Partie -01 : Première lope
Je m'appelle Mathieu, je suis Bi. J'ai 25 ans et je mesure 1m85 pour 85 kg. Musclé genre mec des pubs pour une célèbre marque de vêtements pour jeunes friqués. Je fais ce qu'il faut pour et j'assume totalement : les efforts payent et je n'ai pas radiné sur la sueur. Je suis pratiquement imberbe à part une fine ligne de poil jusqu'au nombril et je rase le surplus qui pourrait me gêner : je n'aime pas les poils ! Voir le côté luisant et brillant avec la sueur, c'est limite à me faire débander. En parlant de bander justement, je n'ai pas à me plaindre. Je ne vais pas en rajouter avec des bites à 23, 25 ou 28 cm comme on peut en lire parfois dans certaines histoires sur ce site.
Petite aparté, ça me fait bien rire d'ailleurs quand j'en lis certaines. On a l'impression que toute la population gay dans certaines zones est montée comme des chevaux et qu'il y a pas une seule bite en dessous des 20 cm... faut arrêter les gens ! Pour avoir passé pas mal de temps sur grindr et dans les salles de sport, j'en ai vu des queues... les plus de 20cm c'est vraiment rare. Donc, si on rajoute en plus le fait d'être gay ou bi... le pourcentage tombe direct... bref c'était juste pour faire passer le message, une histoire peut être cool sans forcément qu'il y ait des bites de cheval !
Pour en revenir à moi, je suis aux alentours de 18-19 cm selon l'excitation. Par contre, j'avoue que je suis fier sur la largeur : elle est large du début à la fin avec un beau gland, large le genre qui fait dire/penser aux mecs qui la voit " putain, elle va jamais rentrer ! ". Mais faut pas s'inquiéter... elle rentre toujours ! Je ne suis pas circoncis du coup, j'ai un prépuce sympa qui se découvre un peu quand je bande. Bref, moi je la trouve parfaite.
Pour le reste bas, je suis châtain clair, cheveux courts coupé frais mais sans faire comme les vieux mecs des cités (désolé les mecs, mais je trouve ça ridicules les coupes de cheveux bidons des joueurs de foot que vous imitez comme des blaireaux... il suffirait que Messi ou un autre trou de bal se fasse une crête de poulet rouge et vert, et on verrait que ça dans la rue... pathétique...). Yeux marron tirant sur le vert, nez droit, petite barbe que j'entretien. Voilà pour le physique.
Après tout ça je vais vous raconter la situation dans laquelle je me trouve. Situation que j'ai entièrement provoquée et que je ne regrette pas. J'assume totalement ce que j'ai fait et j'en profite à fond. Certains diraient que je suis un bâtard et que c'est immoral mais je m'en bats les couilles. Ils sont consentants et s'en plaignent pas ! En gros pour résumé j'ai lopé toute ma famille. Je suis devenu le boss à la maison et tout le monde file droit sous les coups de queue.
Pour mettre la scène en place : je vis encore chez mes parents (je devais bouger mais vu la situation, j'ai rien à gagner). Il y a donc mon père, ma mère et mes deux frères et ma soeur. Je suis l'ainé, ensuite ma frère 23 ans, ma soeur 21 et mon plus jeune frère 18 ans. Mon père à 45 ans et ma mère 43. Ils m'ont eu super tôt, un accident si j'ai bien compris, et ça les a forcé à se mettre ensemble. Je pense qu'ils s'aimaient à l'époque et qu'ils ne regrettent pas vraiment, mais j'ai vite compris qu'ils auraient peut-être préférés prendre leur temps... Du coup, depuis quelques années, ils ont un arrangement tacite, ils se font plaisir comme ils veulent tant que ça porte de préjudice à personne et surtout pas aux enfants.
Mon premier frère, Marc, est une copie de moi mais en moins musclé car il a la flemme de soulever de la fonte et il préfère geeker sur ses jeux vidéo. Ma soeur, Marie, est plutôt bien foutue, jolie petit cul et des seins plus que corrects. Je les trouve un peu trop gros et lourd, du coup ça va tomber comme jamais quand elle aura 30 piges mais pour le moment ça lui va bien. Et le plus jeune, Jean, bas c'est une crevette qui veut me ressembler physiquement et qui fait tout pour, et bonus pour lui, il en a dans le crane. Et je pense que vous l'aurez deviné mais ma mère est croyante et nous a donné des prénoms très connoté, on ne choisit pas...
Mon père est plutôt bien conservé pour ces 45 ans mais étrangement, il est plutôt faiblard, aucune force et aucune endurance, je n'ai jamais compris... Ma mère est normal, pas spécialement belle mais pas moche non plus. Elle a un joli sourire et un rire contagieux, je crois que c'est ce qui a fait craquer mon père. Par contre, elle est discrète, presque soumise. Elle a un avis et mon père dit quelque chose, elle ferme sa bouche et hoche la tête. Et avec moi, depuis que j'ai commencé à la muscu et que j'ai pris de la masse, bas si je la regarde en appuyant un peu, elle hésite et tourne la tête. Trop chelou mais j'en ai profité.
Voilà, j'ai planté le décor. Je vais maintenant vous expliquer comment j'ai fini par devenir le boss de toute ma petite famille et que je l'ai transformé en bonne petite lope soumise à ma queue et mes ordres. Ça a commencé avec mon plus jeune frère.
Je suis à la maison, j'ai fini mes cours à la fac et je viens de rentrer pour me rendre à la salle de sport. Normalement, je devrais voir pour me trouver un taff mais j'ai la flemme et mon père est pété de tune avec sa société de travaux, du coup je profite. Mais là, j'en peux plus de voir ma petite chambre à deux lits, que je partage avec le plus jeune de mes frères. Et ouais, on avait chacun notre chambre, et le dernier est arrivé... on a tiré au sort qui l'aurait... c'est moi le blaireau qui ait gagné... bref, je râle pour la forme mais ça me dérange pas, on s'entend bien et le fait qu'il a des étoiles dans les yeux en me voyant en boxer me fait kiffer.
Bref, je suis en train de faire mon sac et de me changer quand il rentre dans la chambre.
" Salut Mat ! Ça va ? Tu vas à la salle ?
- Ca va ouais. Et oui j'y vais. Tu fais quoi toi là ?
- Je rentre du lycée et j'ai le temps de profiter pour une fois.
- Tu veux venir avec moi à la salle ? "
Je lui propose toujours vu qu'il kiffe ça et ça me permet d'avoir quelqu'un avec qui causé pendant la séance, les mecs de la salle sont parfois un peu lourds...
" Sérieux, tu veux bien ? Je me prépare !! "
Voilà, tout simple de lui faire plaisir à cette crevette. Je le regarde s'activer avec un sourire, en deux seconde, il a fait voltiger ses vêtements et se retrouve en boxer. J'avoue le mate un peu, j'aime bien son physique de twink. Je l'attrape et le regarde sous toutes les coutures. Il me regarde aussi et devient rouge pivoine.
" Dis-moi Jean, tu aurais pas pris un peu de muscle là ?
- Ouais ! il répond avec un grand sourire, j'ai forcé pour les abdos.
- Bas c'est bien ça commence à se voir.
- Merci Mat ! Mais je suis loin d'avoir tes tablettes et tes pecs...
- Ça viendra mec ! allez à la salle. "
Nous voilà parti et arrivé à la salle. On range nos affaires dans les vestiaires et on s'installe. On bosse pendant bien deux bonnes heures et je décide qu'on s'arrête là, jean n'en peut plus et moi je pue la sueur. Faut dire que quand il est là, il me mate bosser et ça me motive pour en rajouter.
" A la douche crevette ! " je lui lance en lui mettant une claque sur le cul. Les douches sont vides et de toute façon rarement utilisées. Elles ne sont pas super commodes : pas de séparations et les jets sont assez serrés. A croire que c'est un gay qui les a conçues pour permettre aux mecs de se mater. Moi je m'en bats mais je sais que ça gêne pas mal de mecs, du coup, j'ai souvent la place.
Je me retrouve à poil sous le jet et je vois Jean qui hésite un peu et qui s'approche de moi pour éviter d'être vu côté vestiaire. On se savonne et je ne peux pas m'empêcher de me tripoter un peu du coup j'ai un début de trique. Je vois que Jean a remarqué mais qu'il fait genre il a rien vu, mais qu'il jette des petits coups d'oeil. Je suis pas pudique, ce n'est pas la première fois qu'il me voit à poil, mais là je remarque que ça semble lui faire de l'effet. Côté bite malheureusement pour lui, il est dans la moyenne basse. Un 14-15 en pleine érection. Je sais que ça le met mal à l'aise, mais c'est la nature, on y peut rien.
Par contre, moi je me retrouve à la regarder avec plus d'attention que d'habitude. Je sais pas pourquoi mais le voir avec la mousse sur ses petites fesses ça me fouette le sang. J'ai la trique des beaux jours. Je mate les vestiaires, personne. Je me tourne pour être de dos à l'entrée des douches et commence à me branler. Je fais un clin d'oeil à Jean qui en oublie de respirer. Faut dire qu'elle est vraiment belle ma queue ! Je le vois qui avale sa salive avec difficulté.
Et là, j'ai un flash. Je ne suis pas le plus intelligent de la portée, je le sais, je comprends vite mais faut souvent m'expliquer longtemps. Par contre, je suis le plus vicieux et malin. Et là, en train de me branler et de kiffer, je comprends que mon frère est certainement gay ou bi comme moi. Je ne lui ai jamais caché que j'aimais bien mater les mecs comme les meufs mais je n'ai jamais dit que j'avais souvent niqué les deux sexes.
" Tu kiffes petit frère ? "
Silence. Il me regarde avec un air un peu torturé, je le sens hésité. Il ouvre la bouche, la referme, regarde un peu sur le côté, me regarde à nouveau, mais sans rien dire.
" T'inquiète, je dirai rien. Tu as le droit de kiffer autant que tu veux... je kiffe moi là "
Effet libérateur de mes paroles, il semble lâcher toute la pression d'un coup. Il me regarde et hoche la tête en disant :
" Ouais Mat, je kiffe comme un ouf. J'adore ton corps et ta queue ! "
Et là, de l'entendre dire ça, j'ai craqué un truc dans ma tête. C'était plus mon frère, c'était plus un délire. C'était un mec qui allait me tirer le jus à fond comme je kiffe et que j'allais défoncer. Rien à battre, fallait que je jute sur sa petite gueule de twink. Je l'ai regardé droit dans les yeux. Il a compris que j'avais basculé et que j'étais plus son frère là. Il a hésité, puis lentement il a baissé la tête.
" A genoux, dépêche-toi et fait ça bien " je lui ai dit. Normal, sans être violent ou quoi. Juste une phrase à laquelle tu ne peux pas dire non.
Il ne m'a même pas regardé, il est tombé à genoux devant moi. Il a pris ma queue dans ses mains. Ça m'a fait un effet de ouf. Il a branlé doucement pour enlever un peu de la mousse et il a ouvert la bouche.
Putain le kiffe ! la chaleur de sa bouche autour du gland. Trop bon. Je suis resté bien 10 secondes à savourer ça. Puis j'ai compris que j'allais devoir prendre les choses en main. Il ne savait pas vraiment quoi et comment faire. Je l'ai pris par le crâne et j'ai commencé à lui baiser la bouche. Pas en mode défonce, mais pas en mode bisounours non plus. Non une bonne pipe comme il faut, qui coulisse bien, qui glisse bien.
C'était justement tellement bon. Je le regardais avec l'eau qui coulait sur son corps et son visage, ma queue déformant sa bouche. Je la sortais de temps en temps pour le laisser respirer et la poser sur son visage, lourde et luisante, le gland lui touchant le front. Je voyais son regard heureux et soumis à mon corps, ma queue, à moi !
Je n'ai pas résisté, j'ai replongé ma queue dans sa bouche et je me suis lâché. Je suis endurant et c'est rare qu'une pipe me fasse gicler, mais là, la situation a eu raison de moi. Mon frère, les douches de la salle, son regard de chienne soumise, j'ai juté tout ce que je pouvais dans bouche puis sur son visage. Putain, je l'ai recouvert de mon jus, ça coulait de partout. La douche s'était arrêtée. J'étais sur mon petit nuage de jouissance à la mater recouvert de sperme. J'ai vu qu'il se branlait en même temps. Je refous ma bite dans sa bouche pour qu'il finisse de nettoyer, en plus j'adore sentir une langue sur mon gland après avoir juté, c'est super sensible. Il s'applique et fait ça bien. Je le sens qu'il se tend et trois ou quatre jets qui atterrissent sur mes pieds.
Je vois dans ses yeux qu'il est lui aussi dans le plaisir là. Il kiffe grave. Putain, mon frère est une petite pute qui s'ignorait. Je le regarde impérieux. Il a toujours ma bite bien large dans la bouche, il la lâche. Je lui indique mes pieds du regard. Il baisse la tête et voit son jus. Il me regarde. Je le regarde, je ne lâche rien.
Il baisse la tête. Et se baisse pour avoir le visage au niveau de mes pieds couverts de son jus. Il hésite puis sort sa langue et lèche. Le temps s'est comme arrêté. Il a relevé la tête et m'a regardé. On avait tous les deux compris. En léchant mes pieds là comme ça sur un simple regard de ma part, il était devenu ma lope, ma pute, ma propriété. Il était à moi, et je pouvais lui demander ce que je veux, il le ferait. Le temps a repris son cours. Je l'ai fait se relever, je l'ai attrapé par le cou et j'ai plaqué mon front sur le sien.
" Tu as kiffé ?
-... oui...
- tu sais ce que ça veut dire, hein ?
-...oui...
- Très bien... allez lave toi... ma petite pute "
Il m'a regardé et est devenu rouge comme une tomate. Il a allumé la douche et s'est rincé le sperme. Timing parfait, on a entendu la porte des vestiaires s'ouvrir. On a fini de prendre notre douche, avec le mec qui venait d'arriver, discutant d'exercices comme si de rien n'était. Jean était tout discret, moi normal à l'aise, la queue encore lourde, vous savez la demi molle bien lourde qu'on a après avoir joui. Celle qui fait que si le mec qui vient de vous vider s'y met avec motivation tu rebandes direct. Le nouvel arrivant jeté deux ou trois coup d'oeil mais là je n'avais pas la tête à ça ni la queue.
On sort de la douche, on se sèche, se rhabille. Jean a pas moufté un mot. Dans la voiture, on fait le trajet gros silence. Je me gare devant chez nous et me tourne pour le regarder. Il tourne la tête puis fuit mon regard.
" Tu regrettes ? Tu veux qu'on en parle ?
-...
-Regarde-moi.
-...
-Putain regarde moi je te jure ! "
Il tourne la tête directe et me regarde. Dans ses yeux, je vois un peu de peur mais surtout de la honte.
" Me force plus jamais à te redemander quelque chose, c'est clair ? "
Il hoche la tête deux fois.
" Bon bien... Ecoute, on a kiffé tous les deux. Ça reste entre nous. On aurait peut-être pas du mais maintenant c'est fait. Par contre, ce n'est pas écrit sur notre front ok ? Donc tu n'en parles pas, à personne ! Et ça se passera normal. Compris ?
-... oui... tu as vraiment kiffé ?
- Bas oui toi t'es con ou quoi ! Tu n'as pas vu la dose que j'ai mise ! "
Il sourit et je retrouve mon petit Jean. Il hésite puis reprend la parole.
" Tu sais... je crois que...
-oui ?
- J'en ai toujours eu envie au fond de moi sans jamais oser me le dire.
- t'inquiète ! Au moins maintenant tu sais.
- Oui... et... j'ai... j'ai vraiment adoré quand tu m'as dit... " Ma petite pute "... "
Je le vois qui rougit comme jamais.
" Ok ma petite pute. A partir de maintenant, tu es ma petite pute perso. Tu es à moi et je ferai ce que je veux de toi. C'est d'accord ? C'est sans retour possible, hein ! "
Je le vois qui hésite, qui me regarde. Il voit que je suis sérieux, et il prend toute l'ampleur de ce que ça veut dire et de ce qui est passé tout l'heure en non-dit dans la douche. Il ouvre le bouche, respire un grand coup et répond.
" Oui c'est d'accord. "
Je l'ai attrapé par le menton pour lui rouler une pelle de ouf. Quand on a fini, il soufflait de plaisir et je voyais que ça l'avait chauffé.
" Allez descend, je vais te montrer ce que c'est qu'une vrai bonne petite pute, une fois qu'on sera dans notre chambre. "
On est descendu de la voiture et on est rentré à la maison. La suite de notre petite vie n'a plus jamais été la même.
Rapidement, je lui ai fait prendre conscience de ce que ça voulait dire. Je ne vais pas mentir, comme n'importe quel mec, j'ai des besoins et des envies. D'avoir une pute dans ma chambre, ça permit de me lâcher.
Déjà, rapidement je me suis occupé des poils de mon frère. Je l'ai rasé partout où c'était nécessaire. Et ensuite... je lui ai appris à être à dispo n'importe quand. Pour ça, on a modifié l'agencement de notre chambre. On a rapproché nos lits histoire d'avoir plus de place dans la chambre, ça c'était l'excuse pour la famille, mais surtout pour pouvoir niquer à l'aise.
Du coup maintenant, le matin, il sait qu'il doit aller me pomper la bite au réveil. Sans forcément me faire juter mais c'est sa routine. Et franchement se faire réveiller le matin en sentant sa pine bien dure au chaud d'une bouche... le kiff !
Et puis bas forcément vous avez envie de savoir si je l'ai enculé. Bas oui, je l'ai défoncé ma petite pute. Rapidement après la petite session à la salle de sport. Vous auriez hésité vous si au milieu de la nuit vous aviez la queue bien dure, une petite salope qui kiffe vous la sucer en tortillant du cul devant vous et surtout complètement soumise à vos décisions.
Je l'ai attrapé par les cheveux interrompant la pipe qu'il me faisait, devenu plutôt doué, et je l'ai allongé sur le dos la tête dépassant du bord du lit. J'ai pris la bouteille de lubrifiant que j'ai toujours avec moi (je vous rappelle que j'ai la bite assez large et le gland qui fait la même taille). J'ai commencé à prendre du lubrifiant et j'ai enfoncé ma bite dans sa petite bouche de salope : direction gorge profonde ! Pendant qu'il savourait, je me suis penché au-dessus de lui et j'ai commencé à lui préparé le cul. Il était chaud c'est allé assez vite, je le soupçonnais d'avoir déjà mis quelques doigts régulièrement pour s'habituer. Quand j'ai jugé que c'était bon, je suis sorti de sa bouche et je l'ai redressé en levrette. Il a fermé les yeux, a soufflé un peu et a levé le cul pour être dans la meilleure position possible.
" Bonne petite pute... tu vas la prendre.
-oui boss, met la moi, ça fait longtemps que j'en rêve ".
J'ai posé mon gland sur son trou et j'ai appuyé doucement sans rentrer. Je voulais qu'il supplie un peu comme une bonne pute qui veut de la bite.
" Si tu la veux, va falloir la demander mieux que ça !
-S'il vous plait Boss, mettez la moi ! Je veux votre bite dans mon petit cul de pute.
- Plus fort !
- Je veux ta bite dans mon cul !! Défonce-moi la chatte !! Je veux ton jus au fond de moi et que tu m'ouvres le cul avec ta grosse bite !!! T'es mon boss, défonce moi !! "
Il avait crié et couiné comme une vraie meuf pour ma queue, ça m'a fait bien kiffer ! Du coup, j'ai poussé ma bite et je suis entré comme dans du beurre. Je ne me suis pas arrêté une seule seconde. J'ai rentré tout jusqu'à la garde. Il a poussé un gémissement de douleur qui n'en finissait pas mais rien à battre. J'ai fait une pause quand j'ai senti mes couilles taper contre lui.
C'était juste tellement bon. Un petit cul serré de puceau et le fait que ça soit mon frère c'était encore mieux. Je l'ai défoncé pendant bien une vingtaine de minutes. J'ai bien plaqué son visage contre le lit avec une de mes mains pour lui rappeler que j'étais son boss. Quand j'ai senti que ça venait, j'ai accéléré les coups de bite afin de bien m'enfoncer en lui et lui tasser le sperme bien au fond de sa chatte de salope. Je l'ai senti se tendre et contracter son petit cul de pute : il venait de jouir sans se toucher, la bite à peine tendue : une vrai meuf mon petit frère. Ça m'a fait jouir et gicler tout mon jus au fond de lui, une bonne dizaine de jets bien lourd. J'étais au fond de ma vie tellement j'étais bien !
Au bout d'une minute, j'ai sorti ma bite pour mater son petit trou bien ouvert. Je l'ai retourné sur le dos et je me suis mis sur son torse pour lui faire nettoyer ma bite. Il était presque comateux de plaisir mais j'ai forcé sa bouche et il a sucé à fond pour la nettoyer. Une fois bien propre comme je bandais encore un peu, je me suis refoutu à l'entrée de son cul et je l'ai repris direct vite avant de débander.
Il a ouvert les yeux et m'a supplié d'arrêter qu'il en pouvait plus. Je l'ai regardé et je lui ai foutu un revers qui a projeté sa tête contre le lit.
" Putain mais tu vas comprendre quand que je fais ce que je veux de toi ! Tu n'as pas à me dire quoi que ce soit. Tu prends comme j'ai envie et tu dis merci !
- Désolé " Bim deuxième baffe, je ressors en entier et je rerentre direct à fond. Lui foutre deux mandales m'avait relancé dans le trip, je débandais plus au contraire. Ca me faisait presque mal de l'enculer au niveau sensibilité mais rien à foutre.
" Tu as oublié le "boss' et tu as pas à ouvrir ta gueule de pute de toute façon sauf si je te pose une question et là ce n'était pas une question. "
Il a hoché la tête, serré les dents. Je voyais qu'il avait les larmes aux yeux et qu'il luttait pour ne pas pleurer et gémir. Je l'ai attrapé pour le soulever et je l'ai plaqué contre moi en le tenant à bout de bras. Je l'ai relâché un peu et il s'est enfoncé jusqu'à la garde sur ma queue.
" JE veux t'entendre gémir et te voir pleurer ma petite salope, lâche toi "
Il m'a regardé avec des yeux bien ouverts et effrayés, il a tourné son regard vers la porte.
" Rien à battre des parents ou du frangin et de la frangine. Et toi non plus tu n'en as rien à battre. Là tu es ma pute maintenant et ma pute elle pense qu'à moi, compris ?
-Oui Boss "
Je suis sorti de son cul et je l'ai plaqué contre la porte pour le reprendre debout comme ça. Je lui donné des coups de bite tellement fort que ses pieds se soulevaient à chaque fois.
En y repensant, je ne sais pas comment ça se fait que personne ne soit venu voir ce qui se passait parce que le bruit contre la porte et ses gémissements de plaisir de pute ça devait s'entendre dans toute la baraque.
Voilà comment Jean est devenue ma lope à la maison. Devant la famille rien de spécial, mais il suffisait que je le regarde et il disait oui à tout ce que je voulais, il faisait de lui-même tout ce qu'il fallait pour me satisfaire aussi bien dans la vie de tous les jours que sexuellement. Ma mère a un peu tiqué disant que Jean n'était pas ma bonniche mais je l'ai regardé en lui disant de se mêler de ce qui la regardait et que Jean était assez grand pour décider de ce qu'il faisait par lui-même. Elle n'a pas mouffeter.
Camille
jeunecoquine78@gmail.com
Autres histoires de l'auteur : Comment j'ai lopé ma famille