Des vacances chez tonton
Cela faisait quelque temps maintenant que j'avais découvert la joie du sexe, le plaisir d'être pris, secoué, remplie. Avec beaucoup de chance pendant la première année, j'avais réussi à cacher ma nature à mes proches, malgré quelque suspicion de ma soeur à cause de string disparus ou tachés, mais elle n'était pas allée plus loin dans son investigation.
Cette histoire se déroule pendant mon apprentissage avec Pierre (voir histoire précédente), période durant laquelle j'étais complètement fou de cet homme et de ses adorables amis, qui me donnaient tant.
Pendant des vacances scolaire, j'avais été dans l'obligation pour que mes parents puissent partir en vacance tranquille, soit d'aller chez mes grands-parents, soit un de mes oncles habitant à Paris. J'étais alors désespéré de pas pouvoir rester chez moi pour pouvoir voir mon Pierre, mais c'est parce que je ne savais ce qui allait se passer. Ne connaissant ni Paris ni mon oncle, que je n'avais pas vu depuis que j'étais gosse, je décidais de laisser ma soeur aller chez les grands parents et accepta l'offre de celui-ci pour le rejoindre.
Arrivé en train, il m'attendait sur le quai, il est grand, fin, musclé, la quarantaine sourire à tomber, je me rappelais pas qu'il était si beau, et il du voir à mon regard que j'étais surpris de le voir. On partit direct chez lui pour déposer mes affaires et pouvoir ainsi être plus libre. Il habite un bel appartement au 3ème , les escaliers en colimaçon sont une plaie à monter. Il me fit faire le tour du propriétaire, me racontant ce qu'il fait dans la vie, ce qu'il a prévu de me montrer, j'acquiesce à tout n'y connaissant rien, mais surtout étant sous le charme de mon oncle.
Arrivé dans la chambre il me dit de poser mes affaires ou il me plaît. Je constate qu'il n'y a qu'un lit, et qu'une chambre.
Moi interloqué: " Je dormirais ou tonton ? "
Lui : " Bah dans le lit tient ! T'as pas de problème à dormir avec tonton quand même ? "
Moi ravi à l'idée de la voir torse nu: " Non ! Aucun problème ! "
Je me dis alors que finalement la semaine ne serait pas si dramatique que ça, et que j'aurais l'occasion de me rincer l'oeil un peu. Nous partîmes dans la foulée, pour visiter son quartier et faire connaissance, car finalement nous nous connaissions très peu à cette époque.
Rentré, la soirée fut assez courte, car le train plus la marche toute la journée, cela m'avait exténué. On mangea, se doucha et hop au lit. Je me coucha en premier, tout gêné en slip t-shirt. Je pris une BD et commença à lire en l'attendant, car je ne voulais pas louper son torse.
Il arriva en short et torse nu et me dit : " J'ai l'habitude de dormir nu, ça te gêne pas ? "
J'avoue avoir été surpris et ne contrôla pas mes émotions en répondant oui avec le sourire. En effet le voir torse nu était déjà génial vu les circonstances, mais là c'était trop. Lui se contenta d'enlever son short dos au lit, ce qui me permit de le voir de dos et de constater qu'il était en effet très musclé.
Je me dis intérieurement de ne pas le mater quand il se retournera, mais je ne pus décoller mes yeux de son entrejambe, sa queue calottée au repos était massive et ses couilles bien pendantes. J'en salivais et avait déjà plein d'idée en tête.
Lui se glissant dans le lit : " T'as jamais vu ton père nu ou quoi ? "
Moi perdu dans mes pensées : "...Euh ! Quoi ? "
Lui sourire en coin : " Non rien ! Oublie ! J'éteins ?"
Moi posant ma BD : " Oui ! "
Je remarquai alors que la chambre n'était pas entièrement dans le noir, à cause de l'absence de volets et de l'éclairage extérieur, et pendant que nous parlions comme des gosses peuvent le faire dans le noir avant de dormir, j'imaginai allez voir de plus près cette queue pendant la nuit.
J'attendis une bonne heure tourné dos à lui avant de me retourner pour voir s'il dormait. Il était là sur le dos sous la couette, mais je me rendis compte que mon plan n'était pas si extra que ça. Pour voir il faudrait enlever la couette ce qu'il sentirait à cause du frais dans la chambre. Ne pouvant voir je me rabattis donc sur le touché. Glissant lentement sous la couette, j'effleurai sa queue dans un premier temps en le regardant pour voir si une réaction apparaissait. Ne voyant rien j'entrepris d'attraper sa queue pour bien me rendre compte de sa taille. Sans voir, elle semblait encore plus imposante qu'avant le couché, ce qui m'excita et me poussa à me glisser sous la couette avant d'avoir jeté un dernier coup d'oeil à son sommeil. Sur le flanc à ses côtés la tête au niveau de son bassin, je fis tout mon possible pour le toucher le moins possible, mais l'appelle de ce membre grossissant sous mes caresses m'obligea à entreprendre une sucions acrobatique mais au combien délicieuse. La peur de se faire prendre et le noir cumulés me fit arrêté et alors que je commençai à me glisser pour me sortir de cette situation, je sentis une main se poser sur ma tête à travers la couette appuyant me faisant aller vers le pieu que je venais de lâcher. Je ne dis rien, ne résista même pas. Je me contentai de reprendre ma besogne, en reprenant lentement cette queue en bouche et me déplaçant pour être à quatre pattes sous la couette.
Après quelque minute je commençais à crever de chaud là dessous et le fis comprendre en cherchant à dégager la couette avec une main. Il souleva la couette pour la faire passer sur le côté me laissant respirer et voir un peu de lumière.
Lui : " Fait chaud la dessous hein ? "
Moi continuant à le branler: " Oui très chaud ! "
Lui d'un regard sévère : " Ce n'est pas bien ce que tu fais à tonton ! Quand tes parents vont apprendre ça ! "
Moi : " Non, tonton, stp, je suis désolé ! Ne dis rien ! Je ferais tout ce que tu veux ! "
Lui : " Va falloir être gentil alors ! Compris ? "
Bien sûr que je comprenais. Je me remis donc en position et repris sa queue en bouche
Lui : " Oh putain ! Petite salope va! Tu veux jouer Hein ?"
Je ne dis rien et continua simplement à le sucer et le branler. Voyant cela, il s'assit, m'attrapa la tête à deux mains pour me faire lâcher sa queue.
Il me glissa à l'oreille : " T'aimes la queue toi hein ? Tu crois que je dormais peut-être ? Que je ne t'ai pas vu me mater ? Et rouler du cul en sortant de la douche ? "
Je le fixa dans les yeux avec un petit sourire sans rien dire.
Lui : " Qu'est ce tu veux ? "
Moi : " Ta queue tonton ! "
Lui : " Hum !! Je sens que je vais bien m'amuser !"
Il se met à genou devant moi et me prend la tête: " Tient chéri fait toi plaisir ! " et m'enfourne sa queue dans la bouche, que je suce avec gourmandise. Je fais des petits " humm ! " de plaisir en le suçant.
Lui : " La vache, t'aimes vraiment la bite toi! Ça reste entre nous, mais d'après ce que m'a dit mon frère, tu tiens de ta mère ! salope !"
Lui : " Cambre toi un peu voir ! Que je vois ton petit cul !"
Je m'exécute et me cambre au maximum. Lui en profite pour glisser une main sur mes fesses pour faire glisser mon slip le long de mes jambes, ce qui laisse apparaître mon petit fessier. Une petite claque sur les fesses, et je le sens titiller mon petit trou qui frétille d'avance à l'idée de rencontrer ce que j'ai en bouche.
Lui : " Ton cul sert souvent n'est-ce pas ? "
Moi : " Comment tu le sais ? "
Lui : " J'en baise assez des petits cul, pour savoir que le tiens, doux et souple comme il est, il sert souvent ! Petite pute va ! Si j'avais su !"
Moi : " Comment ça ? "
Lui : " Si j'avais su que t'aimais la bite, je t'aurais fait venir bien avant ! "
Il remonta le long de mon corps avec mon t-shirt pour me l'enlever. Je me laisse aller à ses caresses tout en sensualité, lâche sa queue et enlève mon t-shirt et mon slip. Sur le moment je ne réalise pas ce que je fais, je suis trop excité par cet homme qui, tonton ou pas, me plaît trop pour ne pas profiter à fond de cet instant.
Lui s'allongeant : " Vient me sucer salope ! Ça te dérange pas ? "
Moi m'approchant pour le sucer : " Non au contraire "
Lui : " Bon ça tombe bien car c'est ce que tu es de toute façon ! Tourne-toi pour que je puisse voir ton cul ! "
Nous débutons alors un 69, lui alternant entre ma queue et mon trou et moi concentré sur cette longue tige veiné et calotté. Après quelque minute dans cette position, minutes durant lesquelles il a entrepris de me doigter vigoureusement, il m'attrape à la taille et me fait basculer sur le dos. En une demi-seconde, je me retrouve sur le dos. Il ne perd pas de temps et prenant mes jambes dans une main se tourne pour se retrouver devant moi.
Lui crachant sur sa main et se branlant : " J'espère qu'on t'a bien préparé, car je vais te punir pour avoir sucé ton oncle sans sa permission! "
Intérieurement je jubile à l'idée de me faire baiser. Je m'étais tellement préparer à passer 10 jours sans rien, que toute la frustration c'était transformer en une envie folle. J'attrape mes jambes pour les tenir près de mon torse et écarte mes fesses pour lui faire comprendre que je l'attends. Sur ses genoux, il se penche en avant, queue droite comme pour me transpercer avec sa lance. Je lève la tête pour le voir, la queue dans une main pour ne pas louper sa cible, l'autre pour se tenir en équilibre. Il fait passer un premier morceau qui me fait fermer les yeux, baisser la tête en arrière et lâcher un léger soupir. Il se repositionne et appui sur mes jambes derrière les genoux, ce qui a pour effet de relever mes fesses, et me faire glisser sur sa queue, qu'il glisse pour mon plus grand plaisir jusqu'à sentir son pubis poilu contre mes couilles.
Lui appuyant sur mes jambes, et poussant sur son bassin au maximum : " Alors la queue de tonton ? Tu la sens bien là ?"
Moi la tête renversée, les mains sur ses fesses appuyant pour qu'il aille profond: " Oh oui ! "
Lui faisant des tout petits mouvements pour essayer de grappiller quelque millimètre dans mon petit cul : " Oh putain ! Qu'il est bon ton petit trou ! Je vais bien te l'éclater Hein ? "
Moi : " Oui vas.. ! "
Je n'ai pas eu le temps de terminer qu'il avait enclenché son piston. A chacun d'eux, quand il venait taper au fond de ma grotte, et entre des gémissements, je réussis à glisser un mot pour terminer ma phrase
Moi : " ...y !...baise !....moi !...ton... !...ton! "
Il ne se fit pas prié, et ne perdit pas son temps. Ses coups puissants me ravagèrent. La bouche grande ouverte je gémissais, mes mains écartaient mes fesses pour lui permette de me prendre au maximum. Je n'arrivais pas à y croire, moi qui ne voulais pas me faire prendre en flag, je me faisais prendre tout cour.
Lui se redressant, sortant sa queue et baissant la pression sur mes jambes : " Oui écarte bien ! Montre à tonton comment t'es ouvert ! "
Le trou béant fasse à lui : " C'est trop bon ! "
Il se remit sur moi sans rien dire, posa mes jambes sur ses épaules, et n'eut pas de difficulté à trouver l'entrée. Lentement il reprit possession de moi. Allonger sur moi, mes jambes volantes dans l'air, le cul rempli de son membre, nous nous embrassions ardemment à l'image de ses coups de rein. Mes mains caressaient son corps tout entier.
Lui : " Je sens que ça vient chéri ! "
L'entendant et voulant qu'il me remplisse, je le serra fort contre moi de sorte qu'il ne puisse sortir.
Lui sentant mon emprise accélère ses coups: " Je vais cracher ! Oh !! Oui !! "
Il vint m'embrasser à pleine bouche pendant qu'il continuait à verser ses derniers jets, et dans un dernier coup de rein, se releva pour prendre mes jambes dans ses mains.
Lui reprenant son souffle : " Tu voulais que je te remplisse hein coquin? "
Moi bougeant mon bassin pour sentir sa queue coulisser: " Oui tonton "
Lui se retirant et tenant toujours mes jambes : " Doigte toi et voit comme ça coule ! "
Je m'empressa de poser mes doigts sur mon petit trou. Celui-ci dégoulinait de son nectar si délicieux.
Lui reprenant ses esprits et se levant du lit : " Bien ! Si t'es bien sage, on va bien s'amuser tous les deux !"
Moi souriant : " Oui oui tonton ! "
Je me glisse vers lui et à quatre pattes sur le lit, je nettoie sa queue devenue molle mais recouverte de jus. Lui se laisse faire et il sait qu'il a une emprise sur moi, que je suis trop salope pour laisser une occasion en or de baiser pendant mes vacances.
Lui se dirigeant vers la douche : " Allez, dodo maintenant ! On a un programme chargé demain ! "
Je remis la couette, me glissa nue dessous, et commençai à somnoler quand il vint se glisser sous le lit. Il vint se coller à moi, son ventre contre mon dos, me fis un bisou dans le cou, et nous nous endormîmes tout deux satisfait de cette rencontre.
Ptitpassif