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Partie -03 : Troisième lope
Vous vous demandez maintenant certainement qui a été le suivant dans la liste. Sur le moment, je ne pensais vraiment pas qu'un autre membre de ma famille allait rejoindre les rangs de mes petites lopes. Pour le suivant dans la liste, ça a commencé comme ça :
J'étais dans ma chambre en train d'essayer de résoudre un problème difficile : comment me faire 4000 euros en moins de deux mois. Mes potes avaient décidé de partir en vacances en Thaïlande et j'avais trop envie d'y aller avec eux. Le problème : je n'avais pas une tune ! Pas de boulot, la fac et la salle me prenait tout mon temps et vu que mon père payait pour tout... Sauf que là, il ne voulait pas. " Les vacances c'est pour ceux qui travaillent, pas de travail, pas de vacances " L'enculé ! Au fond de moi, je savais qu'il avait raison, mais putain j'avais la rage !
Du coup, j'en étais là de mes réflexions quand j'entends frapper à ma porte de chambre.
" Oui ? "
La porte s'ouvre, c'est ma mère. Habillée en bonne grosse salope, robe de chambre en soie, string dentelle, et soutien qui laisse les seins libres et visibles juste ça passe en dessous pour les relever. Elle a dans sa main un god.
" Qu'est-ce qu'il y a chienne ?
-... il est 16h maître... "
Putain c'est vrai !! J'avais complètement oublié. Je lui ai dit de montrer vers 16h pour me vider les couilles avant que j'aille à la salle.
" T'es vraiment une bonne pute toi ! Allez viens me... "
Et là l'illumination ! Il y aurait eu la lumière divine et les anges qui chantaient que ça m'aurait fait pareil. Pute, argent, pute, argent. Pute égale argent ! Et voilà comment régler mon problème. Putain j'étais génial ! (je sais, vous y aviez pensé depuis longtemps... mais je vous ai dit que je n'étais pas le plus brillant de la portée xD)
Je me suis levé d'un bond et je l'ai attrapé par le cou avec un sourire hilare.
" Putain, je viens d'avoir l'idée du siècle. Allez à genoux et fait ton taff ! "
Je l'ai regardé se foutre à genoux et baisser mon survêt pour sortir ma queue. Elle sait ce qu'elle doit faire maintenant, elle hésite plus. Pendant qu'elle s'occupe de moi, je réfléchis à tout ce que ça implique. J'ai pas mal de pote en chien de meuf qui ne dirait pas non pour 20-30 balles à une pipe d'une meuf qui gère, et qui serait prêt à casquer 50 pour une chatte ou un cul. Le truc c'est de savoir comment faire pour que ça ne pose pas de problème. Il fallait un truc anonyme genre masque pour le mec et pour la fille. Et un lieu aussi, discret, qui n'attire pas l'attention.
Différents scénarios se mettaient en place, et je regardais ma salope en train de m'avaler en entier en me disant que cette bouche allait me payer mes vacances. Elle avait fait des supers progrès pour prendre toute ma grosse bite le nez collé à mon pubis.
Je l'ai relevé et lui ai indiqué le lit d'un geste. Elle s'est mise à quatre pattes, le cul en l'air et a écarté la ficelle du string pour me montrer son cul et sa chatte dégoulinante de mouille. Elle était chaude comme la braise cette pute. Profitant de la bave présente sur ma queue, j'ai posé mon gland sur son cul et j'ai poussé comme ça direct jusqu'à la garde. Autant celui de Jean était hyper serré comme celui d'un puceau avec les exercices que je lui ai ordonné de faire avec un crayon pour que son trou reste tonique, autant celui de cette chienne était doux et flexible. J'aimais bien la différence, et je voulais surtout pouvoir rentrer dans son cul à volonté sans avoir à la préparer.
C'était chaud et moelleux. J'ai commencé à lui ravager son cul, sans écouter un seul de ses gémissements. J'ai attrapé le god qu'elle avait amené et je lui ai fait sucer un peu avant de lui fourrer dans la chatte à fond. Putain, la sensation d'enculer une meuf avec un god dans la chatte c'est juste magnifique. Voyant le temps passer, j'ai accéléré les choses comme un bourrin et j'ai lâché mon jus au fond de son cul alors que cette salope était secouée d'un putain d'orgasme.
J'ai sorti ma queue pour lui donner à nettoyer, son trou était bien ouvert.
" Toi, je sens que je vais tester le fist avec ton cul... mais avant ça j'ai un autre programme pour toi... vas-y nettoie moi ça bien et ensuite à genoux, j'ai envie de pisser. "
Elle a fini de me nettoyer la bite et s'est mise en position pour prendre ma pisse comme une bonne lope soumise. Je n'allais quasi plus aux chiottes chez moi, quand j'avais envie de pisser c'est pour Jean ou pour elle. Ya eu des ratés au départ, vite corrigés, mais maintenant c'était devenu la norme.
Une fois mon affaire terminée je l'ai envoyé promener et je suis parti à la salle en réfléchissant à mon problème d'organisation.
Au bout de quelques jours, j'avais tout planifié. Jean allait me servir aussi de pute, j'avais quelques potes gays et bi qui diraient pas non à son petit cul et je pense même que certains hétéros allaient kiffer en faire leur jouet. Surtout avec son petit corps de twink. Il me fallait donc deux capuches avec juste un trou pour la bouche pour sucer et respirer. Il fallait que ça couvre tout le visage pour l'anonymat de la lope mais aussi du client. Sur le net, j'ai pu trouver ça dans des boutiques de vente en ligne d'objets SM. Il me fallait aussi un lieu, et le plus simple après réflexion c'était une camionnette utilitaire. On peut mettre un matelas au sol, on la gare où on veut, personne ne sait ce qui s'y passe, et moi je peux voir par la petite trappe du conducteur pour vérifier que tout se passe bien comme prévu. Nickel ! Pour la camionnette, mon père en avait un tas avec sa société, c'était simple d'en récupérer une. Pour le reste, il allait me falloir des tunes pour acheter, investissements et mise de base.
On en revenait au problème de départ, je n'avais pas assez de tune. Je réfléchissais et deuxième illuminations, j'allais faire l'Escort pour deux ou trois coups pas plus et gagner le minimum dont j'avais besoin. Franchement, ça ne m'enchantait pas trop au final mais je voyais que ça pour pouvoir gagner beaucoup plus avec mes deux putes.
J'ai commencé à mettre des petites annonces basiques sur des sites. Avec une ou deux photos de moi en boxer sans mon visage. On voyait bien la forme de ma bite épaisse et j'étais clair sur l'annonce : 100% actif 0% passif, et motiver pour combler la personne qui me contacter avec photo.
Je n'ai pas attendu très longtemps. Dans la soirée, j'avais déjà une dizaine de mails. J'ai viré les pas sérieux et les arnaques potentiels et je me suis concentré sur les autres.
Je vous passe les discussions bidons des gens qui se font juste un scénario sans passer à l'acte ou des mecs qui se croient au souk. Au final, après deux jours, j'ai eu deux plans planifiés : une femme, la cinquantaine qui voulait se frotter à un petit jeune et un mec 35 ans, jeune cadre dynamique pleine de tune qui voulait se faire défoncer le cul comme une grosse chienne... comme quoi, regardez bien votre boss au taff et dites-vous que ça se trouve... il cache bien son jeu !
A nouveau, je vous passe les détails. J'ai fait mon taff, j'ai bandé, j'ai plongé ma bite dans une chatte et un cul, j'ai ramoné et ils ont joui. J'ai empoché les tunes et basta.
J'avais ce qu'il me fallait ou presque pour acheter les masques et le matelas quand j'ai reçu une nouvelle proposition. Un gars, moitié de quarantaine, intéressé par mes services. J'hésite car pas de photos. Je réponds que sans, c'est mort de mon côté. Il hésite, il dit oui, dit non bref il entortille le truc et ça commence à me saouler. Je lui dis cash dans le mail : prends tes couilles et envoie une photo si tu veux te faire baiser parce que sinon moi j'arrête de répondre je n'ai pas de temps à perdre.
Plus de nouvelles pendant une heure, puis un mail avec trois pièces jointes : son visage, son corps et son cul. Putain !!!!
Je reste bloqué pendant au moins 5 minutes ! Vous avez deviné, le mec c'est mon père ! Putain, la salope de fils de pute !! Le mec fait des plans avec des mecs ! Et en plus pour se faire ramoner comme une chienne. Je n'y crois pas !
Je sais pas quoi faire, sérieux. Je lui réponds que je réfléchis et que j'apprécie son courage d'avoir envoyé les photos. Je lui fais une réponse d'ici une petite heure.
Je me pose sur mon lit et j'appelle Jean pour qu'il vienne me sucer, ça me changera les idées. Cette petite pute arrive direct et s'installe entre mes jambes et commence son taff, en vrai petite soubrette.
Je réfléchis à la situation et une idée monte en graine. J'attrape Jean par le cou et lui enfonce ma grosse queue au fond de la gorge pour y juter tout mon sperme. Il encaisse bien maintenant. Je le relâche, il tousse à peine, une vrai bonne pute.
" Va voir maman et dis-lui de te tailler une pipe. Rien à battre de si elle est occupé ou quoi "
Il me fait un sourire et une bise sur la joue et part en un éclair. Je souris aussi à ce petit acte et retourne au clavier.
Je ne suis pas un Dominant violent. Je n'ai pas besoin de maintenir ma lope dans une soumission permanente totale. Pour moi, un vrai Dominant c'est le mec qui arrive d'un seul mot ou d'un regard à faire faire ce qu'il veut à la personne, quel que soit la situation. Et puis je préfère largement que ma lope fasse sa petite vie de tous les jours et qu'elle bascule en lope à l'instant où j'en ai besoin, pour reprendre ensuite son comportement normale. Je trouve que c'est une vraie marque de domination. Les mecs qui sont obligés de frappé, punir etc etc à tout bout de champ, désolé mais pour moi, ce ne sont pas des vrais Dominants, ce sont juste des bourrins. Une lope, ça dit merci à son maître parce qu'elle le pense et qu'elle le veut : c'est une vrai lope. Si elle le dit par peur d'un coup, pour moi c'est juste une merde qui fait semblant.
Je reprends mon clavier et je lui écris le truc suivant :
Je suis ok pour un plan, tarif que je t'ai donné, par contre je vais être clair. Je sais qui tu es, je te connais, je sais où tu habites, je connais tes enfants et ta femme. Je suis un pote de ton fils ainé. Du coup, je te propose un truc pour faire le plan, toi qui décide si tu veux bien. Je ne te montre pas mon visage, tu ne sauras pas qui je suis. Je t'envoie des photos de ma bite bien bandée, de mon corps entier mais pas de visage. Pour le plan, je viens mais tu m'attends avec un truc sur le visage qui masque les yeux, genre bandeau pour les yeux pour dormir dans un avion. Je te ramone, je te défonce, je fais tout ce qui est prévu, je prends les tunes et je pars. Tu ne me verras jamais. Toi qui décide. Je suis prêt à faire une ristourne de 20% si tu acceptes.
J'envoie une pièce jointe avec une photo de ma bite bien tendue et bien épaisse et j'attends la réponse.
20 minutes et j'entends mon père qui rentre à la maison. Je descends lui dire bonjour, mode poker face. Il parle normal, demande pour ma journée, je fais idem, ma mère arrive avec Jean, un peu rouge mais je vois qu'il a un sourire. Il embrasse ma mère et fait une bise à Jean. Si mon père savait que comme ça, il n'a jamais été aussi près de ma queue qu'à ce moment. Je suis plié de rire intérieurement.
On reprend le cours de nos activités et je reste dans la cuisine pour manger un truc. Je vois mon père qui prend son tel et semble lire quelque chose avec attention. Il pâlit un peu, ferme son téléphone et se sert un verre. Il semble un peu paniqué ou chamboulé. J'en rajoute un peu et lui demande si ça va. Il me sort un bobard et dit qu'il doit aller aux toilettes. Il prend son tel au passage. Je remonte dans ma chambre et j'attends.
La réponse met du temps à arriver. Le connaissant, il va tortiller. Bim voilà le mail. J'ouvre. Je suis déçu et en même temps victorieux. Une simple " OK ". Putain la salope !!
Un deuxième mail qui me demande comment on gère ça, lieu, moment. Je lui dis maintenant s'il est dispo. Il répond faisable mais où. Je lui demande s'il peut chez lui là. Il répond non mais à mon taff faisable. Je dis ok j'y suis dans 30 minutes, ça te laisse le temps de tout préparer. Il répond OK.
J'entends mon père dire à ma mère qu'il doit repartir à sa société qu'il a oublié un truc important et qu'il revient d'ici une heure ou deux max. Ma mère, qui n'en a rien à battre dit ok. Je le laisse sortir et quand j'entends la voiture démarrer, je me dis qu'il a vraiment envie de ma bite.
Je descends et je dis que je sors. Ma mère me regarde et commence à râler parce qu'elle a préparé le repas. Je la coupe direct en lui disant d'aller se faire mettre par Jean. Elle se tait et pose ce qu'elle a en main pour monter dans la chambre. Je l'arrête en lui disant que c'était une façon de parler. Je lui roule une pelle pour la féliciter de son obéissance.
Dehors je marche tranquille vers le taff de mon père. Je reçois un mail où il me dit qu'il est à son taff qu'il y a personne, que je rentre par la porte de derrière et qu'il sera dans son bureau tout de suite à droite les yeux bandés. Je lui dis que si jamais il me fait un plan foireux, je lui ruine sa réputation dans la ville et je balance tout à sa femme. Il me répond qu'il est tout à fait sérieux et qu'il respectera le deal.
J'arrive à son taff et je lui écris que je suis là. Il me répond ok je suis prêt.
J'ai quand même un peu la trouille j'avoue. Je sais qu'il n'a pas de caméra dans sa société mais je vérifie quand même pour ne pas me faire avoir. Je rentre et je referme la porte pour être tranquille. J'arrive à son bureau que je connais par coeur et je le vois à genoux à poil avec la bouche ouverte et un truc pour dormir sur les yeux et une cravate enroulé en bandeau. Putain la chienne quoi.
J'hallucine. Je pose ma main sur sa tête et lui fait une petite tape pour le féliciter. Il sourit et rouvre la bouche. Une vraie lope. J'ai mon père en face de moi en chienne soumise, je n'y crois pas. Je le mate un peu et franchement ça va, il est bien conservé. Un peu de gras sur le ventre mais on devine les abdos quand même. Ces pecs ne sont pas développés mais on les voit. Par contre, ma mère avait raison, il a une bite minuscule, perdu dans les poils. Une dizaine de centimètre, 11 à tout casser, par contre il a des couilles énormes. On dirait des balles de tennis (j'exagère mais vous voyez l'idée !)
Je me fous à poil et je n'ai pas besoin de beaucoup pour me foutre la trique. Je pose ma queue sur son visage et il soupire de plaisir. Il sent la lourdeur de l'engin. Sa chaleur. Je recule et pose mon gland sur sa langue. Il commence à me sucer et intérieurement je crie de plaisir.
J'y vais doucement au départ, il suce doucement pour prendre conscience de la taille. Je ne lui ai pas menti, il doit se dire. Je sens ses mains autour de ma bite sur mon corps. Il tâte, il caresse mes abdos, mes pecs, mes cuisses, mes fesses. Il enfonce ma bite le plus qu'il peut dans sa bouche et franchement il gère. Je le laisse faire son petit plaisir pour le moment.
Au bout de 5 minutes, je prends les choses en main. J'attrape son crâne et je commence à lui défoncer la bouche. Pour ça que je suis payé au final. Il se laisse faire et je sens qu'il kiffe. Je finis par lui coller son visage contre la base de ma queue pendant quelques secondes avant qu'il recule avec force en crachant et toussant. J'ai la queue luisante de bave. Je l'attrape par les cheveux et le fous à quatre pattes en levrette. Il frissonne quand je lui crache sur le cul et que j'étale sur son petit trou.
Il veut être défoncé comme une chienne qu'il a dit dans le mail, il va être servit. Je me mets en position les jambes écartées de chaque côté de son cul et je pose mon gros gland plein de bave sur son trou. Je l'attrape d'une main par les cheveux, de l'autre sur le côté et je pousse.
Il crie sa mère mais je rentre ma bite d'une bonne moitié sans forcer plus que ça. La chienne, je ne suis pas le premier à venir visiter. Il souffle, il me dit d'arrêter, qu'il veut plus. Je tire encore plus fort ses cheveux pour mettre sa tête en arrière et lui crache sur le visage avant de le forcer à plier ses bras et coller son visage au sol. Dans le mouvement, sa relève son cul et je m'enfonce encore plus. Boom tout est rentré. Il pleure la petite salope, il gémit qu'il a trop mal.
Je lui laisse 30 secondes pour s'habituer et je commence le taff de défonce. Il voulait se faire ramoner, je lui en donne pour son argent ! Je ne fais aucune pitié. Ce n'est plus mon père, c'est un trou à bite. J'y vais à fond rapidement, ça chauffe putain mais rien à battre, ça me brule mais pas autant qu'à lui je pense. Je sors ma queue totalement, je vois son cul ouvert qui se referme lentement. Il gémit toujours mais je sens qu'il y a quand même un peu de plaisir dans la situation parce que ça nouille est toute tendue. Je crache plusieurs fois sur ma bite pour bien la lubrifier et je replonge dedans.
Je l'ai défoncé comme ça, la tête contre le sol pendant 20 minutes. Il a arrêté de sangloter au bout de 5 et ensuite c'était des " vas-y défonce moi ! Oui j'adore ta grosse queue ! Oui je suis une grosse salope en manque de bite ! Putain je ne me suis jamais fait défoncer comme ça ! Putain continue arrose moi de ton jus !! " Bref tout ce qu'on a l'habitude d'entendre dans un porno.
J'étais fou. J'entendais mon père me sortir des cochonneries comme ça, je n'y croyais pas. J'avais l'impression d'avoir un inconnu sous ma bite au final. N'en pouvant plus, j'ai sorti ma bite et je l'ai retourné pour l'arroser de mon jus sur son visage et son torse. Je me suis rendu compte qu'il avait joui la salope car une grosse mare de sperme s'était étalé sur le sol. Putain, ses énormes couilles ne sont pas que pour la décoration vue la quantité de jus.
Je reprends mes esprits doucement. Me relève, attrape un mouchoir et m'essuie. Je vois les billets sur le bureau et je les empoche. Je me rhabille. Il n'a pas bougé du sol. Je me casse en claquant la porte pour lui faire comprendre que je ne suis plus là. Je me tire vite fait et quand je suis suffisamment loin, je sors mon tel et lui écris un mail pour savoir s'il a apprécié le plan.
Je suis presque chez moi quand la réponse arrive. Il a adoré. Il a mal au cul mais ça valait le coup. Il adore ma bite et il adore me sentir le défoncer, surtout sans que je prononce aucun mot. Il sent que je suis un bon mal dominant. Il me remercie du moment et me demande si j'ai kiffé moi aussi.
Je réponds que oui, mais que je fais ça pour l'argent en premier. Je le félicite de comment il a pris ma grosse bite et lui propose de remettre ça contre la même somme s'il veut.
Il me dit qu'il va y réfléchir et qu'il me recontacte. Le temps pour son cul de se refermer.
Je rigole tout seul et rentre dans la maison pour aller faire mes achats pour mes petites putes.
Au bout d'une semaine, j'ai reçu les masques, ils sont parfaits en simili cuir. Ils s'enfilent comme une cagoule et une fermeture vient refermer le tout et se termine sur la nuque. Ya même un petit cadeau pour qu'on ne puisse pas l'enlever, les mecs ont pensé à tout. Je le fais essayer à Jean qui me regarde chelou. Bim la mandale qui tombe, ça faisait longtemps tien, il reprend vite sa place et enfile le masque. C'est génial, il peut rien voir vu qu'il n'y a pas d'ouverture pour le visage mais juste le trou pour la bouche, un rond parfait de 7 cm de diamètre, parfait pour passer ma bite sans que ça frotte. Et deux petites ouvertures pour le nez. Je lui ferme le cadenas et lui demande comment il se sent.
Il me dit que ça fait chelou mais que ça va. On va faire le test il va rester toute la nuit avec. Je fais monter ma mère et rebelote une mandale pour lui rappeler sa place et la cagoule.
J'ai mes deux putes à genoux devant moi avec la bouche ouverte, c'est juste magnifique comme tableau. Je les fais mettre à poil rapide, on n'est pas seul à la maison et je prends des photos pour pouvoir vanter la marchandise. Une fois fait, j'enlève les cagoules et leur dit de se rhabiller vite. Ma mère en se rhabillant regarde les cagoules et baisse la tête. Je pense qu'elle a compris la finalité. Jean lui, plus innocent, pense que c'est un délire de ma part.
Je les envoie se faire foutre ailleurs et je me lance dans l'opération pute à dispo. Je contacte deux ou trois potes dont je suis sûr, je leur fais en gros le même discours.
" Allo Micka ? Ça va ? Je ne te dérange pas ? Non, nickel. Tu fais quoi là ? Ok... je voulais savoir mec, toujours en chien de meuf là ? Ah mince... Désolé mec ! Je sais que c'est dur. Pourquoi je t'appelle ? Bas c'est un peu par rapport à ta situation en fait. Oui le fait que tu sois en chien. J'ai un plan pas mal... ouais une meuf... non non pas une copine de ma soeur lol batard ! Non une milf, une vrai putain de MILF. 43 ans, bon sein, bonne chatte et bon cul. Non je ne déconne pas, mec tu crois que je t'appellerai à cette heure pour une connerie. Mais oui sérieux putain tu m'écoutes ou quoi ? Je te dis une MILF ! Oui je l'ai niqué, tu crois que je te ferai baver si ce n'était pas du concret. Bref tu m'écoutes, elle est chaude comme la braise et elle me kiffe tellement qu'elle est prête à faire n'importe quoi. Mais oui n'importe quoi, mais se faire tourner par d'autres mecs que moi. Par contre, je te dis direct... elle est en galère de tune. Pour ça que j'ai pu me la faire. Ouais une pute en gros mais une pute de MILF qui fait ça pour joindre les deux bouts. Mais non elle ne fait pas le trottoir ! Putain t'es con. Je te dis que c'est du carré, tu crois que j'irai mettre ma bite dans une chatte de pute où toute la ville est passée ? Ouais, 25 euros la pipe et 50 balles pour la niquer autant que tu veux dans sa chatte ou son cul. Ouais ouais son cul aussi est dispo. Je te dis une salope chaude comme la braise. Alors ça te tente ? Tu me dis quand tu es dispo et j'arrange ça. Par contre, elle est en mode discrétion donc elle portera une cagoule et ça sera dans une camionnette. Ouais comme une vrai pute oui. Ça te dit ? Ok. Nan tu n'en parles pas ! Surtout pas un mot mec ! Sinon elle va flipper et on sera baisé elle voudra plus rien faire. Ouais prépare des 50 balles mec, tu vas juter tout ce que tu peux dans son cul ! "
" Allo, Dam' ? Ça va ? ... "
Et voilà comment en l'espace d'une petite soirée, j'ai arrangé trois coups pour ma chienne à gros seins. J'ai réussi à le mettre tous le même jour, un samedi, jour où mon père bosse. J'ai choppé Jean et ma mère et je l'ai embarqué avec la camionnette. Mon père avait fait son relou mais il me l'avait prêtée. On se gare dans la zone discrète que j'avais prévue et j'ordonne à ma mère de se mettre à l'arrière sur le matelas à poil, je monte avec elle et je lui enfile la cagoule. Elle s'allonge, les jambes écartées, on voit bien sa chatte toute rasée de frais et sa mouille. Putain je la prendrai bien moi-même là.
Je dis à Jean de se planquer dans la partie habitacle et de ne pas faire de bruits. Mon pote Mickael arrive au bout de dix minutes. Il est aussi grand que moi, aussi bien foutu mais il a pas un super visage du coup les meufs ont du mal à se motiver pour se mettre avec lui.
On se salue, il est un peu stressé. Je le rassure en lui disant :
" Il faut pas t'inquiéter mec, tout est ok.
-Putain, j'ai jamais fait ça moi Mat. Tu es sûr que ça crains rien.
-Mais oui t'inquiète. La meuf est trop chaude du cul. Je pense même qu'elle dit que c'est pour l'argent mais en fait elle veut juste de la bite. J'ouvre, tu montes, je referme. Tu te fous à poil et tu la niques, basta. Elle est prête à baiser. Je t'ai mis des capotes et du lubrifiant, tu as une heure devant toi pour faire ce que tu veux. "
Il me regarde avec un sourire et me tend le billet de 50, il s'est décidé. J'ouvre la porte et je le vois qui kiffe la vue. Faut dire que ça ferai triquer n'importe quel mec en chien. Il monte rapidement et il est déjà en train d'enlever son t-shirt quand je ferme la porte. Je monte à l'avant moi aussi et commence à mater dans la camion. La lumière de veille du camion n'est pas énorme mais ça suffit pour voir le plus gros.
Mickael est à poil, beau corps une belle bite de 17 cm facile qui tourne un peu sur la droite. Il est debout devant ma mère allongée et semble hésité puis il se lance. Il se fout à genoux et lui enfonce sa bite dans la bouche. La salope commence à la sucer comme il faut car il gémit direct.
" Putain c'est bon ça... ça faisait tellement longtemps que je m'étais pas fait sucer putain... vas-y continue !! "
Ça me fout la trique de voir mon pote à poil en train de se faire sucer par ma mère. Du coup, j'ouvre ma fermeture et attrape Jean qui commence à me sucer bien à fond comme il a l'habitude.
Il lui baise la bouche bien comme il faut et je sens qu'il est parti, c'est bon. Il glisse une main vers sa chatte et la doigte en même temps pendant que son autre main lui soupèse les seins. Elle se cabre de plaisir et il en faut pas plus pour qu'il lâche à fond. Il sort sa bite de la bouche et commence à lui bouffer les seins en la doigtant. Il descend ensuite vers sa chatte et lui lèche le clito. Je peux voir qu'il y a va à deux doigts en même temps et il est rapide dans son doigtage. J'entends ma mère gémir de plaisir et Jean aussi. Je le saisis par les cheveux et lui enfonce ma bite en fond de gorge.
Mickael s'est redressé et prend une capote pour l'enfiler et ensuite enfiler ma mère. Le salop, il n'y va pas de main morte. Un bucheron dans chaque coup de bite. Il ne va pas durer longtemps à ce rythme. Je stoppe Jean qui met trop d'ardeur à me sucer et continue de mater la scène.
Mickael la besogne avec hargne, putain elle prend chère. On voit que ça fait longtemps qu'il n'a pas baisé. Il se penche pour lui bouffer les seins en même temps et je vois ma mère qui kiffe grave. D'un coup, il ressort de sa chatte la retourne en levrette et la prend comme la grosse chienne qu'elle est. Il l'insulte, lui claque le cul, et la reprend avec force. Puis d'un coup, il s'écrase sur elle en hurlant de plaisir. Le mec vient de remplir la capote ou je ne m'y connais pas. Il souffle comme un furieux. Il se relève lentement et je vois sa queue bien dure encore et la capote pleine. Il l'enlève et fait un noeud avant de la poser dans le petit truc que j'ai mis à côté du sopalin. Il souffle un peu, regarde la meuf qu'il vient de niquer qui s'est affalée au sol et sourit. Il se rhabille et je descends pour lui ouvrir la porte quand il tape dessus.
" Alors mec ? Elle était comment ?
-Putain t'a pas menti. Chaude la salope ! Ce que je lui ai mis.
- Content que tu ais pu te vider. Quand tu veux pour un nouveau tour.
- ouais... le temps de mettre 50 balles de côté et je te rappelle. Je lui ferai le cul la prochaine fois.
-Si tu connais un mec ou deux, sérieux, qui seraient intéressés, donne leur mon numéro et qu'ils me contactent.
-Ok mec ! Putain je n'en reviens pas... "
On se sert la main et je le regarde partir. Je monte dans la camionnette et ferme la porte. Je regarde ma mère et me penche.
" Alors ma petite chienne. Tu as kiffé servir de vide couille à mon pote ? C'est que le premier. Remets-toi en place, le suivant arrive dans pas longtemps. "
Elle hoche la tête et me dit oui, maître.
Je remonte à l'avant. J'appelle Damien pour lui dire qu'il peut venir un peu plus tôt s'il veut. Jean me regarde parler au tel, et sur mon regard ouvre mon pantalon pour ressortir ma queue. Je raccroche et l'attrape pour lui baisser son pantalon. Il n'a pas de caleçon comme prévu et je l'assois sur ma bite. Ça coince un peu vu qu'il est serré. J'attrape le lubrifiant que j'ai de ce côté et m'en mets avant de m'enfoncer dans son cul à fond. Je l'encule comme ça contre le volant. Il bouge son cul de lui-même et je ne tarde pas trop à jouir bien au chaud.
Damien arrive dix minutes après et c'est le même cinéma. Sauf que lui est pas du tout stressé au contraire, il semble kiffer sa race. Il me voit le mater à travers la grille et me fait un signe de la main en se mettant à poil. Il ne serait pas un peu hexib mon Damien. En tout cas il a une belle bite lui aussi moins longue que moi mais presque aussi large. Il prend son temps, et joue avec ma salope. Puis, étrangement, il ne regarde même pas sa chatte mais direct va vers son cul. Il lui bouffe comme un chien et rapidement, s'encapote et l'encule comme un batard. Elle crie de douleur/plaisir.
Je commence à me dire que Damien ne serait peut-être pas aussi 100% hétéro que je le croyais et qu'il serait peut-être intéressé par un autre genre de pute...
Il se termine lui-aussi et sort satisfait. Je lui fais la même proposition qu'a Mickael et je le regarde partir. Je lui laisse quelques minutes et lui envoie un texto lui disant que je trouvais qu'il l'avait sacrément bien enculée. Il répond qu'il préfère largement plus enculer que baiser une chatte. Je laisse un peu de temps et lui demande s'il a souvent l'occasion d'enculer comme ça.
Il laisse un blanc de 5 minutes et me dit qu'il se débrouille pour avoir l'occasion en payant comme là ou autrement. Et il termine par un trou c'est un trou avec un smiley clin d'oeil.
Je lui réponds que je comprends tout à fait, que je suis réglo et que je garde ça pour moi, et que pour moi-aussi un trou c'est un trou.
Du coup, il répond que ça l'étonne un peu venant de moi mais que finalement on partage peut être des trucs en commun. Je lui renvoie qu'il semblerait que oui, et que si ça l'intéresse de partager en même temps, j'aurai peut-être un plan de ce genre à lui proposer. Il dit banco. Je rajoute pas gratuit par contre. Il me répond que l'argent n'est pas un soucis si le plan vaut le coup.
Je dis ok, je le recontacterai. Il me dit d'accord et termine par, en plus si ça me donne l'occasion de revoir ta grosse bite, cette fois en action, ça vaut largement le coup.
J'en étais sûr le mec est bi obligé. Je regarde Jean et je lui dis :
" Je crois que j'ai trouvé ton premier client. "
J'accueille mon troisième pote, il fait son affaire, bite de 15 cm environ et plutôt simple dans sa baise. Il paye après tout je m'en fous. Je ferme la porte du camion avec 150 balles en 2h30. Pas mal mais peut mieux faire. Je reçois un mail sur l'adresse de l'Escort à ce moment-là. Mon père propose qu'on se voit ce soir pour le même type de plan. Ça me laisse la fin de journée pour reprendre des forces. Je dis ok, je donne l'heure et je dis identique à la dernière fois.
Je ramène mes lopes à la maison, je décharge les affaires à l'intérieur dans le cabanon de jardin qui ne sert plus à rien car mon père déteste passer la tondeuse et c'est moi qui dois m'en occuper. Je referme le verrou, et me retrouve face à ma soeur qui bronze dans le jardin topless. Ok on pas de vis-à-vis mais quand même la salope ! Je tousse, elle ne bouge pas. Je vais à côté d'elle et j'en profite pour mater avec plaisir. Elle a vraiment une belle paire de sein. Je la secoue au niveau de l'épaule et elle se réveille. Elle ne comprend pas puis se cache les seins.
" Putain, mais tu fous quoi là !
-Et du calme Marie ! Je te réveille parce que tu t'es endormie au soleil et que la famille vient de rentrer tu es plus toute seule là. "
Elle me regarde à travers ses lunettes de soleil, et se penche pour attraper son haut de maillot. Elle le met et me regarde à nouveau.
" Ca va tu t'es bien rincé l'oeil ?
-Merci Mat de m'avoir réveillée avant que maman me retrouve comme ça sinon ça aurait fait une scène et en plus j'aurai pu chopper une insolation... mais oui sinon j'ai pu mater tes gros seins.
-Connard ! "
En me faisant un doigt d'honneur. Je rigole et du coup ça la fait rire aussi. Elle se rallonge sur sa chaise longue et me dit " merci " en me faisant un nouveau doigt. Je dis " de rien " et je me casse en riant. Je ramène la camionnette à mon père qui me demande de prévenir ma mère qu'il aura du taff ce soir et qu'il va rentrer plus tard. Je dis ok, même si je sais que c'est moi qui vais faire tout le fameux taff.
La soirée arrive, je lui écris que je suis là, et 2 minutes plus tard, il m'écrit qu'il est prêt comme la dernière fois.
Je refais la même et le retrouve exactement dans la même position. J'empoche direct les tunes et je me déshabille, mais je garde mon tel à la main. Je refais le même trip que la dernière fois sauf que là c'est pour du business. Je prends mon tel et le prend en photo et film ma queue rentrer et sortir de sa bouche. Je lui crache à la gueule de bon mollard, la bouche grande ouverte et j'enfonce mon gland dedans. Sacrées photos ! Je le refous dans la même position que la dernière fois et je l'encule exactement pareil. Je film ma queue qui rentre dans son trou lentement puis de plus en plus vite et on peut l'entendre se lâcher niveau parole. Tout y passe, la pute, la salope, le trou à bite, le sac à foutre, qu'il veut se faire ramoner, la totale. J'ai de quoi le cramer pour des siècles là.
Je le retourne à un moment pour le prendre en missionnaire pour le voir juter et au bout d'une minute ou deux, je tape contre sa prostate, il hurle de plaisir et je vois un putain jet de sperme qui jaillit de sa petite bite ! Mais un jet continu ! Je n'avais jamais vu ça. Un jet de liquide pendant bien 10 secondes. Il s'est recouvert le corps de sperme. Je pense qu'on pourrait remplir un verre d'eau avec ce qu'il a juté. Je sors de son cul vire la capote et rajoute le mien à la totalité. Je le relève et lui fait me nettoyer la bite. Il renâcle un peu et lui fout une bifle bien lourde pour lui faire comprendre, il recommence à tourner la tête. Je l'attrape et le bloque sur ma queue qu'il est bien obligé d'avaler. Il finit par pomper à fond et du coup ça me faire retriquer.
Mais j'ai la flemme et après tout il a payé que pour une baise. Je ressors ma queue bien propre lui fout une deuxième bifle qui a du faire mal celle-là, vu qu'il recule sous le choc. Je me rhabille, il reste à genoux sans bouger. Bien au moins il est honnête mon daron.
Je claque la porte et me casse rapidement comme la dernière fois. Je lui écris que je suis prêt à refaire quand il veut. Il me répond quelques minutes plus tard qu'il verra, qu'il a bien kiffé la séance. Il veut savoir si je fais aussi des trucs genre baffes, violence, il a trop aimé les bifles.
Putain mon père est une vraie putain de lope aussi. Je réponds que je ne suis pas contre mais ce n'est pas le même tarif. Il laisse un blanc qui me donne le temps d'arriver à la maison et je vois sa réponse : il va y réfléchir mais en tout cas déjà il est d'accord pour refaire rapidement le même plan.
J'ai continué des plans comme ça avec mon père pendant trois semaines. La première semaine un seul, la deuxième deux fois et la troisième trois fois. Il était dingue de ma bite. Chaque fois c'était pareil, je venais il était dans la même position, et chaque fois j'allai un peu plus loin. Bifles fortes, puis claques, enculades à sec, puis pisse. J'ai même fini par lui pisser dans le cul à sa demande. Il accomplissait avec moi tous les fantasmes qu'il avait depuis son adolescence son jamais avoir réussi à les accomplir. Il m'a demandé un moment de prendre des photos avec son propre téléphone. Vraiment déchaîné le daron. Mais moi ça me plaisait. Il était accro à ma queue et je mettais les tunes de côté en plus de celles fournit par ma mère et Jean.
Jean s'était créé un compte sur Grindr, et j'ai commencé à le faire tourner. Il partait faire des plans avec des mecs éloignés pour la discrétion, et il revenait avec 30 ou 50 balles. Ma mère continuait les passes le samedi avec mes potes. C'était 6 minimum chaque samedi. Mickael et Damien en priorité puis des potes à eux, tous clean et discret, trop content de pouvoir niquer une milf bien foutu et lui faire ce qu'il voulait. Ya un gars qui m'a tilté. Un black, bien musclé comme moi et bien équipé (normal, vous allez dire et bas non il y a des blacks a petite bite aussi !) une bite plus longue que la mienne genre bien 23 cm mais fine, comme la moitié de la mienne. Ca faisait chelou à voir. Mais elle a fait son taff en faisant crier ma mère.
Jean a pris sa place aussi dans la camionnette. Damien a été le premier et m'a remercié avec un sourire qui voulait tout dire. Il a appelé deux ou trois potes à lui que je n'avais jamais vus, et ils sont tous passé les uns après les autres en mettant le billet dans ma main. Jean était déchiré à la fin de la journée mais il m'a avoué avoir joui du cul à chaque mec.
Voilà comment en deux mois je me suis fait mes 4000 balles pour mes vacances. J'ai arrêté les passes avec ma mère et Jean direct. Ça a râlé un peu parmi mes clients réguliers mais j'ai promis que ça reviendrai.
La dernière séance avec mon père a été un peu différente. Alors que je l'enculais sauvagement et qu'il hurlait de plaisir, j'ai pris la parole pour la première fois.
" Alors ma salope, tu l'aimes ma grosse bite ?
-Oh oui putain je l'adore !!
- tu la veux dans ton gros cul de chienne en chaleur hein ?
- oui je suis accro à votre bite maître, je ne veux qu'elle. Je n'arrive même plus à jouir sans maître. "
La salope était vraiment accro, elle n'avait même pas reconnu la voix de son fils et elle s'était mise direct dans le rôle de la lope sans même que je demande.
" Je vais t'enculer comme jamais et te faire jouir du cul, ma lope...
-oh oui maître merci maître
-mais ça veut dire que tu m'appartiens maintenant
-oui je suis à vous !! Enculez-moi !!
-je ne plaisante pas ce n'est pas un jeu là... ça va devenir ta réalité. Tu seras ma lope à plein temps.
-oh oui maître je vous obéis, je suis à vous. Mon cul, mon corps tout vous appartient.
-Tu acceptes de ton plein gré et rien ne te fera revenir en arrière ??
-rien maître, rien. Je veux votre bite et rien d'autre. "
J'ai fourré ma queue bien lourde dans son cul jusqu'à la garde d'un coup sec pour le faire gémir et j'ai attrapé le bandeau pour lui enlever. C'était quitte ou double. Soit il s'arrachait de moi et pétait un câble soit il restait en position à demander sa dose de bite.
Il m'a regardé, j'ai continué de l'enculé à fond pour lui donner du plaisir. Il a fermé les yeux et a tourné la tête. Il est resté silencieux pendant une bonne minute malgré mes coups de bite. J'ai accéléré et il a murmuré
" Oui maître, plus vite, plus fort, défoncez moi !! Encore !! Faites-moi jouir comme toutes les fois depuis la première "
C'était gagné. J'ai hurlé de plaisir et j'ai accéléré encore mon enculade. J'étais une bête dans son cul. Je suis sorti d'un coup, j'ai viré la capote et j'ai juté tout mon jus sur son visage collé au sol pendant qu'il jouissait lui-aussi sa mare de sperme.
J'ai fini de jouir et je me suis assis par terre en soufflant. J'ai écarté les jambes et je lui ai fait signe de venir me nettoyer la bite. Il a hésité un peu, genre le trip était terminé, on redevenait père et fils. Je l'ai attrapé par les cheveux et j'ai tiré son visage sur ma queue pour lui faire avaler.
" Je t'ai prévenu que c'était plus un jeu. Que c'était maintenant ton quotidien. Tu es ma lope perso maintenant, tu vas apprendre ce que c'est d'obéir à ma bite. Où je veux et quand je veux, c'est clair. Et si jamais tu penses à résister, je balance tous nos échanges et les photos que j'ai prises et les vidéos avec. C'est compris sale chienne. "
Ma bite dans sa bouche de pute, je voyais bien qu'il ne pouvait pas répondre. Il m'a regardé en suçant ma bite et à hoché la tête et fermé les yeux. Il a continué un peu et a sorti ma queue toute propre de sa bouche.
" Oui maître, j'ai compris. J'aurai accepté de toute façon même sans la menace des photos et des vidéos... je pense qu'à votre bite maître. Tout le temps, j'en dors plus la nuit. Je me défonce le cul avec des godes sans arriver à jouir tellement c'est votre bite qu'il me faut. Je suis à vous totalement si vous continuez à me niquer maître. "
Je lui ai attrapé les cheveux et j'ai plaqué son crane dans sa mare de sperme. Ca a claqué bien fort.
" Tu as pas à mettre de conditions. Tu es ma lope. Je te baise si je veux. Je te donne ma bite si j'en ai envie et que tu la mérites. Si je veux te faire tourner à tous les mecs du quartier, je fais ce que je veux. Je pourrai te baiser devant maman que tu aurais rien à dire. C'est compris sale pute ? Me force pas à ma répéter. "
Il a hoché la tête plusieurs fois. Du coup, je lui ai dit de prendre son sperme d'étaler sur mon pied et de le lécher tout propre après pour sceller tout ça. Il a obéit immédiatement sans même rechigner. Je pense que j'ai réveillé en lui un vrai bon soumis. Comme quoi on ne connait jamais réellement les gens.
Je me suis rhabillé rapidement après, puis j'ai sorti ma bite et je lui ai dit d'ouvrir sa bouche. Il s'est mis à genoux direct sans broncher et je lui ai rempli la bouche de pisse qu'il avalait direct. Une vrai bonne lope.
" Je te laisse nettoyer tout ça. Je suis crevé. Je vais rentrer et dormir. Demain, je te choppe et je te montrer ta place à la maison c'est compris.
-oui maître. "
Le lendemain, dimanche. Ma soeur et mon frère n'étaient pas là. Coup de bol pour ce que je voulais faire. J'ai chopé Jean au matin pour l'empêcher de me tailler ma pipe habituelle et je lui ai dit de se préparer parce qu'aujourd'hui c'était journée baise à domicile, qu'il devait m'attendre prêt dans le salon et me rejoindre quand je l'appellerai. Il n'a pas compris mais il a obéis. Je suis descendu à poil, j'ai vu ma mère dans la cuisine qui a ouvert de grands yeux un peu paniqués. Je l'ai attrapé et je lui ai roulé une pelle avant de lui dire d'aller se préparer avec ce qu'elle avait de plus trash comme lingerie. Elle devait se préparer dans la salle d'eau de sa chambre et y rester tant que je ne l'appellerai pas.
Elle a ouvert la bouche pour parler mais s'est retenue à temps et a hoché la tête en silence. Je l'ai retenu alors qu'elle partait.
" Quoi ?
- ton père est dans la chambre en ce moment.
-T'inquiète c'est mon affaire... maintenant va te préparer. "
Elle a foncé dans la chambre. J'ai entendu mon père lui dire bonjour, elle lui a répondu et j'ai entendu la porte de leur salle d'eau se fermer.
J'ai pris un verre d'eau bien fraiche. J'ai branlé gentiment ma bite pour lui donner un peu d'ampleur et je suis allé dans la chambre de mes parents.
Mon père était allongé les yeux fermés. Il les a ouverts en m'entendant rentrer. Il a halluciné, a regardé la porte de la salle d'eau et a secoué la tête.
" Ta gueule sale lope, à quatre pattes pour sucer ton maître. "
Il m'a regardé suppliant. Je suis resté bien droit juste contre le lit avec ma queue pointée vers lui. Il a hésité, a regardé à nouveau la porte d'où ma mère pouvait sortir à tout moment et a regardé ma bite qui pointait vers lui. Il a capitulé et s'est mis à quatre pattes face à moi pour me sucer. Une vrai lope.
J'ai attrapé ses cheveux et j'ai commencé à lui défoncer la bouche, m'enfonçant bien profond dans sa gorge. Il étouffait, bavait, crachait, rien à foutre je le ramonais pour mon plaisir perso. Je voyais ses grosses couilles s'agitaient à chaque coup de bite dans sa bouche. Puis je l'ai repoussé.
" Montre-moi ton cul maintenant, j'ai envie de le défoncer.
-non maître pas ça... pas ici... s'il vous plait... "
Je n'y croyais pas. Il me disait non. Putain j'ai vu rouge. Je pensais qu'il avait compris sa place de lope mais non il refusait un ordre.
Je lui ai foutu un droite, magique. Il a volé dans son lit sans rien comprendre. Je suis monté dessus et je l'ai plaqué sous moi. J'ai attrapé son cul et je l'ai enculé direct sans préparation sans rien. Il a hurlé de douleur comme une chienne. J'ai commencé direct l'enculade sans le ménager. Il hurlait dans l'oreiller, il me suppliait d'arrêter.
" Maître, maître, s'il vous plait, stop... maitre... stop... "
J'ai continué en accélérant même. J'ai senti que ça coulissé de mieux en mieux et là il a commencé à gémir de plaisir en me disant de continuer, que j'étais sa lope, qu'il était désolé de m'avoir contredis... qu'il méritait ce que je faisais, que j'avais raison, que ma bite me donnait tous les droits dans cette famille.
Voilà, il avait retrouvé sa place et sa mentalité de lope.
" Tu vois sale chienne. Tu es à moi. Si j'ai envie de t'enculer je t'encule. Ici ou ailleurs. Tu n'as pas ton mot à dire, juste ton cul à tendre.
-oui maître, désolé maître... mon cul est à vous...
-Voilà c'est comme ça que je te veux, docile et obéissant. On va passer à la suite. Maman ! Viens !! "
Sous les coups de queue mon père gémissait et a fermé les yeux de honte en voyant ma mère sortir de la salle d'eau en guêpière de dentelles rouge qui faisait ressortir ses seins super haut et qui finissait en string qui lui rentrait dans la chatte et dans le cul. Je pense que c'était des dessous du tout début de leur vie commune. Trop petite maintenant, mais qui la mettait encore plus en valeur du coup.
Elle s'est rapproché de nous et s'est mise bien droite à côté de moi, me regardant enculer son mari.
" C'est qui la lope que j'encule là ?
-mon mari...
- et je suis quoi moi ?
-mon maître...
-A qui tu obéis aveuglément ?
-A mon maître.
-Explique à ma nouvelle lope ce que j'ai fait de toi depuis maintenant plusieurs mois.
-Je suis votre chienne personnelle maître. Je vous vide les couilles et avale votre jus quand vous le voulez. Je me fais baiser par vos amis contre de l'argent quand vous le voulez. Je me fais enculer et défoncer la chatte par votre grosse bite quand vous le voulez maître. Je vous sers de toilette pour votre pisse et je dois toujours être prête à recueillir soit votre pisse soit votre sperme dans le trou que vous voulez maître.
-Très bien chienne. Maintenant met toi derrière moi et lèche moi le cul pendant que j'encule cette salope de chienne en chaleur. "
J'ai changé de position pour mettre mon pied sur le crane de mon père et l'enculer de côté ce qui a permis d'ouvrir mon cul. Ma mère s'est mise en position, a écarté mes fesses et m'a léché le cul comme une vraie bonne salope en manque. J'entendais mon père pleurer et gémir de plaisir.
" Jean ! Rentre ! "
Jean est rentré dans la chambre à poil, un énorme gode 27/6 dans la main. Il s'est mis face à moi devant mon père qui le regardait halluciné avec mon pied sur la tronche. J'ai rejoué la même scène pour bien faire rentrer dans la tête de mon père sa place de lope.
" C'est qui la lope que j'encule là ?
-mon père...
- Et je suis quoi moi ?
-mon boss...
-A qui tu obéis aveuglément ?
-A mon Boss.
-Explique à ma nouvelle lope ce que j'ai fait de toi depuis maintenant plusieurs mois.
-Je suis votre chienne personnelle Boss. Je vous vide les couilles et avale votre jus quand vous le voulez. Je me fais baiser par vos amis contre de l'argent quand vous le voulez. Je me fais enculer et défoncer bouche par votre grosse bite quand vous le voulez maître. Je vous sers de toilette pour votre pisse et je dois toujours être prête à recueillir soit votre pisse soit votre sperme dans le trou que vous voulez maître. Je vous réveille le matin d'une pipe et vous offre mon cul le soir avant de dormir.
-Très bien ma petite pute. Maintenant allonge toi à côté de cette lope, le cul vers lui. Toi ma lope, tu vas lui bouffer le cul et lui mettre des doigts jusqu'à ce que son trou soit assez ouvert pour s'enfoncer le god sans que ça couine. Tu as compris.
-oui maître... "
Et il a commencé à lécher le cul de son fils comme un affamé. Jean a fermé les yeux de plaisir. J'ai attrapé ma mère pour la relever et lui rouler une pelle avant de sortir ma bite du cul de mon père pour lui fourrer dans la bouche.
Je regardais la scène en me disant que c'était vraiment le kiff total ! Que la situation était totalement folle et que ça ne pourrait pas durer bien longtemps, que tout allait me péter à la gueule. Mais au fond de moi... je n'en avais rien à foutre ! Putain je kiffais comme un gros connard de loper mes deux parents et mon frère. Et c'est là que j'ai décidé de loper toute ma famille. Autant, j'avais rien prévu pour les trois premiers autant pour les deux autres ça serait volontaire. Fallait que je les aie à la pointe de ma bite. Je voyais déjà les gros seins de ma soeur dans mes mains et son petit cul serré déchiré par grosse queue. Et mon frère, ce geek à poil recouvert de mon jus en train de supplier que je l'encule.
L'image a été tellement frappante sur le moment que j'ai attrapé ma bite et je l'ai replongé d'un coup direct au fond du cul de mon père pour le doser de mon sperme. J'ai joui comme un malade. Je suis sorti la queue encore bien dure que j'ai donné à nettoyer à Jean. J'ai chopé ma mère pour lui faire lécher mon sperme qui sortait du cul de son mari, et cette lope était en train d'enfoncer trois doigts dans le cul de Jean, normal.
J'ai attrapé le gode et j'ai poussé ma mère pour l'enfoncer. C'est rentré à moitié avant de bloquer. Je l'ai laissé là.
" Allez ma chienne, défonce lui le cul avec, je veux que tout soit dedans. "
Elle m'a regardé avec une lueur dans les yeux, je sentais qu'elle prenait beaucoup plus de plaisir que prévu dans tout ça. Certainement une forme de vengeance après toutes ses années de soumission.
Mon père a hurlé de plaisir alors que le gode lui défonçait le cul. Finalement, j'ai retourné Jean et je l'ai fracassé avec ma bite à nouveau dure de sa pipe. Il a commencé à gémir comme jamais. Je pense qu'il en rajoutait pour montrer à mon père qu'il était une vraie putain de chienne lui aussi, et qu'il était surtout la première.
J'ai placé la tête de Jean sous la bite de mon père. Je voulais qu'il récupère le sperme dans sa bouche sans l'avaler. J'ai été très claire la dessus. Ma mère a continué à défoncer son mari avec le gode, et j'ai halluciné de voir que les 27 cm étaient rentrés à l'intérieur de son cul. Elle la ressorti entièrement à un moment ça faisait un trou énorme.
Il a joui comme ça le trou ouvert dans la bouche de Jean qui a bien tout récupéré comme demandé.
" Vas-y ma chienne allonge toi et réunis tes seins avec tes mains. Jean tu craches tout sur ses seins. Papa tu vas bouffer ton sperme et Jean aussi. Chacun un sein. J'ai lâché le cul de Jean et je suis passé dans la chatte de ma mère (avec un petit coup de nettoyage par mon père avant). Je l'ai piné sauvagement pour la faire jouir pendant que les deux lui bouffaient les tétons. Quand j'ai senti que ça venait j'ai sorti ma bite, les trois étaient autour et j'ai juté un peu de sperme sur chaque visage.
Putain que c'était bon. J'étais crevé. J'ai envoyé tout le monde à la douche pendant que je restais allongé sur le lit de mes darons.
Ils sont revenus se mettre à genoux à côté du lit après leur douche et je les ai regardé un par un. Chacun à son tour, ils ont baissé les yeux.
" J'ai envie d'un massage et qu'on s'occupe de moi. Les trois en même temps. "
Mon père est allé à mon pied droit et ma mère à pied gauche tandis que Jean s'est mis à côté de moi pour me lécher et me caresser ma bite molle, mes couilles, mes abdos et mes pecs. C'était vraiment la détente totale. Je serai resté là des heures et c'est ce que j'ai fait. A un moment, j'ai regardé mon père.
" Tu as compris quelle est ta place dans la maison, maintenant ?
-oui maître... vous servir et vous obéir maître. "
J'ai acquiescé et je me suis laissé faire pendant qu'il léchait et caressait chaque partie de mon corps. C'était divin. J'ai fini par me lever, j'ai mis mon père à genoux pour pisser. Une fois fini, j'ai embarqué Jean dans la douche, je lui ai ordonné de me laver pour finalement me sucer. J'ai appelé ma mère pour qu'elle vienne me savonner en plus et j'ai dit à mon père de préparer une serviette chaude et ce qu'il fallait pour me raser.
Voilà comment j'ai fini par avoir trois lopes soumises à la maison. La vie a repris son cours, mais bien différemment. Finalement, je ne suis même pas parti en vacances avec mes potes. La Thaïlande avait perdu de son intérêt. On est allé en famille dans la maison de vacances près de la mer et franchement j'y ai passé les meilleures vacances de ma vie. Baise à volonté et aucun interdit, mon père payait rubis sur ongle. Je lui avais rendu une partie de la tune que je lui avais prise avec les plans Escort.
Bien sûr, il a fallait faire gaffe avec ma soeur et mon frère, mais j'ai plutôt bien géré. Même si la suite allait me montrer que je n'avais pas été aussi discret que je le pensais.
Camille
jeunecoquine78@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Comment j'ai lopé ma famille