A la sortie du boulot
Il est 20h. Après une longue réunion au bureau, je me dirige vers le métro comme chaque soir, mes écouteurs vissés sur les oreilles.
5 minutes d'attente avant d'embarquer. J'essaye de me placer dans un endroit stratégique afin de pouvoir observer l'entrée et la sortie des voyageurs. J'espère toujours qu'un bel homme fera son apparition et me distraira les yeux le temps du trajet.
Changement de ligne après deux arrêts. Je monte dans le métro suivant et m'assoie. Cette fois-ci, je suis parti pour 20 minutes. Pas l'ombre d'un mec potable. Je ferme les yeux et me laisse bercer par la musique.
Il reste un arrêt avant le mien, je me lève et aperçois deux mecs plutôt mignons qui avaient dû embarquer un peu plus tôt. Ces deux racailles doivent avoir 20-25 ans, bruns, la coupe standard : cheveux rasés. L'un est en jean et pull noir, l'autre en jogging bleu et veste grise. Je les mate discrètement et mes yeux se portent directement sur la bosse de leur pantalon qui laisse présager un bon matos.
Lorsque je descends de la rame, je sens qu'ils me suivent mais n'y prête pas attention et prends le chemin de mon appartement.
Après 5 minutes de marche, les deux lascars sont toujours derrière moi. Il fait sombre et les rues proches de chez moi sont peu éclairées.
D'un coup, j'entends siffler. Je coupe discrètement le son dans mes écouteurs et entends alors " arrête-toi mec ! ". Je me retourne, c'est celui en jogging qui me fait un signe d'attendre. Je ne suis pas très rassuré, je mesure 1m77, 62kg, musclé sec. Une cible idéale.
Jogging : " T'as pas une clope ?! "
Moi, j'enlève mes écouteurs : " Non, je ne fume pas. "
Jogging, pointe ma poche du doigt : " Par contre, t'as un i-phone ! "
Moi : " Oui et alors ? "
Le mec en jean me tourne autour, comme s'il voulait me bloquer.
Jogging : " Passe le moi, j'dois appeler un pote. "
Moi : " Euh ... non, j'ai plus de forfait pour appeler ... "
Le mec en jean : " Vas-y fais pas ta pute, file nous ton tel ou on te démonte. "
A ce moment là, ces deux mecs n'avaient plus rien d'attirant. Je flippe grave et il n'y a personne dans le coin.
Moi : " Ecoute mec, je n'ai pas le temps, je suis naze, j'ai envie de rentrer chez moi. "
Je range mes écouteurs et tente de m'éloigner.
Evidemment, ils n'allaient pas s'arrêter là. Quelques mètres plus loin, dans une zone en travaux, je sens leurs mains m'attraper et me pousser dans un renfoncement. Les coups commencent à pleuvoir, je me protège le visage.
Jogging qui s'était arrêté de me frapper dit : " Oh putain sale PD "
J'ouvre les yeux et me rends compte qu'il a attrapé mon portable dans ma poche et a dû voir la photo de fond d'écran : deux mecs qui s'embrassent.
A ce moment là, le mec en jogging m'appuie sur la tête pour me faire mettre accroupi. Je pense qu'ils vont me pisser dessus. Mais non, le mec en jogging dit à son pote : " Sors ta bite, c'te p'tite salope va sucer. "
Je suis mort de peur, mais à la fois, dans un coin de ma tête, je n'arrive pas à croire qu'un de mes fantasmes est en train de se réaliser. Ils sont vraiment beau : des lèvres charnues, de belles dents, les yeux noirs, mats de peau, des mains viriles. Le mec en jogging (Eddy), a l'air très bien foutu, il a un T-SHIRT blanc sous sa veste qui fait ressortir des pectoraux imposants. Le mec en jean (Ahmed) est quant à lui sec, physique d'un footeux. J'ai pu constater la musculature de ses cuisses en m'appuyant sur lui pour me baisser.
Je me sens mal, encore blessé par les coups dans les côtes, mais j'ai envie de gouter aux bites au repos qui se trouvent face à moi. Sans réfléchir, j'ai pris celle d'Eddy en bouche et branlé la bite d'Ahmed. Sûrement surpris du fait que je ne résiste pas, Eddy a bandé direct, il a une queue de taille normale, large à la base et un petit gland.
Mon attention se porte rapidement sur celle d'Ahmed, que je sens grossir petit à petit. Elle est énorme, bien proportionnée, 20 cm à vue d'oeil, et très large. J'ai attrapé Ahmed par les hanches pour le rapprocher et pouvoir lécher les deux bites en même temps. Je lève les yeux vers eux, ils m'admirent sans dire un mot. Ils avaient remonté leur pull et T-shirt d'une main au niveau du nombril pour dégager la vue et bien me voir à l'oeuvre.
Ma langue passe d'un gland à l'autre. Ahmed, qui s'impatiente, attrape ma tête de ses deux mains et m'enfile sa tige dans la bouche. Il me contraint et fait de grands vas et viens. Il me défonce la bouche. Je salive un max.
Pour calmer un peu le jeu, je décide d'attraper les fesses d'Ahmed pour le stopper au fond de ma gorge et me laisser un peu de répit. Ma langue fait le reste, ce qui n'est apparemment pas pour lui déplaire. Il fait tellement sombre, que je ne vois presque plus leur visage. Je perçois simplement leur respiration.
Je branle Eddy en même temps qui crache sur sa bite pour la lubrifier. Ils ne sont pas circoncis et je m'amuse à nouveau à les lécher chacun leur tour. J'ai passé un bras entre leurs jambes et les maintiens contre ma bouche par les fesses. Leurs bites sont chaudes, pleines de baves, Ahmed a une main posée sur le dessus de ma tête en se branlant et Eddy garde une main sur son ventre. Il a des abdos de fou et un tout petit nombril bien dessiné.
Sentant mes jambes s'affaiblir et fourmiller, je me redresse et me lève, j'entends alors doucement " Sale pute, t'as aimé mon gros zob " - " PD, on n'a pas fini de te défoncer la gueule ". Je pense qu'ils se sont retenus jusque là pour ne pas faire de bruit et alerter un éventuel passant. (Nous ne sommes pas vraiment bien cachés.)
Moi, en fixant Ahmed : " T'as aimé ma bouche ... tu vas surkiffer mon cul. "
Je comprends à travers son regard que je vais payer cher ce que je viens de dire.
Ils se branlent toujours et le temps de défaire ma ceinture, Eddy m'a violemment retourné contre le mur et attrapé les hanches pour me cambrer. J'entends cracher, je suppose qu'ils se lubrifient la queue. Je sens un gland à l'entrée de mon anus.
Je remue et bouge le bassin pour me retirer en disant : " Enfile une capote ! "
Eddy maintient mes épaule avec son avant bras et me colle le visage contre le mur et dit à son pote : " Baise-le ".
Je me contracte et me débats, je comprends que ça les excite encore plus. Je commence à fatiguer, me relâche peu à peu et sens alors le gland d'Ahmed forcer l'entrée de mon cul. Ils m'ont juste baissé le pantalon pour y avoir accès, ce qui m'empêche encore plus de bouger.
Je veux crier, mais à ce moment là, je sens la bite d'Ahmed me pénétrer d'un coup. La douleur est si intense que des larmes montent à mes yeux.
Il commence à me limer pendant qu'Eddy me tient fermement. La douleur ne passe pas. C'est insupportable. J'ai l'impression qu'il m'a déchiré, mais bizarrement, en même temps, j'aime ça.
Automatiquement, mes hanches se cambrent et mon cul s'ouvre pour mieux accueillir ce monstre.
La douleur finit par se dissiper, surement grâce à la quantité de salive qu'il crache sur sa bite et je sens alors sa queue entière entrer en moi. Il me tient par les épaules pour me baiser plus vite, plus fort. Il s'arrête un instant au fond de moi et fait un mouvement circulaire de bassin pour me dilater un peu plus.
Ahmed m'a achevé lorsqu'il a décidé de sortir, cracher sur sa queue et me la renfiler direct au fond ... Il a fait ça plusieurs fois, je sens vraiment sa queue se décalotter à l'intérieur de moi et sa tige coulisser dans mon cul.
J'adore ça.
Mes jambes tremblent, Eddy sent que je me débats beaucoup moins et me lâche les épaules. Plus libre de mes mouvements, je tourne la tête vers lui, et essaye de le regarder droit dans les yeux.
Pendant ce temps Ahmed qui me lime toujours, s'arrête et je sens qu'il se contracte. Je me redresse un peu pour avoir son torse contre mon dos, sa bouche au niveau de mon oreille et je devine par sa respiration qu'il vient de m'en mettre plein le cul.
Il sort doucement. Je sens alors les battements de mon coeur au niveau de ma rondelle irritée et dégoulinante. Eddy change de place avec son pote, et commence à frotter son gland à mon cul. Il se branle.
Je n'ai pas l'impression qu'il veuille me baiser, mais trop excité, au moment où je sens qu'il est bien en face de mon trou, je m'empale sur sa queue. Il exprime sa surprise par un " oh putain salope ".
Eddy passe ses deux mains au niveau de mon ventre, descends le long de mon aine et me tient fermement l'avant des cuisses pour m'enculer à fond.
Lubrifier par le sperme d'Ahmed, je prends tellement mon pied que je jouis sans me toucher la bite.
Eddy " Oh putain, putain, ça vient putain ... Hummmmmm " Il me donne des gros coups, comme pour me tasser et comme s'il était pris de spasmes.
Je suis épuisé. Appuyé contre le mur, je reprends doucement mes esprits et regrette déjà ce qui vient de se passer.
Lorsque je me retourne, Ahmed et Eddy rigolent et se moquent de moi. Eddy se rhabille, ramasse sa veste.
Eddy en me tendant mon portable " Tiens ... Je te le rends, j'aurai jamais cru que baiser un mec me ferait tant kiffer "
Ahmed se rapproche de moi, comme s'il voulait m'en mettre une, m'attrape violemment par la nuque et me roule une pelle magnifique. Comme si nous étions des amants de longue date.
Ils me laissent là, le cul à l'air, à moitié violé ...
J'entends une voiture passer, ce qui me ramène à la réalité, je me rhabille et rentre chez moi au plus vite ...
En arrivant, mon mec m'embrasse et me dit " tu rentres tard aujourd'hui mon amour ... ? "
Nicolas
salokin_is_youy@hotmail.fr