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HISTOIRE

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Le meilleur des deux mondes

Bonjour à tous, c’est à nouveau Mathieu.

Je prends à nouveau la plume pour vous faire partager mes dernières expériences et l’insatiable curiosité que provoquent en moi mes désirs sexuels.

Du temps a un peu passé depuis mon dépucelage dans les bras de Romain puis avec son pote David.

L’été s’est terminé sans autres expériences notables, à part une pipe taillée à un jeune mec à la fin août dans une rue déserte de Bordeaux la nuit. Expérience fugace, mais qui démontra que je n’avais plus de pudeur à chasser comme une pute en chaleur, à brancher un mec en quelques minutes et me livrer à une fellation sauvage à l’ombre d’un container à poubelle, pour recueillir en fruit de mes efforts quelques belles giclées de foutre sur la gueule.

J’ai été admis en hypokhâgne au lycée Montaigne, comme prévu. L’année scolaire fut assez intense et ne me laissa pas beaucoup de loisirs pour assouvir mes pulsions. À l’époque je me suis même payé le luxe d’avoir une copine, Éléonore, jolie fille, mais assez inexpérimentée, nous n’allâmes pas plus loin que des caresses et quelques coups de langue sur ses seins et sa chatte.

Mais peu importe. Chacun y trouvait son compte. Ma copine s’exhibait avec le beau gosse de la classe et moi je disposais d’une couverture imparable !

À deux-trois occasions je me suis permis une sortie au sauna Thiers, le dimanche après-midi ou le vendredi soir après le dernier verre avec des potes… j’aimais les instants qui précédaient l’entrée dans ce lieu fantasmé, l’impression d’être un clandestin, l’avenue Thiers déserte le soir et cette petite enseigne bleu ciel, prélude à de nouveaux instants de plaisir…

Les parties de baises n’étaient pas toujours au rendez-vous, mais j’aimais assez l’atmosphère de ce type de lieu, le trouble vaporeux du hammam, où l’on distinguait vaguement quelques beaux corps alanguis, parfois un client audacieux suçant son partenaire devant les autres…

Ces quelques escapades, mon porno quotidien et surtout la grosse charge de boulot eurent raison de tout ennui éventuel. L’année passa à un rythme d’enfer et comme je l’envisageais, je passais les concours des écoles de commerce pour être retenu au final à l’ESG.

Les planètes s’alignaient parfaitement, je restais à Bordeaux, j’intégrais une brillante école de commerce et j’y retrouvais quelques potes… et surtout plus de liberté.

Ma relation avec Éléonore a pris fin sans heurts et sans rancunes… Madame avait besoin de temps pour « franchir le pas » comme on dit ; si cette petite conne savait ce que j’avais pu faire avant elle !

Le seul point noir était le refus catégorique de mes parents de me prendre une piaule. C’était pourtant le sésame que j’espérais obtenir, la liberté enfin de faire venir qui je veux et pouvoir me faire quantité de plans cul en mode peinard.

Mais rien à faire. Avoir de l’argent ne justifiait pas le gaspillage. J’ai des racines hollandaises je le rappelle. L’implacable philosophie de vie paternelle prenait là tout son sens : la caresse des félicitations d’un côté et l’inflexible austérité du portefeuille de l’autre.

Je devrais donc faire autrement et m’appuyer sur l’hospitalité de mes amants éventuels.

La scolarité à l’ESG était assez exigeante, mais la prépa m’avait bien rôdé. Je travaillais plus vite et m’accordais du temps libre. Je reprenais le sport à fond, l’aviron et la muscu.

C’est là que j’ai sympathisé avec Thomas, un élève de ma promo. On se côtoyait souvent sans avoir trop fait connaissance. Je devais lui reconnaître de belles qualités physiques : aussi grand que moi dans les 1,80 m, cheveux châtains relativement courts, il gardait une belle frange qui rehaussait ses yeux magnifiques, bleu clair, une bouche sensuelle, un joli cul moulé dans son jean…

Mon instinct fut bien sûr douché au bout de quelques jours, lorsque je le vis sortir et galocher sa copine. Une belle fille au demeurant, blonde, yeux bleus, souvent court vêtus, tout en étant mince elle ne dissimulait pas de jolies formes, cuisses galbées et sportives et surtout ce qui devait être une très belle poitrine.

Même si les meufs ne m’attirent pas autant je dois reconnaître qu’elle suscitait en moi de l’excitation. Ou bien était-ce de la voir dans les bras de Thomas et d’imaginer la belle aux pieds de son amant, vénérant sa queue et ses boules ?

Malgré cela Thomas et moi sympathisâmes à Basic Fit qui venait d’ouvrir quai de Bacalan. On en profitait pour parler boulot, mais aussi de nos vies respectives. Thomas venait de la région parisienne, il avait suivi son père, ingénieur chez Thalès à Mérignac, après le divorce de celui-ci. Il pratiquait le surf sur la côte, vers Lacanau et Capbreton, forcément jamais autour des calmes clapotis du bassin d’Arcachon.

Outre quelques points communs comme peuvent en avoir des mecs de notre génération (culture, musique, films, etc.), Thomas avait un appétit sexuel très assumé. Un autre point commun, mais que je n’osais alors lui avouer. Alors que la confiance s’établissait dans nos relations, il ressentait le besoin de me parler de ses expériences (parfois exagérées, voire carrément inventées, je pense) et le plaisir qu’il éprouvait dans certains actes.

Il classait par exemple ses ex selon leur talent à sucer et m’expliquait sans pudeur comment une meuf devait bien pomper son mec.

« Tu vois, elles pensent que sucer se résume à faire plaisir à leur mec, elles prennent ta bite dans leur bouche et c’est tout. C’est rare d’en trouver une qui joue avec sa langue, titille ton gland, lèche tes boules comme si elle en avait rêvé toute sa vie ! Le truc c’est d’en trouver une qui aime faire ça.. ».

Je devenais en quelque sorte le confident-admirateur de ses prouesses sexuelles, pour ne pas dire de ses fictions ! Thomas avait manifestement de l’expérience, mais poussait parfois le bouchon, par exemple quand il se vantait d’avoir sodomisé la plupart de ses copines. Sa description faisait plus penser à ces stupides pornos qu’à une vraie baise anale et là je parlais en connaisseur !

Je ne pouvais bien sûr rien dire. Alors je regardais. Ses yeux pétillants quand il me relatait ses parties de baise avec Juliette (sa copine), son sourire craquant et surtout son corps qu’il dévoilait sans pudeur dans les vestiaires : ses épaules larges, son torse imberbe et dessiné, de beaux tétons ronds qui invitait à la succion et surtout ses dorsaux magnifiques et sa chute de reins qui venait mourir sur une paire de fesses fermes et rebondies. À voir ses poils pubiens et ses couilles il s’épilait manifestement… sa queue était belle au repos, à dire d’expert je dirai 19-20 cm en action !

Les mois passèrent dans cette ambiance de belle camaraderie et je dois reconnaître que mon attirance pour Thomas allait croissant. Je devais me retenir de bander en sa présence dans les vestiaires, comme je ne retenais plus mes fantasmes nocturnes (à défaut d’avoir une chambre où baiser) qui nous mêlaient dans des instants torrides.

Bien sûr il me fallait donner le change question expériences féminines. Je lui parlais d’Éléonore en exagérant la nature de nos rapports… mais difficile de se comparer à cet étalon et de lui dire pourquoi un beau gosse comme moi était sans meuf après presque une année scolaire !

« Je vois ce qui pose problème m’asséna-t-il un jour. Tu es trop sur la réserve. Manque de confiance. T’as pas dû lui faire bien mal à ton Éléonore ».

Ses railleries m’agaçaient à la longue et un jour je lui répliquais allusivement que j’avais une expérience qu’il ne soupçonnait pas et qu’il ne revenait pas de ses fiers aux apparences.

Cette réflexion le troubla et au lieu de calmer ce jeune homme impatient il ne fit que me bombarder de questions. Il se faisait cette fois le film à l’envers, imaginant que derrière mes airs sages je prenais soin à tenir discrète une vie sexuelle plus intense… la vérité était certes plus proche, mais nous n’étions pas attirés par la même chose, du moins le croyais-je.

À cette même période, nous prenions l’habitude de nous retrouver à trois avec Juliette pour boire un verre, sortir à droite, à gauche. La relation qui m’unissait à Thomas devenait fraternelle. Cette amitié finissait presque par prendre le dessus sur mon seul désir physique. Il était adorable, formait un beau couple avec sa meuf, qu’il pelotait maintenant presque sans pudeur en ma présence.

Thomas vivait dans un studio qu’il partageait presque avec Juliette dans le quartier des Chartrons, rue Baste, au dernier étage d’un petit immeuble en pierre.

Mes visites fréquentes m’amenaient parfois à tomber seules en présence de celle-ci. Elle demeurait toujours heureuse de me voir, comme si ma présence la changeait de son mec. Nous parlions beaucoup et elle se confiait à moi.

Un jour que je passais rendre un livre de gestion que Thomas m’avait prêté, elle m’accueillit seule. Nous étions mi-mai et il faisait déjà chaud à Bordeaux à cette époque de l’année. Juliette était pieds nus et ne portait qu’une robe de coton blanche à rayures colorées, qui épousait ses formes. Ses tétons pointés ne laissaient pas de doute sur le fait qu’elle ne portait pas de sous-vêtements et aussi pédé que je sois cela me fit quand même de l’effet.

Elle affectait une mine préoccupée et après quelques interrogations de ma part ressentit le besoin de parler :

« Tu sais ma relation avec Thomas à l’air solide, mais il a de gros besoins sexuels. Je fais de mon mieux, mais il doit voir ailleurs, je pense, et cela me rend un peu triste. Je sais qu’il t’accorde une grande confiance, il ne t’aurait rien dit ? »

Que Thomas fantasme sur tout ce qui ressemble à une fille baisable était indéniable, mais jamais il ne m’avait confessé avoir trompé sa copine.

J’étais assis sur le canapé et Juliette s’approcha de moi, me touchant le bras.

Je la rassurais sur ce point en ajoutant qu’il serait fou de prendre des risques avec une fille aussi jolie, même si sa réaction laissait entendre qu’elle s’en accommoderait, comme s’ils formaient un couple très libre.

« Il tient beaucoup à ton amitié. Il m’a même demandé si j’étais attirée par toi. Il voudrait presque qu’il se passe quelque chose entre nous, comme une manière de fermer un cercle entre nous trois ».

Son regard se faisait plus insistant, sans perdre de sa spontanéité.

Cet aveu était dingue : la copine de mon meilleur pote me faisait des avances. J’en restais interloqué, ne sachant trop quoi répondre.

Juliette était assise à genoux à mes côtés. Sa main passa dans mes cheveux blonds et elle me susurra « Je lui ai dit que je te trouvais très attirant. Et que je tiens beaucoup à ma relation avec lui et que si tu le souhaitais je pourrais être à toi aussi… ». Elle conclut sa phrase en posant un baiser tendre sur ma joue.

J’avais l’esprit en feu, mon esprit était embrouillé et j’étais tiraillé entre quelques principes moraux et une pulsion qui me rapprochait de Juliette. Ou plutôt de Thomas. En la désirant c’est son fantasme que je satisfaisait. Et je voulais aussi faire plaisir à Thomas, je voulais lui céder comme le faisait sa meuf.

Je tournais doucement mon visage pour rejoindre celui de Juliette et nos lèvres s’unirent. Des baisers tendres, comme des adolescents. Bien qu’ayant eu déjà quelques copines la situation me rendait hésitant. Je posais timidement une main sur la joue de Juliette pour accompagner le mouvements de son visage et de l’autre je caressais sa cuisse. Elle continuait à caresser mes cheveux, mais, plus intrépide, vint directement poser sa main droite sur mon entrecuisse, puis mon paquet qu’elle se mit à masser par gestes réguliers.

Je bandais malgré tout. Juliette le sentit et se pencha directement vers mon bermuda. Elle dégrafa ma ceinture, déboutonna et baissa ma braguette. Elle continua à masser mon boxer pour mieux saisir mon sexe maintenant raide. Je passais ma main le long de son dos, relevait sa robe pour découvrir sa croupe qu’elle retenait par un string clair. Juliette fini par ôter mon boxer et baisser le tout sur mes genoux. Caché derrière sa chevelure blonde je ne vis rien des secondes qui suivirent, simplement la délicieuse sensation de ses lèvres se refermant sur ma queue. Elle me sucrait avec application, branlant doucement ma teub et jouant avec sa langue… bref comme le disait Thomas, « une meuf qui aime faire ça… ».

Mon plaisir allait crescendo, les pensées se bousculaient dans ma tête, je fermais les yeux et imaginait Thomas me pratiquant cette douce fellation… Thomas… c’était trop rapide, trop bizarre… je me rendais compte à quel point je tenais à lui, je voulais encore moins sacrifier ce qui existait simplement parce que sa meuf ne pouvait aussi retenir ses pulsions !

Brutalement je me retirais et lui présentais mes excuses. La robe encore relevée, la bouche moite de salive et les cheveux ébouriffés, elle me regarda avec incompréhension puis gémis de frustration.

« Viens Mathieu, ne me laisse pas comme cela. Laisse moi au moins finir de te sucer, j’en ai tellement envie. »

Ses gémissements rendaient la scène plus pénible à vivre. Je lui renouvelais mes excuses, que je ne voulais pas que cela se passe ainsi, que je ne dirai rien… et je partis en vitesse.

Ces minutes me génèrent alors que je retrouvais en cours Thomas dès le lendemain. Il n’y paraissait rien. Nous allâmes même prendre notre verre habituel avec Juliette qui n’affectait aucun changement dans son attitude.

Ce soir-là Thomas me proposa d’aller chez son père le we suivant. Celui-ci partait en ballade avec sa nouvelle compagne.

« On aura la baraque pour nous trois, ce sera plus sympa pour préparer les prochaines expos non ? ». J’acceptais, seulement parce que je n’avais pas de raison valable pour décliner l’invitation.

Le samedi suivant je prenais mon vélo et parcourais par la piste cyclable les kilomètres qui me séparaient de la maison de Thomas à Mérignac.

Il habitait une grande maison récente que son père louait tout à côté du parc du Bourran. Un quartier pavillonnaire très calme en ce week-end ensoleillé.

C’est Thomas qui ne m’accueillit pas une franche accolade et deux baisers. Il était pieds nus, portait un jean débraillé un t-shirt rouge qui moulait son corps d’athlète. Juliette était aussi là, vêtue légèrement comme toujours d’un débardeur blanc et d’un short court et serré bleu turquoise.

Nous nous assîmes dans le séjour. Les portes-fenêtres du fond étaient ouvertes et laissaient rentrer un air encore frais pour cette période de la journée. La pièce était grande, le canapé contemporain assez large pour que nous prenions nos aises, Juliette assise entre Thomas à sa droite et moi à sa gauche.

Cette ballade à vélo m’avait fait quelque peu transpirer et Thomas releva subitement que je devrais me mettre à l’aise, sous-entendu torse nu.

« Mets-toi en calbut, qu’est-ce que ça peut bien te foutre, on se connaît assez non ? »

Devant mon refus il insista puis largua une bombe :

« Au moins tu te mettras enfin à l’aise avec Juliette… il semble que tu l’as quittée en plein effort l’autre jour ». Son allusion comme son sourire franc me laissèrent sonné. Juliette répliqua par un petit pouffent de rire en le regardant.

« Tu n’inquiètes pas bro. Je voulais t’en parler, mais je ne m’y prends pas toujours finement. Tes allusions sur tes expériences nous ont rendu curieuse Juliette et moi. Tu sais je trouve que l’on a construit une belle amitié. Je voudrais partager encore plus de choses avec toi et ma meuf me semblait être un bon terrain non ? C’est moi qui lui ai demandé de t’allumer. On voulait se faire un plan à trois, je rêve de me la niquer avec un autre mec, mais pas n’importe qui… avec toi j’ai confiance, tu lui plais beaucoup et tu es intègre ».

Intègre ?! Je ne vois pas ce que l’intégrité vient faire là-dedans. Mais à mesure que Thomas parlait, Juliette se mit à nous caresser les jambes avec une insistance croissante.

« Ne te prends pas la tête bro. J’ai aimé ta réaction l’autre jour. T’es un pote. Mon meilleur pote. Et je veux qu’on partage ce moment ».

Ces mots m’ont électrisé. Juliette n’existait plus, c’était presque un mono à mana entre mecs. Et je bandais rien qu’à cette idée.

Juliette m’offrit sa bouche en premier sous le regard approbateur de Thomas. « Oui, c’est bien, embrasse le bien, vous êtes beaux tous les deux… ». Puis Juliette fit de même avec son mec, tout en rapprochant ses mains de nos paquets. Alors qu’elle revenait m’offrir sa langue, Thomas souleva son débardeur et révéla cette poitrine tant imaginée. Ses seins étaient généreux sans être gros, ils épousaient la forme de poires comiques, rondes et gonflées. Nos mains excitées se frayèrent un chemin entre ces mamelles bronzées. La mienne touchait parfois celle de Thomas qui ne réagissait nullement, notre complicité était déjà forte.

Après quelques secondes il finit par aider Juliette à enlever son débardeur. Alors commença une longue séance d’échauffement, Thomas et moi accomplissions les mêmes gestes chacun de notre côté. Après l’avoir encore embrassé, nous descendions sur ses épaules, sa poitrine jusqu’à ses seins. Nous goûtions à l’unisson ses mamelles. Thomas me regardait d’un regard malicieux. Sa main plongeait déjà entre les cuisses de Juliette qui gémissait en appuyant sur nos têtes.

Puis il déboutonna et retira son shorty, dévoilant sa chatte épilée et déjà mouillée.

En deux d’eux Thomas et moi nous déshabillâmes, t-shirt, short, boxers. Nous nous tenions alors debout devant Juliette qui demeurait assise sur le canapé. Son regard gourmand était captivé par nos queues. Enfin je pouvais savourer sans honte de mater le sexe bandé de Thomas, une belle queue de 20 cm, circoncise, brune et bien proportionnée. Juliette engloutit d’abord mon sexe, puis celui de Thomas, alternant l’une avec l’autre, avant de les rapprocher afin de sucer nos glands. Le contact de la teub de Thomas avec la mienne me fit tressaillir. Thomas me regardant avec son plus beau sourire. Prendre mon pied le rendait heureux et m’excitait encore plus en retour.

Thomas me demanda de bouffer la chatte de Juliette. Bien que n’ayant aucune expérience et la grotte féminine ne m’ayant jamais inspiré d’envies, je me mis au travail. Je savais que la présence, le contact physique et quasi charnel de Thomas me faisait mourir de désir. Je pouvais tout faire avec lui.

Juliette écartait ses cuisses mates et je plongeais ma langue contre sa vulve. Je léchais amoureusement ses lèvres, puis je vins titiller son clitoris, appuyant progressivement mes succions contre lui. Juliette réagit en suçant Thomas encore plus fort et en pressant ma tête contre sa chatte. L’instant était incroyable. Tout était parti en vrille tellement vite !

Rassasié de cette chatte je me redressais alors que Juliette sucrait encore Thomas. Elle s’arrêta quelques secondes alors que Thomas la complimenta « Tu suces tellement bien ma salope ! Un pédé ne ferait pas mieux », ajouta-t-il en éclatant de rire.

Et c’est Juliette qui fit basculer ces instants magiques. Tout en tenant la queue de Thomas par la main, elle se tourna vers moi « Peut-être que Mathieu veut essayer ? Personne n’en saura rien, tu sais… ce sera notre petite histoire. Pour parfaire cette amitié, il faut que vous partagiez ce qui fait de vous des mecs non ? »

Un ange passa.

Je sus quelle direction prendre en regardant Thomas au-dessus de moi. Son regard azur était doux, de sa main droite il effleura mes cheveux. Le message était très clair. Je m’approchais alors de la queue que me tendait Juliette et j’engloutissais ce membre tant désiré dans ma bouche.

Thomas rejeta sa tête en arrière en poussant un râle de plaisir. Juliette lâcha son sexe et me regarda faire en me masturbant avec vigueur.

Je n’avais plus aucune inhibition. Je voulais prouver la force de mes sentiments à Mathieu, les exprimer de cette manière si simple. Je l’avalai et branlai sa queue fermement, tout en jouant de ma langue et d’effets de rythmes qui amplifièrent ses soupirs de satisfaction. Je léchais ses couilles devant les réactions agréablement surprises de sa copine. On exultait tous les trois de nous lâcher enfin.

Juliette me rejoignit pour partager cette teub exquise, faisant des va-et-viens réciproques, jouant de nos langues agiles autour de sa hampe pour finir par nous rouler une pelle sur son gland.

Je laissais à nouveau le membre de Thomas à sa belle et remontais sur son torse, me délectant de ses muscles fermes que j’embrassais un à un, ses tétons luisants de sueur que je tétais l’un après l’autre jusqu’à rejoindre les lèvres de mon amant qui ne refusa pas mes assauts buccaux. Juliette eut de nouveau deux bites à pomper alors que Thomas et moi donnions libre cours à notre attirance mutuelle, en nous embrassant avec ferveur.

Après quelques minutes de ce gainage bisexuel, Thomas fit mettre Juliette à quatre pattes sur le canapé.

Il se positionna derrière elle et la pénétra d’un coup avant de donner un rythme régulier à ses coups de reins qui firent crier la belle blonde.

« Fais-la sucer », me dit-il, son regard dévoré par la luxure. Je remplis donc la bouche de Juliette qui apprécia d’être pleine de nos queues. Thomas changea sa position pour avancer ses jambes. Il écarta les cuisses pour donner toujours de l’allant à ses coups de boutoir. Cette position lui permit de se pencher le long du corps de Juliette et de joindre sa bouche à la sienne sur ma queue. Tout en baisant sa copine, il suçait son pote et y prenait un plaisir manifeste.

J’étais en transe et surveillais mes réactions pour ne pas jouir, mais ce spectacle me fascinait.

C’est alors que Thomas se retira brutalement et retourna Juliette sur le dos. Il me prit par le bras, m’attira vers lui pour m’embrasser. Puis il m’invita à prendre sa place :

« Prends-la ». Encore puceau avec les filles encore à ce moment-là je me montrais hésitant. Thomas prit les choses en main en se plaçant derrière moi et en me caressant le long du torse. Il me glissait des mots qui eurent pour effet de me garder bouillant : « Baise-moi cette salope, regarde elle mouille d’envie comme je bande de pouvoir enfin disposer de toi… Oh Mathieu tu es beau mon pote, j’ai tellement envie de toi… Je vais te baiser pendant que tu défonces cette pute. On va jouir à l’unisson mon bro ».

Je me glissais dans la chatte de Juliette, cette sensation chaude et humide n’étant pas rédhibitoire. Je plongeais ma langue sur ses seins dont le contact était toujours aussi stimulant. Alors que je baisais Juliette sur le canapé, je sentis le contact humide des doigts de Thomas contre ma raie. Après avoir imprimé un mouvement doux, il finit par me pénétrer par un puis deux doigts, branlant mon cul avec régularité. Puis je sentis le contact de son gland qui tentait de se frayer un passage. J’écartais les fesses avant de le sentir en moi. Je ne pus réprimer un cri de plaisir, augmenté de celui de Juliette, dont le regard de folle soulignait son excitation extrême.

Après quelques tâtonnements, nous trouvâmes un rythme de baise régulier. Je niquais Juliette en missionnaire alors que Thomas un pied posé au sol et l’autre sur le canapé, me bourrais vigoureusement le cul. Cette enfilade inédite me faisait presque hésiter sur mes penchants, mais c’est indéniablement la présence virile et assurée de Thomas qui stimulait mon ardeur.

Le silence de la pièce était maintenant rempli de sons sauvages, les gémissements de Juliette répondaient à mes halètements de passif en rut, que couvrait les « han » puissants de Thomas.

Après dix bonnes minutes à ce rythme et où il fallut beaucoup de retenue pour ne pas exploser, Thomas me fit coucher sur le dos. Juliette s’empala sur ma queue alors qu’il opérait sa deuxième sodomie de l’après-midi sur sa meuf. « Désolé bro, mais je lui avais promis », me dit-il avec son sourire d’ange. La position eut pour effet de me laisser encore la disposition des seins de Juliette, mais aussi de sentir la queue de Thomas effleurer la mienne dans l’interstice étroit qui sépare la chatte du trou de Juju.

Nous la baisâmes avec endurance. Parfois Thomas se penchait pour nous faire goûter sa langue, dans d’interminables roulages de pelles à trois.

Son visage, son regard enthousiaste, son sourire, ses muscles saillants d’où coulait maintenant la sueur de ses efforts, jamais je n’avais trouvé Thomas aussi désirable. Il m’invita à exploser dans la chatte de Juliette. « Vas-y mon pote, féconde-la, elle prend la pilule t’inquiètes, elle adore qu’on se lâche en elle ». En moins de temps qu’il faut pour le dire, je me relâchais et jouissais abondamment en elle. Maintenant Juliette criait de plaisir et roulait des yeux, dans un état second. Elle jouissait sans doute à son tour.

Elle réclama le lait de son homme. J’en voulais aussi.

Nous finîmes cette monumentale partie de baise à genoux devant notre mec, les langues offertes et collées l’une à côté de l’autre. Après quelques branlées Thomas gicla son jus sur nos visages. Le premier jet de foutre partit sur la droite et vint gratifier le visage de la belle Juliette. Les jets suivants, épais et crémeux vinrent mourir sur ma langue. Je m’enhardis à saisir sa queue en bouche pour en récupérer les dernières coulées de sève, avant d’embrasser Juliette et mélanger le sperme entre nos bouches.

L’intensité de nos orgasmes nous laissèrent K.O. Thomas et moi nous assîmes sur le canapé alors que Juliette proposa le plus naturellement du monde de nous prendre des bières. Nous regardions cette délicieuse salope dandiner du cul jusqu’au frigo, la mouille et mon sperme coulant encore entre ses cuisses.

Thomas et moi échangions un regard complice, fraternel. Sans nous dire un mot, nous savions ce que représentait cette séance mémorable. Il me sourit, passa son bras autour de mon cou, m’attira vers lui et m’embrassa généreusement.

La suite du we laissa peu de places au travail, entre moments de détente et parties de baise fiévreuse. Nous ne faisions rien sans être ensemble. D’une double pénétration sur Juliette dans le jardin à un godage par le beau sou la douche, nous explorions toutes les facettes de nos sexualités juvéniles, débridées et impudiques. Mon désir pour Thomas n’en était que plus fort et j’eus encore besoin d’en tester la force par de nouvelles expériences…

Mathieu

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