Plan du dimanche
C'est un dimanche de février gris et froid. Fin de matinée, je suis rentré de ma séance de footing et je tourne un peu en rond. J'ai envie de baiser et si je ne baise pas, je vais y penser toute la journée. Je lance Grindr pour voir qui est connecté pas loin. Pas envie de me taper 1 heure de transport, ce serait bien si je pouvais trouver un mec dans le coin.
Bingo en voilà un. Joli torse mais je ne vois pas sa tête. Après tout, moi non plus je ne montre pas ma tête, juste mon torse poilu. Quelques échanges rapides, le gars va droit au but. Il veut me sucer mais ne prend même pas la peine de me demander la taille de ma bite. Je me dis que je n'ai rien à perdre. Il habite à deux pas, j'enfile un jogging et un sweat et c'est parti.
Forcément, le gars habite au dernier étage, j'ai vraiment le chic pour me taper toujours des escaliers. La porte s'ouvre. Le gars est en peignoir, à peine plus grand que moi (c'est à dire pas géant), pas mignon mais pas moche. A peine le temps de dire bonjour qu'il se presse direct contre mon paquet. Moi, il m'en faut guère alors autant dire que ma large bite est vite à l'étroit dans mon boxer.
Il s'affaire sur mon paquet pour bien le faire durcir puis descend mon pantalon et mon boxer en même temps pour enfourner ma queue. Il se débrouille pas mal le mec, même si j'ai connu mieux. Mais bon, quand on me suce, je fais pas trop le difficile et je me mets à lui caresser la tête doucement pour l'encourager. La séance dure un bon moment quand il me demande si je veux m'allonger. Ni une, ni deux, j'enlève toutes mes fringues sur le chemin de sa chambre et je me retrouve à poil sur son lit vite fait bien fait.
Il a du comprendre que j'étais auto-reverse parce qu'il se met à me bouffer le cul sans même me l'avoir demandé. J'avais pas bien prévu ça mais comme ça me fait grimper aux rideaux direct, je ne me plains pas. Bien au contraire. Sa langue se fraie un chemin dans les poils de mon cul et ne fait pas sa timide. Moi, j'adore. Et quand j'adore, je gémis et je couine. Le mec (j'ai oublié son nom, j'en avais vraiment rien à foutre) s'excite et il finit par me lâcher le cul pour me demander si je veux qu'il me baise. Carrément !
Le temps qu'il enfile une capote et que je me lubrifie le trou, je constate que le garçon est plutôt bien équipé. Et d'ailleurs, je la sens bien, sa bite bien épaisse, quand elle force le passage de mon cul. Ça fait mal mais ça fait du bien en même temps. Je sens que je vais prendre cher et mon cul en est tout humide rien que d'y penser. Je suis à quatre pattes sur le lit, les jambes bien écartées, sa grosse queue bien calée dans mon cul, ses mains sur mes hanches et il commence à me pilonner. Sans douceur aucune mais avec une force que je ne lui soupçonnais pas. Le mec est sacrément costaud et il me met des coups de dard dans le cul comme j'en ai rarement reçu. Il me laboure littéralement, me défonce le cul avec rage, toujours plus profond, toujours plus fort, toujours plus vite. Il y va à tellement grands coups que le lit bouge et que je me retrouve carrément la tête dans le mur. Pendant ce temps là, je ne me touche pas, je savoure.
Il continue toujours plus fort jusqu'à ce sa queue ressorte brutalement. Je sens comme un vide en moi, mon cul en feu réclame que l'on vienne l'occuper de nouveau mais un petit incident technique l'empêche de reprendre. C'est qu'à force de bourriner, la capote a lâché. Je profite la pause pour passer à la salle de bains et quand je reviens, il est allongé sur le lit, en train de se caresser doucement. Il est plutôt bien foutu, en fait. Je ne m'en étais pas vraiment rendu compte sous le peignoir : des pecs bien dessinés, un ventre plat, des cuisses puissantes... tout pour plaire. Je grimpe sur lui à califourchon et tente un bisou. Rare sont les mecs qui embrassent pour un plan cul mais il n'a pas l'air contre. Je me frotte un peu à lui et le simple contact de son gland dans ma raie fait jaillir ma bite, donnant le signal de la reprise des hostilités.
Capote, position et c'est reparti pour un limage frénétique qui va durer un temps infini. Il me bourrine tellement que j'ai la tête presque coincée entre le lit et le mur mais c'est tellement bon que je ne pense même pas à bouger de là. Mon cul n'est plus qu'un conduit en feu, je transpire de partout, j'halète comme un boeuf sous ses coups de butoir, chaque saillie est plus forte que la précédente, sa bite allant toujours plus loin au tréfonds de mes entrailles, je suis autant en transe qu'il est déchaîné. Nous ne parlons pas parce que ce que nous sommes en train de vivre se passe de mots. La baise est bestiale et passionnée, tous nos sens sont focalisés sur la connexion entre sa bite et mon cul et rien d'autre ne compte. Je ne suis qu'un trou qui en réclame toujours plus. Il va de plus en plus vite et de plus en plus fort, s'agrippe à moi avec force au point qu'il me tire les poils, il cherche à aller de plus en plus profondément en moi comme s'il voulait me transpercer jusqu'à ce que dans un râle il me colle à lui en me serrant si fort dans ses bras que j'en ai le souffle coupé. Il est tellement collé à moi que je sens les coups de sa bite qui éjecte son foutre et cette seule sensation déclenche mon orgasme. Je sens de puissants jets de sperme sortir de ma bite mais surtout, je ressens cette chaleur unique de l'orgasme anal, cette onde de choc qui parcourt tout mon corps jusqu'à me donner des spasmes et c'est ensemble que nous profitons tous les deux de cette jouissance commune.
A peine les couilles vidées, je m'effondre à plat ventre. Plus aucun muscle ne me soutient et lui non plus, puisque dans le même mouvement, il s'effondre sur moi, sa bite toujours plantée dans mon cul. J'aime ce moment de l'après, où les deux corps sont fusionnels. Ce sont durant ces rares secondes que l'on peut parfois éprouver une affection sans limite pour cet être humain avec qui on vient de partager le plus intime des actes.
L'instant suspendu ne dure pas et chacun reprend ses esprits suffisamment vite pour que le plan cul reste ce qu'il est : une rencontre sans lendemain. Je me rhabille vite, c'est à peine si j'échange quelques mots avec lui. A quoi bon ? Je suis en couple, je n'ai pas l'intention de changer de mec, je suis venu pour une pipe et je me suis fait défoncer comme rarement, c'est certes bien plus que ce que j'aurais imaginé, mais ça n'est rien d'autre qu'un plan cul. Et c'est sur un petit bisou bien chaste que je reprends le chemin de mon appart, le cul en feu et encore humide de notre séance, le corps et l'esprit bombardés d'endorphines... Au palmarès de mes meilleures séances de baise, celle-ci est dans le top 3 des bites qui m'ont enculé. Peut-être bien même qu'elle mérite la 1ère place...
Gian