Larbin à rebeu
Voici une histoire vraie, qui s'est passée il y a quelques années, mon premier plan domination.
J'avais 20 ans (24 aujourd'hui), style minet (1m80, 65kg) et toujours été aussi bien actif que passif suivant l'humeur du jour et le partenaire. Mais je commençais à me lasser des plans culs basiques : calins, suce, sodo sans trop savoir ce que je voulais faire à la place. En trainant sur le net, suis tombé sur des vidéos de sexe plus hard, du style domi-soumis, et à mon grand étonnement ça m'a fait triquer direct. Mais entre le fantasme devant son écran et le réel il y a une marge que je ne me sentais pas prêt à franchir. A force de mater sur ces sites, je me lassais complètement des autres plans et l'absence de sexe commençait à me frustrer sérieusement. Je ne croyais pas trop qu'on puisse trouver des mecs si dominateur dans la vraie vie mais je me suis tout de même inscrit sur un site de rencontre avec un profil de passif qui cherche un pur actif pour un plan soumission.
A ma grande surprise, j'ai rapidement eu des propositions, mais surtout des mecs beaucoup plus âgés et pas terrible physiquement... Certains mecs plus jeunes voulaient me voir, se prétendant de vrais machos. Malgré les fakes, j'en ai rencontré quelques uns mais le scénario a toujours été le même. Ils étaient actifs, très bons actifs parfois, mais pas du tout domi et c'était finalement toujours les mêmes plans. Ce qu'ils voulaient, c'étaient ma bouche et mon cul sans rien de plus. C'est déjà bien peut-être de ne pas avoir de mal à trouver un beaugosse pour se faire sauter, mais je voulais autre chose.
Au bout de plusieurs semaines je n'y croyais plus trop, entre plans ratés et fantasmeurs j'étais plutôt désabusé. Un matin, en consultant mes messages, j'en trouve un d'un mec de 32 ans, juste un " salut " auquel je répondis quand même alors que son profil était vide, je n'avais aucune idée de ce à quoi il ressemblait. Le soir, on s'est retrouvé connecté en même temps et on a commencé à discuter un peu. Pas très bavard le mec, plus laconique dans ses réponses tu meurs. Il venait d'arriver sur Nantes (j'y étais pour mes études) et cherchais des mecs à baiser, lui étant uniquement actif. Finalement, il finit par balancer une photo et là grosse surprise, un rebeu, une bonne gueule, un corps légèrement musclé avec des pecs biens dessinés. Je me dis que s'il cherche, comme beaucoup d'autre, un simple plan baise je ne ferais pas le difficile, un bg pareil je le laisse pas passer... Rapidement ensuite il me dit qu'il n'est pas fan des dials à rallonge et qu'il cherche du réel. Il est déjà tard, il doit couper pour se coucher. Il me laisse son numéro de portable et joue cash avec moi " J'ai bien vu ton profil, si t'es une bonne salope fais moi signe et je m'occuperai de toi. Par contre j'aime pas qu'on me tienne tête alors si tu te décide, tu viens mais faudra encaisser. ". Putain. Exactement ce que j'attendais. Je lui réponds ok mais il a déjà coupé.
Le lendemain je retourne voir son message, sa photo. Bien que je sois très excité j'ai quand même la pression. Je n'ai jamais fait ce genre de plan et si suis pas capable d'encaisser ça risque de ne pas le faire. C'est toujours comme ça, avant de réaliser un fantasme, le même sentiment qu'avant de passer un exam, la boule au ventre : est-ce que je vais assurer ? Et puis merde, si je ne le fais pas je vais le regretter. Je prends son numéro et j'envoie un texto avec mon pseudo du site pour qu'il me resitue. Pas de réponse de la journée. Je me dis encore un mytho qui préfère ne pas passer au réel. Mais en début de soirée, vers 19h, une réponse, enfin : " j'ai les couilles pleines, dispo ce soir ? ".
Je réponds tout de suite oui.
Lui : " bien, si tu viens t'es prêt à obéir ? "
Moi : " oui boss "
Lui : " t'as raison, appelle moi comme ça sale chienne, tu te pointes à cette adresse mais sois discret, la porte sera ouverte, tu entres et je t'attends à l'intérieur "
Moi : " ok. à quelle heure ? par contre suis pas branché trucs crades... "
Lui : " 21h "
Moi : " ok "
M'y voilà. Je sens l'excitation qui monte, parce que pour moi un domi c'est un mec qui en a l'attitude physique, le comportement et qui parle comme tel. Après, ça reste encore du virtuel, faut voir ce que ça donne en live. Il n'a pas vraiment répondu à mon dernier message mais s'il est branché scato je me casse, c'est pas compliqué. Je vérifie l'adresse sur gmaps, il n'est pas trop loin de chez moi, mais dans un quartier où je ne suis jamais allé, et pas avec la meilleure réputation. Je me prépare, douche, lavement, et fringues de base, jean, t-shirt. Et en route...
Arrivé au pied de son immeuble, je lui envoie un texto pour le prévenir. Me suis pas trompé sur le quartier, ça ressemble bien à une cité, j'aimerais pas attendre trop longtemps dehors.
Sa réponse : " 4e étage, 2e sur la gauche "
J'entre, monte dans l'ascenseur, et sans mentir je flippe un peu, un peu plus que les autres fois sans trop savoir pourquoi. Sa porte est fermée, mais je pousse la poignée, j'entre et la referme. Après le claquement il me dit " ferme à clé ". Une bonne voix de basse, il a tout pour me plaire ce mec. Suis dans l'entrée, il fait sombre, les rideaux sont tirés, c'est un studio, alors je me dirige vers la seule pièce. Il est assis sur un canapé, devant la télé, mais je ne vois pas ce qu'il regarde.
Moi : " Salut "
Lui : " Qui t'as demandé de l'ouvrir ? tu fermes ta gueule. Fous toi à poil et viens me sucer "
Je m'exécute mais ça ne lui plait pas
Lui : " Qu'est ce que tu fous sale bâtard ? tu te mets à quatre pattes et tu viens me sucer "
Je ne sais pas pourquoi mais je m'exécute direct, je me sens un peu humilié de marcher comme ça complètement à poil alors que lui reste habillé. Je m'approche vers son entrejambe. Il porte un pantalon de survêt et un t-shirt légèrement moulant. C'est tout ce que j'ai pu voir. Arrivé à sa portée il m'attrape par les cheveux et me pousse la tête vers son paquet. Je sens bien une barre raide, à sentir comme ça, il a l'air plutôt bien monté.
Lui : " Alors comme ça on veut jouer au soumis ? envie de faire la chienne ? "
Je ne peux même pas répondre, ma bouche est collée contre sa cuisse. Je me détache pour lui répondre un " oui " et voir sa tête de plus près. J'ai à peine ouvert la bouche que sans prévenir, il me colle une baffe, et pas la petite gifle, vraiment un gros coup qui me fait basculer par terre.
Lui : " je vois que t'as bien compris. Tu fermes ta gueule, tu parles que quand je te le demande et devant moi tu baisses la tête, pigé "
Je m'y attendais pas, je reste un peu étourdi par terre quelques secondes. Mais rapidement il me reprend la tête par les cheveux. Il a sorti sa bite, une queue pas énorme mais bien monté, un bon 17/18cm à première vue, et surtout épaisse. Il me pince le nez, j'ouvre grand ma bouche pour respirer et il en profite pour me mettre sa tige. Pas besoin de me faire prier, j'adore sucer. Mais là je n'ai pas vraiment l'initiative, il me tient la tête et fais des va et vient à grands coups de bassin. Sa queue est bien dure, je dois lui plaire. Plus le temps passe, plus il rentre sa queue profondément, je sens son gland qui arrive au fond de ma gorge. Il ne sort même plus sa queue, il se sert de ma bouche comme d'une chatte. Il me démolit la mâchoire. Au bout d'une quinzaine de minutes, il se retire brutalement et me crache son jus au visage. Il y en pas mal, il avait vraiment les couilles pleines. Je sens que ça me dégouline sur le visage. Depuis le moment où il m'a fourré sa queue, il n'a pas dit un mot. Maintenant qu'il a joui je sais d'expérience que c'est bientôt la fin, les mecs que j'ai vu avant préféraient que je jouisse aussi si ce n'est pas fait et que je me casse ensuite. Je reste à quatre pattes, la tête baissée, et je commence à me branler.
Lui : " te touche pas bâtard "
J'arrête, mais je relève la tête. L'incompréhension doit se lire sur mon visage parce qu'il me prend la tête par le menton, fermement.
Lui : " écoute moi bien maintenant, t'as une bonne bouche et t'as l'air bien obéissant. Si tu restes tu fais ce que je te demande, tu te branles pas, tu jouis pas et tu fermes ta gueule. Sinon tu te casses maintenant "
Jamais on ne m'avait parlé sur ce ton, une voix autoritaire, pas de réplique possible. Je me sentais vraiment humilié, à quatre pattes devant lui, son sperme coulant sur moi, et sans trop comprendre ce que je faisais, j'ai baissé la tête et j'ai juste répondu " ok ". Je crois que c'est à ce moment que j'ai franchi une étape, je ne pensais plus à mon plaisir, je ne pensais plus à jouir, mais juste à être obéissant pour le satisfaire lui.
Lui : " ça m'aurait étonné, maintenant à voir ce que tu vaux, envie d'autre chose qu'une bouche à pipe ".
Il se relève, enlève son t-shirt que je vois tomber par terre mais garde son pantalon. Il me demande de le suivre, toujours à quatre pattes. Je m'exécute. Il ouvre la porte des chiottes, putain, ça sent vraiment la pisse. Il me laisse là et j'attends. Je ne sais pas trop quoi penser. Je pensais qu'il allait vouloir me prendre mais ça n'en prend pas trop le chemin. J'entends le bruit d'un robinet, il rempli quelque chose. Je me demande si...non, il ne va pas me demander de faire ça je lui ai dit que je n'aimais pas. Il revient avec un seau et une éponge.
Lui : " Je crois que t'as compris ce qu'il te reste à faire "
Moi : " Mais je t'ai dit que ça me branchait pas pisse et scato "
Lui : " T'es une chienne non ? alors tu fais ce que je te dit, tu mérites pas mieux que de trainer dans ma pisse "
Il s'abaisse au niveau de ma tête et me la plaque contre le sol. L'odeur est forte, c'est insupportable, j'ai vraiment envie de vomir.
Lui : " Tu devrais t'estimer heureux, ça fait une heure que t'es arrivé et t'as déjà eu mon jus et ma pisse "
Il se relève, recule un peu pour me laisser seul vautré dans ses chiottes.
Lui : " T'as dix minutes pour que ça soit nickel " et après un raclement de gorge profond je reçu un gros mollard sur la joue.
Je ne peux plus me casser maintenant, je sens la pisse et j'ai du sperme séché sur la moitié du visage. Je ne pense pas qu'il apprécie si je lui demande d'utiliser sa salle de bain avant de me casser... Et puis, malgré tout le dégoût que j'éprouve, j'ai envie de voir ce qui va se passer ensuite. Alors je m'exécute. Il a dû pisser juste avant que j'arrive, l'urine n'a pas eu le temps de sécher. Pendant que je lave le sol et les murs, je l'entends qui parle au téléphone, mais en arabe, je n'y comprends rien.
J'ai terminé, ça ne m'a pas pris trop longtemps et, finalement, me suis habitué à l'odeur. Il m'a demandé de ne pas parler alors j'attends qu'il revienne inspecter. L'attente n'est pas longue, je l'entends se lever et venir me rejoindre. Quand il arrive je me trouve dos à la porte, à quatre pattes bien sûr, les fesses bien cambrées.
Lui : " Tu vois que tu sais faire, mais ça demande encore à se confirmer "
Là, je ne comprends pas tout de suite, mais je ne bouge pas, attendant qu'il me demande de sortir et de le suivre. Encore une erreur de ma part. Je sens quelque chose de chaud sur mon dos. Non. Putain, c'est pas possible. Il est en train de me pisser dessus. Moi qui croyais avoir déjà été bien humilié, ce n'était pas encore fini... Là encore, il avait préparé le terrain, à la bière ou autre il s'était bien rempli pour me pisser dessus. Je baignais vraiment dans la pisse, le dos trempé, l'urine qui me dégoulinait sur le torse et le long de ma raie. Une fois terminé de se soulager, j'ai dû me retourner pour lui nettoyer la queue. Et recommencer à nettoyer.
Lui : " Tu me nettoie ça et ensuite vas te laver dans la salle d'eau " et il repart.
Cette fois-ci, je m'exécute sans hésitation. En cinq minutes c'est terminé, et je pars à quatre pattes ans la salle de bain, juste à côté, pour me passer sous l'eau. Je me surprends à regretter de me doucher, je commençais à aimer son odeur, une vraie odeur de mâle, forte, sans trop comprendre pourquoi je kiffais.
Après la douche, je me sèche, retrouve ma position à quatre pattes et rejoins mon boss. Il matte un porno, de circonstance. C'est un rebeu hyper bien teubé qui se fait sucer par un petit minet blanc...Il m'a attendu arriver.
Lui : " Viens me sucer "
Je me dirige directement vers sa queue, déjà sortie et qui rebande déjà. Autant dire que je ne me fais pas prier. Cette fois-ci, il me laisse m'en occuper tout seul, ses deux mains derrière sa tête. Alors qu'il avait été silencieux la première fois, là il s'est mis à me parler comme s'il voulait bien me faire comprendre où était ma place.
Lui : " Toi t'es une bonne chienne. Jamais je donne ma pisse la première fois, d'habitude le mec me suce, je crache et il se casse. A chaque fois c'est lui qui redemande à venir. Mais ça me plait d'avoir un jeunot novice à éduquer "
Comme je l'écoutais, j'ai dû, sans m'en rendre compte, moins bien le sucer. Une baffe et un mollard m'ont rappelé à l'ordre.
Lui : " Applique toi sinon jte cogne sale bâtard. Si ça que tu cherches t'inquiètes tu seras pas déçu. T'es comme une meuf toi, une vraie femelle, à voir si t'as une chatte à la place de ton trou de balle "
Et il dirigea sa main vers mon cul, m'enfonça entièrement sa queue dans la bouche et me mit direct un doigt.
Lui : " Putain, elle mouille la salope. Vas t'allonger sur mon pieu, sur le ventre. Tu m'as fait giclé tout à l'heure, je vais mettre un moment avant que ça remonte. T'as intérêt à encaisser ". Il me repoussa, et je suis parti vers le lit, à plat ventre comme il me l'avait demandé.
J'étais prêt, mais son téléphone sonna encore. Cette fois-ci il parlait en français.
Lui : " Non t'inquiètes tu me dérange pas. J'allais juste m'enfiler une pédale...Yep, une vraie chienne, elle est arrivée ce soir et elle réclame déjà ma queue (rires)...ouais elle a intérêt à encaisser, tu sais comment je suis...ok ça marche, à plus frangin ".
Si j'ai bien compris, j'allais déguster. Mais pour l'instant rien, je ne l'entends même plus. Et puis le bruit de la capote qu'on enfile, du tube de gel...Il me prit par les hanches et me releva pour que je sois à quatre pattes. J'ai à peine eu le temps de me relever que j'ai senti sa queue me pénétrer, pas en douceur, loin de là, il me l'a enfoncé comme si j'avais été travaillé avant. Enfoncé presque entièrement. J'ai crié. C'est la première fois qu'on me prenait directement, si violemment. J'ai voulu me dégager, pour qu'il y aille plus doucement, mais peine perdue, il me tenait par la hanches et étant plus musclé que je ne l'avait cru je ne pouvais pas grand-chose. Au deuxième coup de rein, je me suis affalé, à plat ventre. Il n'avait plus de raison de tenir, je ne pouvais plus être que ce qu'il voulait. Mais je ne pouvais pas m'empêcher de crier, trop fort surement parce qu'il me mit une main sur la bouche pour me faire taire.
Lui : " Alors sale chienne, tu la sens bien là hein ? t'es un vrai bâtard, c'est quand t'as une bite de rebeu dans le fion que t'es à ta vraie place, ou quand ta sale gueule baigne dans ma pisse. Tu comprends, tu sens là qui est le boss ? vu comment suis rentré dans ta chatte, t'as dû en voir passer des queues, hein tepu ? "
Il avait enlevé sa main de ma bouche, il voulait donc que je lui réponde. Ce fut plutôt un gémissement. J'étais trop excité par ce mec, je voulais vraiment me faire défoncer.
Moi : " Yep, mais des plus grosses... ". Je sais que les mecs sont sensibles sur ce sujet, et encore plus les arabes.
Lui : " Ah, ouais ? tu veux jouer au malin ? dans ta position t'aurais mieux fait de la boucler ". Et lui de redoubler ces coups de butoirs, sa queue était complètement rentrée, je sentait ses grosses couilles pendantes taper contre moi. Il m'a enfoncé la tête dans l'oreiller et j'ai commencé à sentir des coups sur mon cul, une vraie fessée sans tendresse, des vrais coups. Et ça me plaisait...Ensuite, il me releva la tête par les cheveux et me mit plusieurs baffes. Je commençais à fatiguer, j'en pouvais plus, mais c'est ce qu'il cherchait, que je devienne totalement soumis. Je voyais le réveil près de son lit, déjà 30 minutes qu'il me pinait sans pause et toujours dans la même position, celle où il pouvait entrer le plus profond en moi. Il m'avait pas menti, il était très endurant...
Ensuite, il m'a redressé pour que je me retrouve de nouveau à quatre pattes. Il me remit la main sur la bouche mais, cette fois-ci, elle était aussi sur mes narines et m'empêchait de respirer. Je ne pensais pas que ça allait durer plus que quelques secondes mais il l'a laissait. Je me sentais étouffer, je gesticulais pour me dégager et mon cul remuait autour de sa queue. Il kiffait le salop, il gémissait, poussait des râles sourds, bien graves. Quand il me relâcha, j'eus l'impression de revivre, mais à peine après avoir rempli mes poumons il recommença.
Lui : " Suis ptêtre pas monté comme un âne mais ça a l'air de te suffire. T'es pas un mec toi, t'es juste un bâtard, une chienne à rebeu, jte défonce comme une meuf et en plus tu kif ça, tu bandes toujours. "
Malgré toute l'excitation que j'avais ressentie depuis que j'étais entré dans son appart voilà deux heures, je n'avais pas joui. Ses insultes, sa queue qui me labourait littéralement la chatte, ma respiration contrôlée, tout ça me faisait bander et finalement, sans me toucher, j'ai craché mon jus sur les draps. Il s'en est rendu compte tout de suite.
Quand il a senti mon anus se contracter. Il me dit à l'oreille " ya que les clébards comme toi qui jouisse comme ça, met toi dans le crâne que t'es juste une chienne et chanceuse parce que j'ai bien voulu te baiser ".
D'habitude, je jouis toujours le dernier, je n'aime plus trop me faire prendre ensuite. Mais là j'étais tellement crevé que je n'ai même pas cherché à résister. Il m'a sauté pendant encore quelques minutes, mais ma chatte étant devenu plus serrée elle lui a aussi fait monté le jus. Il est sorti de moi, et j'ai tout de suite senti comme un manque, a retiré sa capote et n'a eu que le temps de giclé sur le bas de mon dos.
Il m'a emmené dans sa salle de bain et on a pris notre douche ensemble. Enfin, moi à ses pieds, je devais le nettoyer, le frotter, le caresser. Sa queue était devenue molle. Il me dit de fermer les yeux et d'ouvrir la bouche. J'ai pensé qu'il avait encore envie de se faire sucer. Sa bite rentrée il me plaqua contre lui. Je ne comprenais pas, impossible pour moi de le sucer dans cette position. Mais c'est pas ça qu'il voulait. Il voulait juste se servir de moi comme de ses chiottes. J'ai senti sa pisse chaude remplir ma bouche. Mais je ne voulais pas avaler. Il réussit, je ne sais pas trop comment, à me faire boire. Je crois que j'en avais aussi envie. Il n'y en avait pas beaucoup, moins que lorsqu'il m'avait pissé dessus. Il me regarda dans les yeux et me dit : " c'est bien, t'es un bon bâtard ". Sans réfléchir, je baissais la tête, et embrassait ses pieds.
Lui : " Rarement vu un mec si salope dès le premier rencart. Maintenant tu prends tes affaires et tu te casses. Si j'ai envie de te baiser je te fais signe ". Et suis parti.
kiffdomis