Coupe du monde de Foot 1998
La Coupe du Monde de foot en France bat son plein, il fait chaud et l'ambiance est festive. Chaude pour moi, j'ai 20 ans et l'année universitaire se termine. Avant de repartir en famille pour l'été, j'enchaîne les plans et les histoires sexy! Pour me présenter, je mesure 178 pour 65kg, yx verts, plutôt fin et pas très musclé mais avec un cul de noir, dixit mon ex...
Je suis à un arrêt de bus dans le centre attendant le bus pour aller vers le stade Lescure (maintenant Chaban) où j'habite en coloc. Avec moi, plusieurs personnes mais surtout un mec d'environ 30 ans, cheveux courts, un peu plus petit que moi, plutôt pas mal et avec un tee shirt moulant. il me regarde ostensiblement et un peu "jeune", je suis à la fois gêné et flatté. je ne tente rien, je suis relativement straight.
Le bus arrive et ô surprise, il est bondé de supporteurs des Balkans, des Serbes me semble-t-il. Personne sur le quai ne peut monter mais arrive aussitôt un second bus. Même constat, plein de mecs hurlant, chantant, plutôt alcoolisés et se rendant au stade. la porte s'ouvre et bien que personne n'en descende je prends mon élan et m'enfonce dans la foule tassée et bruyante du bus, suivi par quelques personnes du quai. Nous nous retrouvons coincés et serrés les uns contre les autres, je ne peux pas attrapé une barre d'appui et ce sont les personnes qui sont collés à moi qui me permettent de rester debout et ne pas chuter à chaque démarrage du bus. je ne peux bouger mes mains mais la plupart des gens sont dans mon cas.
C'est alors que je sens quelqu'un qui s'appuie un peu plus sur mon dos et en particulier mes fesses. Une légère ondulation. une main se pose sur une de mes fesses. Un pickpocket? Quelqu'un de déséquilibré qui va chuter? j'ai du mal à me retourner mais je distingue le mec de 30 ans de l'arrêt de bus.
Sa main se fait insistante et le mec est sans gène. le brouhaha et la promiscuité le rendent invisible. il me malaxe les fesses et appuie fortement sur ma raie. il est en short mi-long assez large et je sens très nettement sa queue se frotter à mon arrière train. Sa main glisse lentement devant et vient se plaquer sur ma teub. je bande et il me malaxe le paquet au vu et au su de tous, mais finalement caché par le corps des autres. Je sens son souffle dans mon cou. "T'aime?" me susurre-t-il. je n'ose pas répondre, je suis à la fois excité et tétanisé, me sentant presque violé et en même temps appréciant la situation. Profitant d'un démarrage brusque, il me met un coup de bassin en me maintenant par devant. "Tu la sens?". Toujours silencieux et paniqué, je ne sais quoi faire. Sortir, sortir et vite, je réfléchirais plus tard, quitte à avoir laisser passer une histoire qui aurait pu être sympa.
Le bus arrive enfin à mon arrêt, j'ai du mal à appuyer sur le signal d'ouverture de la porte et suis obligé de me cambrer. Le mec voit bien que je vais partir et profitant de ma position, il appuie encore plus sa queue contre ma raie. Ce que j'ai peur, ce que j'en ai envie, que dois-je faire?
La porte s'ouvre et avec force je m'extrais de la masse du bus, saute sur le trottoir et me dirige sans me retourner vers la porte du hall de mon immeuble situé à une 15 aine de mètres (Rue Despagnet pour les amateurs!). je vais à peine y arriver que quelqu'un me retient par le bras, plaque la main sur une queue au travers d'un short."Tu la veux? moi je veux ton cul". Je ne sais toujours pas quoi ferme, je suis paniqué et partagé entre l'envie de sexe et la sensation d'être dominé voire violé. Je bredouille quelques excuses, pas claires du tout, pas d'opposition non plus franche de ma part. je n'ose pas regarder le mec dans le yeux. Il me tient, me domine. "Je veux te baiser, tu m'as chauffer avec ton cul" dit il un peu plus fort. Personne à proximité, nous sommes en plein jour mais la rue Despagnet à l'époque a surtout des voitures et pas de piétons. En me débattant je pense que j'aurais pu me dégager, la porte du hall était fermée encore. Je ne sais pas ce qui m'a pris. J'ai mis la clef dans la serrure toujours sans répondre, la porte s'est ouverte et il m'a poussé violemment à l'intérieur s'engouffrant à suite. C'est une lourde porte en bois, opaque et le hall est sombre et frais. je tâtonne pour trouver l'interrupteur. Sa main plaque la mienne, et il m'écrase la face contre le mur, je n'ai pu allumer la lumière. J'entends son sort qui tombe avec un bruit de clef, je sens de nouveau sa queue libérée cette fois contre mon jean. Il crache. je ferme les yeux et il se colle à moi. Je sens sa respiration rapide, son souffle chaud, je suis toujours paralysé. "Je te baise là ou chez toi?". "Mes colocs, pas de capote, les voisins... " j'essaie à mi mots de le repousser et de lui dire que ni ici ni chez moi ce n'est possible, qu'il faut qu'il parte. Toujours collé à moi, il ramène ma main derrière mon dos en une clef de bras et passe la sienne au niveau de ma ceinture. La dégrafe et tire sur le jean qui peine à descendre à cause de la sueur, le caleçon suit. J'ai le pantalon à mi-cuisse, ce qui permet de garder les fesses relativement serrées. Il recrache, je le sens s'enduire la queue qu'il présente ainsi dans ma raie et commence à s'y frotter. je ferme les yeux, sers mon anus, resserre les fesses. Une toute petite pression de sa part sur mon bras entravé à l'arrière me procure une douleur impressionnante. "Laisse toi faire". je ne réponds pas. "Tu vas prendre ton pied, moi aussi.". Je me détends ne voulant pas ressentir la même douleur, il le sent et d'un coup pénètre mes entrailles en m'écrasant contre la porte. J'ai mal, il me déchire, je n'avais rien fait pour m'ouvrir avant en poussant, je ne suis pas lubrifié.
Il reste ainsi collé contre moi, sa queue dans mon cul douloureux, quelques secondes. "Maintenant, laisse toi faire" dit-il doucement.
Il commence un va-et-vient très lentement. L'absence de gel et la tétanie de mon anus rendent les choses douloureuses et j'ai tendance à cambrer les fesses pour limiter ses mouvements vers l'arrière. Prenant peut-être cela pour un acte de soumission finale, il m'appuie avec son bras qui maintient le mien dans le dos sur les reins, et je me retrouve dans un équilibre précaire, entravé par mon pantalon à mi-cuisse et la gueule contre la poignée en cuivre de la porte. Un mollard atterrit sur le bas du dos, il vise mieux pour le second qui arrive entre les fesses et le sens glisser. Avec son pied, il cherche à abaisser mon pantalon , un bras maintenant sa clef et l'autre poser sur ma main sur la porte. C'est agréable de sentir son crachat descendre doucement mais la sensation est interrompue par un troisième qui arrive juste sur teub. Libérées de mon pantalon, mes fesses sont plus faciles à écarter et le mec reprend son va-et-vient. Le rythme devient très vite brutal, sa salive permet que tout coulisse mais j'ai le cul qui chauffe. De moins en moins de douleur à ce niveau mais mon épaule bloquée me fait intolérablement mal. j'essaie de lui dire alors qu'il est en train de me bourriner. "Je te lâche, pas de connerie". Mon bras libéré et anesthésié me permet de remonter un peu contre la porte et de m'y appuyer. Lui semble s'en foutre et me baise violemment. La chaleur et ma sueur font que je m'ouvre plus et me lubrifient. Du plaisir commence à me venir, je sens ses couilles qui me frappent, son pubis poilu contre mes fesses et ses gémissements rythmant ses coups de reins.
Je commence à me détendre un peu plus, me positionne mieux comme si c'était un rapport conventionnel, le mec a l'air d'apprécier et me met de grands coup de queue. je ne bande pas. "T'aime ca , hein? avec ton cul on sait que t'es passif". Je ne réponds pas et une claque arrive sur mes fesses. "Tu préfères que je te pète le cul et l'épaule aussi? Dis-moi que tu aimes".
"J'aime, continue s'il te plait". Je ne mens pas vraiment. C'est agréable de le sentir en moi. son sexe est gros et large, je le sens à la manière dont je suis distendu de l'anus. je ne le pense pas très long. Je lui suis soumis et ses coups de reins continuent. J'ose quelques gémissements qui semblent le satisfaire car il me caresse le dos et les fesses en me baisant.
Les coups se font plus amples et violents , je sens son sexe grossir en moi. Je commence à paniquer. Il n'a pas de capote. Je n'ai le temps de rien et dans un râle il vient se coller à mes fesses. je sens en moi comme une vibration, et reprenant ses coups de rein, je me rends compte que cela coulisse très bien maintenant. Le salop, il m'a rempli.
Cela dure encore peut 5 secondes, et il se retire d'un coup. Mon cul semble resté béant, il y introduit un ou deux doigts d'un coup, les ressort aussitôt et vient les essuyer sur mon visage et ma bouche. Ca sent le sperme. "Je t'ai fécondé, ca te fera un joli souvenir de moi". il me pousse sur le côté, remonte son short, je trébuche et me rattrape à la poignée de porte, qu'il tire pour ouvrir le battant. Je le vois nettement alors dans le plein jour de la porte ouverte. Un beau mec, qui se barre.
Je suis resté quelques secondes comme cela avant de courir chez moi me rincer, me nettoyer le cul. Puis direction les Urgences de Pellegrin à 1km pour raconter que j'avais eu un rapport sans protection, me prendre une session morale sur la responsabilisation de sa sexualité et si tout le monde faisait comme cela jeune homme... (ta gueule, tu comprendrais pas, madame l'infirmière) et me voici sous Kaletra Epivir Retrovir pour 1 mois... Au final, je suis toujours séronégatif et je ne sais toujours pas quel regard porter sur cette histoire. Le plaisir d'être soumis, offert à un mec, d'être un vide burne excitant ou juste un viol pas bandant du tout mais que j'essaie d'érotiser pour qu'il soit vivable...
Despagnet