Ah les mecs, faut que je vous raconte mon dernier coup de mercredi dernier, en fin d'après-midi. En prévision d'un week-end en famille, je suis allé m'acheter une belle chemise blanche en solde, un peu classe pour aller sur un chino marron, voyez le genre.
Moi, c'est Mathias, 32 ans, black d'1m83 pour 78 kg, bi, généralement actif et plutôt bien monté. Je suis bien bâti vu que je fais pas mal de sport et, qu'en tant que magasinier, je soulève pas mal de poids !
Bon, je reviens à la chemise. J'arrive dans le magasin qui se trouve dans un centre commercial, un vendeur vient me demander si j'ai besoin d'aide, je lui réponds que non, je file dans le rayon qui m'intéresse, j'en vois deux ou trois qui me plaisent mais pas taillées pareilles, du coup, je vais les essayer dans les cabines. Là, je vois un mec assis les jambes croisées, tout fin, un peu androgyne, cheveux frisés, blonds comme les blés, il avait les yeux rivés sur son mobile, il les relève pour me mater, il me détaille de la tête aux pieds mais s'attarde sur mon paquet un instant, remonte sur mon visage et me sourit franchement. Je me dirige vers les cabines, je sens son regard qui me suit, j'entre, je me retourne pour fermer le rideau, je vois que le mec me mate encore, je lui souris à mon tour en lui faisant un clin d'oeil tout en tirant le rideau.
J'essaye les trois chemises, je fais mon choix, j'entends qu'il y un mec qui sort manifestement d'une cabine voisine, j'entends des bribes de dialogue et les voix s'éloignent. Je sors à mon tour, je fais un dernier tour rapide et là, dans un rayon, j'aperçois le mec avec un autre qui essayait une paire de chaussures, je ne voyais que sa nuque brune. Ils ne m'ont ni vu ni entendu, par contre, moi, j'ai bien entendu le mec : " Je me suis jamais fait un black mais j'en rêve, il était canon, je suis sûr qu'il m'avait calculé, j'aurais dû attendre qu'il ressorte, quel con ! ", l'autre lui disait : " Pourquoi t'y reviens pas, je préfèrerais que tu le chauffes, qu'il te fasse ta fête parce que là, c'est parti pour des heures de cassage de couilles ".
Je me suis un peu éloigné quand ils ont bougé, je suis revenu vers les cabines, le mec a regardé en ma direction, je lui ai refait un clin d'oeil avec un mouvement du menton pour lui faire signe de venir. Il a hésité, a maté son pote, lui a dit un truc, les deux m'ont regardé, se sont encore échangés quelques mots puis se sont séparés, le brun est parti vers les caisses et l'autre est venu vers moi. Il avait une démarche peu assurée, il était rouge pivoine et regardait autour de lui. Moi, ça me faisait marrer, je me suis appuyé contre un mur en le dévisageant à mon tour de la tête au pied et en souriant. Franchement, on aurait été dans un lieu plus isolé, je me serais mis la main au paquet direct pour qu'il comprenne que je voulais qu'il se mette à genoux mais là, je voulais pas d'embrouilles !
Quand il est arrivé devant moi, je me suis dirigé un peu à l'écart du magasin, vers les cabines et je lui ai juste dit : " Alors comme ça, tu rêves de te faire sauter par un black ? ". Là, j'ai cru qu'il allait tomber raide, il savait plus quoi dire, il se demandait s'il devait fuir ou rester, bref, je l'avais cueilli, juste comme j'aime. Je crois que c'est là que j'ai eu vraiment envie de lui péter le cul, j'ai mis ma main sur mon paquet. Il l'a vu et s'est approché, je l'ai attiré contre moi pour lui palper les fesses à travers son jean slim. Il a cambré son petit boule mais on a dû se séparer parce que trois clients arrivaient. Je l'ai pris par le bras pour qu'il vienne avec moi dans un rayon et là, je lui ai dit : " Si tu veux, on fait connaissance et je réalise ton rêve ! ", là, je lui ai mis une main au cul, il a sursauté et m'a répondu : " Ok, on peut aller chez moi, c'est juste à côté ".
J'ai posé la chemise sur un portant, les mecs, vous voyez bien la priorité là ! J'ai suivi ce petit cul de malade qui venait de réveiller la bête...
On a dû marcher dix minutes pas plus, on est arrivés devant un immeuble qui paye pas de mine, il a tapé le code et a poussé la porte. Je l'ai suivi de près, j'ai poussé la porte avec mon pied pour qu'elle se referme vite, je l'ai plaqué au mur pour lui malaxer le cul, j'en crevais d'envie, j'ai léché son oreille, il a commencé à gémir et je lui ai dit : " Putain mec, si tu veux te taper un black, dis-toi que ma queue est bien prête pour te défoncer ! ".
J'étais au garde à vous dans mon jean, il frottait son cul contre mon paquet, moi, je lui triturais les tétons à travers son T-shirt. Il a réussi à se dégager, il m'a pris la main et l'on a monté deux à deux les marches de l'escalier jusqu'au premier étage. Il a sorti ses clés, les a échappé, les a ramassé, m'a regardé en riant, il était tellement excité qu'il mettait un temps de ouf pour ouvrir cette putain de porte. Déjà, j'avais passé mes mains autour de lui et je lui déboutonnais son jean. On est enfin entrés, il s'est retourné vers moi, a collé ses lèvres sur les miennes, ma langue est entrée dans sa bouche et s'est enroulée autour de la sienne. Je l'ai entendu virer ses chaussures, baisser son fute, enlever une jambe tout en sautillant à cloche pied, il a enlevé l'autre jambe de la même manière puis il m'a attiré dans sa chambre, j'ai viré mon T-shirt, il a ouvert mon jean en tirant d'un coup, en mode affamé ce qui n'était pas pour me déplaire, je l'ai senti glisser sur mes cuisses, là, le mec s'est retrouvé assis sur son lit, j'ai continué à avancer entre ses jambes écartées, il a baissé mon boxer libérant mon sexe dur de 20 cm, plein de mouille. Il l'a pris dans sa main pour se caresser le visage avec, il m'a léché le manche puis est descendu un peu pour me gober les couilles, l'une puis l'autre et, enfin, les deux qu'il a fait rouler dans sa bouche pendant qu'il me branlait, un truc de ouf !
Mes mains étaient posées sur sa tête blonde, j'accompagnais ses mouvements de succion, juste je lui donnais quelques coups de reins pour m'enfoncer un peu plus au fond. Le mec est vraiment un pro de la pipe, j'aurais pu lui remplir la bouche et prendre un pied d'enfer mais j'avais trop envie de goûter à son cul.
Je me suis reculé, il m'a regardé en souriant, a caressé mon torse et ma queue puis, sans que je n'ai rien à dire, il s'est retourné pour se mettre à quatre pattes sur son pieu et m'offrir son cul bien cambré. Il se dandinait de gauche à droite et j'ai vu deux doigts venir ouvrir son anus, limer un peu, ressortir et rentrer encore. Je me suis baissé pour cracher sur son trou, ses doigts ont fait entrer la salive, ma langue a pris possession du lieu, elle l'a léché et s'est enfoncée dans ses entrailles humides et bouillantes. Il poussait des gémissements de plaisir entrecoupés de " Oui, vas-y, c'est bon, bouffe ma chatte ! ". Tellement il en voulait, il reculait son cul quand j'enfonçais ma langue, mes mains écartaient ses fesses pour le dilater au maximum. Il bandait à fond et se branlait doucement.
Au bout d'un moment, je me suis redressé, il a lui-même écarté ses fesses, son trou était bien ouvert, j'ai craché sur mon gland, je l'ai approché et il est entré comme dans du beurre !
- " Alors mec, tu la sens ma queue de black ? "
- " Oui, putain elle me déchire, fous-la moi à fond et ramone-moi ! "
Je l'ai pris par les hanches et je l'ai baisé de toutes mes forces en le tringlant comme une chienne en chaleur. Pour y aller encore plus fort, je l'ai fait avancer un peu, je me suis appuyé sur mes genoux, mes mains de chaque côté de sa tête et j'ai fait des sortes de pompes au-dessus de lui pour le défoncer à grands coups de reins bien bruyants. Je l'enfonçais dans son pieu à chaque coups de reins, je restais parfois bien au fond en poussant encore, il gémissait de plaisir cette salope, au bout d'un moment, il a gueulé :
- " Putain, tu vas me faire jouir du cul, je sens que je viens, continue à me baiser, Vas-y, vas-y, putaiiiinnn, RRRRRGGGHHHHHH ! "
J'ai stoppé mes mouvements pour profiter de ses contractions anales sur ma queue. Quand il s'est calmé, je suis ressorti pour le retourner, lui remonter et lui écarter les jambes, je voulais le finir en légionnaire les yeux dans les yeux.
Une fois ma bite entrée en lui, j'ai collé mon front sur le sien, nos langues se sont amusées à se titiller, ses mains ont caressé mon dos puis mes fesses, il s'est mis à m'appuyer sur le bassin pour que je m'enfonce bien en lui. Les va et vient ont repris, rapides, forts, secs, à chaque fois, il poussait des petits cris étouffés. Mon ventre caressait le sien et sa queue était prisonnière entre nous. A force de le baiser, il a eu un long spasme et là, c'est sa queue qui a craché sur nos ventres, ma queue a encore était malaxée, le trip total qui m'a fait monter. Je me suis enfoncé le plus profondément possible pour lui envoyer plusieurs jets de foutre. On s'est longuement embrassés, j'ai senti ma queue débander, je suis doucement ressorti et je me suis allongé à côté de lui le temps de redescendre.
Il est venu sur moi pour embrasser mon corps et lécher son jus sur mon ventre puis il s'est allongé lui-aussi.
- " Et ben dis donc, quel cul ! "
- " Et toi, quel baiseur ! "
- " Alors, c'est bon un black ? "
- " Grave, j'aime trop ta queue, comme elle m'a fait jouir ! "
On a échangé encore quelques phrases de ce genre, j'ai pris une douche rapide, je me suis rhabillé et je suis reparti.
J'étais vidé, super bien.... Sauf qu'il a fallu que je retourne au magasin pour acheter la chemise !
Mathias
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