Première fois au cinéma
C'était un après-midi de mai. J'allais au cinéma voir un film avec Nicolas, car nous n'avions pas cours. On avait choisi un film réellement à chier, mais nous voulions sortir pour décompresser.
On se retrouvait à midi pour manger. Après avoir naturellement parlé de tout, nous en virent au sexe, de nos fantasmes. Il m'a parlé de son envie jamais comblée de se faire faire une fellation, sans que ma fois, ma conscience ne relève cela.
Arriver au cinéma, avec un quart d'heure d'avance, les billets déjà achetés, nous attendions devant le contrôle ; qui n'avait pas encore ouvert.
Il me confia alors : " putain c'est dingue, mais je t'avoue que je me ferrai bien tailler une pipe la maintenant ".
Je répliquais " oui, mais entre nous deux ce n'est pas possible, on a des copines ". Il me dit alors que, pour lui, une fellation ne signifiait pas amour, mais plutôt une sorte d'amitié, de soutient, ce à quoi je répondis que je n'envisageais pas cela sous cet angle. Si seulement à ce moment-là je pouvais savoir que ma vie allait changer, durant ce moment qui reste à jamais graver dans ma mémoire comme mes premières expériences de découvertes des plaisirs de la chaire, de l'odeur de " mon homme ", mais surtout du gout de ses lèvres et qui au demeurant avait la première fois un gout de pop-corn mélanger a mon sperme. Arriver dans la salle, il n'y avait personne, mis à part deux ou trois personne seuls qui visiblement recherchaient comme nous l'occupation. Nous allions au dernier rang. Les traditionnelles bandes annonces firent vite place au film. Un couple était installé devant nous.
Puis les premières minutes du film se firent harassantes. Je voulais donc attraper mon portable dans ma sacoche, qui était du côté de Nicolas, lorsque, stupeur et tremblements, je le vit, le membre à la main en train de s'administrer quelques plaisirs.
" Arrêtes-toi Nicolas ! Il y a des gens devant ! " dis-je en déviant le regard.
" On s'en fout, ils ne nous connaissent pas, puis cette scène est vraiment bandante ". Je jette un coup d'oeil à l'écran, puis deux homme sont en train d'essayer de se pénétrer avec un gode (le film était pourtant tout public). A cet instant, ma vie bascule. Je sens ma bite en train de se raidir. Pourtant à l'étroit dans mon caleçon, je décide d'essayer de penser à autre chose. Mais cette vision, cette vision des deux hommes ne me sortait absolument plus de l'esprit.
Puis Nicolas chuchota cette phrase à mon oreille gauche : " tu bandes ? " un frisson de plaisir de traversa littéralement le corps. A peine avais je le temps de redescendre sur terre, que je senti la main chaude de Nicolas en train de palper ma queue. Il me fit remarquer que personne ne regardait, et que je pourrai me soulager sans être repérer. Un peu gêné, je sorti donc mon engin de son caleçon.
Puis au bout de deux, puis trois, puis quartes vas et viens, je commence à me demander comment mon ami est monté. Je dévie le regard vers Nicolas, en essayant de garder une certaine discrétion. Puis surprise : un magnifique mâle membré de quelques 20 centimètres qui n'avait toujours pas jouit.
Mais la curiosité attire son lot de conséquences. Je ne pouvais deviner qu'elles seraient positives. Il me dit d'un ton amusé :
" -Tu me regardes ?! Je t'ai donné la permission ?
-Désolé, mais j'y ai vraiment pas pensé...
-... toi aussi tu à un très bel instrument !
-Tu crois ?
-Bien-sûr, bon elle est plus petite que la mienne, mais c'est pas mal !
-Merci
-... Tu sais, quand je disais que que j'aimerai bien une fellation ? Eh bien en fait, je fantasme sur le fait qu'un homme m'en fasse une.
-Tu veux dire quoi par-là ?
-Nan, nan rien,...
Je réfléchi deux secondes à ce que pouvait être sa frustration et la mienne, puis je me mis à genoux tout en lui attrapant la verge. Puis, d'un coup de tête, j'entamais la première pipe de ma vie. Je vis sur son visage de la surprise mêlée au plaisir. Je commençais à goûter se foutre, qui avait un gout divin. Je lui léchais alors le bout du gland pour mieux profiter des quelques gouttes de sperme venues avec l'excitation. Il se pencha alors, et me dit " tu suces très bien chéri ". Dans son élan, et se sentant proche du point de non-retour il se retira avant l'extase et me proposa d'aller dans les toilettes pour y être plus discret. L'espace séparant le dernier rang et le couloir me parut interminable. Nous nous sommes donc enfermé dans une cabine. Par chance il y avait personne. Il me descendit le pantalon et commença lui aussi à me sucer. L'excitation aidant, je ne tardais pas à venir. Il m'embrassa alors d'un baisé tendre et passionné et me dit :
" - j'en veux plus... J'aimerai te faire l'amour
-Mais je nais jamais pratiqué la sodomie
-Ne t'inquiète pas, j'irai doucement "
Il enfile alors une capote qu'il avait dans son portefeuille. Elle était gout fraise. Puis vint le moment fatidique. Il me guida dans mes positions.
" - Bébé, courbe toi légèrement, que je puisse voir ton cul.
-Oui, je suis entièrement à toi. Dépucèle-moi !
-J'y vais ".
Il mit sa teub à la base de mon cul, puis me prévint d'un " attention ", qui annonçait la pénétration. Ça y est ! J'eus à peine le temps de penser à mon passé d'hétéro que pour la première fois de mon existence, je pouvais sentir une queue bien raide au fond de mon trou. Il entama des vas et viens dans mon trou du cul, qui me faisaient grimper au 7e ciel. A cet instant, rien ne pouvait nous arrêter, pas même la personne venue aux toilettes durant nos ébats. J'hurlais de plaisir.
" -Oh oui Nicolas, continu ! Oh oui !
-Tu es très bon, tu m'excite, ... "
Je pouvais voir alors dans les reflets des cloisons nos deux silhouettes en train de partager ce moment, et cette bite si longue qui me pénétrait. J'étais devenu un objet de désir, tandis que mon partenaire commença à ma caressé mon membre. Je découvrais les plaisirs entres hommes, qui étaient si différents de ceux avec une fille. Nos ébats furent alors interrompus par Nicolas, qui allait jouir.
" J'aimerai bien finir en me soulageant sur tes jolis yeux bleus ". Il se retira tout en enlevant la capote, puis je commençais à branler cette queue sous mes yeux. Je sentais l'odeur de sa bite, entendais ses râles qui se firent de plus en plus rauques et rapprochés. Puis je senti dans ma main une palpation. Il allait venir. Bientôt, il commença à m'inonder de puissants jets de sperme chaud. J'ouvris la bouche pour en récolter une partie. Il faut dire que mon amant avait bien travaillé. Je fermais la bouche pour goûter à se liquide. Cet arôme salé me transporta au paradis. Sentir couler ce liquide chaud dans ma gorge fut pour moi une révélation : j'étais devenu bi. Je léchais la capote qui gisait parterre pour me remémorer le gout de son foutre. Puis nous nous embrassâmes d'un élan passionné. Une fois de retour en salle, le film était fini. Nous nous éclipsions donc incognito, sous les regards stupéfaits des employés, qui devaient savoir ce que nous avions fait à l'instant. Une fois devant le cinéma, à côté de l'arrêt de tramway, nous nous grillâmes une clope, tout en parlant de ce que l'on venait de vivre.
" - tu sais, tu n'es pas mon premier coup avec des mecs.
-sérieux ?
-ouais... mais de tous, tu es mon meilleur coup. Je veux qu'on reste amants.
-Mais pourquoi tu m'as dit que tu considères cela comme de l'amitié ?
-Parce que tu me faisais trop envie, je fantasme sur toi depuis longtemps. Il fallait que j'invente une connerie pour que l'on puisse enfin baiser. Puis tu es très expérimenté pour quelqu'un qui n'a jamais pratiqué. Tu connais sans doutes mieux que moi mes désirs, et je veux qu'on puisse en profiter ".
C'est donc ainsi que je perdu ma virginité avec un homme. Ce moment restera à jamais dans nos mémoires, et comme un instant de plaisir pur, un écho dans nos histoires personnelles auquel nous rendons encore aujourd'hui hommage lors de nos ébats quand le film ne peut se laisser apprécier.
jeunemec-68