Premier épisode
1 | Première fois
Ma vraie première fois fut à 18 ans. J’étais parti un peu plus tôt du domicile parental pour faire mes études. J’avais un petit logement dans une petite ville étudiante. Pas fou comme situation. Mais juste assez de liberté pour découvrir mes premiers émois. Profiter des nuits pour découvrir le tout début de ma sexualité.
Soyons d’accord, je me branlais depuis le plus jeune âge. J’ai vécu des trucs à plusieurs. Des blagues entre potes. Pour se toucher la bite, gouter un peu de mouille, voir la bite d’autres mecs… C’était fun. Ça a nourri pas mal de mes premiers fantasmes. On n’a pas tous la chance d’avoir un sex-friend en tant que voisin. Mais sans plus de détail sur cette période, je pouvais enfin profiter de mon temps. Loin de la responsabilité de mes parents. Tenter mes propres expériences.
On ne peut pas dire que mes cours me prenaient énormément de temps. C’était simple. J’avais déjà quelques connaissances de mon précédent cursus. J’avais donc le temps de me faire des potes, boire quelques bières pas chères, me branler, beaucoup, et draguer par-ci par-là.
Un jour une de ces dragues est devenue un peu plus sérieuse. On avait des amis en commun (nous reviendrons sur cette coïncidence dans une autre histoire), on parlait pas mal. On a donc décidé de se rencontrer. Vivant chez ses parents, pas le choix que de le faire venir dans mon humble chez-moi histoire d’avoir un peu d’intimité pour cette première rencontre.
Arrivés dans mon 12 mètres carré, lui et moi sommes très hésitants. Vu de l’extérieur, c’est surement ridicule. Mais ça bavarde, ça rigole un peu, ça écoute de la bonne musique et finalement ça se rapproche. Mathias de son prénom devient tactile. C’est la première fois qu’on commence vraiment sérieusement à me toucher. Je sens que mon corps se tend. Je sens quelque barrière dans mon cerveau arriver. Du style « c’est maintenant ?! » ou « on arrête tout de suite ou pas ?! ».
Entre lui et moi commence alors un jeu. Le regard ne trompe pas. J’ai envie de lui. Mais lui… Ce n’est pas de l’envie que je lis dans ces yeux. C’est plus que ça. Il a envie de me manger. On continue de parler, la discussion tourne autour des sujets de plus en plus sexuels. Et je sens qu’il a envie de me manger cru. Il me regarde de haut en bas en se mordant la lèvre. Je me retourne pour ne pas céder en l’envie de lui sauter dessus. Il se lève pour m’attraper. Il colle un baiser dans mon cou. Et alors qu’il me sent me raidir, il me plaque contre mon bureau. Mon bassin est littéralement bloqué contre mon bureau. Il est dans mon dos. Sa main gauche vient appuyer sur mon torse pour me coller à lui.
Et cette proximité soudaine fait que je sens sa bite contre moi. Il est toujours habillé, et pourtant je la sens. Elle bat littéralement. Elle veut sortir. Elle veut sortir pour mieux rentrer en moi. Parce que je lui laisse entendre que je ne résisterais pas, il commence à me caresser le torse avec la main qui me retenait plus tôt contre lui. Il me caresse d’abord sans relever mon t-shirt. Je sens ma peau en dessous se réchauffer. Alors j’ose me retourner et lui faire face.
Je vois deux choses. Je vois sa chemise déboutonnée. À aucun moment je n’ai réalisé que son autre main pouvait lui servir à se déshabiller tranquillement. J’étais trop occupé à sentir son souffle dans mon cou et sa bite à travers son pantalon frapper tranquillement le haut de ma cuisse.
J’ai envie de lui. Et je ne résiste plus. Je sais que je vais l’avoir en moi. J’ai envie de briser toutes les barrières mentales pourtant posées plus tôt. Je le veux. Je veux tout.
La musique devient plus forte. Les souffles deviennent plus forts. Et nos mains continuent de chercher quel chemin prendre. Il caresse mon corps tout en me déshabillant. Il enlève doucement mes vêtements en même temps qu’il enlève les siens. C’est chacun son tour. Il enlève son t-shirt. Il m’enlève le mien. Il me montre que nous sommes à égalité. Et il m’entraine à accepter la nudité. Dès qu’il découvre une nouvelle partie de mon corps, il vient y poser ses lèvres. J’agis en miroir. Je découvre. Je lui rends ses baisers. Et l’excitation monte de plus en plus. Je sais où nous allons.
Il ne lui reste qu’un caleçon. Qui a du mal à cacher une bite énorme. Elle continue de battre le rythme. Elle forme une bosse sur la gauche. Je commence à la prendre en main à travers son caleçon. Pour appréhender la bête. Savoir un peu ce que je découvrirais quand il se décidera à enlever ce caleçon. Je n’attends que ça. Qu’il l’enlève. Qu’il m’enlève le mien. Et que sa main touche enfin ma bite. Je veux sentir la chaleur de sa main. Je veux qu’il sente mon cœur battre dans ma bite.
Il commence à enlever son caleçon. Sa bite sort violemment vers l’avant. Tendue par l’excitation, elle vient frapper mon ventre. Nous rions. Mais je sens qu’il ne perd pas son objectif de vue. Il me veut nu dans ses bras. Et je n’attends qu’une chose. Que nos deux bites puissent se toucher. Qu’il puisse tout toucher de moi.
Pour faire durer le plaisir, il décide d’embrasser tout mon corps. Il commence dans le cou. Et descend tranquillement. Il embrasse mon téton. Rendu ferme par le froid extérieur et la chaleur de nos deux corps. Il embrasse le duvet naissant que j’ai en dessous du nombril. Et ses dents accrochent la ceinture de mon caleçon. Il le descend avec les dents.
Ma bite se dresse face à lui. Imperturbable, il continue de descendre et d’embrasser mon corps. Il accompagne mon caleçon jusqu’en bas. Il embrasse mes cuisses. Mes mollets. Mon pied gauche. Il est rendu à quatre pattes dans ma chambre pour me retirer mon caleçon. Il a baissé toutes mes armes sauf une.
Alors il se relève et l’attrape à pleine main. Il me branle doucement. Et excité comme jamais, je mouille énormément. C’est ma caractéristique. Plus je suis excité, plus je mouille. Et j’ai tendance à toujours être très excité.
Il joue avec ma bite. Je le laisse faire et tente de jouer avec la sienne. Alors je l’approche de moi. Et il glisse sa bite contre la mienne. Il saisit nos deux bites ensemble à deux mains. Pour nous branler ensemble. Dans le même mouvement. J’ai déjà très envie de jouir. Je lui demande d’aller doucement. Je comprends qu’il ne compte pas ralentir. Le désir continue de monter en flèche.
Dans un réflexe de survie et pour ne pas lui jouir dans la main je le repousse violemment. Je sais qu’il va tomber sur mon lit. Et je pourrais alors reprendre le contrôle. Parce qu’il sera sur mon lit et que je vais pouvoir lui monter dessus. Il tombe sur mon lit.
Et en un regard, je lui fais comprendre que je reprends les rênes. Je grimpe sur lui. Ma bite tape dans sa cuisse au passage. La sienne toujours droite et grosse me donne tellement envie. Qu’en m’approchant de lui je ne peux résister à la prendre en bouche. Et je le suce. Je vois qu’il ne s’y attendait pas. Il devait s’imaginer que j’allais batailler. Mais sa bite m’appelle. Je le suce. J’alterne le rythme. J’applique tout ce que j’ai appris en matant tous ces pornos. Je le branle tout en léchant les contours de son gland. Je garde les yeux tantôt sur sa bouche tantôt sur ses yeux. Il aime ça. Ces yeux se révulsent de plaisir. Sa bouche ne cesse de s’ouvrir de plaisir. Comme pour retenir un râle de plaisir. Je me cale sur le rythme de sa respiration. Je sens qu’il ne tient plus. J’arrête d’un coup. Et je viens l’embrasser comme plus tôt en me mettant à califourchon sur lui. Je veux faire durer ce plaisir tout autant que lui.
Je sens qu’il se calme. Mais je le veux toujours autant. Je veux tout. Et il le sent. Sa main qui caresse mon dos descend doucement le long de ma colonne vertébrale. Et il commence à jouer avec mon cul. Il masse tranquillement le trou qu’il va s’approprier. Je l’aide un peu à me lubrifier. Il insère un premier doigt. Je retiens un petit cri de douleur, qui se transforme petit à petit en soupir de plaisir. Je me colle à lui. Il me contrôle. Il joue avec cet unique doigt. Il y ajoute un second puis un troisième. Il me dilate lentement. Il s’amuse de mes réactions. Il sait que j’aime ça. Je lis son plaisir de me contrôler dans ses yeux. Il y va à des rythmes lents puis rapides.
Il me demande si je suis prêt. J’acquiesce. Je n’ai pas fait tout ça pour m’arrêter en si bon chemin. Il attrape alors son portefeuille et en sort un préservatif. Il l’enfile rapidement tout en continuant de jouer avec mon trou. Je suis toujours sur lui. Il se redresse un peu pour s’aligner avec moi. Il me laisse faire. Je sens son gland tendu juste contre mon trou. Il me laisse décider du rythme.
Son gland. Très gros, va être le plus dur à faire rentrer. Je commence à m’assoir doucement. Son gland est vraiment large. Je sens mon trou s’écarter doucement. Je force un peu. Et d’un coup je le sens. Le gland est en moi. Je le sens m’écarter complètement. J’ai mal. Je regrette d’avoir dit oui. Mais il continue de m’embrasser. Comme pour me rassurer. Et il me glisse une simple phrase. « Ça va passer ». Sur le moment je ne comprends pas. Il continue de m’embrasser. Je sens le moindre de ses mouvements. Je sens sa bite en moi. Son gland continue de gonfler en moi. Il me veut.
Et petit à petit la douleur disparait. Je sens toujours son gland. Je sens sa chaleur. Je sens ses baisers. Je sens ses mains sur tout mon corps. Il commence à me faire bouger. Je me rends compte que je peux maintenant m’assoir complètement. Je peux enfin me faire prendre comme il le veut. Alors je m’assois d’un coup. J’enfonce toute la longueur en moi. Je sens sa bite en moi. La totalité. C’est chaud. C’est gros. Mais putain ! qu’est-ce que c’est bon. Il est en moi. Et je bouge doucement sur sa bite. J’accélère. Je sens que sa bite durcit encore. Je me demande à quel moment il va arrêter.
Il me soulève. Il veut reprendre le contrôle. Il veut se faire du bien. Et il a conscience qu’il m’en procure aussi. Il me soulève donc et me pose le dos contre le lit. Il est allongé sur moi. Il remonte mes jambes. Il les tient. Pour s’aligner parfaitement avec mon trou. Il me lime rapidement.
Quand je pense qu’il va jouir, il décide d’accélérer encore. Il bloque mes jambes sur ses épaules. Il peut de nouveau m’embrasser tout en se faisant du bien. Mes jambes au-dessus je le sens encore mieux en moi. Il s’approche de plus en plus de moi. Sa musculature m’impressionne. Il est sec. Il est brut. Il se raidit d’un coup. Il donne des coups de bassins beaucoup plus forts. Son visage se tend. Il pousse un râle de plaisir. Il a joui.
Savoir qu’il a joui en moi provoque d’un coup une vague de plaisir immense. Et c’est à mon tour de me raidir. Alors qu’il commence à m’embrasser dans le cou comme pour me remercier. Je sens que ma bite va exploser. Je crache cinq énormes jets de sperme sur mon torse et sur le sien du fait de ses baisers. Je le sens toujours en moi. Je le sens se retirer doucement.
Je réalise qu’il m’a provoqué mon premier orgasme anal. J’ai joui partout. Et il se retire, mais n’abandonne pas toute cette heure d’amusements. Il vient lécher mon torse. Il avale le foutre que j’ai mis partout. Je lèche mon propre sperme sur son torse. Comme un nettoyage mutuel. Nous continuons de nous embrasser.
Cette première nuit avec Mathias fut un vrai bonheur. On a beaucoup ri ensuite. On a fait l’amour encore. On a pris deux douches. On n’a presque pas dormi. Mais ça valait bien la peine de peu dormir pour commencer une vraie vie sexuelle.
Cette nuit-là, je ne le savais pas encore. Mais c’était que le début de plein d’histoires à vous raconter. Plein de parties de jambes en l’air. Plein de rencontres et d’expériences toutes plus riches en découvertes les unes que les autres.
J’ai qu’une hâte c’est de vous les raconter.
Écrivez-moi par mail et dites-moi ce que vous avez pensé de ma première fois. J’ai bien envie de savoir si vous avez joui. J’ai bien envie de savoir « Comment était votre première fois ? ». Je répondrais à tous ceux qui prendront le temps de m’écrire. Merci d’avoir pris le temps de me lire en espérant vous retrouver au prochain « chapitre » de ma vie sexuelle.
Zack
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