Salut à tous, moi c'est Mathias, black d'origine sénégalaise de 32 ans, 1m83 pour 78 kg, sportif depuis toujours et magasinier donc plutôt bien baraqué. Bi et actif avec les mecs, 20 cm par 4 au meilleur de ma forme. En fait, quand il s'agit de cul, je suis toujours en forme, comme vous j'imagine ^^
Voilà qu'il y a quelques temps, j'ai dû faire passer ma voiture au contrôle technique. Vu le nombre de points de contrôle et l'âge de ma bagnole (près de 10 ans), j'ai préféré la laisser à mon garagiste, histoire de voir si tout s'annonçait bien. D'habitude, je me gare à mon taf et le garagiste, qui est un pote, passe la prendre. Le soir, un collègue me dépose, je la récupère et voilà ! Bon, sauf que là, il avait une galère, je suis allé au garage et là, il me dit que son ouvrier allait me conduire à mon taf. En attendant, je l'ai un peu calculé : 1m80 environ, mince mais baraqué, barbe de trois jours, brun, savamment ébouriffé par du gel, des yeux marrons, ronds et pétillants, fringué en survêt et baskets, classique. J'ai entendu son boss l'appeler et lui montrer un truc dans un moteur, je l'ai regardé se pencher et là, c'est son cul qui m'a scotché ! Petit, juste bombé comme il faut, le survêt qui entre un peu dans la raie.... Bref, j'en ai eu envie, cette vue m'a filé une demi-molle direct !
Le mec me rejoins, me serre la main et me salue chaleureusement avec un large sourire laissant apercevoir ses dents blanches. Vu que j'étais échaudé, j'ai été très attentif au moindre signal et là, je suis sûr qu'il a, un quart de seconde, baissé le regard pour mater mon paquet. Je pourrais le jurer ! Moi, j'ai maté sa bouche en me disant que j'y mettrais bien ma queue....
On monte dans la dépanneuse, il me demande où il doit m'amener et il démarre. On n'avait pas fait 500 mètres, il change de vitesse et sa main touche ma cuisse. Bon, j'avoue que j'avais bien écarté les jambes. Il la retire vite et me dit : " Excusez-moi ". Direct, j'ai répondu : " Non non, t'excuse pas, c'était court mais agréable ! ". Il m'a regardé en souriant et là, clairement, il m'a bien détaillé en léchant sa lèvre inférieure.
J'ai un peu regretté qu'on arrive aussi vite vu que ça commençait à chauffer. On s'est donné rendez-vous le soir pour le retour. En passant au point mort, sa main s'est posée sur mon genoux. Je l'ai recouverte et je l'ai guidée sur mon paquet, je me suis penché vers lui et j'ai dit : " Cool le trajet, je te remercierai ce soir ! ", il a répondu : " Ça marche ! "
La journée s'est passée comme d'habitude, j'ai quelques fois repensé au petit cul de ouf de Julien que j'espérais pouvoir baiser le soir, ces pensées entretenaient ma libido.
Juste avant la débauche, j'ai appelé le garage, mon pote m'a dit qu'il m'envoyait " mon chauffeur ", il aurait pu dire " ton plan cul " mais bon ! Julien est arrivé un quart d'heure après, toujours avec le même sourire :
- " Humm, toujours aussi canon le chauffeur ^^ "
- " Ah ouais, tu trouves ? Pas mal le passager... "
Là, c'est moi qui ai mis la main sur sa cuisse :
- " Tu finis à quelle heure, je dois te remercier, t'as pas oublié ".
- " Dans une heure environ ".
Je l'ai senti un peu se raidir mais rien de plus, on s'est même échangé nos 06. Arrivé au garage, j'ai récupéré ma voiture.
Deux heures après, je recevais un texto avec l'adresse d'un bar sympa. J'y suis allé, il était assis à la terrasse, encore plus canon, jean noir, baskets et chemise blanches. On a bu un demi en discutant de tout et de rien. A un moment, il me dit :
- " J'habite à deux pas, tu viens ? "
- " Carrément ! "
On s'est levé, il marchait devant moi, je vous dis pas le spectacle qu'il m'offrait !!! J'ai dû me retenir pour ne pas le sauter en pleine rue. Je m'imaginais le plaquant contre un mur ou sur un capot de voiture, baisser son jean, je me disais qu'il était peut-être à poil dessous ou en jockstrap, que j'aurais qu'à plonger entre ses fesses pour entrer ma langue dans sa petite fente gourmande avant de lui carrer ma queue bien raide bien au fond....
Son studio était à deux rues du bar, passablement en bordel : " Excuse pour le désordre, je suis pas trop rangement en fait... ", " Pas grave, c'est pas pour ça que tu m'as fait monter je pense ! ".
Là, je l'ai trouvé bizarre, un peu anxieux, peu assuré :
- " Ça va pas, y'a un problème ? "
- " Non, c'est un peu con.... Je te fais monter mais, en fait, je sais pas trop si j'ai envie.... "
J'étais à deux doigts de capituler, un plan foireux de plus, j'étais un peu déçu mais je comprenais, j'allais pas violer ce mec sympa... Là, il m'a dit exactement ce qu'il aurait pas dû :
- " Ben, c'est que je me suis jamais fait baiser moi. J'ai envie d'essayer mais je sais pas trop... "
Bah, là, les mecs, juste l'idée d'être le premier à entrer dans un cul, le formater à sa queue ! Dépuceler : le plus beau verbe de la langue française !!! Je pouvais pas partir sans avoir goûté à ce mec, c'était mort !
Bon là, les mecs, vous connaissez le truc, c'est le grand jeu qu'il faut sortir, à la fois viril, un brin macho, drôle mais aussi tendre, prévenant et terriblement irrésistible. Il faut séduire, mettre en confiance, chauffer et conclure...
Après un bon moment de discussion, de rigolade mais aussi de caresses, de bisous dans le cou, de coups de langues ici ou là, il a fini par se coucher sur moi et m'a dit : " Baise-moi, je me sens prêt ! "
Là, faut pas hésiter, faut pas laisser un blanc ou une hésitation, il est chaud, il l'a dit, faut assurer avant qu'il se rétracte. Mec ou meuf, c'est pareil à ce moment-là, c'est LE moment à ne pas rater.
Je l'ai renversé sur le clic clac, je me suis lové entre ses cuisses, je l'ai embrassé, caressé, j'ai déboutonné et enlevé sa chemise doucement en embrassant son torse, j'ai commencé à sérieusement mordiller ses tétons et, pendant qu'il gémissait, j'ai défait sa ceinture et déboutonné son jean pour le lui baisser sur les cuisses. Il a soulevé son bassin pour faciliter la tâche, c'est bon, il est cuit !
Une fois ses tétons durs et pointés, ma langue les a abandonnés, une de mes mains prend le relais pendant que je descends sur son ventre et que mon autre main lui enlève le jean et son boxer. Il m'aide en bougeant les jambes, il bande comme un âne, je le caresse, le branle un peu, lui masse les couilles. Il est parti, il gémit et lance des " Ouiiiiii ". Je prends ses tétons entre mes doigts et ma bouche descend pour le sucer, il gémit de plus en plus fort, y'a même des petits cris qui partent dans les aigus.
Pendant ce temps, j'enlève mon survêt et mon boxer, j'ai une de ces triques, il va prendre cher !
Après quelques instants sur sa queue, je descends sur sa rondelle, y'a quelques poils mais putain qu'elle est belle ! Mes mains écartent ses fesses pour l'offrir complètement, je le fixe, lui fais un clin d'oeil auquel il répond par un sourire, je lui souris et plonge ma langue dessus. Il me regardait mais il rejette sa tête en arrière et pousse un long râle. Et oui, le premier anulingus, c'est trop bon !
Il se branle, je lui retire la main pour qu'il dure, désormais tout son plaisir viendra de son cul, il doit découvrir le plaisir anal et, surtout, se laisser guider par un autre...
Je remonte sur ses couilles, sa queue, son ventre, pendant ce temps mes doigts pénètrent son trou encore vierge, il se cambre, se raidit, gémit plus fort, je remonte encore sur son torse, j'enfile un troisième doigt, il gueule un peu plus fort mais il mouille bien. J'arrive sur son cou, je l'embrasse, il a les yeux fermés et gémit comme une meuf, ses jambes sont écartées et relevées au maximum, il s'offre à moi entièrement, ma queue bien raide coulisse le long de sa cuisse puis touche son périnée, je la descends un peu, la place devant son trou, je le regarde dans les yeux, il entrouvre les siens et me sourit, je pousse, mon gland s'écrase sur sa rondelle, je force un peu plus, je rentre, il se raidit et cri, je stoppe, le caresse, il se détend, je pousse encore. Ses mains me labourent le dos, j'entre en lui, c'est super serré mais je coulisse et je ne m'arrête pas, encore quelques centimètres, il ouvre les yeux et la bouche, je stoppe, j'attends, il se décrispe, je continue, j'y suis presque, il pose ses mains sur mes fesses, je pousse une dernière fois, il hurle, je suis entièrement en lui, mes couilles se collent à ses fesses. Il pousse des " Ahhhh " et des " Putaaiiiiin " mais j'y suis !
Il me dit que ça fait trop mal, je lui réponds que ça va aller, qu'il va kiffer, je me retire un peu et je reviens, il gueule de moins en moins, il mouille comme un malade, je coulisse de mieux en mieux et il semble moins souffrir, ses mains serrent moins mon dos, je commence les va et vient doucement, il gémit. J'accélère, je prends un rythme plus soutenu et régulier, il encaisse bien et a l'air de kiffer. Ma queue coulisse parfaitement dans ce trou juste ouvert. Il a les yeux révulsés, il découvre un tuc de ouf c'est clair et là, il se met à me dire :
- " Ahh, c'est bon ta queue de black, vas-y, défonce-moi, baise-moi, putain c'est trop bon ! "
J'accélère encore, mes couilles tapent contre ses fesses à chaque coup. Alors qu'il avait complètement débandé, je sens qu'il durcit, il commence à se branler pendant que je le saute, il m'excite ce mec, c'est pas croyable ! Il a un cul incroyable, mouillé et serré, c'est le pied !
Ça a duré un moment jusqu'à ce qu'il crache son jus sur son ventre en hurlant de plaisir. Moi, ça m'a filé une excitation de ouf les contractions de son boule sur ma queue, je me suis mis à le défoncer au max. J'ai pas tenu bien longtemps avant de sentir le jus monter. Je l'ai embrassé à pleine bouche, je me suis planté bien au fond et je me suis vidé en lui. Les mecs, je l'ai dépucelé et marqué !
Je suis ressorti, me suis allongé à ses côtés, essoufflé et vidé. On est resté un moment comme ça, sans rien dire, c'est moi qui ai rompu le silence en disant :
- " Ça va, t'as aimé ? "
- -" Grave ! j'imaginais pas ça comme ça, c'est trop bon ! "
J'avoue, ça a flatté ma virilité mais c'était trop bon d'avoir dépucelé un mec et quel mec !
Je me suis levé, il était allongé sur le ventre, son cul était rouge et encore humide de mouille et de jus. Je lui ai mis une petite fessée, je me suis rhabillé et je suis parti.
Quelques jours après je le recontactais : " Ca va, bien remis ?lol ". " Ouais, moins mal au cul lool ", " Normal, t'es en rodage, je viens ce soir si t'es libre^^ ", " Hummm, ouiiiiiii ". Depuis, je le baise de temps en temps et il me suce et me vide en avalant comme un affamé.
J'espère que ça vous a plu voire foutu la trique.... Moi, je peux vous dire que j'ai adoré dépuceler ce cul et que, depuis, je l'arrose avec plaisir..
N'hésitez pas à me faire part de vos commentaires, c'est toujours super cool de savoir ce que vous pensez des histoires...
Mathias
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