Bonjour, je suis Olivier, j'ai 23 ans je suis un jeune métis à la musculature fine, pratiquement imberbe, trés lisse de peau petit cul bien rebondi, bite de 19 cm, j'ai toujours su que j'étais homo actif et passif. Il y a deux ans je suis tombé amoureux de Pierre, il a 28 ans beau mec, mais il abuse de moi et je ne sais pas pourquoi mais j'accepte tout de lui. Je m'en veux, je lui en veux beaucoup. Avant lui j'étais pudique et à part une fois ou deux j'ai toujours été en couple fidèle, au moins de mon coté. Mais lui, il me traite comme un moins que rien et moi j'accepte, c'est horrible! Le pire est qu'il me met dans des situations dégradantes et que quelque part je dois admettre que j'aime ça, même si je déteste. Pour exemple je vais vous raconter la journée d'hier. Nous sommes en vacances pour 15 jours dans un bel hôtel du sud de la France, hier après-midi Pierre à voulu aller jouer au casino et il à perdu une très grosse somme (je n'en sais pas plus). En rentrant il m'annonce que je vais devoir lui rapporter une partie de ce qu'il a perdu, il me dis de prendre une douche, pendant ce temps lui doit faire des courses. 30 mn plus tard il me tel pour que je le rejoigne à la voiture, il fait encore un peu jour et nous prenons la route d'une foret connue pour être fréquentée par des échangistes hétéros et des homos. Arrivé là bas, il se gare au bord de la route.
- allé fous toi à poil maintenant
moi je me dirige vers le bois, je sais que je dois l'écouter sinon il va se mettre en colère.
- ou tu vas ?
- Ben me déshabiller
- t'es con ou quoi? fou toi à poil ici!
- mais il y a du monde qui passe ils vont me voire
- j'espère bien, et t'as intérêt d'assurer!
Mon ventre se noue mais je l'écoute et je me retrouve à poil au bord de la route. Lui tranquillement sort un harnais et l'installe sur moi il ne cache rien de ma nudité, au contraire! Puis un rouge à lèvre avec lequel il écrit sur mon dos, je le sens vénère et n'ose même pas lui demander ce qu'il écrit, j'ai aussi peur d'apprendre ce que je crains. 4 voitures sont déjà passées en klaxonnant ou sifflant une femme à même crier belle bite ! je suis rouge de honte! Pour finir il sort une paire de chaussures à talon très haut rouge aussi! Je ne suis ni exhibe ni travesti, je ne suis pas androgyne et je me trouve ridicule
- T'y comprends rien fais moi confiance, ça met ton cul en valeur!
la dessus il me donne un cachet
- ça va te désinhiber, tu vas aimer et me rapporter gros. surtout tu marche comme pour un défilé les deux pieds sur la même ligne!
je voudrais fuir, mais pas moyen, dés qu'un voiture arrive il me demande de marcher le long de la route, on me siffle, deux voitures ralentissent au max pour me mater à leur aise je reçois même des mains aux fesses dont une belles claque
- à tout a l'heure ma salope! si t'as faim tu vas goûter de ma queue! ...
Une voiture fais demi-tour, se gare, le conducteur sort, il est vraiment vieux, il donne de l'argent à pierre
- Allé la pute vient me sucer.
Je le suis dans les fourrés, il sort son calibre mou et me le fou dans la bouche
- Allé suce chienne, vicelard, bouche à sperme, sale pédale vicieuse etc...
Plus il m'insulte plus sa bite durci, moi je veux abréger mon calvaire je le suce le mieux possible sous une pluie d'insulte, je tente de lui mettre un doigt au cul je me prends une baffe. les insultes fusent, quelques baffes aussi, Pierre pas loin nous matte mais ne dis rien le vieux fini par me remplir la bouche de son sperme.
- tu as aimé grosses salope! je vais te faire de la pub, fais moi confiance tu vas sucer des bites ce soir!
Et il repart, Pierre me propose un verre de vodka pour faire passer le gout
- C'est bien, tu vois tu te débrouilles!
Retour sur la route, allé retour à poil, plusieurs mecs se sont arrêtés, j'ai du en sucer 2 un m'a baisé sur le capot de la voiture et j'ai du en baisé un. Après celui là pierre m'a donné un autre cachet pour bander. La nuit tombe, Pierre prend un sac à dos, ferme la voiture et nous partons à pied le long de la petite route. Pour lui ça va, moi je suis complètement à poil monté sur de talon haut, si les flics passent je me fait embarquer direct! Pierre darde un faisceau lumineux sur moi, il me demande de marcher presque au milieu de la route, les quelques voitures qui passent doivent me dépasser au pas, des mains en profitent, les rires, moqueries, insultes cochonnes tombent sur moi. Pierre éteins sa lampe torche et me fais passer par un chemin, pas facile de marcher la nuit dans un chemin de terre en talon aiguille. Nous croisons quelques mecs qui hallucinent en me voyant, Pierre projette le halo lumineux pour qu'ils puissent bien mater, me retourne pour qu'ils puissent lire (maintenant je sais que c'est la liste des prestations et services!) des billets passent de main en main moi de bites à bites. je me sens humilier mais un ressort en moi m'oblige à ne pas me laisser abattre, à bomber le torse et, presque malheureusement je commence à y prendre gout à ce rôle de pute exhibe. j'ai encore sucer des queues et me suis fait baiser par un mec, violemment presque à sec, j'ai crié il à aimé, Pierre n'est pas intervenu, il s'énerve juste si un mec tente de marchander ou ne veut pas mettre un préservatif pour m'enculer. Nous rejoignons un carrefour de petits chemins, là on s'arrête, Pierre sort de son sac des cordes et m'attache jambes et bras écarter à un arbre. J'aimerais refuser mais je suis maintenant exciter je bande et je suis prêt encore à presque tout (je maudit quand même pierre que j'aime). Lui est aussi excité, en attendant le client il me baise sans préservatif, joui en moi puis m'embrasse en me disant que j'ai vraiment un beau cul de salope. Mélange de colère, d'anéantissement d'excitation et de fierté. Les mecs tournent, passent devant moi me matent sans aucun respect, ils me tâtent la bite, le cul, me pince les tétons, comme des maquignon le feraient avec des vaches, parfois si ils abusent sans payer Pierre intervient. Plusieurs me baisent, devant tout les autres, le plus souvent sous le faisceau lumineux de Pierre, certains se sont assis comme au théâtre ils applaudissent même, j'ai du avaler pas mal de sperme et de gin !! Je rentre dans la peau de la pute affamé j'y prend gout, Pierre enduit régulièrement mon anus de gel lubrifiant, je me tortille du cul qui à faim de bites. Je suis très accueillant. un groupe de 3 jeunes mecs arrivent, il me matent, m'insultent, me tâtent sans vergogne, immiscent même 2 doigts dans mon cul puis vont voir Pierre, la discussion est longue les billets passent dans sa main. Pierre vient vers moi, me retire le harnais et les chaussures
- Il est a vous mais je reste là, j'éclaire et je regarde!
- ok monsieur, d'accord monsieur
Puis
- Toi le chienne vient là
J'approche un peu en panique
les voila qui baladent leur mains tous en même temps sur mon corps, mais pas des caresses! Leur mains sont rugueuses, il me pétrissent salement me font mal, me pincent fort les tétons, ils me crachent dessus, m'insultent, des doigts me pénètrent, puis ils me poussent violemment d'un à l'autre je titube, manque de tomber plusieurs fois, puis du plat de leur mains ils me frappent, Pierre intervint méchamment quand un poing s'échappe et les taxe d'un billet de 50 euros! Moi je me sens avilie avec un certains plaisir qui me répugne, j'ai mal un peu partout mais j'éprouve aussi un plaisir fort et malsain. Il finissent par me mettre par terre sur le dos, il sortent alors leur bite, moi je dois ouvrir la bouche et les voila qu'ils me pissent tous les trois dessus de partout je ferme les yeux ma bouche se remplit je suis trempé d'urine. humilié devant tous mais jouissant de cette humiliation. Il me retourne enfin dans la flaques boueuse d'urine m'y frotte me font rouler dedans avec leur pied. Puis il s'accroupissent derrière moi commencent à m'enculer chacun leur tour en me traitant de tous les noms les plus vils et en me donnant l'ordre de grogner de couiner comme un cochon parce que je ne suis qu'une sale truie. je les écoutes je cris je grognes et geins fort. Le pire c'est que qu'alors que je suis allonger à poil devant tous ses mecs que je suis vautré dans un mélange d'urine et de boue et que le troisième me défonce le cul violemment, je sens le plaisir monter en moi irrésistible, immense et m'emporte et je jouis dans un long cris ultime honte, mais incroyable jouissance, abondons de toute dignité castratrice du plaisir. Quelques baffes et coup de pieds, je les laisse faire abandonné à se plaisir avilissant, le comble c'est Pierre qui annonce aux voyeurs
- Si vous voulez vous branler et juter ou pisser sur le sale goret c'est brader 10 euros. Ils récolte 60 euros de plus et moi des litres et cl d'avilissement supplémentaire. Puis
- c'est bon cassez vous maintenant bande de sagouin vous me l'avez tout saloper. Toi t'es la pire des salopes comment tu as pu jouir comme ça ! par contre t'es la meilleur pute que j'ai connu, viens je vais te laver heureusement que je suis là!
Je le suis penaud jusqu'à la voiture, mais en même temps j'aime bizarrement cet état de soumission qui m'amène au dépassement de toute pudeur, et respect de ma personne et m'autorise donc à jouir sans réserve du pire parce que ce n'est pas mon choix et que j'y suis obligé. là il sort un jerrycan d'eau, il le verse à moitié sur moi, me frotte avec mon t-shirt, qu'il m'enfourne dans le cul avec le doigt tout un me traitant de sale goret il me rince enfin. Tout ça, c'est fait sur le bord de la route alors que des voitures passaient. Ensuite j'ai droit à 3 rasades de gin, avant qu'il m'embrasse à pleine bouche en me pétrissant les couilles.
- Allé au boulot, on remonte!
IL me remets le harnais et toujours sous son halo de lumière, avec que les chaussures à haut talon qui me font mal au pied mais aussi qui m'oblige à cambrer le cul, j'avance, j'ai encore un peu d'appréhension à marcher ainsi au bord de la route, mais je suis aussi rentré dans la peau du personnage, on me klaxonne, m'apostrophe, me claque au passage, Deux s'arrêtent, j'en suce un dans sa voiture, l'autre m'encule sur le bas coté. Nous approchons d'un grand parking, Pierre m'offre une bonne rasade de gin, puis il me suce
- vas-y je compte sur toi remue bien ton cul excite les!
Le parking est plein de voitures je sais que certains baisent à droite à gauche mais je suis le seul complètement nu sur haut talon, bien sure je bande, Pierre sur mon torse et mon dos a réécrit le programme des réjouissances. Quand j'arrive je fais mon effet devant ces gens qui aiment plutôt une certaine discrétion. Certains me connaissent déjà et je les entends qui racontent à d'autres mes exploits, le malaise m'envahit mélange de dégoût de pudeur bafoué mais aussi d'excitation, de fierté (très mal placé) et d'obéissance à Pierre. J'avance, j'ai l'impression que tous me regardent, et j'aime ça, le halo de lumière est tjrs sur moi, on me touche me tate, on écarte même mes fesses pour tester avec un doigt la résistance de ma rondelle, quand dans une voiture on m'appelle je discute accouder à la fenêtre cul cambré au maximum
- c'est toi le goret? C'est vrais que t'es la pire des salopes?
Si on me parle de tarif, j'appelle Pierre. Il y à même des femmes là une veux me sucer, je dois en sucer deux, je n'aime pas mais je fais au mieux, j'arrive même à bander suffisamment pour en baiser une devant son mec qui se branle, plus tard j'ai même baiser un mec alors que sa femme me godais en nous insultant. Des mec me baisent sur des capots de voiture, dehors a même le sol ou dans les fourré pour les discrets. J'ai marcher à 4 pattes pour attirer les chalands, me suis allonger par terre, me suis branler sur le toit d'une voiture, ma pudeur c'était totalement envolé, le plaisir de l'exhibe et l'obéissance à Pierre dominaient. je me suis pris des crachats (payants) dans la bouche, un voulais me fister mais Pierre à refuser, heureusement pour moi car j'aurais accepter même là! Par moment Pierre me donnait des rasades de gin je suis sacrément ivre, il me redonne même un cachet pour bander. A un moment j'atterris dans une grande Mercedes décapotable avec 5 mecs, je ne sais plus bien exactement comment cela c'est passé mais j'ai pris un super pieds je me suis fait perforer en règles, j'ai sucer, branler lécher embrasser, il y en avait partout des bites des culs des bouches et j'étais avide, j'ais pris tout ce que je pouvais, avaler ce que je devais avaler. Nous avons du rester 2 à 3 heures sur ce parking, des heures de soumission et d'extases pour moi, pour redescendre mon cul était douloureux, mais Pierre ne m'a pas autorisé à marcher pied nu, j'ai encore sucer un mec. Pierre était content je lui avais rapporté très gros, moi j'étais euphorique, content d'avoir été une bonne pute, je n'avais plus aucune pudeur, mon coprs était devenu une entière zone érogène, je bandais tjrs, je gambadais sur la route, voulais sucer Pierre, je me mettais à 4 pattes devant lui sur la route pour qu'il m'encule (même avec mon mal au cul), je me frottais contre les arbres si une voiture approchais (il y en avait presque plus) je me mettais au milieu de la route dardais ma bite, ou mon cul et allais proposer mes services, j'ai ainsi pu me retrouver plongé dans une voiture suçant le passager pendant que le conducteur me suçait. Alors que nous arrivons presque là ou nous nous étions garé, j'entends une voiture qui monte, j'accoure pour la surprendre à la sortie du virage en marchand bien comme Pierre m'a expliqué. A l'intérieur deux mecs, le conducteur donne un coup de frein, il à l'air éberlué, j'approche me penche cul cambré à la fenêtre,tout sourire prêt à lui faire mon grand jeux de la pute et là il me sort une carte tricolore.
- Police, que faite vous? Vous avez des papiers? Vous n'avez pas d'autres vêtements? Vous êtes ivre?
je sais pas quoi répondre je me retourne, je suis seul, tout seul!
il m'embarquent, je me retrouve à l'arrière de la voiture banalisé des flics, à poil avec un harnais et une paires de talons hauts à la main. Les flics appelle leur casernes ou je sais pas quoi
- On vous ramène un sacré spécimen vous allez rire!
Moi je crois que j'ai dessaoulé d'un coup,la honte m'envahit, ma pudeur revient au galop je suis tout penaud. Les flics me demandent en premier assez respectueusement si j'ai été violé, drogué, kidnappé ou autre je bredouille un non à chaque fois. Alors leur humeur revient au rire, je les comprends! tomber sur une espèce de folles à poil sur talon haut rouge cela prête à rire! Ils me posent encore quelques questions, je ne parle pas d'argent ni de Pierre je laisse supposé un espèce de paris stupide. Arrivé devant le poste je demande si ils peuvent me couvrir
- Allons mon gars, on va pas salir nos fringues, assume
En riant il me mettent le menottes et me tire à l'intérieur, heureusement peu de monde à l'intérieur mais la fliquette en douce se fout bien de ma gueule. Je suis interrogé, toujours à poil avec mon harnais, je doit faire ma déposition, les questions sont parfois très précises, je réponds des oui en rougissant et baissant la tête, j'ai droit à une bonne morale. bon on te mets en dégrisement jusqu'à 7 h il ne reste plus que 2h, il y a une couverture si tu veux. Tu peux tel à un amis, penses à lui dire de prendre des vêtements avec lui. je téléphone à Pierre il sera là à l'heure. au bout d'un couloir le flic ouvre une porte et me pousse dans la cellule,
- Kevin nous avons un compagnon pour finir la nuit, pas de bêtises les garçons
et il partent en rigolant doucement
je reste à l'entrée de la cellule avec mes mains qui protègent mon anatomie. le Kevin me regarde de la tête au pied, je m'assois sur un espèce de banc ou couchette dur en face de lui penaud, je bredouille.
- Bonjour
lui tout sourire
- salut toi! ben tu viens d'ou dans cette tenue? t as pas froids au yeux toi? tu t'es pas fait violé au moins
je bredouille encore un non, mais je ne veux pas en dire plus, j'ai trop honte et je me mets à pleurer. Le Kevin approche s'assois prêt de moi met son bras sur mon épaule. Là je ne sais pas pourquoi, la pression la retombée de la soirée je m'écroule complètement sur ses genoux et pleure à chaudes larmes. Il me console me caresse le dos, me dis que ce n'est pas grave
- Mais j'ai fais la salope
- ce n'est rien, ce n'est rien? On t'a pas forcé? T'as aimé
- Oui, oui
- Alors ça va, t'inquiète tout va bien, tu en rira de ta mésaventure plus tard.
Il me caresse la tête le dos, en me disant des phrases réconfortantes, il pose une main sur ma jambe. Moi je suis tjrs nu et je découvre que mon hyper sensualité de tout à l'heure ne c'est pas complètement évaporé, je rebande, ça craint, du coup je ne pleure plus. Le kevin veut me redresser, que je reste pas sur ses genoux maintenant que ma crise de larme est passée, je résiste, il insiste, gentiment, avec douceur mais fermement il me redresse. Bien sure ses yeux tombent sur mon sexe en érection, il sourit semble apprécier, mais ne dit rien, il continu à me caresser le dos, sa main sur mon genoux me caresse aussi. Il est d'une grande douceur, je le laisse faire et me laisse allé, sa main sur ma jambes remonte à chaque caresse le long de ma jambe jusqu'à toucher mon sexe qu'il caresse avec la même douceur, il m'enlève le harnais et m'allonge doucement sur le dos. Ils continue à me caresser partout longuement, j'aime énormément, sa douceur la lenteur contraste avec ce que je viens de vivre. je me laisse allé à la volupté que me procurent ses mains et sa bouche. A un moment je me lève, nous ne sommes plus dans une cellule, je l'embrasse et commence à le déshabiller, il se laisse faire, une fois nu lui aussi je vois qu'il est super bien fait et super bien monté, sa bite doit être même légèrement plus grosse que la mienne. Je le suce elle est délicieuse. Nous restons vraiment très longtemps à nous caresser, sucer et embrasser dans une formidable sensualité, nous discutons aussi de plein de choses. Et puis alors que je suis allongé sur lui nos deux sexes chaud l'un contre l'autre, il écarte ses jambes, se crache dans la main pour mouiller sa rondelle puis guide mon sexe en lui, j'y suis bien accueilli même si il me faut un certains temps, nos souffles s'activent, je rentre entièrement en lui commence à faire des allés retours de plus en plus vite lorsqu'il décide de me faire sortir, là il me retourne et me prend à son tour, je suis plus ouvert (normal) et son gourdin rentre rapidement il me laboure, c'est super bon, nous évitons cependant de crier pas envie d'alerter les flics! Au nouveau retournement de situation, alors qu'il est à 4 pattes, que je lui donne des coups de rein en le branlant, que je sens monter le plaisir en moi et en lui je pense aussi. D'un coup la porte de la cellule s'ouvre sur un flic et Pierre, nous somme tous éberlués, mais je ne peux pas m'empêcher un dernier coup de rein et dans un doubles cris je récolte dans la main le sperme de Kevin alors que j'éjacule dans son cul. Le regard de Pierre est terrible, il me jette mes vêtements, fait demi-tour et se casse. Le flic en souriant fait un commentaire sur le homos et le sexe qu'il ne faut pas prendre une cellule pour un baisodrome, annonce à Kevin qu'il peut lui aussi partir, puis sort en repoussant un peu la porte. Je sors enfin du cul de Kevin, en se regarde en rigolant, mais pas trop fort on s'embrasse et on se rhabille. Là il est 22h du mat je passé en fin de matinée récupérer mes affaires à l'hotel, je suis chez Kevin nous avons fait l'amour toute l'aprés-midi s'enculant à tour de rôle c'était divin deux homos auto-reverse c'est top!
Pascal
Autres histoires de l'auteur : Ma première colocation | Le pari | Envie d'exhib | Je suis une vraie chienne | Jean et moi | Sexe acrobatie ? | Pierre mon mac | Serveur d'un soir | Séance photo