Épisode précédent
Ma première fois avec mon meilleur pote Denis
Mon pote Denis m'a convoqué
Suite à l'histoire qui m'est arrivée avec mon pote Denis, j'ai eu plein de messages d'encouragement pour raconter la suite.
La deuxième fois, c'était un peu avant Noël.
Sa femme était partie avec les gamin dans leur famille, lui bossait encore, et devrait les rejoindre par easyjet le 24 décembre.
Moi au bureau, je reçois un sms : "passe direct ce soir à 19h30 en sortant du travail".
Rien d'autre.
D'habitude quand on discutait par sms, il était plus bavard, j'ai trouvé ça bizarre. Toute la journée je me suis imaginé qu'il avait
organisé un plant avec Thierry, et plus le temps passait, plus j'était excité.
J'ai même du fini plus tard pour obéir, et y venir directement, sans rien faire d'autre avant.
J'arrive à l'heure prévue.
La porte de sa maison est entrouverte.
J'entre, et la referme à clé.
J'arrive dans le salon il est là, debout, seul. Je vais vers lui, lui tend la main : "salut, comment tu vas ?"
Là, il me décoche une gifle qui me projete par terre : "qui t'as dit de te présenter debout devant moi, salope".
Je m'excuse, il m'en donne une autre : "et fout toi à poil t'es un chien, un chien n'a pas de vêtement".
Je me dépêche de me désabiller. Je me retrouve nu devant lui.
"Branle toi comme un chien".
Je m'accroche à sa jambe, et frotte ma queue qui se dresse contre la jambe, comme le fait un chien en chaleur. En
même temps, je renifle et lèche son jean au niveau de sa bite. Je suis excité comme pas possible.
Il fait mine de vouloir se débarrasser de moi, comme on le fait d'un chien dans cette position, puis fini par me jeter à terre.
"Puisque t'aime lécher, lèche moi les pieds, et nettoie les comme si ta vien en dépendait".
Je m'allonge au sol et commence à lui nettoyer les pieds avec ma langue.
Lui s'assoie sans s'occuper de moi sur le canapé, et boit une bière.
J'y mets beaucoup d'assiduité. Je lèche bien entre les orteils, lui fait des fellations sur le gros orteil, comme si c'était une bite.
Petite, surtout comparé à la sienne, mais pour le moment c'était déjà ça.
Ensuite, d'entre le coussins (j'ai supposé) du canapé, il a sorti une petite bouteille que tout le monde connait.
"Prends en un max, t'en auras besoin".
J'obéis. Je sens mes tempes battre, et lui commence à se déshabiller.
Je le trouve toujours aussi beau, et sexy.
Quand j'arrête d'en prendre, il me dit "j'ai pas dit d'arrêter, tu veux une autre beigne ?".
J'en ai donc repris jusqu'à perdre un peu l'équilibre.
Mon excitation était à son appogée.
Il s'est retrouvé nu, le sexe dressé, des tétons gros comme je les adore.
Quand parfois je vais au sauna, j'adore mordre et tirer les tétons de mecs qui en ont des gros avec le bout bien développé.
C'est quasi le seul moment où je suis un peu... dominateur :-)
Avec son pied, il m'a poussé pour m'allonger sur le dos : "on va finir ce qu'on a commencé la dernière fois".
il s'est assis sur ma bouche. J'ai commencé à lécher sa rondelle.
Là, il m'a attrapé les deux tétons, et les a pincés et tirés viollement. J'ai crié de douleur. Ca n'est pas ce que je préfère.
Visiblement, il n'en n'avait rien à faire, et à continué.
Moi "S'il te plait arrête, ça c'est trop douloureux".
Lui "que veut tu que ça me fasse"... et il les torturait de plus belle.
Je léchais toujours, pour essayer d'être excité et de penser à autre chose.
Sa rondelle commença alors à s'ouvrir.
J'ai plaqué ma bouche autour.
J'ai senti que ma bouche se remplissait.
J'avalais tout au fur et à mesure, sans penser à ce que je faisais,
juste à le satisfaire,
juste à ce qu'il soit fier de moi.
juste à me dépasser au maximum pour lui, mon maître.
J'avalais et j'en ai avalé un paqué ce jour là.
je ne m'en serait pas cru capable, et je pense que ce que j'avais respiré avant m'avait bien aidé.
Mais j'y était arrivé, j'étais fier.
Il s'est relevé, m'a fait mettre à quatre patte, comme un chien, et m'a carressé la tête comme si j'était son animal.
Je savais qu'il était fier de moi.
Il s'est alors mis derrière moi.
M'a enfilé un doigt, puis deux... puis l'avant de sa main, le pouce relevé, qui venais alors en butée.
Il m'a limé et forcé le passage comme ça un moment.
Quand il l'a retirée, mon trou a immédiatement été rempli par se bite, plongée immédiatement au fond de moi.
Il m'a limé comme ça, direct pendant plus de dix minutes.
Puis le rythme c'est accéléré. J'ai su qu'il était en train de venir.
Il y allait franchement, j'avais le cul en feu, mais je couinais de bonheur, j'adorais ça.
A la fin il m'a donné un grand coup et c'est planté complètement en moi.
Il jouissait.
Je n'ai pas senti le sperme arriver en moi, comme on le lit dans les histoires excitantes qu'il y a ici.
J'ai cru qu'il n'y en avait pas ou pas beaucoup.
Il est resté un moment en moi, et s'est retiré. Là j'ai sentie quelque chose couler le mon trou béant. J'ai regardé. Je voyais sa
semence sortir de moi que je ne pouvais retenir, impossible qu'il m'était de le contrôler, de le ressérer.
Il y en avait maintenant plein au sol. "Lèche, tu vas pas lésser perdre".
J'ai obéi et j'ai nettoyé et tout bien avalé.
Je n'avais toujours pas joui, et mon excitation était extrême, et ma bite, bandée à mon maximum.
Il m'a regardé "fait la chienne et fait toi jouir pour ton maître".
Je me suis mis assis, les jambe écartée. je me suis carressé d'une main et de l'autre je me pinçais les tétons le plus
que j'en était capable, comme il me l'avait fait, tout en ayant un regard vicieux vers lui.
Je me suis branlé comme ça, et c'est venu, extrêmement vite.
J'ai giclé grave. "Nettoie de nouveau le sol batard".
Je me suis excécuté, puis il m'a dit d'aller prendre une douche et de m'habiller.
En revenant, je pensais qu'il allait me dire de partir.
Il était en train de faire réchauffer deux pizzas.
On a dîner ensemble devant la télé, en discutant de tout et de rien... en tout cas pas de ce plan, comme si rien n'était jamais arrivé.
Puis est venu le temps de partir.
Avant d'ouvrir la porte, je me retourne pour lui serrer la main. Il est derrière moi.
Je lui dis "Salut, merci. On refera des plans ensembles ?"
Il me décoche de nouveau une gifle du tonnerre.
Vraiment forte, et mes yeux se sont remplis de larmes.
"Je t'ai déjà dit que t'as rien à demander"
Il a appuyé sur ma tête pour me mettre à genoux, et a approché sa bouche de la mienne. j'ai cru qu'il allait m'embrasser.
J'ai ouvert ma bouche, et j'ai même fermé les yeux.
J'ai senti sa salive arriver dans ma bouche. il me crachait dans la bouche.
J'ai pris ce qu'il me donnait, et j'ai avalé.
Et là il me dit "putain, salope, maintenant j'ai envie de pisser à cause de toi".
Il a sorti son engin de son jean et me l'a fourré dans le bouche.
Il s'y est vidé, lentement pour que je n'en perde rien.
Je me sentais humilié, rabaissé, mais tellement fier d'avoir pu tout satisfaire ce qu'il a voulu.
Je suis pas et rentré chez moi, me coucher.
On a refait d'autres plans, hard, mais plus de cette façon.
Mais qu'est-ce que j'ai adoré ne rien maîtriser pour moi, être totalement soumis, obéissant, méprisé... à lui.
Je vous raconterais peut-être quelques autres plans que nous avons fait par la suite.
MARC