en train de se passer. Mais alors que je voulus me dégager, mes mains étant à présent entièrement libre, Jérémy fit aller et venir son membre dans ma bouche, un geste lent et qui n'allait pas très loin
-Oh oui, putain, c'est trop bon ! s'écria-t-il en fermant les yeux, profitant du moment.
Je me rendis bien compte qu'il était trop tard pour se dégager : il avait pénétré ma bouche à présent. Rien ne servait de l'interrompre alors qu'il profitait de ce moment : sa première fellation qu'il espérait depuis tellement longtemps.
-Va y, ouvre bien grand ta bouche, me commanda-t-il. Et ne mets pas tes dents dessus car ça me fait mal. N'hésite pas à remuer ta langue dans bouche : ça fait trop du bien.
Je n'aimais pas trop la façon dont il me donnait des ordres alors que seul lui prenait vraiment du plaisir. D'autant que son gland énorme me remplissait déjà totalement la bouche. J'étais bien incapable d'empêcher à mes dents de toucher son membre étant donné que ce dernier élargissait mes lèvres à leur paroxysme. Mais malgré ce détail, Jérémy ne me dit plus grand-chose. Il appréciait totalement le mouvement de son membre dans ma bouche, doux et chaud.
Nous restâmes ainsi durant une dizaine de minutes. Mais bien vite, ce rythme qui, jusque-là, avait satisfait à mon meilleur ami, n'assurait plus autant de plaisir que la première fois, si bien que Jérémy reprit ma tête entre ses deux mains et enfonça un peu plus dans ma bouche son membre. Au fur et à mesure de ses va-et-vient, son gland tapait de plus en plus fort dans ma gorge et je commençai à avoir la respiration difficile. Et d'un coup, il planta son membre au fond de gosier. J'avais 25 centimètres de chair veineuse et palpitante dans ma bouche, empêchant totalement à mes poumons de se gorger d'air. J'avais mon nez dans ses poils pubiens transpirant et ses testicules qui ballottaient contre mon menton, larguant des perles de sueurs sur mon visage.
Il resta dans cette position durant quelques secondes qui parurent durer une éternité tellement j'avais mal la gorge et mes poumons réclamaient de l'air puis finalement, il retira la moitié de son membre dans un gémissement profond, me permettant de reprendre une grande inspiration. Mais à peine eu-je le temps d'insuffler de l'oxygène que déjà, il replaçait son membre dans mon oesophage avec un grand ''Han'' J'eu à nouveau la respiration coupée et je sentis le temps s'écouler lentement, encore plus que la dernière fois. Je manquais tellement d'air que mes jambes étaient agitées violemment, donnant des coups de pied en tous sens. Je frappai de mes poings dans ses cuisses musclées mais ils rebondirent sur sa peau, tellement elles étaient contractées. Des larmes coulèrent sur mes joues et j'eu l'impression que le plafond et les murs se mirent à tourner.
Enfin, il libéra ma gorge, laissant échapper de longs filets de bave et je repris une respiration normale tandis que Jérémy reprit un lent va-et-vient mais en profondeur, son gland tapant contre ma glotte me donnant des haut-le-coeur violent et laissant échapper plusieurs rots sonores.
Son mouvement se fit de plus en plus rapide, de plus en plus saccadé et il haleta fort, comme un taureau qui chargeait. Ses mouvements violents m'empêchaient à nouveau de respirer mais cela étant moins dure à supporter que les fois précédentes et je sentais son corps se raidirent petit à petit. Il se mit à gémir bruyamment, presque hurlant et il maintint ma tête en plantant une dernière fois sa queue dans ma gorge, libérant son sperme chaud qui se déversa directement dans mon estomac. Mais il semblait y en avoir des litres, si bien que plusieurs coulées de son jus se répandirent sur mon menton et s'égouttèrent sur mon torse. Ca avait un goût pas tellement désagréable : sucré et gluant mais le simple fait qu'il ait pris l'initiative de le faire et l'acte en lui-même me répugnait au plus haut point. Sa queue fut prise de quelques spasmes et finalement, elle commença à ramollir.
Jérémy s'allongea à côté de moi, le souffle court et s'essuya le front plein de sueur. Moi, je ne bougeai pas, dégouté et perturbé par ce qui venait de se passer
Valtaria
valeerra@hotmail.be
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